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Notiziario Marketpress di Mercoledì 30 Giugno 2004
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PROCÉDURE D'INVESTITURE DU PRÉSIDENT DE LA COMMISSION EUROPÉENNE  
 
Bruxelles, 30 juin 2004  - Le Conseil européen se réunit ce 29 juin à Bruxelles pour désigner un candidat à la présidence de la Commission européenne, qui succédera à M. Romano Prodi. Voici un bref rappel de la procédure d'investiture telle qu'elle se déroulera ensuite devant le Parlement européen. Avant l'entrée en vigueur du traité de Nice, la Commission était nommée par les gouvernements des États membres de commun accord. Le traité de Nice, signé le 26 février 2001 et entré en vigueur le 1er février 2003, a introduit la majorité qualifiée et confirmé la procédure d'approbation par le Parlement européen. Désormais, selon les traités en vigueur, le président de la Commission est désigné de la manière suivante : "Le Conseil, réuni au niveau des chefs d'Etat ou de gouvernement et statuant à la majorité qualifiée, désigne la personnalité qu'il envisage de nommer président de la Commission; cette désignation est approuvée par le Parlement européen." (art. 214.2 traité Ce) Investiture du Président désigné Si le Conseil européen désigne un candidat, le vote d'approbation par le Parlement européen se déroulera lors de la session plénière constitutive de la nouvelle assemblée, le 22 juillet prochain, à Strasbourg. Ce vote sera précédé, dans la matinée du 22 juillet, d'une déclaration du candidat proposé et d'un débat. Cette procédure est régie par l'article 32 du règlement du Parlement européen (article 98 dans le règlement restructuré qui entrera en application le 20 juillet): Article 32 - Election du Président de la Commission 1. Après que le Conseil est convenu d'une proposition en vue de la désignation du Président de la Commission, le Président [ du Parlement ] invite le candidat proposé à faire une déclaration et à présenter ses orientations politiques devant le Parlement. Cette déclaration est suivie d'un débat. Le Conseil est invité à participer au débat. 2. Le Parlement approuve ou rejette la désignation proposée à la majorité des suffrages exprimés. Le vote a lieu au scrutin secret. 3. Si le candidat est élu, le Président en informe le Conseil, invitant ce dernier, ainsi que le Président élu de la Commission, à proposer d'un commun accord les candidats aux différents postes de commissaire. 4. Si le Parlement n'approuve pas la désignation, le Président invite le Conseil à désigner un nouveau candidat. Investiture du Collège des commissaires Si la désignation du nouveau Président de la Commission est approuvée par le Pe, le Collège des commissaires sera ensuite constitué et devra lui aussi faire l'objet d'un vote d'approbation en plénière. Le collège comptera un commissaire par Etat membre, soit 25 commissaires. A l'exception du Président, les 24 autres commissaires feront l'objet d'auditions individuelles devant les commissions parlementaires compétentes. Le traité de Nice a prévu la procédure suivante pour la désignation des commissaires: "Le Conseil, statuant à la majorité qualifiée et d'un commun accord avec le président désigné, adopte la liste des autres personnalités qu'il envisage de nommer membres de la Commission, établie conformément aux propositions faites par chaque Etat membre. "Le président et les autres membres de la Commission ainsi désignés sont soumis, en tant que collège, à un vote d'approbation par le Parlement européen. Après l'approbation du Parlement européen, le président et les autres membres de la Commission sont nommés par le Conseil, statuant à la majorité qualifiée." (art. 214.2, traité Ce) Cette procédure est régie par l'article 33 du règlement du Parlement européen (article 99 dans le règlement restructuré qui entrera en application le 20 juillet): Article 33 - Election de la Commission 1. Le Président [ du Parlement ], après consultation du Président élu de la Commission, invite les candidats proposés par le Président élu de la Commission et par le Conseil aux différents postes de commissaire à se présenter devant les différentes commissions parlementaires en fonction de leur domaine d'activité probable. Ces auditions sont publiques. 2. Chaque commission invite le candidat désigné à faire une déclaration et à répondre à des questions. 3. Le Président élu présente le Collège des commissaires et le programme de celui-ci au cours d'une séance du Parlement à laquelle tous les membres du Conseil sont invités. Cette déclaration est suivie d'un débat. 4. En conclusion du débat, tout groupe politique ou quarante députés au moins [trente-sept à dater du 20 juillet prochain] peuvent déposer une proposition de résolution. L'article 37, paragraphes 3, 4 et 5, est d'application. À la suite du vote sur la proposition de résolution, le Parlement élit ou rejette la Commission à la majorité des suffrages exprimés. Le vote a lieu par appel nominal. Le Parlement peut reporter le vote à la séance suivante. 5. Le Président informe le Conseil de l'élection ou du rejet de la Commission. 6. En cas de changement de portefeuille au sein de la Commission en cours de mandat, les commissaires concernés sont invités à se présenter devant les commissions chargées de leurs domaines de compétence. Lors de sa réunion du 4 mai 2004, la Conférence des Présidents du Pe a décidé d'avancer les dates initialement prévues pour les auditions des futurs commissaires. Celles-ci auront lieu au cours des semaines du 27 septembre au 1er octobre 2004, et du 4 au 8 octobre. Le Parlement européen nouvellement élu comptera 20 commissions parlementaires, qui seront constituées immédiatement après la session plénière constitutive, dans la semaine du 26 au 30 juillet. Après les auditions individuelles devant ces commissions parlementaires, le vote d'investiture sur l'ensemble du Collège devrait avoir lieu lors de la session plénière des 25-28 octobre, à Strasbourg. La nouvelle Commission entrerait alors en fonction le 1er novembre.  
   
