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LUNEDI'
19 MAGGIO 2003
pagina 1
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europee,2001 http://www.cordis.lu ) |
12° CONGRESSO EBN CHE COORDINA I CENTRI D'IMPRESA E
INNOVAZIONE SUL "RILANCIO DELLO SPIRITO IMPRENDITORIALE IN EUROPA"
Lione, 19 maggio 2003 - Dal 18 al 21 giugno si svolgerà
a Lione (Francia) il 12° congresso della rete europea Ebn che coordina i
centri d'impresa e innovazione. L'edizione di quest'anno sarà dedicata
all'individuazione dei metodi volti a "rilanciare lo spirito
imprenditoriale in Europa". Per raggiungere questo obiettivo, il
congresso riunirà dirigenti di grosse aziende, imprenditori innovativi,
responsabili politici nazionali e regionali, rappresentanti delle strutture
di assistenza aziendale, accademici ed esponenti delle istituzioni europee e
di enti pubblici, i quali discuteranno i seguenti argomenti: il ruolo dello
Stato e dei settori pubblici; la necessità di ridurre il peso fiscale e
rendere più flessibile il mercato del lavoro; l'esigenza di accrescere la
partecipazione delle donne nella creazione d'imprese; il ruolo dei sistemi
di formazione e di istruzione nella promozione dell'imprenditorialità; il
miglioramento della visibilità, della coerenza e delle performance delle
strutture di sostegno aziendale; la valorizzazione dell'immagine
dell'imprenditorialità; l'approfondimento delle varie forme di espressione
dello spirito imprenditoriale. I dibattiti forniranno elementi importanti
alla Commissione europea, ai governi nazionali e regionali ed alla comunità
imprenditoriale nel suo insieme. Infolink: http://www.ebn.be/ebn0701.htm
CREATION
DE LA " JOURNEE EUROPEENNE DE LA JUSTICE CIVILE "
Bruxelles, le 19 mai 2003 - A l'initiative de M. António Vitorino,
commissaire européen chargé de la justice et des affaires intérieures, la
Commission européenne vient d'approuver le projet de réaliser ,
conjointement avec le Conseil de l'Europe, une " journée européenne
de la justice civile " qui se tiendra dans toute l'Europe, d'année en
année. Parmi les événements envisagés dans les Etats membres, figurent
des visites guidées, des journées portes ouvertes, des conférences
locales, des rencontres avec des praticiens ou encore des actions destinées
aux plus jeunes. La date prévue pour la création de la " journée
européenne de la Justice Civile " est le 24 octobre, jour auquel s'est
tenu, l'an dernier à Bruxelles, une Conférence européenne pour l'accès
à la justice organisée conjointement par les deux Institutions au cours de
laquelle cette idée avait été lancée. " Il s'agit avant tout de créer
un événement symbolique, une date à laquelle on se rappellera que la
justice est, avant tout, un service à la disposition des citoyens pour régler
leurs différends privés et faire valoir leurs droits " a déclaré M.
Vitorino. " Le droit civil est omniprésent dans la vie de tous les
citoyens qui travaillent, se marient, ont des enfants ou achètent des biens
et des services. La construction européenne dans ce domaine avance à
grands pas. Toutefois, la notion de " justice " et l'image du
tribunal sont le plus souvent associées, dans l'esprit du public, au droit
pénal. C'est à partir de ce constat qu'est née l'idée de créer une
journée consacrée à la justice civile ", a expliqué le Commissaire.
La journée européenne de la justice civile répond à un souhait exprimé
par le Conseil européen de Tampere en 1999, visant à faciliter l'accès à
la justice pour tous, notamment par le biais de campagnes d'information. La
Commission espère que la Journée européenne de la justice civile
deviendra plus qu'une date symbolique mais également un moyen de rapprocher
la justice civile des citoyens. La Commission compte sur les gouvernements
et les juridictions nationales, ainsi que sur tous les acteurs intéressés
de la société civile, pour qu'autour de cette date soient organisés des
événements destinés à mieux faire connaître le fonctionnement de la
justice auprès des Européens et les moyens de faire valoir leurs droits.
Pour cette première année, la Commission compte, de son côté, organiser
un forum de discussion sur Internet pour répondre directement aux citoyens
sur toute question relative à la politique communautaire en matière de
construction de l'espace européen de justice civile et également découvrir
leurs attentes. Les services de la Commission européenne travaillent également
avec le Secrétariat du Conseil de l'Europe sur le projet d'une
manifestation publique qui se déroulera à Budapest en collaboration avec
le gouvernement hongrois. La Commission a déjà montré l'attention
particulière qu'elle porte à l'information dans le domaine de la justice
civile au travers de différentes actions parmi lesquelles la création récente
d'un nouveau site web consacré au " Réseau Judiciaire européen
" visant à donner aux citoyens des informations concrètes sur le
droit et les pratiques juridiques des différents Etats membres ainsi que
sur le droit communautaire et le droit international.
UNA
RELAZIONE VALUTA IL POTENZIALE DEL SER (SPAZIO EUROPEO DELLA RICERCA ) NEL
SETTORE DELLE SCIENZE UMANE E SOCIALI
Bruxelles, 19 maggio 2003 - I responsabili delle politiche relative allo
Spazio europeo della ricerca (Ser) devono evitare di adottare un approccio
"standardizzato" alla creazione di collegamenti fra i programmi di
ricerca nazionali ed europei, soprattutto nel settore delle scienze umane e
sociali: questa la conclusione alla quale è giunto un recente documento di
discussione della Commissione europea. Il documento, dal titolo
"Realizzazione del Ser nel settore delle scienze umane e sociali",
analizza il modo in cui le politiche di ricerca in quest'ambito vengono
elaborate e attuate, identificando le principali priorità in tali
discipline scientifiche sulle quali si potrebbero basare gli sforzi europei
volti a collegare i programmi nazionali. La pubblicazione sottolinea che in
passato la costruzione di una massa critica nel settore delle scienze umane
e sociali a livello comunitario si è rivelata un'impresa difficile, poiché
tali discipline sono profondamente radicate nelle infrastrutture degli Stati
membri. "Tradizionalmente, i fenomeni socioeconomici e politici sono
stati analizzati in ambito nazionale, pertanto il ritmo e la portata dello
sviluppo della ricerca collaborativa e del sostegno infrastrutturale a
livello europeo sono sempre stati inferiori a quelli delle scienze
naturali", recita la relazione. Tuttavia, precisa il documento, fin
dall'avvento dei programmi quadro comunitari, tale motivazione è stata
utilizzata per promuovere l'inserimento delle scienze sociali nei programmi
di mobilità della Commissione e per sviluppare azioni chiave di ricerca
incentrate sulle possibili strategie per lo sviluppo socioeconomico e
politico dell'Europa. Secondo la relazione, le autorità degli Stati membri
hanno reagito positivamente alle nuove opportunità di finanziamento a
livello europeo e hanno adeguato i loro regimi finanziari nazionali, al fine
di promuovere la dimensione europea. Nel contempo, grazie ai fondi
comunitari, sono state create numerose nuove reti e attività di
collaborazione fra istituti di ricerca accademici e non. Nonostante questi
progressi, sostiene il documento, per costruire un Ser efficace in tale
settore è importante riconoscere i diversi impatti dei finanziamenti
comunitari sui programmi di ricerca nazionali, nonché i differenti regimi
finanziari ed assetti istituzionali di ciascun paese. A tal fine, la
relazione individua cinque categorie di regimi nazionali di finanziamento
delle scienze umane e sociali, classificandole in funzione del loro
potenziale di "collegamento e apertura" nell'ambito del Ser.
Accanto a queste categorie, il documento definisce otto raggruppamenti di
programmi di ricerca mirata che offrono notevoli possibilità in termini di
coordinamento e creazione di sinergie fra gli Stati membri. Per divulgare
tali risultati, la relazione sottolinea la necessità di un dialogo più
strutturato fra i principali rappresentanti delle comunità di ricerca e le
agenzie nazionali di finanziamento. Esso, inoltre, rammenta ai responsabili
delle politiche che il compito più importante e complesso insito nello
sviluppo del Ser consiste nel reclutare e attirare i migliori ricercatori
provenienti dalle diverse comunità scientifiche nazionali.
AVRIL
2003 LE TAUX D'INFLATION ANNUEL DE LA ZONE EURO EN BAISSE A 2,1% LE TAUX DE
L'UE15 EN BAISSE A 1,9%
Bruxelles, le 19 mai 2003 - Le taux d'inflation annuel de la zone euro a
baissé de 2,4% en mars à 2,1% en avril1 2003, indique aujourd'hui Eurostat
l'Office statistique des Communautés européennes à Luxembourg. Un an
auparavant, le taux était de 2,3%. Le taux d'inflation annuel de l'UE15 en
baisse est passé de 2,3% en mars à 1,9% en avril 20032. Un an auparavant,
le taux était de 2,1%. Le taux d'inflation annuel de l'EEE était de 1,9%
en avril 20032. L'inflation dans les États membres En avril, les taux
annuels les plus élevés ont été enregistrés en Irlande (4,6%), au
Portugal (3,7%) et en Grèce (3,3%). Les taux les plus bas ont été relevés
en Allemagne (1,0%), en Autriche (1,2%) et en Finlande (1,3%). Par rapport
au mois de mars 2003, le taux d'inflation annuel a baissé dans treize États
membres et a augmenté uniquement en Italie. Par rapport au mois d'avril
2002, les baisses relatives les plus élevées ont été relevées en
Finlande (de 2,6% à 1,3%), aux Pays-Bas (de 4,2% à 2,5%) et en Allemagne
(de 1,5% à 1,0%); les hausses relatives les plus importantes ont été
observées au Luxembourg (de 1,9% à 3,0%), en Italie (de 2,5% à 3,0%) et
au Portugal (de 3,5% à 3,7%). Les taux moyens3 sur douze mois les plus bas,
incluant avril 2003 ont été enregistrés en Allemagne (1,1%), en Belgique
(1,3%), en Autriche et Finlande (1,7% chacun); les taux les plus élevés
ont été observés en Irlande (4,7%), au Portugal (3,8%), en Grèce et
Espagne (3,7% chacun). Les États-Unis et la Suisse L'inflation annuelle en
Suisse a baissé et est passée de 1,3% en mars à 0,7% en avril 2003. Les
données pour les États-Unis n'étaient pas disponibles à temps pour
publication. Ces indices ne sont pas strictement comparables avec les
indices harmonisés de l'UE.
Inflation annuelle en avril 2003 (en %) en ordre croissant
D
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A
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FIN
|
B
|
F
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UE15
|
Zone euro
|
S
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DK
|
NL
|
I
|
L
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E
|
EL
|
P
|
IRL
|
1,0
|
1,2p
|
1,3
|
1,4
|
1,9p
|
1,9p2
|
2,1p
|
2,3
|
2,5
|
2,5p
|
3,0p
|
3,0
|
3,2
|
3,3
|
3,7
|
4,6
|
ABI: ZADRA,
BENE SPAVENTA SU COMUNICAZIONE SEMPLICE "E' LA FILOSOFIA DEL NOSTRO
PROGETTO SU LISTA TITOLI A BASSO RISCHIO"
Roma, 19 maggio 2003 - "Siamo molto soddisfatti per le dichiarazioni
del Presidente della Consob". Così Giuseppe Zadra, Direttore generale
dell'Abi, sulla necessità di una comunicazione più semplice verso i
risparmiatori a proposito del collegamento rischio- rendimento degli
investimenti. "E' proprio la filosofia del nostro progetto sull'elenco
di titoli a basso rischio che abbiamo lanciato a Milano due mesi fa e che
sarà allo sportello tra qualche mese", ha detto Zadra. "L'elenco
comprenderà titoli pubblici e privati, italiani ed esteri, che hanno un
rating elevato. Così da aiutare i risparmiatori - ha proseguito il
Direttore generale dell'Abi - a individuare quegli investimenti il cui
rischio è sicuramente basso e a cui corrisponderà un rendimento in
proporzione.
BANCA POPOLARE
DI SONDRIO IMPORTANTE ACCORDO DI PORTATA INTERNAZIONALE CON PROMOS (CAMERA
DI COMMERCIO DI MILANO)
Sondrio, 19 maggio 2003 - Il presidente della Banca Popolare di Sondrio,
cavaliere del lavoro Piero Melazzini, e il presidente di Promos, Azienda
Speciale della Camera di Commercio Industria Artigianato e Agricoltura di
Milano, cavaliere del lavoro Bruno Ermolli, hanno sottoscritto, il 15 maggio
, un'importante convenzione pluriennale. Obiettivo comune di tale accordo è
l'assistenza alle imprese lombarde, soprattutto di piccole e medie
dimensioni, nell'operatività sui mercati esteri. In forza dell'intesa, la
"Popolare" beneficia, nell'interesse della propria clientela e per
svariate esigenze di carattere informativo e assistenziale, dell'efficiente
e collaudata struttura internazionale di Promos a oggi attiva nelle seguenti
piazze estere, dove il sistema imprenditoriale lombardo, e non solo, è
molto attivo e intende accrescere ulteriormente le relazioni commerciali:
Budapest (Ungheria), Città del Messico (Messico), Il Cairo (Egitto), Mosca
(Russia), Montevideo (Uruguay), Montreal (Canada), Mumbay (India), New York
(Usa), Pechino (Cina), Praga (Repubblica Ceca), San Paolo (Brasile), Tokyo
(Giappone), Varsavia (Polonia). Nella maggior parte dei predetti uffici è
presente pure la Regione Lombardia e in alcuni la Fiera di Milano. Quanto
alle opportunità operative a favore della clientela interessata ad ampliare
le proprie relazioni internazionali, l'accordo con Promos si propone di
agevolare i rapporti con istituzioni creditizie estere, ambasciate,
consolati; organizzare incontri d'affari; fornire approfondimenti e supporto
in occasione di eventi commerciali, fieristici e culturali; assistere
delegazioni; segnalare controparti; favorire la divulgazione di marchi
aziendali; provvedere ad altre esigenze di natura assistenziale di volta in
volta individuate. La disponibilità della rete estera di Promos si aggiunge
all'organizzazione territoriale che il Gruppo bancario Banca Popolare di
Sondrio possiede in ambito internazionale, soprattutto tramite la
controllata Banca Popolare di Sondrio (Suisse) SA, istituto di credito di
diritto svizzero con sede a Lugano, cui fanno capo, insieme alla
rappresentanza di Zurigo, 13 dipendenze a piena operatività: Bellinzona,
Chiasso, Locarno, Lugano e Lugano-Cassarate nel Canton Ticino; Castasegna,
Celerina, Coira, Saint Moritz e Poschiavo nel Canton Grigioni; Basilea; San
Gallo. Inoltre, Monaco (Monte-Carlo), nell'omonimo Principato. Il Gruppo
dispone pure di rappresentanze a Ginevra, in proprio, e a Hong Kong, con
altre Consorelle. L'intera struttura periferica della banca e il servizio
internazionale sono a completa disposizione della clientela relativamente
alle molteplici opportunità operative offerte dalla collaborazione con
Promos e con altre istituzioni attive sull'estero, quali Sintesi 2000
(ufficio di Hong Kong e analisi rischi), Cbe-Geie e Cbe Service (consulenza
e informativa in ambito comunitario), BEI - Banca Europea per gli
Investimenti (finanziamenti alle imprese), Simest (emanazione del Ministero
delle Attività Produttive per lo sviluppo e la promozione delle imprese
italiane all'estero), Sace (agenzia assicurativa per il commercio con
l'estero), Western Union (rimesse da e per l'estero).