   
PROCÉDURE D'INVESTITURE DU PRÉSIDENT DE LA COMMISSION EUROPÉENNE  
 
Bruxelles, 30 juin 2004  - Le Conseil européen se réunit ce 29 juin à Bruxelles pour désigner un candidat à la présidence de la Commission européenne, qui succédera à M. Romano Prodi. Voici un bref rappel de la procédure d'investiture telle qu'elle se déroulera ensuite devant le Parlement européen. Avant l'entrée en vigueur du traité de Nice, la Commission était nommée par les gouvernements des États membres de commun accord. Le traité de Nice, signé le 26 février 2001 et entré en vigueur le 1er février 2003, a introduit la majorité qualifiée et confirmé la procédure d'approbation par le Parlement européen. Désormais, selon les traités en vigueur, le président de la Commission est désigné de la manière suivante : "Le Conseil, réuni au niveau des chefs d'Etat ou de gouvernement et statuant à la majorité qualifiée, désigne la personnalité qu'il envisage de nommer président de la Commission; cette désignation est approuvée par le Parlement européen." (art. 214.2 traité Ce) Investiture du Président désigné Si le Conseil européen désigne un candidat, le vote d'approbation par le Parlement européen se déroulera lors de la session plénière constitutive de la nouvelle assemblée, le 22 juillet prochain, à Strasbourg. Ce vote sera précédé, dans la matinée du 22 juillet, d'une déclaration du candidat proposé et d'un débat. Cette procédure est régie par l'article 32 du règlement du Parlement européen (article 98 dans le règlement restructuré qui entrera en application le 20 juillet): Article 32 - Election du Président de la Commission 1. Après que le Conseil est convenu d'une proposition en vue de la désignation du Président de la Commission, le Président [ du Parlement ] invite le candidat proposé à faire une déclaration et à présenter ses orientations politiques devant le Parlement. Cette déclaration est suivie d'un débat. Le Conseil est invité à participer au débat. 2. Le Parlement approuve ou rejette la désignation proposée à la majorité des suffrages exprimés. Le vote a lieu au scrutin secret. 3. Si le candidat est élu, le Président en informe le Conseil, invitant ce dernier, ainsi que le Président élu de la Commission, à proposer d'un commun accord les candidats aux différents postes de commissaire. 4. Si le Parlement n'approuve pas la désignation, le Président invite le Conseil à désigner un nouveau candidat. Investiture du Collège des commissaires Si la désignation du nouveau Président de la Commission est approuvée par le Pe, le Collège des commissaires sera ensuite constitué et devra lui aussi faire l'objet d'un vote d'approbation en plénière. Le collège comptera un commissaire par Etat membre, soit 25 commissaires. A l'exception du Président, les 24 autres commissaires feront l'objet d'auditions individuelles devant les commissions parlementaires compétentes. Le traité de Nice a prévu la procédure suivante pour la désignation des commissaires: "Le Conseil, statuant à la majorité qualifiée et d'un commun accord avec le président désigné, adopte la liste des autres personnalités qu'il envisage de nommer membres de la Commission, établie conformément aux propositions faites par chaque Etat membre. "Le président et les autres membres de la Commission ainsi désignés sont soumis, en tant que collège, à un vote d'approbation par le Parlement européen. Après l'approbation du Parlement européen, le président et les autres membres de la Commission sont nommés par le Conseil, statuant à la majorité qualifiée." (art. 214.2, traité Ce) Cette procédure est régie par l'article 33 du règlement du Parlement européen (article 99 dans le règlement restructuré qui entrera en application le 20 juillet): Article 33 - Election de la Commission 1. Le Président [ du Parlement ], après consultation du Président élu de la Commission, invite les candidats proposés par le Président élu de la Commission et par le Conseil aux différents postes de commissaire à se présenter devant les différentes commissions parlementaires en fonction de leur domaine d'activité probable. Ces auditions sont publiques. 2. Chaque commission invite le candidat désigné à faire une déclaration et à répondre à des questions. 3. Le Président élu présente le Collège des commissaires et le programme de celui-ci au cours d'une séance du Parlement à laquelle tous les membres du Conseil sont invités. Cette déclaration est suivie d'un débat. 4. En conclusion du débat, tout groupe politique ou quarante députés au moins [trente-sept à dater du 20 juillet prochain] peuvent déposer une proposition de résolution. L'article 37, paragraphes 3, 4 et 5, est d'application. À la suite du vote sur la proposition de résolution, le Parlement élit ou rejette la Commission à la majorité des suffrages exprimés. Le vote a lieu par appel nominal. Le Parlement peut reporter le vote à la séance suivante. 5. Le Président informe le Conseil de l'élection ou du rejet de la Commission. 6. En cas de changement de portefeuille au sein de la Commission en cours de mandat, les commissaires concernés sont invités à se présenter devant les commissions chargées de leurs domaines de compétence. Lors de sa réunion du 4 mai 2004, la Conférence des Présidents du Pe a décidé d'avancer les dates initialement prévues pour les auditions des futurs commissaires. Celles-ci auront lieu au cours des semaines du 27 septembre au 1er octobre 2004, et du 4 au 8 octobre. Le Parlement européen nouvellement élu comptera 20 commissions parlementaires, qui seront constituées immédiatement après la session plénière constitutive, dans la semaine du 26 au 30 juillet. Après les auditions individuelles devant ces commissions parlementaires, le vote d'investiture sur l'ensemble du Collège devrait avoir lieu lors de la session plénière des 25-28 octobre, à Strasbourg. La nouvelle Commission entrerait alors en fonction le 1er novembre.  
   
   
PROCÉDURE D'INVESTITURE DU PRÉSIDENT DE LA COMMISSION EUROPÉENNE  
 
Bruxelles, 30 juin 2004  - Le Conseil européen se réunit ce 29 juin à Bruxelles pour désigner un candidat à la présidence de la Commission européenne, qui succédera à M. Romano Prodi. Voici un bref rappel de la procédure d'investiture telle qu'elle se déroulera ensuite devant le Parlement européen. Avant l'entrée en vigueur du traité de Nice, la Commission était nommée par les gouvernements des États membres de commun accord. Le traité de Nice, signé le 26 février 2001 et entré en vigueur le 1er février 2003, a introduit la majorité qualifiée et confirmé la procédure d'approbation par le Parlement européen. Désormais, selon les traités en vigueur, le président de la Commission est désigné de la manière suivante : "Le Conseil, réuni au niveau des chefs d'Etat ou de gouvernement et statuant à la majorité qualifiée, désigne la personnalité qu'il envisage de nommer président de la Commission; cette désignation est approuvée par le Parlement européen." (art. 214.2 traité Ce) Investiture du Président désigné Si le Conseil européen désigne un candidat, le vote d'approbation par le Parlement européen se déroulera lors de la session plénière constitutive de la nouvelle assemblée, le 22 juillet prochain, à Strasbourg. Ce vote sera précédé, dans la matinée du 22 juillet, d'une déclaration du candidat proposé et d'un débat. Cette procédure est régie par l'article 32 du règlement du Parlement européen (article 98 dans le règlement restructuré qui entrera en application le 20 juillet): Article 32 - Election du Président de la Commission 1. Après que le Conseil est convenu d'une proposition en vue de la désignation du Président de la Commission, le Président [ du Parlement ] invite le candidat proposé à faire une déclaration et à présenter ses orientations politiques devant le Parlement. Cette déclaration est suivie d'un débat. Le Conseil est invité à participer au débat. 2. Le Parlement approuve ou rejette la désignation proposée à la majorité des suffrages exprimés. Le vote a lieu au scrutin secret. 3. Si le candidat est élu, le Président en informe le Conseil, invitant ce dernier, ainsi que le Président élu de la Commission, à proposer d'un commun accord les candidats aux différents postes de commissaire. 4. Si le Parlement n'approuve pas la désignation, le Président invite le Conseil à désigner un nouveau candidat. Investiture du Collège des commissaires Si la désignation du nouveau Président de la Commission est approuvée par le Pe, le Collège des commissaires sera ensuite constitué et devra lui aussi faire l'objet d'un vote d'approbation en plénière. Le collège comptera un commissaire par Etat membre, soit 25 commissaires. A l'exception du Président, les 24 autres commissaires feront l'objet d'auditions individuelles devant les commissions parlementaires compétentes. Le traité de Nice a prévu la procédure suivante pour la désignation des commissaires: "Le Conseil, statuant à la majorité qualifiée et d'un commun accord avec le président désigné, adopte la liste des autres personnalités qu'il envisage de nommer membres de la Commission, établie conformément aux propositions faites par chaque Etat membre. "Le président et les autres membres de la Commission ainsi désignés sont soumis, en tant que collège, à un vote d'approbation par le Parlement européen. Après l'approbation du Parlement européen, le président et les autres membres de la Commission sont nommés par le Conseil, statuant à la majorité qualifiée." (art. 214.2, traité Ce) Cette procédure est régie par l'article 33 du règlement du Parlement européen (article 99 dans le règlement restructuré qui entrera en application le 20 juillet): Article 33 - Election de la Commission 1. Le Président [ du Parlement ], après consultation du Président élu de la Commission, invite les candidats proposés par le Président élu de la Commission et par le Conseil aux différents postes de commissaire à se présenter devant les différentes commissions parlementaires en fonction de leur domaine d'activité probable. Ces auditions sont publiques. 2. Chaque commission invite le candidat désigné à faire une déclaration et à répondre à des questions. 3. Le Président élu présente le Collège des commissaires et le programme de celui-ci au cours d'une séance du Parlement à laquelle tous les membres du Conseil sont invités. Cette déclaration est suivie d'un débat. 4. En conclusion du débat, tout groupe politique ou quarante députés au moins [trente-sept à dater du 20 juillet prochain] peuvent déposer une proposition de résolution. L'article 37, paragraphes 3, 4 et 5, est d'application. À la suite du vote sur la proposition de résolution, le Parlement élit ou rejette la Commission à la majorité des suffrages exprimés. Le vote a lieu par appel nominal. Le Parlement peut reporter le vote à la séance suivante. 5. Le Président informe le Conseil de l'élection ou du rejet de la Commission. 6. En cas de changement de portefeuille au sein de la Commission en cours de mandat, les commissaires concernés sont invités à se présenter devant les commissions chargées de leurs domaines de compétence. Lors de sa réunion du 4 mai 2004, la Conférence des Présidents du Pe a décidé d'avancer les dates initialement prévues pour les auditions des futurs commissaires. Celles-ci auront lieu au cours des semaines du 27 septembre au 1er octobre 2004, et du 4 au 8 octobre. Le Parlement européen nouvellement élu comptera 20 commissions parlementaires, qui seront constituées immédiatement après la session plénière constitutive, dans la semaine du 26 au 30 juillet. Après les auditions individuelles devant ces commissions parlementaires, le vote d'investiture sur l'ensemble du Collège devrait avoir lieu lors de la session plénière des 25-28 octobre, à Strasbourg. La nouvelle Commission entrerait alors en fonction le 1er novembre.  
   