GRUPPO MPS:
RISULTATI DEL PRIMO TRIMESTRE 2003 CONSISTENTE SVILUPPO DEI VOLUMI
OPERATIVI: FLUSSI COMMERCIALI +12,4% E MUTUI +27% UTILE NETTO A 131,6
MILIONI DI EURO; ROE AL 10,4%
Siena, 19 maggio 2003. Il Consiglio di Amministrazione della Banca Monte dei
Paschi di Siena SpA, presieduto dal Prof. Pier Luigi Fabrizi, ha approvato
il 15 maggio i risultati trimestrali al 31/03/2003 del Gruppo. In un
contesto operativo che ha visto confermate e in alcuni casi accentuate le
rilevanti criticità esogene emerse nel corso del 2001 e del 2002, gli
indirizzi operativi e gestionali del Gruppo Mps sono stati finalizzati ad
incidere sulla dinamica dei costi, ad assicurare una continuità alla
politica commerciale attuata nel 2002, nonchè a completare alcune
importanti operazioni di ristrutturazione societaria e a conseguire
ulteriori avanzamenti nel processo di implementazione delle principali
iniziative progettuali. I principali risultati consolidati Sotto il profilo
operativo e gestionale, pur in presenza di uno scenario di riferimento
particolarmente incerto, il Gruppo Mps ha conseguito risultati di rilievo
nel "core business" bancario (rappresentato dalle Aree Commerciale
Retail e Corporate), con dinamiche operative e reddituali in generalizzata
crescita sull'anno precedente. Sotto il profilo degli aggregati patrimoniali
si registra uno sviluppo ampiamente soddisfacente per quanto riguarda la
raccolta complessiva, che raggiunge una consistenza pari a 169.790 milioni
di euro (+0,6% rispetto all'anno precedente). Più in dettaglio, la raccolta
diretta cresce dell' 1,1% ( quota sul mercato domestico pari al 6,5%),
confermando il trend sostenuto delle obbligazioni, mentre rallenta la
dinamica della componente a vista. La raccolta indiretta si attesta a 92.700
milioni di euro (+0,3% su base annua) nonostante l'ulteriore calo degli
Indici Azionari nel primo trimestre (-8% circa). Al suo interno, il
risparmio gestito si colloca a 38.448 milioni di euro (-1,5% sull'anno
precedente) con flussi di collocamento concentrati su prodotti ad elevato
"embedded value" e a minor grado di rischio. In tale ambito si
evidenziano: 1.177 milioni di euro di premi assicurativi emessi (quota di
mercato sui flussi del sistema "bancassurance+poste" stimata
all'11,7%); 715 milioni di euro di Fondi Comuni/Sicav (quota di mercato sui
flussi pari all'8,3%) e 775 milioni di euro di prodotti finanziari
innovativi, ai quali si aggiungono circa 1,6 miliardi di euro di prodotti
destinati alla copertura rischi dei clienti "corporate". Le
Riserve Tecniche del comparto assicurativo registrano un incremento pari al
24,8%. Gli impieghi alla clientela (quota sul mercato domestico pari al
6,3%) presentano una crescita del 4,6% sul marzo 2002 ed un calo di 860
milioni di euro rispetto a fine anno concentrato, in linea con gli indirizzi
operativi orientati ad un contenimento dei rischi e degli assorbimenti
patrimoniali, sulla componente a breve termine. La componente a medio lungo
termine si è infatti mantenuta su ritmi di crescita più sostenuti (quota
di mercato al 7%), spinta dalle erogazioni dei mutui retail e corporate che
hanno raggiunto livelli di assoluto rilievo (circa 1.335 milioni di euro
contro 1.051 milioni di euro del primo trimestre 2002), nonchà(c) dallo
sviluppo dei volumi di "nuova produzione" dell'attività
creditizia specializzata. L'incidenza dei crediti in sofferenza ed incaglio
si è attestata al 3.3% (3.2% a fine 2002) e il rapporto sofferenze
nette/crediti vs. clientela si è confermato sui livelli di fine anno (1.5%)
e ben al di sotto del valore di Sistema (stimato al 2,2%). Altrettanto
dicasi per il rapporto sofferenze lorde/crediti vs clientela pari al 2,7%,
rispetto al 4,6% stimato per il Sistema. Il rallentamento impresso alla
dinamica degli assorbimenti patrimoniali per rischi di credito e di mercato
ha inoltre consentito di conseguire un "Tier 1 ratio" (comprensivo
dell'utile patrimonializzato) stimato al 6%. Sotto il profilo degli
aggregati reddituali: · Il margine d'interesse presenta una crescita di
47,7 milioni di euro (+8,2% sull'anno precedente, +0,6% sul trimestre
precedente, +7,1% rispetto al valore trimestrale medio del 2002) da
ricondursi soprattutto alla buona tenuta degli spread a breve,
all'espansione delle masse intermediate, nonchà(c) all'apporto delle
politiche di Alm. Dalla disaggregazione per Unità di Business si evidenzia
il risultato delle società del credito specializzato, con crescite
superiori al 17%. · Il margine da servizi si attesta a 511,2 milioni di
euro, con una dinamica rispetto all'anno precedente che si attesta al -10,5%
depurando dalla base 2002 i ricavi provenienti dalla cartolarizzazione di
crediti performing effettuata nel primo trimestre dello scorso esercizio.
Tale dinamica assorbe profitti da operazioni finanziarie per 105,6 milioni
di euro (in crescita del 6,5% rispetto al 2002) e Utili delle società
valutate a patrimonio netto (12,6 milioni di euro, +2,9 milioni di euro
rispetto al 2002), al cui interno spicca il contributo dell'area
assicurativa, con i risultati del Gruppo MontepaschiVita in crescita
dell'82%. Le commissioni clientela (pari a 342 milioni di euro, -13,9%
sull'anno precedente) assorbono il negativo "effetto performance"
che ha interessato il valore degli asset gestiti per conto della clientela
(il calo anno su anno degli Indici Azionari è stato superiore al 30%), la
contrazione nel turnover dei portafogli azionari, nonchà(c) il progressivo
spostamento dei risparmiatori verso investimenti liquidi e/o a rischio
contenuto (effetti, questi, che hanno ovviamente interessato in misura
maggiore il comparto Retail). In relazione a quanto sopra il margine di
intermediazione raggiunge 1.139,9 milioni di euro (-4% rispetto alla media
dei trimestri del passato esercizio). Le spese amministrative si attestano a
726,1 milioni di euro, evidenziando un calo del 3,6% rispetto al IV°
trimestre 2002 ed una stabilità sul valore medio trimestrale del 2002. In
particolare, la componente "altre spese" registra un decremento
dell'1,8% sul valore trimestrale medio del 2002 ed una decelerazione
rispetto alla crescita del primo trimestre 2002, grazie alle incisive azioni
di contenimento strutturale avviate nell'esercizio precedente, che
dovrebbero portare ad un ulteriore riduzione della dinamica in corso d'anno.
I costi di personale presentano al 31/03/2003 un livello assoluto (449
milioni di euro) inferiore (-8,3 milioni di euro) a quello del IV°
trimestre 2002 ed in linea con il percorso prefigurato nel budget. Operando
il confronto con il valore trimestrale medio del 2002, si registra un
incremento dello 0,9%. Il risultato lordo di gestione si porta pertanto a
413,8 milioni di euro (-10,2% sul valore trimestrale medio del 2002). Il
Cost/income (senza ammortamenti) risulta pari al 55% escludendo l'incidenza
del comparto Riscossione Tributi (quest'ultimo condizionato da eventi
esterni alla dinamica gestionale) e delle società in Start-up e al 63,7%
includendo anche tali Unità di Business. In particolare, focalizzando
l'attenzione sui risultati dell'Area Commerciale (Retail+Corporate), si
evidenzia una dinamica positiva (superiore al 5%) per quanto riguarda il
Risultato Operativo, grazie a costi sostanzialmente stabili e ad un margine
d'intermediazione che registra un aumento di poco inferiore al 5%.
Quest'ultimo beneficia dello sviluppo delle masse intermediate e della
tenuta degli spread (margine d'interesse +11%) nonchà(c) di positivi volumi
di collocamento di prodotti di risparmio (+12,4% sull'anno precedente) che
hanno consentito di contenere la flessione delle commissioni clientela. Alla
formazione del risultato delle attività ordinarie (che cresce dell'1,6%
rispetto alla media dei trimestri 2002), concorrono tra l'altro rettifiche
di valore su immobilizzazioni immateriali e materiali per 76,8 milioni di
euro (+4,7% rispetto al +15,4% del 2002). A queste si aggiungono rettifiche
nette di valore su crediti per 98,3 milioni di euro (+37,9 milioni di euro
rispetto al 31/3/02, ma inferiori alla media dei trimestri 2002) che
riflettono la tradizionale politica improntata a particolare prudenza,
soprattutto in relazione all'attuale fase congiunturale. Tale politica ha
consentito di rafforzare ulteriormente i presidi specifici a copertura delle
sofferenze (incrementando, in un trimestre, dal 45% al 45,5% l'incidenza dei
dubbi esiti), nonchà(c) quelli generici sugli impieghi "in bonis"
(pari allo 0,92%), che si pongono ai vertici del Sistema Bancario.
Includendo tali riserve, la copertura totale delle sofferenze raggiunge
quasi l'80%. Hanno contribuito infine al risultato di periodo anche il saldo
della gestione straordinaria, una fiscalità che ha beneficiato anche dei
positivi effetti strutturali connessi alle recenti operazioni di fusione
infragruppo ("tax rate" consolidato al 39%), nonchà(c) il calo
dell'utile di pertinenza di terzi (sempre per effetto delle suddette
operazioni). L'utile netto consolidato di periodo si attesta quindi a 131,6
milioni di euro, in linea con il "consensus" di mercato (-10%
rispetto alla media dei trimestri dell'anno precedente); il ROE di periodo
annualizzato si attesta al 10,4% dal 12,1% del 31/12/02. Escludendo i
risultati del comparto esattoriale e delle società in start-up, il Roe si
avvicina al 14%. Le iniziative gestionali di rilievo Nel corso del primo
trimestre 2003 è continuato il programma di sviluppo dei progetti
strategici avviati nello scorso esercizio e volti a dare attuazione al Piano
Industriale 2002-2005. In particolare, per quanto riguarda le iniziative in
termini di piattaforme commerciali e di innovazione di prodotto è
proseguito il programma di diversificazione e arricchimento dell'offerta con
il duplice obiettivo di migliorare la capacità di servizio nei confronti
della clientela e valorizzarne il potenziale ancora inespresso. Per quanto
riguarda l'ottimizzazione del rischio di credito, è in fase di avanzata
esecuzione la revisione dei processi di erogazione e di gestione andamentale
al fine di rafforzare l'efficacia e l'efficienza del governo del rischio.
Circa il miglioramento dell'efficienza gestionale è continuata l'attuazione
di una serie di progetti (ottimizzazione dei processi di rete, revisione e
ridimensionamento delle strutture organizzative centrali delle banche
commerciali, rafforzamento dei back office, ecc.) che permetteranno una
maggiore efficienza operativa e la liberazione di risorse da destinare
all'attività commerciale. Sempre nel trimestre è proseguito il programma
di razionalizzazione dell'assetto complessivo del Gruppo con il
perfezionamento della fusione per incorporazione di Banca Agricola Mantovana
e di Banca Toscana ed il contestuale scorporo delle attività bancarie in
due newco bancarie non quotate, totalmente controllate da Bmps che
continueranno a svolgere le tradizionali attività di intermediazione
creditizia delle due banche originali conservandone i rispettivi
marchi.
JULIUS BAER
CREVAL PRIVATE BANKING S.P.A. ENTRA IN FASE OPERATIVA CON IL VIA LIBERA
DELLA BANCA D'ITALIA E LA NOMINA DEL DIRETTORE GENERALE
Milano, 19 maggio 2003 --- Julius Baer Creval Private Banking S.p.A., società
in joint venture tra il Gruppo Julius Baer ed il Gruppo Bancario Credito
Valtellinese, costituita nel novembre 2002 per offrire servizi di Private
Banking di alto profilo qualitativo alla clientela italiana, ha ottenuto in
meno di due mesi dalla presentazione formale della domanda l'autorizzazione
della Banca d'Italia all'avvio delle sue attività ed ha nominato Maurizio
Sella, Direttore Generale. Maurizio Sella, italiano, laureato in economia e
commercio all'Università di Roma, ha svolto gran parte della sua carriera
nelle principali piazze finanziarie mondiali, ricoprendo incarichi di
rilievo nell'ambito di attività di Private Banking di primarie istituzioni
bancarie internazionali. Dal 2002 ad oggi è stato in Banque Julius Baer
& Cie. SA di Ginevra. Come Direttore Generale della Julius Baer Creval
Private Banking S.p.A., Maurizio Sella guiderà una società progettata per
operare con la massima agilità ed efficienza, facendo leva sulla
combinazione tra la lunga tradizione di Julius Baer nei rapporti con la
clientela privata e la rete di distribuzione e l'infrastruttura
amministrativa del Gruppo Creval. La gestione patrimoniale - esclusivamente
dedicata alla clientela privata. - sarà orientata principalmente a fornire
un approccio dinamico e strategie indipendenti. La struttura sarà
inizialmente composta da 10 professionisti della consulenza finanziaria e
della gestione patrimoniale. L'avvio dell'attività è previsto per il 1°
giugno 2003. La sede è Milano. Le quote del capitale azionario della Julius
Baer Creval Private Banking S.p.A., di Euro 15 milioni, verranno detenute
per il 51% da Julius Baer e per il 49% dal Credito Valtellinese. Il
Consiglio di Amministrazione della società è composto da Giovanni De Censi
(Presidente), Thomas Baer (Vice Presidente), Renato Bartesaghi, Raymond Baer,
Miro Fiordi, Filippo La Scala (Consiglieri).