   
PROCÉDURE D'INVESTITURE DU PRÉSIDENT DE LA COMMISSION EUROPÉENNE  
 
Bruxelles, 30 juin 2004  - Le Conseil européen se réunit ce 29 juin à Bruxelles pour désigner un candidat à la présidence de la Commission européenne, qui succédera à M. Romano Prodi. Voici un bref rappel de la procédure d'investiture telle qu'elle se déroulera ensuite devant le Parlement européen. Avant l'entrée en vigueur du traité de Nice, la Commission était nommée par les gouvernements des États membres de commun accord. Le traité de Nice, signé le 26 février 2001 et entré en vigueur le 1er février 2003, a introduit la majorité qualifiée et confirmé la procédure d'approbation par le Parlement européen. Désormais, selon les traités en vigueur, le président de la Commission est désigné de la manière suivante : "Le Conseil, réuni au niveau des chefs d'Etat ou de gouvernement et statuant à la majorité qualifiée, désigne la personnalité qu'il envisage de nommer président de la Commission; cette désignation est approuvée par le Parlement européen." (art. 214.2 traité Ce) Investiture du Président désigné Si le Conseil européen désigne un candidat, le vote d'approbation par le Parlement européen se déroulera lors de la session plénière constitutive de la nouvelle assemblée, le 22 juillet prochain, à Strasbourg. Ce vote sera précédé, dans la matinée du 22 juillet, d'une déclaration du candidat proposé et d'un débat. Cette procédure est régie par l'article 32 du règlement du Parlement européen (article 98 dans le règlement restructuré qui entrera en application le 20 juillet): Article 32 - Election du Président de la Commission 1. Après que le Conseil est convenu d'une proposition en vue de la désignation du Président de la Commission, le Président [ du Parlement ] invite le candidat proposé à faire une déclaration et à présenter ses orientations politiques devant le Parlement. Cette déclaration est suivie d'un débat. Le Conseil est invité à participer au débat. 2. Le Parlement approuve ou rejette la désignation proposée à la majorité des suffrages exprimés. Le vote a lieu au scrutin secret. 3. Si le candidat est élu, le Président en informe le Conseil, invitant ce dernier, ainsi que le Président élu de la Commission, à proposer d'un commun accord les candidats aux différents postes de commissaire. 4. Si le Parlement n'approuve pas la désignation, le Président invite le Conseil à désigner un nouveau candidat. Investiture du Collège des commissaires Si la désignation du nouveau Président de la Commission est approuvée par le Pe, le Collège des commissaires sera ensuite constitué et devra lui aussi faire l'objet d'un vote d'approbation en plénière. Le collège comptera un commissaire par Etat membre, soit 25 commissaires. A l'exception du Président, les 24 autres commissaires feront l'objet d'auditions individuelles devant les commissions parlementaires compétentes. Le traité de Nice a prévu la procédure suivante pour la désignation des commissaires: "Le Conseil, statuant à la majorité qualifiée et d'un commun accord avec le président désigné, adopte la liste des autres personnalités qu'il envisage de nommer membres de la Commission, établie conformément aux propositions faites par chaque Etat membre. "Le président et les autres membres de la Commission ainsi désignés sont soumis, en tant que collège, à un vote d'approbation par le Parlement européen. Après l'approbation du Parlement européen, le président et les autres membres de la Commission sont nommés par le Conseil, statuant à la majorité qualifiée." (art. 214.2, traité Ce) Cette procédure est régie par l'article 33 du règlement du Parlement européen (article 99 dans le règlement restructuré qui entrera en application le 20 juillet): Article 33 - Election de la Commission 1. Le Président [ du Parlement ], après consultation du Président élu de la Commission, invite les candidats proposés par le Président élu de la Commission et par le Conseil aux différents postes de commissaire à se présenter devant les différentes commissions parlementaires en fonction de leur domaine d'activité probable. Ces auditions sont publiques. 2. Chaque commission invite le candidat désigné à faire une déclaration et à répondre à des questions. 3. Le Président élu présente le Collège des commissaires et le programme de celui-ci au cours d'une séance du Parlement à laquelle tous les membres du Conseil sont invités. Cette déclaration est suivie d'un débat. 4. En conclusion du débat, tout groupe politique ou quarante députés au moins [trente-sept à dater du 20 juillet prochain] peuvent déposer une proposition de résolution. L'article 37, paragraphes 3, 4 et 5, est d'application. À la suite du vote sur la proposition de résolution, le Parlement élit ou rejette la Commission à la majorité des suffrages exprimés. Le vote a lieu par appel nominal. Le Parlement peut reporter le vote à la séance suivante. 5. Le Président informe le Conseil de l'élection ou du rejet de la Commission. 6. En cas de changement de portefeuille au sein de la Commission en cours de mandat, les commissaires concernés sont invités à se présenter devant les commissions chargées de leurs domaines de compétence. Lors de sa réunion du 4 mai 2004, la Conférence des Présidents du Pe a décidé d'avancer les dates initialement prévues pour les auditions des futurs commissaires. Celles-ci auront lieu au cours des semaines du 27 septembre au 1er octobre 2004, et du 4 au 8 octobre. Le Parlement européen nouvellement élu comptera 20 commissions parlementaires, qui seront constituées immédiatement après la session plénière constitutive, dans la semaine du 26 au 30 juillet. Après les auditions individuelles devant ces commissions parlementaires, le vote d'investiture sur l'ensemble du Collège devrait avoir lieu lors de la session plénière des 25-28 octobre, à Strasbourg. La nouvelle Commission entrerait alors en fonction le 1er novembre.  
   