LA PROVINCIA DI
VERONA HA CONFERITO A DEXIA CREDIOP L'INCARICO PER IL COLLOCAMENTO DI
BOP
Verona, 19 maggio 2003 - La Provincia di Verona ha conferito a Dexia Crediop
l'incarico per il collocamento di Prestiti Obbligazionari Provinciali (B.O.P.)
per 80 milioni di Euro da emettersi entro il 31 dicembre 2004. Dexia Crediop
- la Banca d'affari leader in Italia per la finanza pubblica e di progetto e
parte di un gruppo internazionale quotato a Bruxelles, Parigi e Lussemburgo,
ha ottenuto dalla Provincia di Verona l'incarico per l'organizzazione, la
strutturazione e il collocamento di un prestito obbligazionario di 80
milioni di Euro. Le obbligazioni verranno sottoscritte "a fermo"
da Dexia, al fine di assicurare alla Provincia un introito immediato che
consentirà all'Ente di proseguire nel piano degli investimenti finalizzati
al completamento delle importanti opere pubbliche già avviate e alla
realizzazione di ulteriori importanti interventi tra cui edifici scolastici,
miglioramento della viabilità provinciale e consolidamento del patrimonio
provinciale. Il collocamento avverrà in più tranches, avrà una durata di
15, 20 o 25 anni, a scelta della Provincia con riferimento a ciascuna
tranche, e sarà rimborsato in rate semestrali ad un tasso parametrato all'Euribor
o a tasso fisso. La Provincia di Verona è stata la prima in Italia, nel
1997, ad utilizzare questo strumento finanziario con l'assistenza di Dexia
Crediop, che ha continuato fino ad oggi ad affiancare l'ente nella
valutazione delle migliori opportunità di finanziamento e
nell'implementazione delle soluzioni concordate. "Dexia Crediop" -
ha commentato il Vice Direttore Generale Riccardo Massa - "fornirà
l'assistenza tecnica e finanziaria necessaria all'emissione. La Banca grazie
alla propria expertise, ai servizi consulenziali ad elevato valore aggiunto
ed ai prodotti finanziari studiati appositamente per soddisfare ogni singola
esigenza, è in grado di proporre agli enti territoriali condizioni
economiche di estremo interesse". "La Provincia di Verona - ha
commentato il Vice Presidente e Assessore al Bilancio Antonio Pastorello -
ha ricercato un interlocutore finanziario di provata esperienza nel campo
delle emissioni obbligazionarie degli enti locali territoriali italiani, che
fosse in grado di offrire tempi di sottoscrizione estremamente brevi, di
proporre condizioni finanziarie di sottoscrizione competitive, con
particolare riguardo a quelle relative alle emissioni obbligazionarie
ventennali e con una serie di servizi accessori senza alcun onere a carico
dell'Ente. L'importo di 80 milioni di euro rappresenta l'attuale stima del
fabbisogno di indebitamento dell'Ente da oggi alla fine dell'esercizio 2004,
per il proseguimento ed il definitivo completamento del proprio programma
lavori pubblici e dei connessi investimenti, ma l'Ente si è riservato la
facoltà di utilizzare tale disponibilità a propria discrezione e con
modalità (tasso fisso o variabile) e durate (fino a 25 anni) da definire di
volta in volta. A titolo di esempio, se oggi venisse emesso un prestito
obbligazionario di durata ventennale, a tasso variabile, la prima cedola (parametrata
al tasso euribor a sei mesi) verrebbe conteggiata ad un tasso di interesse
del 2,479%, senza tenere conto dell'ulteriore beneficio fiscale derivante
dalla retrocessione del 50% della tassazione fiscale. In ogni caso, la
Provincia di Verona, nell'intento di razionalizzare per quanto più
possibile la propria situazione finanziaria, segue da tempo l'evoluzione
degli strumenti finanziari disponibili sul mercato. La scelta dello
strumento del prestito obbligazionario lascia comunque aperta la possibilità
di verificare e valutare nuove opportunità che il mercato dovesse proporre
in futuro. L'Ente consolida la partnership con Dexia Crediop che già ha
permesso negli scorsi anni lusinghieri risultati". Con questa
operazione Dexia Crediop continua a consolidare la sua già forte presenza
nel Nord Est, territorio in cui opera da protagonista nelle aree di Verona,
Vicenza, Venezia e Padova, con operazioni aggiudicate nel 2002 per un valore
complessivo di circa 1.180 milioni di Euro che comprendono la realizzazione
di numerose opere pubbliche. Dexia Crediop, con mezzi patrimoniali
complessivi superiori a 950 milioni di Euro, è l'interlocutore finanziario
principale delle istituzioni pubbliche, di enti territoriali e aziende di
servizi pubblici per il finanziamento di opere di infrastrutture, per
l'emissione di obbligazioni di enti territoriali, per operazioni di
ingegneria finanziaria e di finanza strutturata, per l'asset management, per
il project financing, per la consulenza e l'assistenza in processi di
privatizzazione e ristrutturazione.Il Banco Popolare di Verona e Novara
partecipa, unitamente ad altre Banche Popolari, al capitale della
Banca.
SELLA ADVICE
TRADING: NUOVO SERVIZIO SUL FIB30
Ivrea, 19 maggio 2003 - E' attivo il nuovo servizio di informativa
finanziaria 'Segnali Fib30 Infraday' che permette di ricevere segnali
operativi sullo strumento finanzario derivato Fib30. L'aggiornamento è
quotidiano: nei giorni lavorativi di Borsa aperta verrà inviato dalle 9.25
alle 9.45 e dalle 15.20 alle 15.40. Inoltre, nella fascia oraria che va
dalle 10.45 alle 11.15, saranno fornite strategie operative più veloci
denominate 'Segnali Fib30 Scalping'. Il nuovo servizio si affianca al
servizio 'Segnali Titoli Italia", già disponibile da Giugno 2002 con
Sella Advice Trading, la piattaforma che offre strategie operative
apprezzate dai trader. Quest'ultimo consente di ricevere segnali operativi
sui principali titoli azionari quotati sulla Borsa italiana ed appartenenti
al segmento di mercato a più elevata capitalizzazione (Blue chips).
L'aggiornamento è quotidiano. Entrambi i servizi prevedono un primo mese a
canone zero; successivamente il costo mensile è rispettivamente di 75 euro
per i segnali sul Fib30 e 15 euro per i segnali sui Titoli azionari
italiani. Ulteriori informazioni sul sito trading.sella.it, al numero verde
800.142.142 e in tutte le succursali Banca Sella.
GEMINA APPROVA
IL BILANCIO 2002: UTILE ANTE IMPOSTE DI 0,5 MILIONI DI EURO E UN RISULTATO
NETTO NEGATIVO DI 5,4 MILIONI DI EURO (UTILE NETTO DI 3,1 MILIONI DI EURO AL
31 DICEMBRE 2001)
Milano, 19 maggio 2003 - L'Assemblea degli azionisti di Gemina si è riunita
il 13 maggio in seconda convocazione in sede ordinaria sotto la Presidenza
di Gian Luigi Garrino. L'Assemblea ha approvato il bilancio di esercizio
della Capogruppo al 31 dicembre 2002 che presenta un utile ante imposte di
0,5 milioni di Euro e un risultato netto negativo di 5,4 milioni di Euro
(utile netto di 3,1 milioni di Euro al 31 dicembre 2001); non è stata
deliberata la distribuzione di alcun dividendo. All'Assemblea è stato
altresì presentato il bilancio consolidato di Gruppo che evidenzia un utile
netto di 51 milioni di Euro (risultato netto negativo per 29,2 milioni di
Euro al 31 dicembre 2001). L'Assemblea ha inoltre provveduto ad integrare il
Consiglio di Amministrazione, nominando nella carica di Amministratore il
Dr. Guido Angiolini, a rinnovare il Collegio Sindacale e ad autorizzare
l'acquisto e l'alienazione di massime n. 16.000.000 di azioni proprie, anche
da destinare, fino a massime n. 8.000.000, al piano di stock option in
essere a favore di amministratori e dirigenti della Società.
IFIL: RINNOVATA
L'AUTORIZZAZIONE ALL'ACQUISTO DI 44 MILIONI DI AZIONI PROPRIE, ORDINARIE E/O
DI RISPARMIO, PER MASSIMI € 300 MILIONI. CONFERITO L'INCARICO DI REVISIONE
CONTABILE PER IL TRIENNIO 2003/2005 A DELOITTE & TOUCHE ITALIA S.P.A.
Torino, 19 maggio 2003 - L'Assemblea degli Azionisti dell'Ifil, riunitasi il
14 maggio a Torino sotto la Presidenza di Gianluigi Gabetti, ha approvato in
sede ordinaria il bilancio di esercizio al 31 dicembre 2002, che, come già
comunicato in precedenza, si è chiuso con una perdita di € 516,4 milioni;
pertanto non sono stati deliberati dividendi. L'Assemblea ha rinnovato
l'autorizzazione all'acquisto di massime n. 44 milioni di azioni proprie,
ordinarie e/o di risparmio, per massimi € 300 milioni. Inoltre l'Assemblea
ha conferito l'incarico di revisione contabile per il triennio 2003/2005
alla Deloitte & Touche Italia S.p.A. In sede straordinaria, l'Assemblea
ha rinnovato l'attribuzione della delega agli Amministratori per aumentare
in una o più volte, anche in forma scindibile, il capitale sociale fino ad
un ammontare di nominali € 1.500 milioni e per emettere, in una o più
volte, obbligazioni, anche convertibili, fino allo stesso ammontare ma per
un importo che non ecceda i limiti fissati, di volta in volta, dalla legge.
Nella stessa giornata odierna, sotto la presidenza di Gianluigi Gabetti, si
è inoltre riunito il Consiglio di Amministrazione dell'Ifil, per esaminare
i risultati consolidati del primo trimestre 2003 (periodo anteriore alla
realizzazione del Progetto di Riassetto, che è stato eseguito in
aprilemaggio). Il primo trimestre 2003 evidenzia una perdita consolidata del
Gruppo Ifil di € 75 milioni (contro un utile di € 6,5 milioni del primo
trimestre del 2002). Tale risultato deriva sostanzialmente dalla quota di
pertinenza della perdita del Gruppo Fiat (€ 74,1 milioni), solo
parzialmente bilanciata dal risultato del Gruppo Worms & Cie. che,
nonostante le minori plusvalenze su cessioni rispetto al 2002, contribuisce
positivamente per € 23,9 milioni. Buono l'andamento delle vendite del
Gruppo Rinascente, che nei primi tre mesi dell'anno sono aumentate dell'8,5%
rispetto allo stesso periodo del 2002, pur facendo registrare, come di
consueto per la stagionalità tipica del settore, un risultato negativo di
competenza Ifil di € 7,1 milioni. Anche le attività nel settore
turistico, che fanno capo al Gruppo Nht, nonostante la situazione
geopolitica internazionale, mostrano segnali di ripresa (+30% del fatturato
rispetto all'esercizio precedente), pur facendo registrare, a causa
dell'andamento fortemente stagionale del settore, un risultato di competenza
Ifil negativo per € 7,9 milioni. Il patrimonio netto del Gruppo Ifil al 31
marzo 2003 ammonta a € 2.587,5 milioni, in calo rispetto al 31 dicembre
2002 (€ 2.708,1 milioni). La posizione finanziaria netta consolidata del
"sistema holdings" evidenzia, a fine marzo 2003, un saldo negativo
di € 513 milioni (al 31 dicembre 2002 era negativa per € 484,4 milioni).
Con l'approvazione del Progetto di Riassetto da parte dell'Assemblea dei
soci del 23 aprile scorso, sono state conferite in Ifil le partecipazioni già
detenute dall'Ifi in Fiat S.p.A. (17,99% del capitale ordinario e 18,96% del
capitale privilegiato), Sanpaolo Imi (1,13% del capitale ordinario),
Juventus Football Club (62,01%) e Soiem (50,1%). Inoltre il 12 maggio 2003
si è conclusa l'operazione di conversione delle azioni di risparmio Ifil in
azioni ordinarie. Sulla base dei risultati preliminari comunicati da Monte
Titoli la conversione ha interessato 266.335.609 azioni, pari all'87,69% del
capitale di risparmio Ifil, convertite in 226.385.269 azioni ordinarie. Per
quanto riguarda l'esercizio 2003 della capogruppo Ifil S.p.A., sulla base
dei dati oggi disponibili, è prevedibile un risultato positivo. A livello
di bilancio consolidato, la persistente congiuntura internazionale negativa
rende difficile avanzare previsioni sul risultato dell'esercizio in corso.
Tuttavia gli sforzi messi in atto per il rilancio della Fiat e l'equilibrato
portafoglio delle partecipazioni dell'Ifil - per meno di un terzo
concentrato sul settore automotive e per oltre due terzi diversificato -
costituiscono valide premesse per una ripresa della crescita del Gruppo. A
favorire questa prospettiva di sviluppo contribuirà inoltre il nuovo
assetto della società: Ifil potrà contare su una maggiore solidità
patrimoniale e svolgere pienamente il suo ruolo di holding operativa del
Gruppo. Il Consiglio di Amministrazione, successivamente all'Assemblea, ha
preso atto delle dimissioni di Guglielmo Isoardi dalla carica di
amministratore della Società e lo ha calorosamente ringraziato per il suo
prezioso contributo allo sviluppo dell'Ifil. Il Consiglio ha quindi cooptato
Giuseppe Recchi, dopo averne verificato i requisiti di indipendenza secondo
il codice di autodisciplina delle società quotate.
FINMECCANICA-
L' ASSEMBLEA APPROVA BILANCIO 2002 UTILE NETTO DI 203 MILIONI DI EURO,
RISPETTO AI 188 MILIONI DI EURO DI UTILE DEL 2001
Roma 19 maggio 2003: L'Assemblea degli Azionisti Finmeccanica SpA si è
riunita il 16 maggio a Roma in data odierna. In sede ordinaria l'Assemblea
ha approvato il bilancio della Società per l'esercizio 2002 ed ha preso
visione del Bilancio Consolidato. Il bilancio ha evidenziato risultati
consolidati positivi ed in crescita rispetto a quelli registrati
nell'esercizio 2001. Inoltre l'Assemblea ha apprezzato sia la politica di
consolidamento nel settore Aerospazio e Difesa portata avanti da
Finmeccanica, che si è concretizzata nel corso del 2002 in investimenti per
circa un miliardo di Euro per ampliare e rafforzare specifici segmenti di
business, sia l'attuazione della nuova organizzazione della capogruppo e
delle aziende controllate messa in opera durante il 2002 con l'obiettivo di
ottenere il miglioramento dei processi gestionali, di sfruttamento delle
sinergie e di razionalizzazione delle attività. Principali dati economici e
patrimoniali Utile netto di 203 milioni di Euro, rispetto ai 188 milioni di
Euro di utile del 2001 (+8%). Il risultato comprende il contributo di ST
Microelectronics (79 milioni di Euro rispetto a 53 milioni del 2001),
pertanto l'utile netto generato dalle attività di Finmeccanica risulta pari
a 124 milioni di Euro rispetto a 135 nel 2001. Utile netto di pertinenza
della capogruppo (escluso il contributo di Stm) 120 milioni di Euro rispetto
a 159 milioni nel 2001. Valore della produzione 7.758 milioni di Euro
(+15%). Risultato operativo prima degli ammortamenti (Ebitda) 698 milioni di
Euro (+9%). Risultato operativo ante ammortamenti dell'avviamento (Ebita)
502 milioni di Euro (+12%), sostanzialmente stabile rispetto al 2001 in
termini di incidenza sul valore della produzione (dal 6,6% al 6,5%).