   
PROCÉDURE D'INVESTITURE DU PRÉSIDENT DE LA COMMISSION EUROPÉENNE  
 
Bruxelles, 30 juin 2004  - Le Conseil européen se réunit ce 29 juin à Bruxelles pour désigner un candidat à la présidence de la Commission européenne, qui succédera à M. Romano Prodi. Voici un bref rappel de la procédure d'investiture telle qu'elle se déroulera ensuite devant le Parlement européen. Avant l'entrée en vigueur du traité de Nice, la Commission était nommée par les gouvernements des États membres de commun accord. Le traité de Nice, signé le 26 février 2001 et entré en vigueur le 1er février 2003, a introduit la majorité qualifiée et confirmé la procédure d'approbation par le Parlement européen. Désormais, selon les traités en vigueur, le président de la Commission est désigné de la manière suivante : "Le Conseil, réuni au niveau des chefs d'Etat ou de gouvernement et statuant à la majorité qualifiée, désigne la personnalité qu'il envisage de nommer président de la Commission; cette désignation est approuvée par le Parlement européen." (art. 214.2 traité Ce) Investiture du Président désigné Si le Conseil européen désigne un candidat, le vote d'approbation par le Parlement européen se déroulera lors de la session plénière constitutive de la nouvelle assemblée, le 22 juillet prochain, à Strasbourg. Ce vote sera précédé, dans la matinée du 22 juillet, d'une déclaration du candidat proposé et d'un débat. Cette procédure est régie par l'article 32 du règlement du Parlement européen (article 98 dans le règlement restructuré qui entrera en application le 20 juillet): Article 32 - Election du Président de la Commission 1. Après que le Conseil est convenu d'une proposition en vue de la désignation du Président de la Commission, le Président [ du Parlement ] invite le candidat proposé à faire une déclaration et à présenter ses orientations politiques devant le Parlement. Cette déclaration est suivie d'un débat. Le Conseil est invité à participer au débat. 2. Le Parlement approuve ou rejette la désignation proposée à la majorité des suffrages exprimés. Le vote a lieu au scrutin secret. 3. Si le candidat est élu, le Président en informe le Conseil, invitant ce dernier, ainsi que le Président élu de la Commission, à proposer d'un commun accord les candidats aux différents postes de commissaire. 4. Si le Parlement n'approuve pas la désignation, le Président invite le Conseil à désigner un nouveau candidat. Investiture du Collège des commissaires Si la désignation du nouveau Président de la Commission est approuvée par le Pe, le Collège des commissaires sera ensuite constitué et devra lui aussi faire l'objet d'un vote d'approbation en plénière. Le collège comptera un commissaire par Etat membre, soit 25 commissaires. A l'exception du Président, les 24 autres commissaires feront l'objet d'auditions individuelles devant les commissions parlementaires compétentes. Le traité de Nice a prévu la procédure suivante pour la désignation des commissaires: "Le Conseil, statuant à la majorité qualifiée et d'un commun accord avec le président désigné, adopte la liste des autres personnalités qu'il envisage de nommer membres de la Commission, établie conformément aux propositions faites par chaque Etat membre. "Le président et les autres membres de la Commission ainsi désignés sont soumis, en tant que collège, à un vote d'approbation par le Parlement européen. Après l'approbation du Parlement européen, le président et les autres membres de la Commission sont nommés par le Conseil, statuant à la majorité qualifiée." (art. 214.2, traité Ce) Cette procédure est régie par l'article 33 du règlement du Parlement européen (article 99 dans le règlement restructuré qui entrera en application le 20 juillet): Article 33 - Election de la Commission 1. Le Président [ du Parlement ], après consultation du Président élu de la Commission, invite les candidats proposés par le Président élu de la Commission et par le Conseil aux différents postes de commissaire à se présenter devant les différentes commissions parlementaires en fonction de leur domaine d'activité probable. Ces auditions sont publiques. 2. Chaque commission invite le candidat désigné à faire une déclaration et à répondre à des questions. 3. Le Président élu présente le Collège des commissaires et le programme de celui-ci au cours d'une séance du Parlement à laquelle tous les membres du Conseil sont invités. Cette déclaration est suivie d'un débat. 4. En conclusion du débat, tout groupe politique ou quarante députés au moins [trente-sept à dater du 20 juillet prochain] peuvent déposer une proposition de résolution. L'article 37, paragraphes 3, 4 et 5, est d'application. À la suite du vote sur la proposition de résolution, le Parlement élit ou rejette la Commission à la majorité des suffrages exprimés. Le vote a lieu par appel nominal. Le Parlement peut reporter le vote à la séance suivante. 5. Le Président informe le Conseil de l'élection ou du rejet de la Commission. 6. En cas de changement de portefeuille au sein de la Commission en cours de mandat, les commissaires concernés sont invités à se présenter devant les commissions chargées de leurs domaines de compétence. Lors de sa réunion du 4 mai 2004, la Conférence des Présidents du Pe a décidé d'avancer les dates initialement prévues pour les auditions des futurs commissaires. Celles-ci auront lieu au cours des semaines du 27 septembre au 1er octobre 2004, et du 4 au 8 octobre. Le Parlement européen nouvellement élu comptera 20 commissions parlementaires, qui seront constituées immédiatement après la session plénière constitutive, dans la semaine du 26 au 30 juillet. Après les auditions individuelles devant ces commissions parlementaires, le vote d'investiture sur l'ensemble du Collège devrait avoir lieu lors de la session plénière des 25-28 octobre, à Strasbourg. La nouvelle Commission entrerait alors en fonction le 1er novembre.  
   
   
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Bruxelles, 30 juin 2004  - Le Conseil européen se réunit ce 29 juin à Bruxelles pour désigner un candidat à la présidence de la Commission européenne, qui succédera à M. Romano Prodi. Voici un bref rappel de la procédure d'investiture telle qu'elle se déroulera ensuite devant le Parlement européen. Avant l'entrée en vigueur du traité de Nice, la Commission était nommée par les gouvernements des États membres de commun accord. Le traité de Nice, signé le 26 février 2001 et entré en vigueur le 1er février 2003, a introduit la majorité qualifiée et confirmé la procédure d'approbation par le Parlement européen. Désormais, selon les traités en vigueur, le président de la Commission est désigné de la manière suivante : "Le Conseil, réuni au niveau des chefs d'Etat ou de gouvernement et statuant à la majorité qualifiée, désigne la personnalité qu'il envisage de nommer président de la Commission; cette désignation est approuvée par le Parlement européen." (art. 214.2 traité Ce) Investiture du Président désigné Si le Conseil européen désigne un candidat, le vote d'approbation par le Parlement européen se déroulera lors de la session plénière constitutive de la nouvelle assemblée, le 22 juillet prochain, à Strasbourg. Ce vote sera précédé, dans la matinée du 22 juillet, d'une déclaration du candidat proposé et d'un débat. Cette procédure est régie par l'article 32 du règlement du Parlement européen (article 98 dans le règlement restructuré qui entrera en application le 20 juillet): Article 32 - Election du Président de la Commission 1. Après que le Conseil est convenu d'une proposition en vue de la désignation du Président de la Commission, le Président [ du Parlement ] invite le candidat proposé à faire une déclaration et à présenter ses orientations politiques devant le Parlement. Cette déclaration est suivie d'un débat. Le Conseil est invité à participer au débat. 2. Le Parlement approuve ou rejette la désignation proposée à la majorité des suffrages exprimés. Le vote a lieu au scrutin secret. 3. Si le candidat est élu, le Président en informe le Conseil, invitant ce dernier, ainsi que le Président élu de la Commission, à proposer d'un commun accord les candidats aux différents postes de commissaire. 4. Si le Parlement n'approuve pas la désignation, le Président invite le Conseil à désigner un nouveau candidat. Investiture du Collège des commissaires Si la désignation du nouveau Président de la Commission est approuvée par le Pe, le Collège des commissaires sera ensuite constitué et devra lui aussi faire l'objet d'un vote d'approbation en plénière. Le collège comptera un commissaire par Etat membre, soit 25 commissaires. A l'exception du Président, les 24 autres commissaires feront l'objet d'auditions individuelles devant les commissions parlementaires compétentes. Le traité de Nice a prévu la procédure suivante pour la désignation des commissaires: "Le Conseil, statuant à la majorité qualifiée et d'un commun accord avec le président désigné, adopte la liste des autres personnalités qu'il envisage de nommer membres de la Commission, établie conformément aux propositions faites par chaque Etat membre. "Le président et les autres membres de la Commission ainsi désignés sont soumis, en tant que collège, à un vote d'approbation par le Parlement européen. Après l'approbation du Parlement européen, le président et les autres membres de la Commission sont nommés par le Conseil, statuant à la majorité qualifiée." (art. 214.2, traité Ce) Cette procédure est régie par l'article 33 du règlement du Parlement européen (article 99 dans le règlement restructuré qui entrera en application le 20 juillet): Article 33 - Election de la Commission 1. Le Président [ du Parlement ], après consultation du Président élu de la Commission, invite les candidats proposés par le Président élu de la Commission et par le Conseil aux différents postes de commissaire à se présenter devant les différentes commissions parlementaires en fonction de leur domaine d'activité probable. Ces auditions sont publiques. 2. Chaque commission invite le candidat désigné à faire une déclaration et à répondre à des questions. 3. Le Président élu présente le Collège des commissaires et le programme de celui-ci au cours d'une séance du Parlement à laquelle tous les membres du Conseil sont invités. Cette déclaration est suivie d'un débat. 4. En conclusion du débat, tout groupe politique ou quarante députés au moins [trente-sept à dater du 20 juillet prochain] peuvent déposer une proposition de résolution. L'article 37, paragraphes 3, 4 et 5, est d'application. À la suite du vote sur la proposition de résolution, le Parlement élit ou rejette la Commission à la majorité des suffrages exprimés. Le vote a lieu par appel nominal. Le Parlement peut reporter le vote à la séance suivante. 5. Le Président informe le Conseil de l'élection ou du rejet de la Commission. 6. En cas de changement de portefeuille au sein de la Commission en cours de mandat, les commissaires concernés sont invités à se présenter devant les commissions chargées de leurs domaines de compétence. Lors de sa réunion du 4 mai 2004, la Conférence des Présidents du Pe a décidé d'avancer les dates initialement prévues pour les auditions des futurs commissaires. Celles-ci auront lieu au cours des semaines du 27 septembre au 1er octobre 2004, et du 4 au 8 octobre. Le Parlement européen nouvellement élu comptera 20 commissions parlementaires, qui seront constituées immédiatement après la session plénière constitutive, dans la semaine du 26 au 30 juillet. Après les auditions individuelles devant ces commissions parlementaires, le vote d'investiture sur l'ensemble du Collège devrait avoir lieu lors de la session plénière des 25-28 octobre, à Strasbourg. La nouvelle Commission entrerait alors en fonction le 1er novembre.  
   
   
CORSO DI FORMAZIONE SU PROPOSTE, PROGETTI ED ETIP DEL SESTO PROGRAMMA QUADRO  
 
Bruxelles, 30 giugno 2004 - Dal 1° al 3 settembre si svolgeranno a Bruxelles tre corsi di formazione sul Sesto programma quadro. I corsi tratteranno i seguenti argomenti: come scrivere una proposta competitiva per il 6Pq: 1° settembre; come negoziare, gestire e amministrare un contratto del 5Pq o del 6Pq: 2 settembre; come scrivere un eTip (piano d'implementazione tecnologica): 3 settembre. Infolink: http://www.Hyperion.ie  
   
   
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Bruxelles, 30 giugno 2004 - Dal 1° al 3 settembre si svolgeranno a Bruxelles tre corsi di formazione sul Sesto programma quadro. I corsi tratteranno i seguenti argomenti: come scrivere una proposta competitiva per il 6Pq: 1° settembre; come negoziare, gestire e amministrare un contratto del 5Pq o del 6Pq: 2 settembre; come scrivere un eTip (piano d'implementazione tecnologica): 3 settembre. Infolink: http://www.Hyperion.ie  
   
   
BANCA LOMBARDA : L'ASSEMBLEA STRAORDINARIA APPROVA LE MODIFICHE STATUTARIE CHE RECEPISCONO LE NOVITÀ INTRODOTTE DALLA RECENTE RIFORMA DEL DIRITTO SOCIETARIO  
 
Brescia, 30 giugno 2004 - L'assemblea straordinaria di Banca Lombarda, riunitasi ieri sotto la presidenza di Gino Trombi, ha deliberato alcune modifiche dello statuto al fine di adeguarlo alle nuove disposizioni civilistiche introdotte nell'ordinamento giuridico italiano dalla recente riforma del diritto societario.  
   
   
BANCA LOMBARDA : L'ASSEMBLEA STRAORDINARIA APPROVA LE MODIFICHE STATUTARIE CHE RECEPISCONO LE NOVITÀ INTRODOTTE DALLA RECENTE RIFORMA DEL DIRITTO SOCIETARIO  
 
Brescia, 30 giugno 2004 - L'assemblea straordinaria di Banca Lombarda, riunitasi ieri sotto la presidenza di Gino Trombi, ha deliberato alcune modifiche dello statuto al fine di adeguarlo alle nuove disposizioni civilistiche introdotte nell'ordinamento giuridico italiano dalla recente riforma del diritto societario.  
   
   
BANCA LOMBARDA : L'ASSEMBLEA STRAORDINARIA APPROVA LE MODIFICHE STATUTARIE CHE RECEPISCONO LE NOVITÀ INTRODOTTE DALLA RECENTE RIFORMA DEL DIRITTO SOCIETARIO  
 
Brescia, 30 giugno 2004 - L'assemblea straordinaria di Banca Lombarda, riunitasi ieri sotto la presidenza di Gino Trombi, ha deliberato alcune modifiche dello statuto al fine di adeguarlo alle nuove disposizioni civilistiche introdotte nell'ordinamento giuridico italiano dalla recente riforma del diritto societario.  
   
   
BANCA LOMBARDA : L'ASSEMBLEA STRAORDINARIA APPROVA LE MODIFICHE STATUTARIE CHE RECEPISCONO LE NOVITÀ INTRODOTTE DALLA RECENTE RIFORMA DEL DIRITTO SOCIETARIO  
 
Brescia, 30 giugno 2004 - L'assemblea straordinaria di Banca Lombarda, riunitasi ieri sotto la presidenza di Gino Trombi, ha deliberato alcune modifiche dello statuto al fine di adeguarlo alle nuove disposizioni civilistiche introdotte nell'ordinamento giuridico italiano dalla recente riforma del diritto societario.  
   
   
BANCA LOMBARDA : L'ASSEMBLEA STRAORDINARIA APPROVA LE MODIFICHE STATUTARIE CHE RECEPISCONO LE NOVITÀ INTRODOTTE DALLA RECENTE RIFORMA DEL DIRITTO SOCIETARIO  
 
Brescia, 30 giugno 2004 - L'assemblea straordinaria di Banca Lombarda, riunitasi ieri sotto la presidenza di Gino Trombi, ha deliberato alcune modifiche dello statuto al fine di adeguarlo alle nuove disposizioni civilistiche introdotte nell'ordinamento giuridico italiano dalla recente riforma del diritto societario.  
   