Risultato operativo (Ebit) 441 milioni di Euro (+7%). Ordini per 8.694
milioni di Euro (+24%); portafoglio ordini a fine 2002 pari a 21.708 milioni
di Euro (+2.137 milioni rispetto al 2001) Indebitamento finanziario netto al
31.12.2002 pari a 249 milioni di Euro. L'Assemblea ha approvato la
destinazione dell'utile come segue: 9,9 milioni di Euro, pari al 5% del
totale, a riserva L'Assemblea ha inoltre approvato di(legale; 189,9 milioni
di Euro, a nuovo. destinare, utilizzando gli "utili portati a
nuovo" degli esercizi precedenti, 84,2 milioni di Euro, come dividendo
agli attuali azionisti (1 cent di Euro per ciascuna delle 8.425.802.723
azioni rappresentanti il capitale sociale). L'assemblea ordinaria degli
azionisti ha altresì nominato il nuovo Consiglio di Amministrazione che
rimarrà in carica fino all'approvazione del bilancio relativo all'esercizio
2005, dopo aver determinato in 11 il numero dei suoi componenti, designando
i Signori: Pier Franceso Guarguaglini, Roberto Testore, Lorenzo Bini Smaghi,
Sergio Maria Carbone, Maurizio de Tilla, Gian Luigi Lombardi Cerri,
Francesco Mazzuca, Ernesto Monti, Massimo Pini, Giovanni Battista Pittaluga
e Franco Reviglio. L'assemblea ha inoltre nominato l'ing. Guarguaglini
presidente del Consiglio di Amministrazione della Società. L'Assemblea ha
provveduto inoltre a definire i relativi emolumenti. L'Assemblea ha anche
nominato Sindaci Effettivi per il triennio 2003-2005 i Signori Giorgio Cumin,
Francesco Forchielli, Luigi Gaspari e Antonio Tamborrino e Sindaci Supplenti
i Signori Gaetano de Gregorio e Piero Santoni. Il Ministro dell'Economia e
delle Finanze d'intesa con il Ministro delle Attività Produttive
nell'ambito dei suddetti poteri speciali, ha nominato Sindaco Effettivo
l'Avv. Domenico Piacenza che assume anche la carica di Presidente del
Collegio Sindacale per il triennio. L'Assemblea ha provveduto inoltre a
definire i relativi emolumenti. La medesima assemblea ha inoltre deliberato
il conferimento, per il triennio 2003-2005, dell'incarico di revisione
contabile, ai sensi degli artt. 155 ss del D. Lgs. N. 58/1998 nonché di
revisione contabile limitata della relazione semestrale alla Società
PriceWaterhouseCoopers S.p.A. In relazione all'attuazione di un nuovo Piano
di Incentivazione a Lungo Termine per dirigenti, amministratori e
collaboratori della Società e delle sue controllate, in sostituzione
dell'attuale Piano, che prevede l'assegnazione di diritti di
sottoscrizione/acquisto di azioni ordinarie Finmeccanica fino ad un massimo
complessivo di n. 150.000.000 di azioni ordinarie, l'Assemblea ordinaria ha
autorizzato l'acquisto, in una o più volte e per un periodo di 18 mesi a
partire dalla data odierna, di massime n. 146.130.000 azioni ordinarie
Finmeccanica ad un corrispettivo minimo per azione ordinaria di € 0,22,
pari al valore nominale, e massimo per azione di € 0,90, cui si aggiungono
le n. 3.870.000 azioni proprie già detenute. Sempre con riferimento al
citato nuovo Piano di incentivazione l'Assemblea degli azionisti, nella
parte straordinaria, ha deliberato - previa revoca della facoltà di
aumentare il capitale sociale, per la parte non ancora esercitata,
attribuita al Consiglio di Amministrazione dall'Assemblea del 23 novembre
1999 in relazione al precedente Piano - di delegare al Consiglio la facoltà,
esercitatile entro 5 anni dalla data odierna, di aumentare a pagamento, in
una o più volte, il capitale sociale per un importo massimo di nominali €
33.000.000, mediante emissione di massime n. 150.000.000 di azioni ordinarie
del valore nominale di € 0,22 cadauna, godimento regolare da riservare in
sottoscrizione a dirigenti della Società e delle sue controllate. Il prezzo
di sottoscrizione sarà fissato in misura pari al valore medio della
quotazione del mese borsistico anteriore alla data di assegnazione delle
opzioni di cui sopra. L'Assemblea straordinaria ha deliberato infine, in
relazione ad eventuali fabbisogni finanziari del Gruppo, di attribuire al
Consiglio di Amministrazione la facoltà di emettere, entro il limite di 3
anni, in una o più volte, obbligazioni non convertibili, fino ad un
ammontare complessivo massimo di € 1,8 miliardi e comunque non eccedente
il capitale sociale della Società, nei limiti di volta in volta consentiti
dalla legge, determinandone modalità, termini, condizioni e relativo
regolamento. Al termine dell'Assemblea il nuovo Consiglio di Amministrazione
si è riunito per il conferimento delle cariche e dei relativi poteri
nominando l'Ing. Pier Francesco Guarguaglini, già nominato dall'Assemblea
Presidente, anche Amministratore Delegato e l'Ing. Roberto Testore
Amministratore Delegato e Direttore Generale, conferendo agli stessi le
deleghe già in atto.
FINMECCANICA:
NOMINATI I RAPPRESENTANTI DELLA GOLDEN SHARE IN CDA E COLLEGIO
SINDACALE
Roma, 19 maggio 2003 - Il Ministero dell'Economia e delle Finanze comunica
che, d'intesa con il Ministero delle Attività Produttive, sono stati
nominati i rappresentati per i poteri speciali (c.d. golden share) in
Finmeccanica SpA. Per quanto riguarda il Consiglio di Amministrazione i
rappresentanti sono: 1. Giovanni Castellaneta, consigliere diplomatico
presso la Presidenza del Consiglio dei Ministri; 2. Paolo Ruta, direttore
generale di Enisud SpA; 3. Dario Scannapieco, dirigente generale del
Ministero dell'Economia e delle Finanze. Per quanto riguarda il Collegio
Sindacale, è stato confermato Domenico Piacenza che assumerà il ruolo di
Presidente.
RECORDATI: NEL
PRIMO TRIMESTRE 2003 RISULTATI IN LINEA CON QUELLI DEL 2002
Milano, 19 maggio 2003 - I risultati economici del primo trimestre 2003 sono
sostanzialmente in linea con quelli dello stesso periodo dell'anno
precedente. Le vendite consolidate sono state pari a € 126,9 milioni
rispetto a € 129,3 milioni realizzati nei primi tre mesi del 2002. Quelle
del settore farmaceutico sono cresciute da € 107,6 milioni a € 109,5
milioni grazie all'incremento dei volumi che ha più che compensato la
riduzione dei prezzi, particolarmente rilevante nel primo trimestre di
quest'anno. Le vendite di lercanidipina, farmaco antiipertensivo frutto
della nostra ricerca originale, sono cresciute del 12,2%. Le vendite del
settore chimica farmaceutica hanno segnato una significativa flessione
(-19,8%) per alcune scelte sul portafoglio prodotti in un quadro complessivo
che resta estremamente competitivo. L'Ebitda, pari al 19,9% delle vendite,
è passato da € 27,6 milioni a € 25,2 milioni (-8,7%). L'Ebitda del
settore farmaceutico è allineato a quello dell'anno precedente ed è pari
al 20,9% delle vendite nette. Quello della chimica farmaceutica, pari
all'11,3% delle vendite, risente anche di un effetto cambio negativo per
effetto del continuo apprezzamento dell'euro contro dollaro. L'utile
operativo, pari al 14,3% delle vendite, è stato di € 18,2 milioni in
linea con quello dello stesso periodo dell'anno precedente. L'utile netto,
pari al 7,8% delle vendite, è stato di € 9,9 milioni allineato a quello
del 2002. La situazione patrimoniale è migliorata rispetto al 31 dicembre
2002 grazie al cash flow generato dalla gestione. L'indebitamento netto al
31 marzo si è ridotto a € 30,2 milioni e il patrimonio netto ha raggiunto
€ 233,5 milioni. Nel corso del primo trimestre la società Il Consiglio ha
esaminato la situazione relativa al settore della chimica farmaceutica e ha
deliberato affinchè vengano valutate le prospettive e messe in atto le
iniziative sia di tipo operativo che strutturale ritenute più idonee. Il
Consiglio ha anche approvato due nuovi piani di stock option relativi al top
management ed al management aziendale e ha deliberato, nell'ambito di tali
piani, di attribuire opzioni per la sottoscrizione di complessive nuove
475.500 azioni ordinarie. Al servizio di tali attribuzioni il Consiglio ha
deliberato un aumento di capitale per massimi € 237.750 mediante emissione
di massime nuove 475.500 azioni da nominali € 0,50 ciascuna a valere sulla
delega attribuita dall'Assemblea degli Azionisti del 10 aprile 2002.
GRUPPO TARGETTI:
POSITIVI I RISULTATI DEL 1° TRIMESTRE 2003: UTILE ANTE IMPOSTE CONSOLIDATO:
1,2 MILIONI DI EURO (+7,5%) RISULTATO OPERATIVO CONSOLIDATO (EBIT): 1,8
MILIONI DI EURO (+5,3%)
Firenze, 19 maggio 2003 - Il Consiglio di Amministrazione di Targetti Sankey
S.p.A., riunitosi il 14 maggio a Firenze, ha approvato i risultati
consolidati del primo trimestre 2003. Nonostante la debolezza congiunturale
che ha caratterizzato la domanda nel settore dell'illuminazione, il Gruppo
Targetti ha fatto registrare nel trimestre un andamento positivo. I
principali risultati consolidati al 31/3/2003 Al 31 marzo 2003, l'utile ante
imposte ha fatto registrare una crescita del 7,5% raggiungendo 1,23 milioni
di euro, a fronte di 1,14 milioni di euro del 2002. Tale risultato è
particolarmente soddisfacente anche in relazione al fatto che il 2002 - anno
che si è chiuso con un bilancio record per Targetti - era stato
caratterizzato da un andamento particolarmente positivo. Il fatturato al 31
marzo 2003 è stato pari a 31,17 milioni di euro, pressoché invariato
rispetto ai 31,26 milioni di euro del primo trimestre del 2002, che pur
aveva beneficiato del positivo contributo della commessa per la
realizzazione dell'illuminazione della nuova sede McLaren. Il margine
operativo lordo (Ebitda) si è attestato a 3,41 milioni di euro - a fronte
dei 3,52 milioni di euro del 2002 - con un'incidenza sul fatturato del
10,9%, mentre il risultato operativo (Ebit) è stato di 1,81 milioni di
euro, in crescita del 5,3% rispetto al 2002 (1,72 milioni di euro). La
situazione patrimoniale La posizione finanziaria netta al 31 marzo 2003 si
è attestata a 28,59 milioni di euro, a fronte dei 26,18 milioni di euro al
31/12/2002, per effetto di investimenti attuati nel periodo.
L'indebitamento, pari al 59% dei mezzi propri, è invece in netto
miglioramento rispetto al 31 marzo 2002, quando era pari al 69% dei mezzi
propri (30,74 milioni di euro). Inoltre, il patrimonio netto di Gruppo ha
raggiunto i 46,24 milioni di euro, con un incremento del 2% rispetto ai
45,33 milioni al 31 dicembre 2002. I risultati delle Società del gruppo I
risultati del trimestre sono stati raggiunti attraverso un andamento
differenziato delle singole società del Gruppo. In particolare, la
Capogruppo Targetti Sankey S.p.A. ha realizzato nel trimestre ricavi per
11,83 milioni di euro (rispetto ai 13,70 milioni di euro del 2002) ed un
risultato prima delle imposte di 0,41 milioni di euro (rispetto ai 0,94
milioni di euro del 2002), principalmente a causa delle difficoltà di
mercato del settore dell'illuminazione architettonica di interni. Il Gruppo
Neri (illuminazione da esterni e arredo urbano) ha chiuso il trimestre con
risultati estremamente positivi, avendo registrato ricavi consolidati per
6,20 milioni di euro - pari ad un incremento del 37,6% rispetto al medesimo
periodo dell'esercizio precedente - a conferma dell'importanza crescente che
sta assumendo il comparto dell'illuminazione di esterni (26,8% del
fatturato). Anche Duralamp S.p.A. e Victoria-Mle s.r.l. hanno realizzato un
risultato importante, con incrementi del fatturato rispettivamente del 22,9%
e del 78,3%. Il commento del Presidente "L'inizio del 2003 - ha
commentato Paolo Targetti, Presidente della Targetti Sankey S.p.A. - ci ha
confermato la validità della scelta di puntare su segmenti ad elevato
potenziale, quale l'illuminazione da esterni e l'arredo urbano. Sebbene il
contesto di mercato nazionale e internazionale sia stato molto difficile,
questo ci ha consentito di raggiungere risultati più che soddisfacenti e
porre le basi per proseguire nello sviluppo".
BB BIOTECH
ASSEMBLEA APPROVA BILANCIO 2002 THOMAS SZUCS, NUOVO VICE PRESIDENTE
Milano, 19 maggio 2003 - La nona Assemblea degli Azionisti di Bb Biotech del
25 aprile 2003 ha approvato tutte le proposte del Consiglio di
Amministrazione. L'Assemblea degli Azionisti ha tra l'altro proceduto
all'elezione, per la durata di un anno, dei seguenti membri del Consiglio di
Amministrazione: Dr. Ernst Thomke (già in carica), Prof. Dr. David
Baltimore (già in carica), Prof. Dr. Med. Thomas Szucs (nuovo). Bb Biotech
ha espresso il proprio ringraziamento per l'impegno e la professionalità
dimostrata a Victor Bischoff, che lascia la carica di Vicepresidente del
Consiglio di Amministrazione dopo 9 anni di collaborazione e ha dato il
benvenuto a Thomas Szucs, nuovo Vice Presidente del Consiglio di
Amministrazione della Società. Thomas Szucs, professore di farmacologia e
farmacoeconomia presso la Facoltà di Farmacia dell´Università degli Studi
di Milano dal 1996 e Professore associato in medicina economica all´Università
di Zurigo dal 2002, sarà un nuovo punto di forza del management team di Bb
Biotech grazie alla profonda conoscenza scientifica e alle elevate capacità
manageriali e finanziarie. Il Professor Szucs si è laureato in medicina all´Università
di Basilea, ha conseguito un Mba presso l´Università di San Gallo ed ha un
Master in Sanità Pubblica (Mph) all´Università di Harvard. E´ inoltre
membro del comitato editoriale di numerose riviste scientifiche e ha
pubblicato più di 140 articoli, testi e monografie.