   
BANCA LOMBARDA : L'ASSEMBLEA STRAORDINARIA APPROVA LE MODIFICHE STATUTARIE CHE RECEPISCONO LE NOVITÀ INTRODOTTE DALLA RECENTE RIFORMA DEL DIRITTO SOCIETARIO  
 
Brescia, 30 giugno 2004 - L'assemblea straordinaria di Banca Lombarda, riunitasi ieri sotto la presidenza di Gino Trombi, ha deliberato alcune modifiche dello statuto al fine di adeguarlo alle nuove disposizioni civilistiche introdotte nell'ordinamento giuridico italiano dalla recente riforma del diritto societario.  
   
   
BANCA IFIS S.P.A.: L’ASSEMBLEA STRAORDINARIA DEI SOCI APPROVA LE MODIFICHE STATUTARIE  
 
Mestre 30 giugno 2004 - Lo scorso 25 giugno si è tenuta, in prima convocazione, l'Assemblea Straordinaria dei soci di Banca Ifis S.p.a., impresa bancaria specializzata nel factoring, presieduta da Sebastien Egon Flrstenberg e quotata al Mta di Borsa Italiana, per l'adozione di talune modifiche allo Statuto della Banca inerenti l'adeguamento alla disciplina del nuovo diritto societario. In particolare l'Assemblea dei soci, in conformità con l’orientamento dell’organo di vigilanza bancaria, ha optato per un adeguamento per “gradi” delle disposizioni statutarie alla normativa di cui al D.lgs n. 37/2004 e pertanto ha adottato, allo stato, solo le modifiche statutarie necessarie al fine di escludere il recesso dei soci in caso di proroga della durata della Banca ovvero di introduzione e/o rimozione di vincoli alla libera circolazione delle azioni. Le ulteriori modifiche dello Statuto di Banca Ifis, al fine dell’adeguamento dello stesso alle disposizioni di cui al D.lgs n. 37/2004, verranno sottoposte dal Consiglio di Amministrazione della Banca all’approvazione di una successiva Assemblea Straordinaria degli azionisti che verrà convocata in tempo utile affinché tali modifiche possano essere adottate entro il 30 settembre 2004.  
   
   
BANCA IFIS S.P.A.: L’ASSEMBLEA STRAORDINARIA DEI SOCI APPROVA LE MODIFICHE STATUTARIE  
 
Mestre 30 giugno 2004 - Lo scorso 25 giugno si è tenuta, in prima convocazione, l'Assemblea Straordinaria dei soci di Banca Ifis S.p.a., impresa bancaria specializzata nel factoring, presieduta da Sebastien Egon Flrstenberg e quotata al Mta di Borsa Italiana, per l'adozione di talune modifiche allo Statuto della Banca inerenti l'adeguamento alla disciplina del nuovo diritto societario. In particolare l'Assemblea dei soci, in conformità con l’orientamento dell’organo di vigilanza bancaria, ha optato per un adeguamento per “gradi” delle disposizioni statutarie alla normativa di cui al D.lgs n. 37/2004 e pertanto ha adottato, allo stato, solo le modifiche statutarie necessarie al fine di escludere il recesso dei soci in caso di proroga della durata della Banca ovvero di introduzione e/o rimozione di vincoli alla libera circolazione delle azioni. Le ulteriori modifiche dello Statuto di Banca Ifis, al fine dell’adeguamento dello stesso alle disposizioni di cui al D.lgs n. 37/2004, verranno sottoposte dal Consiglio di Amministrazione della Banca all’approvazione di una successiva Assemblea Straordinaria degli azionisti che verrà convocata in tempo utile affinché tali modifiche possano essere adottate entro il 30 settembre 2004.  
   
   
BANCA IFIS S.P.A.: L’ASSEMBLEA STRAORDINARIA DEI SOCI APPROVA LE MODIFICHE STATUTARIE  
 
Mestre 30 giugno 2004 - Lo scorso 25 giugno si è tenuta, in prima convocazione, l'Assemblea Straordinaria dei soci di Banca Ifis S.p.a., impresa bancaria specializzata nel factoring, presieduta da Sebastien Egon Flrstenberg e quotata al Mta di Borsa Italiana, per l'adozione di talune modifiche allo Statuto della Banca inerenti l'adeguamento alla disciplina del nuovo diritto societario. In particolare l'Assemblea dei soci, in conformità con l’orientamento dell’organo di vigilanza bancaria, ha optato per un adeguamento per “gradi” delle disposizioni statutarie alla normativa di cui al D.lgs n. 37/2004 e pertanto ha adottato, allo stato, solo le modifiche statutarie necessarie al fine di escludere il recesso dei soci in caso di proroga della durata della Banca ovvero di introduzione e/o rimozione di vincoli alla libera circolazione delle azioni. Le ulteriori modifiche dello Statuto di Banca Ifis, al fine dell’adeguamento dello stesso alle disposizioni di cui al D.lgs n. 37/2004, verranno sottoposte dal Consiglio di Amministrazione della Banca all’approvazione di una successiva Assemblea Straordinaria degli azionisti che verrà convocata in tempo utile affinché tali modifiche possano essere adottate entro il 30 settembre 2004.  
   
   
BANCA IFIS S.P.A.: L’ASSEMBLEA STRAORDINARIA DEI SOCI APPROVA LE MODIFICHE STATUTARIE  
 
Mestre 30 giugno 2004 - Lo scorso 25 giugno si è tenuta, in prima convocazione, l'Assemblea Straordinaria dei soci di Banca Ifis S.p.a., impresa bancaria specializzata nel factoring, presieduta da Sebastien Egon Flrstenberg e quotata al Mta di Borsa Italiana, per l'adozione di talune modifiche allo Statuto della Banca inerenti l'adeguamento alla disciplina del nuovo diritto societario. In particolare l'Assemblea dei soci, in conformità con l’orientamento dell’organo di vigilanza bancaria, ha optato per un adeguamento per “gradi” delle disposizioni statutarie alla normativa di cui al D.lgs n. 37/2004 e pertanto ha adottato, allo stato, solo le modifiche statutarie necessarie al fine di escludere il recesso dei soci in caso di proroga della durata della Banca ovvero di introduzione e/o rimozione di vincoli alla libera circolazione delle azioni. Le ulteriori modifiche dello Statuto di Banca Ifis, al fine dell’adeguamento dello stesso alle disposizioni di cui al D.lgs n. 37/2004, verranno sottoposte dal Consiglio di Amministrazione della Banca all’approvazione di una successiva Assemblea Straordinaria degli azionisti che verrà convocata in tempo utile affinché tali modifiche possano essere adottate entro il 30 settembre 2004.  
   
   
BANCA IFIS S.P.A.: L’ASSEMBLEA STRAORDINARIA DEI SOCI APPROVA LE MODIFICHE STATUTARIE  
 
Mestre 30 giugno 2004 - Lo scorso 25 giugno si è tenuta, in prima convocazione, l'Assemblea Straordinaria dei soci di Banca Ifis S.p.a., impresa bancaria specializzata nel factoring, presieduta da Sebastien Egon Flrstenberg e quotata al Mta di Borsa Italiana, per l'adozione di talune modifiche allo Statuto della Banca inerenti l'adeguamento alla disciplina del nuovo diritto societario. In particolare l'Assemblea dei soci, in conformità con l’orientamento dell’organo di vigilanza bancaria, ha optato per un adeguamento per “gradi” delle disposizioni statutarie alla normativa di cui al D.lgs n. 37/2004 e pertanto ha adottato, allo stato, solo le modifiche statutarie necessarie al fine di escludere il recesso dei soci in caso di proroga della durata della Banca ovvero di introduzione e/o rimozione di vincoli alla libera circolazione delle azioni. Le ulteriori modifiche dello Statuto di Banca Ifis, al fine dell’adeguamento dello stesso alle disposizioni di cui al D.lgs n. 37/2004, verranno sottoposte dal Consiglio di Amministrazione della Banca all’approvazione di una successiva Assemblea Straordinaria degli azionisti che verrà convocata in tempo utile affinché tali modifiche possano essere adottate entro il 30 settembre 2004.  
   
   
BANCA IFIS S.P.A.: L’ASSEMBLEA STRAORDINARIA DEI SOCI APPROVA LE MODIFICHE STATUTARIE  
 
Mestre 30 giugno 2004 - Lo scorso 25 giugno si è tenuta, in prima convocazione, l'Assemblea Straordinaria dei soci di Banca Ifis S.p.a., impresa bancaria specializzata nel factoring, presieduta da Sebastien Egon Flrstenberg e quotata al Mta di Borsa Italiana, per l'adozione di talune modifiche allo Statuto della Banca inerenti l'adeguamento alla disciplina del nuovo diritto societario. In particolare l'Assemblea dei soci, in conformità con l’orientamento dell’organo di vigilanza bancaria, ha optato per un adeguamento per “gradi” delle disposizioni statutarie alla normativa di cui al D.lgs n. 37/2004 e pertanto ha adottato, allo stato, solo le modifiche statutarie necessarie al fine di escludere il recesso dei soci in caso di proroga della durata della Banca ovvero di introduzione e/o rimozione di vincoli alla libera circolazione delle azioni. Le ulteriori modifiche dello Statuto di Banca Ifis, al fine dell’adeguamento dello stesso alle disposizioni di cui al D.lgs n. 37/2004, verranno sottoposte dal Consiglio di Amministrazione della Banca all’approvazione di una successiva Assemblea Straordinaria degli azionisti che verrà convocata in tempo utile affinché tali modifiche possano essere adottate entro il 30 settembre 2004.  
   
   
UNICREDITO ITALIANO S.P.A.:ASSEMBLEA STRAORDINARIA E ORDINARIA  
 
Milano, 30 Giugno 2004 - Si è riunita ieri a Genova l'Assemblea Straordinaria degli Azionisti di Unicredito Italiano S.p.a., che ha deliberato l'adeguamento dello statuto sociale alla nuova disciplina delle società di capitali recentemente introdotta dalla "Riforma Vietti". Tra le modifiche statutarie approvate figura la riduzione del termine per il deposito delle azioni, richiesto ai fini della partecipazione dei Soci alle Assemblee, e l'esclusione del diritto di recesso in capo agli Azionisti che pure non concorressero ad approvare la proroga del termine della Società ovvero l'introduzione o rimozione di vincoli alla circolazione delle azioni. Sempre al fine di recepire le nuove prescrizioni in tema di diritto societario, l'Assemblea Ordinaria dei Soci ha approvato il Regolamento Assembleare, in versione aggiornata rispetto al testo adottato dalla Società sin dal 1998.  
   
   
UNICREDITO ITALIANO S.P.A.:ASSEMBLEA STRAORDINARIA E ORDINARIA  
 
Milano, 30 Giugno 2004 - Si è riunita ieri a Genova l'Assemblea Straordinaria degli Azionisti di Unicredito Italiano S.p.a., che ha deliberato l'adeguamento dello statuto sociale alla nuova disciplina delle società di capitali recentemente introdotta dalla "Riforma Vietti". Tra le modifiche statutarie approvate figura la riduzione del termine per il deposito delle azioni, richiesto ai fini della partecipazione dei Soci alle Assemblee, e l'esclusione del diritto di recesso in capo agli Azionisti che pure non concorressero ad approvare la proroga del termine della Società ovvero l'introduzione o rimozione di vincoli alla circolazione delle azioni. Sempre al fine di recepire le nuove prescrizioni in tema di diritto societario, l'Assemblea Ordinaria dei Soci ha approvato il Regolamento Assembleare, in versione aggiornata rispetto al testo adottato dalla Società sin dal 1998.  
   
   
UNICREDITO ITALIANO S.P.A.:ASSEMBLEA STRAORDINARIA E ORDINARIA  
 
Milano, 30 Giugno 2004 - Si è riunita ieri a Genova l'Assemblea Straordinaria degli Azionisti di Unicredito Italiano S.p.a., che ha deliberato l'adeguamento dello statuto sociale alla nuova disciplina delle società di capitali recentemente introdotta dalla "Riforma Vietti". Tra le modifiche statutarie approvate figura la riduzione del termine per il deposito delle azioni, richiesto ai fini della partecipazione dei Soci alle Assemblee, e l'esclusione del diritto di recesso in capo agli Azionisti che pure non concorressero ad approvare la proroga del termine della Società ovvero l'introduzione o rimozione di vincoli alla circolazione delle azioni. Sempre al fine di recepire le nuove prescrizioni in tema di diritto societario, l'Assemblea Ordinaria dei Soci ha approvato il Regolamento Assembleare, in versione aggiornata rispetto al testo adottato dalla Società sin dal 1998.  
   
   
UNICREDITO ITALIANO S.P.A.:ASSEMBLEA STRAORDINARIA E ORDINARIA  
 
Milano, 30 Giugno 2004 - Si è riunita ieri a Genova l'Assemblea Straordinaria degli Azionisti di Unicredito Italiano S.p.a., che ha deliberato l'adeguamento dello statuto sociale alla nuova disciplina delle società di capitali recentemente introdotta dalla "Riforma Vietti". Tra le modifiche statutarie approvate figura la riduzione del termine per il deposito delle azioni, richiesto ai fini della partecipazione dei Soci alle Assemblee, e l'esclusione del diritto di recesso in capo agli Azionisti che pure non concorressero ad approvare la proroga del termine della Società ovvero l'introduzione o rimozione di vincoli alla circolazione delle azioni. Sempre al fine di recepire le nuove prescrizioni in tema di diritto societario, l'Assemblea Ordinaria dei Soci ha approvato il Regolamento Assembleare, in versione aggiornata rispetto al testo adottato dalla Società sin dal 1998.  
   
   
UNICREDITO ITALIANO S.P.A.:ASSEMBLEA STRAORDINARIA E ORDINARIA  
 
Milano, 30 Giugno 2004 - Si è riunita ieri a Genova l'Assemblea Straordinaria degli Azionisti di Unicredito Italiano S.p.a., che ha deliberato l'adeguamento dello statuto sociale alla nuova disciplina delle società di capitali recentemente introdotta dalla "Riforma Vietti". Tra le modifiche statutarie approvate figura la riduzione del termine per il deposito delle azioni, richiesto ai fini della partecipazione dei Soci alle Assemblee, e l'esclusione del diritto di recesso in capo agli Azionisti che pure non concorressero ad approvare la proroga del termine della Società ovvero l'introduzione o rimozione di vincoli alla circolazione delle azioni. Sempre al fine di recepire le nuove prescrizioni in tema di diritto societario, l'Assemblea Ordinaria dei Soci ha approvato il Regolamento Assembleare, in versione aggiornata rispetto al testo adottato dalla Società sin dal 1998.  
   