ERICSSON S.P.A.-
APPROVA LA PROPOSTA DI BILANCIO 2002: FATTURATO CONSOLIDATO DI 1.184 MILIONI
DI EURO, RISULTATO NETTO DI 39 MILIONI DI EURO E PATRIMONIO NETTO DI 748
MILIONI DI EURO.
Milano, 19 maggio 2003 - Il Consiglio di Amministrazione di Ericsson S.p.A.,
holding italiana del Gruppo Ericsson, presieduta dal prof. Gian Luigi
Tosato, ha approvato il 14 maggio la proposta di bilancio per l'esercizio
chiuso al 31 dicembre 2002. Questi i dati salienti del bilancio consolidato
2002 approvato: fatturato consolidato di 1.184 milioni di euro, risultato
netto di 39 milioni di euro e patrimonio netto di 748 milioni di euro. A
parità di area di consolidamento, il fatturato è diminuito del 31 per
cento rispetto all'anno precedente. Diminuzione causata, in particolare,
dalla chiusura anticipata del contratto con Telespazio per la rete
satellitare "Astrolink", dall'esaurimento delle prime fasi di
fornitura della rete GSM in Turchia per Is-Tim e dal ritardo nell'avvio
dell'esecuzione dei contratti per le reti di terza generazione. Il margine
operativo netto (differenza tra il valore ed i costi della produzione)
ammonta a 41 milioni di euro pari al 3,5 per cento del fatturato, contro il
9,5 per cento del precedente esercizio. La riduzione del margine è da
ascriversi principalmente ad accresciuti accantonamenti al fondo
svalutazione crediti in funzione di una nuova, più prudente, valutazione
dei rischi connessi al deterioramento del mercato delle telecomunicazioni
sia in Italia sia all'estero. Le partite straordinarie mostrano proventi
netti per 33 milioni di euro (rispetto ai 4 milioni di euro di oneri del
2001) ed includono oneri per la ristrutturazione aziendale, sopravvenienze
attive per la correzione di errori inerenti la conversione in euro del 2001,
accantonamenti eccedenti nonché gli oneri conseguenti al condono fiscale.
La posizione finanziaria netta al 31 dicembre 2002 ammonta a 41 milioni di
euro, contro 562 milioni di euro di fine esercizio 2001, a seguito del minor
ricorso a cessioni di crediti pro-soluto. Il numero dei dipendenti al 31
dicembre 2002 è di 2.107, contro 2.762 della fine del 2001, diminuzione
connessa sia all'"outsourcing" del processo di installazione
"turn-key" delle reti radio sia alla razionalizzazione della
struttura in funzione delle citate riduzioni di investimenti da parte dei
clienti. Il consiglio di amministrazione di Ericsson S.p.A., ha deliberato
di proporre all'Assemblea degli azionisti, convocata per il 27 giugno 2003,
la distribuzione di un dividendo di euro 0,14 per azione (stacco cedola il
21 luglio 2003 pagabile dal 24 luglio 2003).
GRUPPO ERICSSON
IN ITALIA:RISULTATI DEL PRIMO TRIMESTRE 2003I RICAVI ALLA FINE DEL TRIMESTRE
AMMONTANO A 188 MILIONI DI EURO CONTRO I 228 MILIONI DEL CORRISPONDENTE
PERIODO DEL PRECEDENTE ESERCIZIO (-21%).
Milano, 19 maggio 2003 - Il risultato operativo, pari alla differenza tra il
valore e i costi della produzione, è di 7 milioni di euro equivalente al
3,7% del fatturato (19,5 milioni di euro pari al 8,2% del fatturato nel
corrispondente periodo del 2002). La posizione finanziaria netta è di 157
milioni di euro rispetto ai 41 milioni di euro del 31 dicembre 2002. La
variazione è dovuta principalmente ad incassi da clienti. L'andamento
economico è in linea con il mercato e il volume dei ricavi è condizionato
dal ritardo nelle decisioni di investimento in reti di terza generazione da
parte degli operatori telefonici.
PRIMA INDUSTRIE
RISULTATI PRIMO TRIMESTRE 2003 FATTURATO CONSOLIDATO A 21,5 MILIONI DI EURO,
STABILE RISPETTO ALL'ESERCIZIO PRECEDENTE.
Collegno (Torino), 19 maggio 2003 - Il Consiglio di Amministrazione della
Prima Industrie SpA, società operante nel settore ad alta tecnologia dei
sistemi laser per applicazioni industriali, riunitosi il 15 maggio, ha
approvato i risultati consolidati al 31/3/2003. Il fatturato consolidato
(21.5 milioni di euro) risulta stabile rispetto all'analogo periodo del
2002, pur essendo penalizzato dal deprezzamento del dollaro. Per categoria
di prodotto, si registra un incremento sia nei sistemi laser 3D (+5,4%),
ottenuto prevalentemente dalla Prima North America, che nei sistemi 2D
(+6,1%), registrato essenzialmente dalla Capogruppo. Per distribuzione
geografica, il fatturato evidenzia un forte spostamento verso i mercati
esteri, ed in particolare verso gli USA, ove è stato realizzato un giro
d'affari pari al 32% del totale consolidato (era il 23% al 31/03/02). In
Europa, il cui peso è salito dal 40% al 43%, i principali mercati di sbocco
sono stati Germania e Spagna (che rappresentano complessivamente circa il
50% del mercato europeo). Una forte contrazione del fatturato è stata
invece registrata sul mercato italiano (il cui peso percentuale passa dal
30% al 11%), principalmente a causa dell'esaurirsi degli effetti della Legge
"Tremonti-bis", che aveva provocato una concentrazione degli
investimenti nell'ultimo trimestre 2002. A livello di redditività
consolidata, Ebitda ed Ebit sono entrambi positivi e pari rispettivamente a
925 migliaia di euro (4,3% del fatturato) ed a 387 migliaia di euro (1,8%
del fatturato) a fronte di corrispondenti risultati dell'esercizio
precedente, negativi rispettivamente per 425 migliaia di euro (-2% sul
fatturato) e 1.033 migliaia di euro (-4,8% sul fatturato). I margini del
periodo sono anche superiori rispetto a quelli dell'ultimo trimestre 2002
(pari rispettivamente a 701 migliaia di euro e 136 migliaia di euro),
nonostante il primo trimestre dell'anno sia storicamente caratterizzato da
volumi inferiori rispetto al resto dell'esercizio. Il significativo
incremento nella redditività consolidata è conseguenza del miglioramento
nei margini della Prima North America, ormai vicini al pareggio operativo,
ove hanno avuto impatto positivo una certa ripresa del mercato e la forte
riduzione di costi di struttura ottenuta mediante il processo di
riorganizzazione ormai ultimato. Il risultato lordo di periodo è anch'esso
in miglioramento, pur rimanendo negativo per 796 migliaia di euro (era
negativo per 1.358 migliaia di euro al 31/03/02), prevalentemente a causa di
oneri straordinari. Esso sconta infatti: 398 migliaia di euro relativi a
spese e consulenze sostenute dalla Prima Industrie S.p.A. a seguito
dell'OPA, promossa il 11/02/03 da Newcolaser S.p.A. e conclusasi
negativamente per gli offerenti il 11/04/03; 268 migliaia di euro di costi
straordinari sostenuti dalla Prima North America per rilocalizzare le
attività nei nuovi stabilimenti. Particolarmente positiva è stata
l'evoluzione della posizione finanziaria netta. L'indebitamento complessivo
si è ridotto a 31.688 migliaia di euro al 31/03/03, rispetto alle 39.254
migliaia di euro al 31/12/02 e alle 34.413 migliaia di euro al 31/03/02. Ciò
è avvenuto in conseguenza dell'aumento di capitale sociale sottoscritto e
versato in data 11/02/03 (per 3.982 migliaia di euro) e della generazione di
cassa di periodo conseguente ad una migliorata gestione del circolante. Il
portafoglio ordini consolidato al 31/03/03 ammonta a 21.985 migliaia di euro
(26.182 migliaia di euro al 31/03/02) e, pur rimanendo intorno ai 3 mesi di
fatturato, sconta un rallentamento nel mese di marzo, provocato dalle note
vicende internazionali (guerra in Iraq). Il Consiglio di Amministrazione ha
altresì: preso atto della ricapitalizzazione della Prima North America,
operata in Aprile 2003 attraverso la trasformazione di crediti commerciali
detenuti dalla Capogruppo in crediti finaziari e di questi ultimi in
patrimonio netto della controllata per un importo pari a 3 milioni di
dollari; approvata l'assegnazione di stock-options esercitabili nel 2004 al
raggiungimento di obiettivi di fatturato e redditività per l'esercizio
2003. Commentando i risultati del 1° trimestre del 2003, l'ing. Gianfranco
Carbonato, Amministratore Delegato di Prima Industrie S.p.A., ha dichiarato:
"Dopo il rallentamento nell'acquisizione di ordini del mese di marzo,
in aprile abbiamo percepito alcuni segnali di ripresa, che ci hanno
consentito un miglioramento di circa 3 milioni di euro nel backlog
consolidato, al netto del fatturato di periodo. Siamo soddisfatti dei
progressi registrati dalla Prima North America e stiamo procedendo, come da
delibera assembleare del 28 marzo 2003, al rafforzamento della nostra
presenza sul mercato cinese. Nonostante la perdurante debolezza
dell'economia mondiale confidiamo di proseguire nel trend positivo
registrato negli ultimi due trimestri".
GRUPPO TREVI
PRIMO TRIMESTRE 2003:RICAVI NETTI A 88,4 MILIONI DI ? (+12.2%) EBITDA AL
13,5% (+71%), RADDOPPIA L'EBIT A 5,4%
Cesena, 19 maggio 2003 - Il Consiglio di Amministrazione di Trevi -
Finanziaria Industriale S.p.A. , holding del Gruppo Trevi, tra i principali
operatori mondiali nel settore dei servizi di ingegneria del sottosuolo e
delle macchine per fondazioni e perforazioni, ha approvato la relazione
trimestrale consolidata del primo trimestre 2003 chiuso il 31 marzo scorso.
I dati evidenziano ricavi per 88,4 milioni di ? (78,8 milioni nel primo
trimestre dell'esercizio 2002, +12,2%), un margine operativo lordo di 11,9
milioni di ? a fronte dei 7 milioni registrati nello stesso periodo dell'
anno precedente (+71%). Raddoppia il risultato operativo netto a 4,8 milioni
di ? (+106,1% rispetto ai 2,3 milioni registrati nel primo trimestre 2002) e
cresce il risultato del Gruppo (ante imposte e risultato di terzi) pari a ?
1 milione (0,2 milioni nello stesso periodo del 2002). "L'andamento del
primo trimestre, - ha dichiarato il Presidente Davide Trevisani - in
sensibile crescita rispetto ai dati registrati nello stesso periodo
dell'anno precedente e in linea con le attese, ci permette di confermare le
stime per il 2003. Nel corso del trimestre abbiamo registrato un notevole
incremento dei margini industriali e una buona crescita dei ricavi
soprattutto in Italia, dove tale crescita dovrebbe continuare per tutto il
2003, grazie all'entrata in operatività della Legge Obiettivo". I
ricavi del core business hanno infatti raggiunto gli 80 milioni di ? (69,6
milioni nel primo trimestre 2002), con un consistente incremento soprattutto
in Italia (dove rivestono particolare importanza i cantieri dell'Alta
Velocità), Africa e Medio Oriente. Il rapporto percentuale tra Ebitda e
ricavi totali (13,49%) risulta in forte crescita così pure il rapporto tra
Ebit e ricavi totali (5,45%), in linea con il Budget 2003 comunicato, che
prevede ricavi totali per 360 milioni di euro, un Ebitda pari al 12% dei
ricavi totali e un Ebit al 5,3 %. Il portafoglio lavori ha raggiunto al 31
marzo 2003 il livello di 370,5 milioni di ?, in linea rispetto a quanto
registrato nello stesso periodo del 2002 (386,5 milioni). La posizione
finanziaria netta passiva del Gruppo Trevi presenta un importo pari a 125,9
milioni di ? (118,7 milioni di ? quella registrata al 31 dicembre 2002).
L'incremento è dovuto principalmente a nuovi investimenti in impianti e
macchinari.
ACEGAS PRIMO
TRIMESTRE 2003: IL VALORE DELLA PRODUZIONE SI ATTESTA A 80,8 MILIONI DI EURO
SEGNANDO UNA CRESCITA DI +26,6 MILIONI DI EURO (+49,1%).
Trieste, 19 maggio 2003 - Il Consiglio di Amministrazione di Acegas S.p.A.
ha approvato il 15 maggio la relazione sull'andamento della gestione del
primo trimestre 2003. Il Valore della Produzione si attesta a 80,8 milioni
di euro segnando una crescita di +26,6 milioni di euro (+49,1%). Il maggiore
contributo (+18,3 milioni di euro) è dovuto alla variazione del metodo
applicato per il consolidamento contabile della collegata Estgas (da equity
a proporzionale al 34%). Sempre all'interno del business del gas c'è
inoltre da evidenziare il positivo effetto prodotto dall'andamento climatico
del primo trimestre, che ha portato ad un aumento nei volumi di gas
vettoriati dell'ordine del 17%. Sul fronte elettrico si segnala una crescita
dei ricavi per 6,6 milioni di euro (+23,5%) sospinta dal significativo
incremento delle vendite al mercato libero (128 Gwh contro 61 Gwh del primo
trimestre 2002), e inoltre dalle attività connesse alla manutenzione degli
impianti di illuminazione pubblica e semaforici che segnano un incremento
del 20%. Per ciò che concerne il business idrico c'è da segnalare una
contrazione dei ricavi pari a -0,6 milioni di euro (-8,2%). Va detto però
che tale confronto non esprime di per sé indicazioni di carattere
gestionale poiché è fortemente condizionato dalle rettifiche apportate nel
terzo trimestre 2002 ai criteri di stima delle bollette da emettere. Salgono
invece i ricavi della divisione ambiente (+0,8 milioni di euro) grazie
all'incremento delle tariffe di smaltimento e all'aumento della produzione
di energia elettrica (+16% in volume). Il Margine Operativo Lordo cresce
dell'1,0% attestandosi a 15,4 milioni di euro. Ad incidere sulla marginalità
del primo trimestre c'è un generale aumento del costo del lavoro per un
importo pari a 1,0 milioni di euro dovuto principalmente alla
rideterminazione del criterio di definizione dei ratei ferie (0,5 milioni di
euro che però saranno riassorbirsi nel corso dell'anno), e ai rinnovi
contrattuali operati nella seconda metà del 2002. All'aumento del costo del
lavoro si aggiunge inoltre un effetto mix dovuto al maggior peso del trading
di gas e di energia, e a un minor peso del fatturato dell'acqua Per effetto
dei fenomeni sopra esposti il Risultato Operativo si attesta a 9,8 milioni
di euro (-1,5% rispetto al 2002) mentre l' Utile Netto, gravato nel 2003 da
un tax rate che non si avvantaggia dei benefici prodotti dalla Tremonti bis
sul 2002, raggiunge i 4,7 milioni di euro (-5,9% rispetto al 2002). Gli
Investimenti realizzati nel periodo ammontano a complessivi 8,0 milioni di
euro. Di questi, 4,1 milioni sono relativi alla costruzione della terza
linea dell'impianto di termovalorizzazione per la quale sono stati finora
sostenuti 8,7 milioni di euro. La crescita dei crediti di Estgas, dovuta
alla naturale stagionalità delle vendite del gas, e l'incremento dei
crediti di Estenergy prodotto dall'acquisizione dei nuovi contratti di
fornitura, hanno accresciuto il fabbisogno finanziario di Acegas. La
Posizione Finanziaria Netta passa pertanto da 86,6 milioni di euro del
31.12.02 a 98,8 milioni di euro al 31.03.03 in linea con le previsioni di
budget e con il trend già espresso nel corso del primo trimestre
2002.
FINCANTIERI
BILANCIO 2002: UTILE NETTO DI 76,9 MLN. DI EURO CONTRO I 46 MLN. DI EURO DEL
PRECEDENTE ESERCIZIO.
Trieste, 19 maggio 2003 - L'Assemblea degli azionisti di Fincantieri,
svoltasi il 5 maggio a Trieste, ha approvato il bilancio per l'esercizio
2002, con un utile netto di 76,9 mln. di Euro contro i 46 mln. di Euro del
precedente esercizio. L'utile è stato destinato quanto a 3,8 mln. di Euro,
pari al 5%, alla riserva legale e quanto al residuo, pari a 73,1 mln. di
Euro, alla riserva straordinaria. A livello di Gruppo l'utile netto
consolidato ammonta a 80,2 mln. di Euro (50,1 nel bilancio 2001), il valore
della produzione è pari a 2.187,8 mln. di Euro (+ 12,2%), mentre sono stati
acquisiti ordini per 1.054,5 mln. di Euro che fanno attestare il portafoglio
a circa 6.000 mln. di Euro. L'Assemblea ha altresì provveduto al rinnovo
del Consiglio di Amministrazione della società per il triennio 2003 - 2005,
nominando Corrado Antonini, Roberto Tana, Giuseppe Bono, Roberto Ulissi,
Alberto Pittaluga, Francesco Di Comite, Nicola Piazza, Maurizio Prato,
Arcangiolo Lovari, Giancarlo Orbicciani e Serafino Gatti.
ASSEMBLEA DEI
SOCI DI VILLA ERBA SPA: TERZO BILANCIO IN ATTIVO UTILE DI 248.000 EURO.
Cernobbio (Co) 19 maggio 2003 - Terzo bilancio in attivo per Villa Erba spa,
che chiude il 2002 con un utile di 248.000 euro. L'Assemblea dei Soci ha
approvato il 15 maggio all'unanimità il documento contabile relativo
all'esercizio 2002, che ha registrato un fatturato di 6.629.000 euro, in
netta crescita rispetto al 2001 quando era di 5.638.000 euro. Un risultato
straordinario nel contesto di un settore (quello fieristico e congressuale)
in decisa contrazione a livello internazionale. Una performance di ancor più
valore se si considera che la capacità di investimento dell'azienda è oggi
ancora limitata dallo stato di indebitamento in cui si trova, a seguito
delle scelte pregresse. L'Assemblea ha visto la partecipazione di tutti i
Soci, ad eccezione dell'Istituto San Paolo - Imi. L'Assemblea, nella parte
ordinaria ha nominato il nuovo consigliere di amministrazione Giancarlo
Gerosa, che entra in Consiglio di Amministrazione in sostituzione di
Pieraldo Bauchiero e in rappresentanza dei soci con quote minori, ma con
grande valore di rappresentatività dell'imprenditoria del territorio. Nella
parte straordinaria, l'Assemblea ha approvato le variazioni dello statuto
che comportano l'allargamento del consiglio da 11 a 15 membri;
l'allargamento del comitato esecutivo da 3 a 5 membri, con l'ingresso di
diritto del rappresentante del comune di Como (Edoardo Colombo) e della
Fondazione Fiera Milano (Corrado Peraboni). E' stato eliminato il divieto di
cumulabilità delle cariche di presidente e amministratore delegato; ed è
stata introdotta la possibilità di nominare consiglieri delegati.
L'Assemblea ha visto la partecipazione del nuovo Socio Lariofiere, il centro
espositivo di Erba (Co) (che recentemente ha rilevato le quote
dell'Amministrazione Provinciale di Lecco), rappresentato dal vicepresidente
Enrico Ghioni. Durante l'incontro i Soci hanno espresso il loro plauso per
ruolo attivo e decisivo della Società in merito all'organizzazione della
Conferenza europea sull'e-Government del 7 e 8 luglio prossimi, e l'azione
di coesione per aggregare gli Enti attorno all'iniziativa, occasione unica
per il territorio. E proprio sottolineando l'apprezzamento per l'attività
della Società, il presidente della Camera di Commercio Marco Citterio ha
offerto a Villa Erba spa la disponibilità di una sede di rappresentanza a
Bruxelles nell'ambito degli uffici della Camera di commercio in Rue de
l'Industrie, vicino agli uffici dell'Unione Europea, per ottimizzare
l'opportunità dell'apertura del semestre italiano. I Soci sono stati
informati, inoltre, della comunicazione da parte di Ascontex dell'intenzione
di entrare nella compagine sociale di Villa Erba spa, sottoscrivendo il
capitale inoptato a disposizione dei privati. L'Associazione milanese che
opera nell'ambito dell'organizzazione di fiere e congressi di alto livello,
già cliente di Villa Erba con cui vanta un rapporto consolidato, in una
nota inviata dal presidente Piercarlo Viganò ha sottolineato l'opportunità
di stabilire una più stretta sinergia organizzativa con Villa Erba spa
nell'ambito di nuove iniziative espositive, proprio nella location di
Cernobbio. "E' stata un delle assemblee più costruttive fino ad ora,
con dati positivi e con una serie di opportunità di tipo innovativo per
rilanciare il ruolo internazionale della Società" ha commentato Marco
Citterio, presidente della Camera di Commercio di Como, Socio pubblico di
riferimento. "Con questo passaggio viene sancito anche formalmente il
rinnovato impegno di Fiera Milano su Villa Erba e il consolidamento del
trend positivo impresso dagli amministratori" ha commentato Corrado
Peraboni, direttore generale della Fondazione Fiera Milano (socio di
riferimento), nonché consigliere di Villa Erba spa. "Ho registrato con
grande soddisfazione il crescente apprezzamento dei Soci nei confronti delle
scelte della Società e questo è certamente di conforto per l'attività
futura" ha commentato Marco Ambrosini, presidente di Villa Erba spa,
all'uscita dalla Sala feste dove si è svolta la riunione.
ENI: DIRITTI DI
PRELAZIONE NELLA VENDITA DELLA QUOTA DI KASHAGAN
San Donato Milanese, 16 maggio 2003 - Cinque dei sei partner del consorzio
North Caspian Sea Production Sharing Agreement (Ncpsa), nella Repubblica del
Kazakhstan, hanno esercitato i loro diritti di prelazione nella vendita
della quota di British International ("Bg") pari ad 1/6 del
progetto. Eni (operatore attraverso Agip Caspian Sea B.V.), ExxonMobil,
Royal Dutch/Shell Group of Companies, Total e ConocoPhillips hanno
esercitato i loro diritti di prelazione garantiti dal Joint Operating
Agreement, mentre Inpex - il sesto partner ancora attivo - ha deciso di non
esercitare il proprio diritto di prelazione, lasciando inalterata la propria
quota. L'area del Ncpsa, collocata per intero nel settore kazako
dell'offshore del Caspio, comprende il campo gigante di Kashagan e quello
recentemente scoperto di Kalamkas. Cosi' come nel caso delle transazioni
iniziali, quelle seguite all'esercizio dei diritti di prelazione saranno
soggette all'approvazione del governo kazako. A completamento di
quest'ultima transazione, la nuova struttura azionaria sara': Agip Caspian
Sea B.V., ExxonMobil Kazakhstan Inc, Shell Kazakhstan Development B.V. e
TotalFinaElf E&P Kazakhstan - 11/54 (20.372%) ciascuno Phillips
Petroleum Kazakhstan, Lts - 11/108 (10.186%) Inpex - 1/12 (8.335%)
NEL CORSO DEL
CONVEGNO "COSTI E PREZZI DELL'ENERGIA ELETTRICA: VARIABILI E
VINCOLI" PROMOSSO DA ASSOELETTRICA, CONFRONTO APERTO TRA ISTITUZIONI,
AUTORITÀ, OPERATORI E CONSUMATORI SU UNO DEI TEMI PIÙ CONTROVERSI
Milano, 19 maggio 2003 - Nel nostro Paese il prezzo del kilowattora è
superiore a quello degli altri Paesi europei. Quali e quanti fattori ne
influenzano l'andamento? Ridurre i costi e i prezzi dell'energia elettrica
è possibile? E' questo il tema dell'incontro-dibattito organizzato da
Assoelettrica, tenutosi il 16 maggio a Milano a Piazza Affari. Nel corso dei
lavori, istituzioni, associazioni industriali, operatori e consumatori si
sono confrontati sulle aspettative e sulle prospettive di riduzione dei
prezzi nell'ambito del processo di liberalizzazione in atto nel settore
energetico. Un dibattito voluto da Assoelettrica "per fare chiarezza al
fine di stimolare soluzioni e decisioni adeguate", ribadisce il
Presidente dell'associazione Giordano Serena. L'Associazione delle imprese
elettriche italiane ha, in più occasioni, osservato come la riduzione dei
prezzi dell'energia potrà avvenire solo nel caso in cui si verifichino
alcune condizioni fondamentali: rinnovare il parco elettrico italiano per
aumentarne l'efficienza e ridurre i costi di produzione; diversificare
maggiormente le fonti di energia utilizzate; completare il processo di
liberalizzazione e avviare la Borsa Elettrica; riordinare la fiscalità e
parafiscalità gravante sulla produzione e sul consumo di energia elettrica.
Nell'intento di aprire il più possibile lo sguardo su tali problematiche,
Assoelettrica ha affidato una ricerca ad un riconosciuto esperto del
settore, il Prof. Luigi Prosperetti, professore ordinario di Economia
Industriale all'Università Bicocca di Milano. Il suo contributo apre i
lavori fornendo informazioni e valutazioni per avviare uno scambio di
opinioni diverse e rilevanti. Nutrito il panel dei relatori. Nel corso della
mattinata sono intervenuti: Giovanni Dell'Elce (Sottosegretario Ministero
delle Attività produttive), Pippo Ranci (Presidente Autorità per l'energia
elettrica e il gas), Stefano Saglia (Membro X Commissione permanente Camera
dei deputati), Giuseppe Prezioso (Vice Presidente Confindustria), Antonino
Craparotta (Presidente Enel Produzione), Umberto Quadrino (Presidente
Edison), Jesus Olmos Clavijo (Amministratore Delegato Endesa Italia). Il
dibattito pomeridiano, chiuso dall'intervento di Bruno Tabacci (Presidente X
Commissione permanente Camera dei deputati) ha visto la partecipazione di:
Giordano Serena (Presidente Assoelettrica), Giuliano Zuccoli (Presidente
Federelettrica), Giovanni Locanto (Amministratore -Delegato Enipower);
Massimo Orlandi (Presidente Tirreno Power), Giuseppe Barbieri (Presidente
Aicep), Rosario Trefiletti (Presidente Federconsumatori), Ernesto Testa
(Vice Presidente Confartigianato), Pierpaolo Masciocchi (Responsabile
Innovazione, Servizi e Utilities Confcommercio).
L'INDUSTRIA DEL
CARBONE CONTESTA LA RELAZIONE SULLE PROSPETTIVE PER LA POLITICA MONDIALE IN
MATERIA DI ENERGIA, TECNOLOGIA E CLIMA
Bruxelles, 19 maggio 2003 - L'Assocarboni, un'associazione internazionale
che rappresenta le imprese del settore carbonifero, ha contestato lo
scenario energetico descritto nella relazione recentemente pubblicata della
Commissione, dal titolo "World Energy, Technology and Climate Policy
Outlook - Weto" (Prospettive per la politica mondiale in materia di
energia, tecnologia e clima). Nel commentare la relazione, il presidente
dell'Assocarboni Andrea Clavarino ha confermato le previsioni di un
raddoppio del consumo energetico mondiale nei prossimi trent'anni.
Ciononostante, egli ha contestato la relazione definendola parzialmente
fuorviante, in particolare per le affermazioni secondo le quali
l'ampliamento della rete di distribuzione del gas consentirebbe di
soddisfare il crescente fabbisogno energetico mondiale. "Pur in
previsione dell'esaurimento delle scorte di petrolio, è necessario
considerare altre possibili soluzioni valide", ha chiarito Clavarino.
"Il gas non rappresenta la soluzione migliore, a causa degli oligopoli
regionali dei produttori". Questo vale soprattutto per l'Europa, dove
le riserve di gas sono limitate. "Gli europei devono essere consapevoli
che il gas verrà importato principalmente da due paesi non europei, la
Russia e l'Algeria, e che ciò comporterà due conseguenze importanti: una
crescente dipendenza dalle importazioni ed una politica dei prezzi del gas
onerosa", ha affermato Clavarino. Inoltre, considerando che la
relazione prevede un aumento della domanda energetica mondiale dell'1,8 per
cento annuo, secondo Clavarino la soluzione migliore consisterebbe in una
combinazione bilanciata di carburanti, che permetterebbe di evitare la
dipendenza da un'unica risorsa energetica. "Il carbone deve far parte
di questa combinazione per una serie di ragioni valide: la sua ampia
disponibilità in oltre 110 paesi, la durata delle sue riserve per un
periodo superiore ai 270 anni e la convenienza del prezzo dovuta alla
diversità delle fonti di approvvigionamento", ha affermato Clavarino.
Egli ha chiarito che l'attuazione delle tecnologie del carbone pulito
garantirebbe un utilizzo più ecologico di questa risorsa, consentendo di
trattenere oltre il 90 per cento delle emissioni di gas nocivi.
PARIGI,
CONFERENZA DELL'OMARC
Parigi, 19 maggio 2003 - Dal 15 al 17 settembre si svolgerà a Parigi
(Francia) una conferenza sulla ricerca relativa ai margini oceanici.
L'obiettivo principale del convegno è promuovere il dialogo tra esponenti
del mondo accademico e delle aziende, ambientalisti e rappresentanti del
pubblico in merito all'uso sostenibile degli ecosistemi dei margini
oceanici. Inoltre, il convegno intende offrire maggiore visibilità alle
attività comunitarie di ricerca in materia di zone oceaniche lontane dalla
costa. Fra queste attività figura l'istituzione del Consorzio per la
ricerca sui margini oceanici (Omarc), che presiede ad una serie di progetti
finanziati nell'ambito della sezione "Energia, ambiente e sviluppo
sostenibile "(Eesd) del quinto programma quadro (5PQ). La
manifestazione, organizzata dal consorzio Omarc, sarà inoltre patrocinata
dall'Organizzazione delle Nazioni Unite per l'Educazione, la Scienza e la
Cultura (Unesco) e dalla Commissione europea. Infolink: http://www.ig.uit.no/konferanser/omarc/index.htm
PER BEPPE
GHISOLFI IMPORTANTI RICONOSCIMENTI PERSONALI E RISULTATI LUSINGHIERI PER LA
CRF, SOTTO LA SUA GUIDA
Fossano, 19 maggio 2003 - Cresce il ruolo del Presidente della Cassa di
Risparmio di Fossano s.p.a. Beppe Ghisolfi nel sistema del credito
nazionale. Dopo la nomina a Revisore Effettivo dell'A.B.I. (Associazione
Bancaria Italiana) presieduta da Maurizio Sella, il Prof. Ghisolfi è
entrato nei Consigli di Amministrazione dell'A.C.R.I. (Associazione Casse
Risparmio Italiane) e del Centro Factoring - Gruppo Cassa di Risparmio di
Firenze. Beppe Ghisolfi alterna, da sempre, il suo impegno nel settore
bancario all'attività di giornalista, attualmente dirige "Il Giornale
del Piemonte" e si dedica anche all'informazione presso emittenti
televisive (Premio Brizio 2002) e all'attività di docente di "Teoria e
Metodo dei Mass-Media". Nel 2002 la prestigiosa rivista internazionale
"Who's Who" ha dedicato un'intera pagina alla sua biografia e per
nomina del Presidente della Repubblica Ciampi, su proposta del Ministro
Tremonti, è stato nominato Ufficiale dell'Ordine "Al Merito della
Repubblica Italiana". Il Consiglio di Amministrazione della Cassa di
Risparmio di Fossano Spa lo ha confermato Presidente con i nuovi Consiglieri
Mario Bassino (eletto Vice Presidente), Marco Brandani, Pasquale Giamboi (UniCredito)
e Graziella Bramardo (Fondazione Crf). Sotto la sua guida, i risultati sono
davvero lusinghieri: la raccolta diretta è di 544.426.000 Euro (+12,74%).
Gli impieghi arrivano a 436.971.000 Euro (+10,54%). L'utile netto si assesta
a 3.500.000 Euro (+21,95%). "Noi rispondiamo con questi numeri -
afferma il Presidente Beppe Ghisolfi - a coloro che auspicavano la
sparizione delle Casse di Risparmio di territorio. I brillanti bilanci
parlano da soli. La nostra forza sta nell'autonomia. Per questo continueremo
a Roma la nostra battaglia. Desidero ringraziare il Direttore Generale
Gianfranco Mondino e tutto il Personale per la grande dedizione alla
banca". "Con questi dividendi (2.123.000 Euro + 21,04%) - commenta
il Presidente della Fondazione Antonio Miglio - potremo continuare il lavoro
intrapreso nell'interesse delle comunità locali disponendo di maggiori
mezzi finanziari. I risultati della banca, veramente eccellenti, sono per
noi motivo di grande soddisfazione". A settembre la Cassa di Risparmio
di Fossano, che conta 163 dipendenti, aprirà il terzo sportello a Torino
città. Le filiali (cinque in provincia di Torino) diventeranno
quattordici.
NOMINE AL CDA
ALITALIA
Roma, 19 maggio 2003 - Il Consiglio di Amministrazione Alitalia si è
riunito il 16 maggio (dopo l'Assemblea della Società che ha provveduto a
nominare i componenti dello stesso oltre che ad approvare il bilancio
dell'esercizio 2002) ed ha nominato Presidente del Consiglio di
Amministrazione, l'avv. Giuseppe Bonomi, ha confermato Amministratore
Delegato, il dott. Francesco Mengozzi e, su proposta di quest'ultimo, ha
nominato Consigliere Direttore Generale, il dott. Marco Zanichelli. Il
Consiglio ha altresì istituito il Comitato Esecutivo chiamandone a far
parte, oltre i membri di diritto, il Presidente e l'Amministratore Delegato,
il Consigliere Direttore Generale Marco Zanichelli, il dott. Enrico
Cantarelli ed il Comandante Andrea Tarroni. Il Consiglio, poi, ha preso atto
dell'incarico affidato dall'Amministratore Delegato al Presidente di curare
i rapporti con le Autorità ed i Gestori aeroportuali nazionali ed esteri.
Il Consiglio, infine ha nominato Segretario del Consiglio di
Amministrazione, il dott. Leopoldo Conforti, Senior Vice President della
Compagnia.
DE AGOSTINI
SMENTISCE LE NOTIZIE APAPRSE SUL MONDO DI VENERDÌ 16 MAGGIO '03 (TORO)
Novara, 19 maggio 2003 - De Agostini smentisce categoricamente di avere
preso alcun tipo di decisione relativamente alle modalità di finanziamento
della prospettata acquisizione di Toro. Il Gruppo De Agostini precisa che i
dati e le informazioni riportati da alcune agenzie di stampa, che hanno
anticipato il contenuto di un articolo che apparirà sul Mondo venerdì
prossimo, rappresentano, per altro in modo impreciso, solo alcune ipotesi
contenute in uno dei vari dossier preparati dagli advisor finanziari
coinvolti nell'operazione Toro. Nessuna di queste ipotesi può essere
ricondotta a decisioni assunte dal Gruppo De Agostini. Vengono confermate
solo le informazioni che riguardano gli accordi con Capitalia, peraltro già
comunicate oggi da Capitalia stessa alla stampa e al mercato.
ASSURANCE
AUTOMOBILE: LA COMMISSION TRADUIT LES PAYS-BAS DEVANT LA COUR DE JUSTICE DES
COMMUNAUTES EUROPEENNES
Bruxelles, le 19 mai 2003 - La Commission européenne a décidé de traduire
les Pays-Bas devant la Cour de justice des Communautés européennes pour défaut
de mise en œuvre de la quatrième directive sur l'assurance automobile
(2000/26/CE) à la date convenue, soit le 20 juillet 2002. Tant que ce texte
ne sera pas convenablement appliqué dans toute l'Union européenne, les
conducteurs d'un État membre victimes d'un accident causé par un véhicule
immatriculé et assuré dans un autre État membre se heurteront toujours à
de sérieuses difficultés pour obtenir rapidement réparation. La décision
de la Commission fait suite à une autre décision, d'avril 2003, d'introduire
des recours similaires contre la France, le Luxembourg, l'Italie, l'Irlande
et le Portugal (voir IP/03/530). Contrairement aux trois premières
directives sur l'assurance automobile, la quatrième couvre les cas dans
lesquels l'accident a lieu en dehors de l'État membre de résidence de la
victime. Elle couvre également les accidents survenant entre deux
ressortissants de l'Union européenne dans n'importe lequel des
quarante-trois pays adhérant au système de la carte verte (pour plus d'informations,
voir le site Internet du Conseil des Bureaux, qui administre ce système:
http://www.cobx.org Elle vise à faciliter et à accélérer le règlement
des sinistres en permettant aux victimes d'en référer directement à l'assureur
de la partie responsable plutôt que de devoir s'adresser à celle-ci.
Chaque assureur est ainsi tenu de nommer un représentant chargé du règlement
des sinistres dans chaque État membre, afin que toute victime d'accident
puisse traiter avec le représentant de l'assureur responsable dans son
propre État membre et dans sa propre langue. Conformément à la directive,
chaque État membre doit également: imposer des sanctions en vue d'accélérer
l'indemnisation, lorsque l'assureur responsable met plus de trois mois à présenter
une offre d'indemnisation raisonnable; mettre en place un organisme d'information
traitant des questions d'assurance automobile en général, de manière à
permettre aux victimes d'accidents de découvrir plus aisément qui assure
la partie responsable; créer un organisme d'indemnisation chargé du règlement
des sinistres lorsqu'aucun représentant n'a été désigné à cette fin
par l'assureur responsable ou que celui-ci se montre trop lent à agir. L'organisme
d'indemnisation concerné se fait ensuite rembourser par celui de l'État
membre où l'assureur responsable est établi. Des
informations concernant toutes les procédures d'infraction engagées contre
les États membres sont disponibles sur le site Europa: http://europa.eu.int/comm/secretariat_general/sgb/droit_com/index_fr.htm
ENTI
DI RICERCA: APPROVATO IL RIORDINO DI CNR, ASI E INAF IL MINISTRO MORATTI:
"SPAZIO AI GIOVANI, PIÙ AUTONOMIA, PIÙ EFFICIENZA"
Roma, 19 maggio 2003 - Sono stati approvati il 16 maggio dal Consiglio dei
Ministri in via definitiva, su proposta del Ministro dell'Istruzione,
dell'Università e della Ricerca, Letizia Moratti, i decreti legislativi
relativi al riordino del Cnr (Consiglio nazionale delle ricerche), dell'Inaf
(Istituto nazionale di astrofisica) e dell'Asi (Agenzia spaziale italiana).
I decreti sono stati esaminati in prima lettura dal Consiglio dei Ministri
il 30 gennaio scorso, quindi è stato acquisito il parere della Commissione
bicamerale per la riforma amministrativa, avendo sentito preliminarmente le
Commissioni di merito. Vi è stato inoltre un ampio confronto con la comunità
scientifica, con le organizzazioni sindacali del comparto ricerca e con i
vertici degli enti interessati al riordino. Alla luce di questo confronto
sono stati elaborati i testi definitivi. "Il riordino degli enti",
ha detto il Ministro Letizia Moratti, "è una tappa fondamentale nella
politica di rilancio della ricerca, considerata come motore dello sviluppo
culturale, tecnologico, economico e sociale del Paese. Prosegue così il
percorso iniziato con le Linee guida per la politica scientifica e
tecnologica del Governo approvate nello scorso anno". "Il riordino
approvato oggi", ha aggiunto il Ministro, "significa inoltre
creare le condizioni per l'inserimento delle nostre reti di ricerca nelle
reti di ricerca europee, garantire maggiori opportunità per i giovani,
sburocratizzare gli enti, introdurre più efficienza nella loro gestione e
porre i ricercatori al centro del sistema". Obiettivi principali Ecco,
in sintesi, gli obiettivi principali del riordino degli enti di ricerca:
focalizzare tutte le attività degli enti su obiettivi strategici per il
Paese delineati nelle Linee guida per la ricerca; creare un sistema di
ricerca all'altezza della sfida del mondo globalizzato; realizzare reti di
ricerca capaci di integrarsi nel sistema delle reti europee; aiutare il
nostro sistema produttivo a recuperare competitività tecnologica; favorire
la convergenza delle attività di ricerca su obiettivi interdisciplinari e
multidisciplinari; sviluppare la cultura manageriale e di progetto dei
ricercatori; superare le criticità derivanti da inefficienze,
sovrapposizioni o duplicazioni di attività che portano a dispersioni di
risorse; rafforzare i collegamenti tra enti di ricerca, università e mondo
produttivo; creare le condizioni per una migliore mobilità dei ricercatori
con le università e con le imprese; attrarre i migliori ricercatori e i
migliori giovani dalla comunità scientifica internazionale. Le modifiche
rispetto al testo approvato il 30 gennaio I testi recepiscono integralmente
le indicazioni della Commissione bicamerale, più precisamente è chiarito
che: Cnr, Asi e Inaf rientrano tra le istituzioni di alta cultura ai sensi
dell'art. 33 della Costituzione e sono dotati di autonomia organizzativa
sulla base del principio di separazione tra compiti e responsabilità di
programmazione, di gestione e di valutazione; per quanto riguarda la
struttura organizzativa, i decreti fissano soltanto i principi, mentre la
disciplina della struttura organizzativa e delle regole di funzionamento sarà
definita dagli enti con il regolamento di organizzazione; gli enti non sono
sottoposti a vigilanza del Ministero dell'Istruzione, dell'Università e
della Ricerca: i regolamenti pertanto non sono più soggetti ad approvazione
da parte del Ministero, bensì a controllo; è stata assicurata la presenza
dei ricercatori nei consigli scientifici di Cnr e Inaf ed è stato affermato
il ruolo centrale dei ricercatori nella progettazione e nell'attuazione
delle ricerche; è affermata l'autonomia gestionale degli istituti del Cnr e
degli istituti e osservatori dell'Inaf; per tutti e tre gli enti soggetti a
riordino è stato previsto il commissariamento. Al momento dell'entrata in
vigore dei decreti legislativi, pertanto, gli organi attualmente in carica
decadono e viene nominato un commissario con il compito di assicurare la
funzionalità per il periodo necessario alla costituzione dei nuovi organi.
I commissari di Cnr e Inaf provvederanno anche a definire le modalità per
realizzare in condizioni ottimali gli accorpamenti previsti. Consiglio
nazionale delle ricerche In relazione alla necessità di ridisegnare gli
specifici ruoli dei singoli enti nel sistema della ricerca in Italia, il Cnr
accorpa i seguenti enti: Idaic, Istituto internazionale di diritto agrario
comparato; Infm, Istituto nazionale di fisica della materia; Inoa, Istituto
nazionale di ottica applicata; Istituto papirologico "Girolamo
Vitelli". Le attività dell'ente si articolano in macro-aree di ricerca
scientifica e tecnologica a carattere interdisciplinare, così individuate:
a. biotecnologie; b. scienze e tecnologie mediche; c. scienza e tecnologia
dei materiali; d. scienze e tecnologie ambientali e della terra; e. scienze
e tecnologie dell'informazione e delle comunicazioni; f. scienze e
tecnologie per i sistemi avanzati di produzione; g. scienze giuridiche, e
socio-economiche; h. scienze umanistiche e dei beni culturali. Istituto
nazionale di astrofisica E' prevista la confluenza nell'Inaf di tre istituti
scorporati dal Cnr: l'Istituto di astronomia; l'Istituto di astrofisica
spaziale; l'Istituto di fisica dello spazio interplanetario. Agenzia
spaziale italiana Per quanto riguarda l'Asi l'obiettivo è quello di
ottimizzare l'attività di agenzia dell'ente per promuovere la ricerca
applicata nel settore spaziale e aerospaziale, nonché di potenziare la
presenza italiana nelle sedi internazionali e la partecipazione a programmi
e progetti europei e internazionali.
"CONVENZIONE
EUROPEA, RIFORME ISTITUZIONALI E NUOVO ALLARGAMENTO" E' IL TEMA DEL
SEMINARIO ORGANIZZATO DALL'A.I.A.C.E., L'ASSOCIAZIONE CHE RACCOGLIE I
PENSIONATI DELL'U.E.
Stresa, 19 maggio 2003 - Domani 20 maggio, presso il Palazzo dei Congressi
di Stresa, avrà luogo un interessante Seminario organizzato dall'A.I.A.C.E.,
l'Associazione che raccoglie donne e uomini provenienti da tutta Europa che
hanno contribuito con il loro lavoro presso le istituzioni europee ai
successi della costruzione comunitaria. Tema del seminario "La
Convenzione europea: riforme istituzionali e avvenire dell'Unione europea
dopo l'allargamento". Dopo gli interventi delle autorità, animeranno
il dibattito l'Onorevole Cristiana Muscardini, Parlamentare europeo e membro
titolare della Convenzione sull'Avvenire dell'Europa, Pier Virgilio Dastoli,
funzionario del Parlamento europeo e portavoce del Forum della Società
Civile Europea, e Roberto Santaniello, Direttore della Rappresentanza a
Milano della Commissione europea. Il seminario, che avrà inizio alle ore 9,
si svolgerà sotto il patrocinio del Presidente della Commissione europea,
Romano Prodi. L'incontro si svolge nel quadro della riunione annuale che
l'A.I.A.C.E. organizza in un paese dell'Unione europea. Quest'anno le Assise
si terranno fra il 18 ed il 24 maggio in Italia, a Stresa sul lago Maggiore,
in prossimità del Centro Comune di Ricerca della Comunità Europea di Ispra
L'A.I.A.C.E (Association Internationale des Anciens des Communautés Européennes
), un'organizzazione con sede principale a Bruxelles e sedi in tutte le
capitali degli stati dell'Unione, conta oltre seimila iscritti e raggruppa
più della metà dei pensionati delle Istituzioni Comunitarie.. Durante le
Assise sarà presentato anche un libro-documento che ripercorre attraverso
la stampa, il periodo tra il 1968 ed il 1973 con la crisi dell'Euratom e la
nascita del Centro Comune di Ricerca.
DIECI
MILIONI DI EURO ALLE IMPRESE PER ASILI E MICRO-NIDI AZIENDALI
Roma, 19 maggio 2003 - Il Ministro del Welfare Roberto Maroni ed il Ministro
per le Pari Opportunità Stefania Prestigiacomo hanno firmato il 16 maggio
il decreto che finanzia il fondo di rotazione di 10 milioni di euro per i
datori di lavoro che istituiscono asili nido e micro nidi aziendali. I
finanziamenti per ciascun asilo o nido (le imprese possono anche consoziarsi
per realizzare queste strutture) arrivano a 125 mila euro per gli asili nido
e a 75 mila euro per i micro-nidi. I datori dovranno rimborsare il 50 per
cento della somma ottenuta (metà è quindi a fondo perduto) mediante un
piano di ammortamento di durata fino a 7 anni, con rimborsi a partire dal
terzo anno dalla concessione del finanziamento. Si prevede che i
finanziamenti saranno equamente ripartiti tra le diverse regioni, tenendo
conto anche delle condizioni economico-produttive del territorio, del tasso
demografico, del numero di bambini senza posto-nido o in lista di attesa e
del tasso delle donne occupate in età fertile. "E' significativo - ha
affermato il Ministro per le Pari Opportunità Stefania Prestigiacomo - che
il decreto sia stato firmato nella giorno della Festa della donna che
lavora. La realizzazione degli asili e dei micro-nidi aziendali rappresenta
una misura concreta per agevolare la conciliazione di lavoro e famiglia ed
il Governo è intervenuto con misure e dotazioni finanziarie significative
anticipando parte dei contenuti del Piano Nazionale degli Asili che è
all'esame del parlamento. Oggi avere servizi per la prima infanzia
efficienti e articolati sulle esigenze, anche d'orario, dei genitori è uno
dei requisiti fondamentali per consentire alle donne un maggiore accesso al
mercato del lavoro e una prospettiva di carriera che non veda la maternità
come elemento penalizzante. Se l'Italia vuole crescere anche
demograficamente bisogna far diventare la maternità un valore prioritario
del paese e sostenerla socialmente. Il Governo si è posta questa priorità
e le misure attuate con il decreto varato oggi si muovono in questo
senso". "Il decreto sugli asili aziendali - sottolinea il ministro
del Welfare Roberto Maroni, rappresenta un tassello importante della
strategia complessiva che il Governo sta attuando a sostegno della famiglia.
I servizi forniti alla coppia, le detrazioni fiscali, come il contributo
alla natalità che è allo studio sono tutti strumenti che puntano ad
attuare una politica di favore per la costituzione di nuovi nuclei familiari
ma anche per l'ampliamento di quelli esistenti. Nostro obiettivo è elevare
il tasso di natalità dall'attuale 1,25 figli per donna attuale all'1,55 che
è la media dei paesi Ue. Un obiettivo che intendiamo perseguire attraverso
una serie articolata di misure che pongano la famiglia al centro delle
attenzioni del nostro sistema sociale". Il ministro del Welfare Roberto
Maroni ha firmato anche il decreto che definisce il prospetto di domanda e
le modalità di trasmissione della stessa che potrà avvenire anche per
e-mail.
UN
MASTER PER AZIENDE CHE INVESTONO IN ROMANIA
Altavilla Vicentina, 19 maggio 2003 - la Fondazione Cuoa, con il sostegno
del Ministero degli Affari Esteri Italiano ed in collaborazione con la West
University di Timisoara, organizza un Master per formare quadri aziendali
rumeni: "Leda-Euc Master: nuove competenze per quadri di aziende
private e pubbliche in Romania". Si tratta di un corso intensivo,
rivolto a giovani già impiegati in azienda, o con forti potenzialità ad
operare nel contesto aziendale, o in amministrazioni pubbliche locali, con
l'obiettivo di svilupparne le competenze manageriali. Il corso si articolerà
in una fase di attività d'aula svolta in Romania nel periodo fine giugno
2003 - dicembre 2003 e in un successivo periodo di stage in Italia nel
periodo gennaio - marzo 2004. L'iniziativa rappresenta un'interessante
opportunità per le aziende italiane già insediate o interessate ad operare
in Romania, per poter qualificare i propri quadri o formarne di nuovi. Le
aziende possono partecipare al progetto, segnalando candidati per il corso
ovvero ospitando uno o più partecipanti per lo stage formativo previsto
nell'ultima fase del percorso formativo. Per informazioni contattare la
Divisione Relazioni Internazionali: e-mail int@cuoa.it, tel. 0444 333712,
fax 0444 333993.
(QUASI)
TUTTE LE MEDAGLIE ITALIANE? IN LOMBARDIA E PER GLI ESPERTI ORAFI ARRIVA UN
CORSO DI LAUREA
Milano, 19 maggio 2003. La Lombardia vince in medaglie: brilla nella
coniazione con 34 imprese su 99 in tutta Italia. Qui si concentra il 10% dei
produttori italiani di gioielleria e oreficeria: 1276 imprese (1211 di
fabbricazione di gioielleria, 34 di monete e medaglie, 31 altre). Prima
Milano (665, 52% sul totale lombardo), seguita da Pavia (188, 15%), Varese
(138, 11%), Bergamo (81, 6%), Brescia (70, 5%), Como (40, 3%), Mantova (29,
2%), Cremona (18, 1%), Lodi (17, 1%), Lecco (16, 1%), Sondrio (14, 1%). Lo
dicono i dati del registro imprese della Camera di Commercio, sulle imprese
attive al quarto trimestre 2002, elaborati dal Cisgem, azienda speciale
della Camera di Commercio di Milano, attiva nella certificazione e nello
studio di gemme e materiali preziosi. E che oggi partecipa con l'Università
degli Studi di Milano Bicocca per offrire un nuovo corso di Laurea in
Scienze e Tecnologie orafe. Corso arrivato alla sua seconda edizione e che
si ripete ogni anno da ottobre a giugno. Tre anni di studi: due di base,
seguiti da uno più legato alla professione, con anche tirocini nelle
aziende del settore. Con la possibilità di proseguire con una laurea o un
master. Il corso prevede formazione matematica di base, informatica, lingue,
fisica e fisica dello stato solido con attenzione alle leghe del comparto
orafo-argentiero e alla gemmologia, chimica generale inorganica, design,
produzione di gioiello, gestione e marketing per l'industria orafa,
sicurezza, ambiente, normativa e certificazione. Cisgem, azienda speciale
della Camera di Commercio tiene le lezioni inerenti la gemmologia durante il
secondo semestre del primo anno. Se ne parlerà lunedì, al convegno
"Competere in qualità. Scienza e Tecnologia" ore 14.30 - 18.00,
Palazzo Affari ai Giureconsulti, Via Mercanti, 2 - Milano, organizzato da
Cisgem, Azienda Speciale della Camera di Commercio di Milano e
dall'Università degli Studi di Milano Bicocca, con il contributo di tecnico
di Aol, Assicor, Confedorafi, Federorafi. "Cisgem, azienda speciale
della Camera di Commercio di Milano - dichiara Dario Bossi, presidente di
Cisgem, azienda speciale della Camera di Commercio di Milano - è attiva dal
1966 come Servizio Pubblico di Controllo per le pietre preziose e le perle.
Accanto all'attività principale di analisi, il Centro conduce un'intensa
opera di diffusione delle conoscenze tecniche in campo gemmologico, tramite
corsi, convegni, libri, la biblioteca e il museo, senza trascurare le
attività di analisi sui beni culturali. E ora partecipiamo a un nuovo corso
di laurea mirato a far crescere la professionalità in un settore innovativo
con l'obiettivo di unire il gusto e il design delle nostre imprese ad una
capacità competitiva fondata sulle risorse umane".
COME
DIFENDERSI DALL'AUMENTO DEI PREZZI - INCHIESTA ALTROCONSUMO SU 728
SUPERMERCATI IN 44 CITTÀ
Roma, 19 maggio 2003 - Difendersi dall'aumento dei prezzi è possibile, in
diverse città italiane. Per la spesa tradizionale, alimentari freschi,
confezionati, prodotti per l'igiene personale e della casa, comunque di
marca, la città che permette maggiori risparmi è Bologna: scegliendo il
punto vendita meno caro in un anno si può risparmiare il 18% sulla propria
spesa, cioé fino a 815 euro in un anno. Al contrario, differenze di prezzi
risicate tra un supermercato e l'altro a Rimini, Messina, Cuneo, Trento,
Aosta e Bolzano. Se si decide di puntare sui prodotti meno cari, dunque
visitando anche gli hard discount, la possibilità di risparmio aumenta
ulteriormente: a Parma, scegliendo accuratamente il punto vendita meno caro,
in un anno si può risparmiare ben il 78% sulla propria spesa. Ottime
possibilità anche a Torino, Bologna, Venezia e La Spezia. Questa la
fotografia del risparmio in 44 città italiane emersa dall'annuale inchiesta
di Altroconsumo sui supermercati, ipermercati e hard discount, giunta alla
dodicesima edizione. Sono stati analizzati i prezzi di 728 punti vendita
(102 ipermermercati, 481 supermercati, e 145 hard discount) in tutti i
capoluoghi regionali più alcuni capoluoghi di provincia. Altroconsumo ha
rilevato oltre 130 mila prezzi riferiti a 255 diversi prodotti di uso
familiare (alimentari, prodotti per la cura della persona e per l'igiene
della casa), creando due ipotetici carrelli della spesa, uno con i prodotti
di marca più venduti, l'altro privilegiando l'aspetto economico dunque
scegliendo i prodotti meno cari. Nella tabella le città sono state ordinate
in funzione del punto vendita meno caro, da cui risulta che a Bolzano il
punto vendita più conveniente costa comunque il 17% in più di quello a
Verona, l'ipermercato Galassia. Altroconsumo ricorda che scegliere il punto
vendita più conveniente per i consumatori non solo offre un vantaggio
economico immediato per le proprie tasche, ma produce anche uno stimolo alla
concorrenza, prerequisito necessario per avere un mercato più
vantaggioso.
INCHIESTA SUPERMERCATI ALTROCONSUMO
|
PANIERE DI 148 PRODOTTI: CONFEZIONATI DI MARCA E FRESCHI
|
RILEVAMENTO IN 44 CITTA' - 102 IPERMERCATI E 481
SUPERMERCATI
|
CITTA'
|
INDICE PUNTO VENDITA MENO CARO
|
INDICE PUNTO VENDITA PIU’ CARO
|
RISPARMIO POSSIBILE NELLA CITTA'
|
VERONA
|
100
|
118
|
18%
|
PISA
|
104
|
115
|
11%
|
TARANTO
|
104
|
120
|
15%
|
FIRENZE
|
106
|
118
|
11%
|
CAMPOBASSO
|
107
|
114
|
7%
|
SALERNO
|
107
|
118
|
10%
|
BOLOGNA
|
108
|
127
|
18%
|
ROMA
|
108
|
122
|
13%
|
FOGGIA
|
109
|
120
|
10%
|
LATINA
|
109
|
120
|
10%
|
LIVORNO
|
109
|
119
|
9%
|
NAPOLI
|
109
|
117
|
7%
|
PESARO
|
109
|
123
|
13%
|
BERGAMO
|
110
|
123
|
12%
|
POTENZA
|
110
|
117
|
6%
|
RIMINI
|
110
|
112
|
2%
|
CUNEO
|
111
|
115
|
4%
|
PADOVA
|
111
|
119
|
7%
|
PALERMO
|
111
|
122
|
10%
|
PARMA
|
111
|
126
|
14%
|
PERUGIA
|
111
|
121
|
9%
|
PESCARA
|
111
|
121
|
9%
|
SASSARI
|
111
|
121
|
9%
|
TORINO
|
111
|
124
|
12%
|
VENEZIA
|
111
|
120
|
8%
|
BRESCIA
|
112
|
126
|
13%
|
CASERTA
|
112
|
118
|
5%
|
CATANZARO
|
112
|
119
|
6%
|
L'AQUILA
|
112
|
122
|
9%
|
ANCONA
|
113
|
122
|
8%
|
BARI
|
113
|
122
|
8%
|
CATANIA
|
113
|
122
|
8%
|
LA SPEZIA
|
113
|
122
|
8%
|
CAGLIARI
|
114
|
122
|
7%
|
MILANO
|
114
|
125
|
10%
|
NOVARA
|
114
|
122
|
7%
|
TRENTO
|
114
|
118
|
4%
|
GENOVA
|
115
|
125
|
9%
|
REGGIO CALABRIA
|
115
|
121
|
5%
|
TRIESTE
|
115
|
122
|
6%
|
AOSTA
|
116
|
120
|
3%
|
MESSINA
|
116
|
119
|
3%
|
UDINE
|
116
|
123
|
6%
|
BOLZANO
|
117
|
121
|
3%
|
Fonte:
Altroconsumo, maggio 2003
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