   
UNICREDITO ITALIANO S.P.A.:ASSEMBLEA STRAORDINARIA E ORDINARIA  
 
Milano, 30 Giugno 2004 - Si è riunita ieri a Genova l'Assemblea Straordinaria degli Azionisti di Unicredito Italiano S.p.a., che ha deliberato l'adeguamento dello statuto sociale alla nuova disciplina delle società di capitali recentemente introdotta dalla "Riforma Vietti". Tra le modifiche statutarie approvate figura la riduzione del termine per il deposito delle azioni, richiesto ai fini della partecipazione dei Soci alle Assemblee, e l'esclusione del diritto di recesso in capo agli Azionisti che pure non concorressero ad approvare la proroga del termine della Società ovvero l'introduzione o rimozione di vincoli alla circolazione delle azioni. Sempre al fine di recepire le nuove prescrizioni in tema di diritto societario, l'Assemblea Ordinaria dei Soci ha approvato il Regolamento Assembleare, in versione aggiornata rispetto al testo adottato dalla Società sin dal 1998.  
   
   
UNICREDIT: CESSIONE DELLA QUOTA DI PARTECIPAZIONE DETENUTA IN AUTOSTRADA BRESCIA VERONA VICENZA PADOVA S.P.A. ("SERENISSIMA")  
 
Milano, 30 Giugno 2004 - Sono state sottoposte ieri al Consiglio di Amministrazione di Unicredit le offerte vincolanti presentate nell'ambito dell'asta competitiva promossa da Unicredit per la cessione della quota di partecipazione del 20,3%, detenuta in Autostrada Brescia Verona Vicenza Padova S.p.a. ("Serenissima"). La miglior offerta pervenuta, presentata da Reconsult & Partners – holding di partecipazione che esprime l'interesse di industriali locali tra cui il Gruppo Gambari - prevede l'acquisto dell'intera partecipazione detenuta in Serenissima per un prezzo di complessivi 200 milioni di euro. Il Consiglio di Amministrazione di Unicredit ha, pertanto, deliberato di comunicare a Serenissima condizioni e modalità dell'offerta, onde consentire l'avvio del procedimento volto a permettere l'esercizio del diritto di prelazione ai sensi di statuto. I tempi necessari per la conclusione di tale procedimento dovrebbero consentire il perfezionamento della cessione entro il corrente esercizio, con la realizzazione di una plusvalenza di importo pressoché pari al prezzo offerto.  
   
   
UNICREDIT: CESSIONE DELLA QUOTA DI PARTECIPAZIONE DETENUTA IN AUTOSTRADA BRESCIA VERONA VICENZA PADOVA S.P.A. ("SERENISSIMA")  
 
Milano, 30 Giugno 2004 - Sono state sottoposte ieri al Consiglio di Amministrazione di Unicredit le offerte vincolanti presentate nell'ambito dell'asta competitiva promossa da Unicredit per la cessione della quota di partecipazione del 20,3%, detenuta in Autostrada Brescia Verona Vicenza Padova S.p.a. ("Serenissima"). La miglior offerta pervenuta, presentata da Reconsult & Partners – holding di partecipazione che esprime l'interesse di industriali locali tra cui il Gruppo Gambari - prevede l'acquisto dell'intera partecipazione detenuta in Serenissima per un prezzo di complessivi 200 milioni di euro. Il Consiglio di Amministrazione di Unicredit ha, pertanto, deliberato di comunicare a Serenissima condizioni e modalità dell'offerta, onde consentire l'avvio del procedimento volto a permettere l'esercizio del diritto di prelazione ai sensi di statuto. I tempi necessari per la conclusione di tale procedimento dovrebbero consentire il perfezionamento della cessione entro il corrente esercizio, con la realizzazione di una plusvalenza di importo pressoché pari al prezzo offerto.  
   
   
UNICREDIT: CESSIONE DELLA QUOTA DI PARTECIPAZIONE DETENUTA IN AUTOSTRADA BRESCIA VERONA VICENZA PADOVA S.P.A. ("SERENISSIMA")  
 
Milano, 30 Giugno 2004 - Sono state sottoposte ieri al Consiglio di Amministrazione di Unicredit le offerte vincolanti presentate nell'ambito dell'asta competitiva promossa da Unicredit per la cessione della quota di partecipazione del 20,3%, detenuta in Autostrada Brescia Verona Vicenza Padova S.p.a. ("Serenissima"). La miglior offerta pervenuta, presentata da Reconsult & Partners – holding di partecipazione che esprime l'interesse di industriali locali tra cui il Gruppo Gambari - prevede l'acquisto dell'intera partecipazione detenuta in Serenissima per un prezzo di complessivi 200 milioni di euro. Il Consiglio di Amministrazione di Unicredit ha, pertanto, deliberato di comunicare a Serenissima condizioni e modalità dell'offerta, onde consentire l'avvio del procedimento volto a permettere l'esercizio del diritto di prelazione ai sensi di statuto. I tempi necessari per la conclusione di tale procedimento dovrebbero consentire il perfezionamento della cessione entro il corrente esercizio, con la realizzazione di una plusvalenza di importo pressoché pari al prezzo offerto.  
   
   
UNICREDIT: CESSIONE DELLA QUOTA DI PARTECIPAZIONE DETENUTA IN AUTOSTRADA BRESCIA VERONA VICENZA PADOVA S.P.A. ("SERENISSIMA")  
 
Milano, 30 Giugno 2004 - Sono state sottoposte ieri al Consiglio di Amministrazione di Unicredit le offerte vincolanti presentate nell'ambito dell'asta competitiva promossa da Unicredit per la cessione della quota di partecipazione del 20,3%, detenuta in Autostrada Brescia Verona Vicenza Padova S.p.a. ("Serenissima"). La miglior offerta pervenuta, presentata da Reconsult & Partners – holding di partecipazione che esprime l'interesse di industriali locali tra cui il Gruppo Gambari - prevede l'acquisto dell'intera partecipazione detenuta in Serenissima per un prezzo di complessivi 200 milioni di euro. Il Consiglio di Amministrazione di Unicredit ha, pertanto, deliberato di comunicare a Serenissima condizioni e modalità dell'offerta, onde consentire l'avvio del procedimento volto a permettere l'esercizio del diritto di prelazione ai sensi di statuto. I tempi necessari per la conclusione di tale procedimento dovrebbero consentire il perfezionamento della cessione entro il corrente esercizio, con la realizzazione di una plusvalenza di importo pressoché pari al prezzo offerto.  
   
   
BANCA CR FIRENZE: VARIAZIONE DEL CAPITALE SOCIALE  
 
 Firenze, 30 giugno 2004 – Banca Cr Firenze rende nota la nuova composizione del capitale sociale modificatosi in relazione alle seguenti circostanze: Il 23 giugno 2004 la Fondazione Cassa di Risparmio della Spezia ha sottoscritto e liberato n° 44.666.603 azioni ordinarie di nuova emissione in esecuzione della delibera di aumento di capitale riservato presa dall'assemblea straordinaria di Banca Cr Firenze S.p.a. Del 26 aprile 2004; il il 24 giugno alcuni beneficiari del piano di incentivazione azionaria (stock options) deliberato dal Consiglio di Amministrazione del 16 ottobre 2000 hanno esercitato la loro facoltà di sottoscrivere azioni di nuova emissione per n. 88.575 azioni. Le attestazioni ai sensi dell'art. 2444 c.C. Sono state depositate per l'iscrizione nel Registro delle Imprese di Firenze in data 28 Giugno 2004.
Capitale Sociale Attuale Capitale Sociale Precedente
Euro n. Azioni Val. Nom. Unitario Euro n. Azioni Val. Nom. Unitario
Tot. Di cui 645.933.310,95 1.133.216.335 0,57 620.422.859,49 1.088.461.157 0,57
Azioni ordinarie (godimento pieno) Num. Cedola in corso: 5 645.933.310,95 1.133.216.335 0,57 620.422.859,49 1.088.461.157 0,57
 
   
   
BANCA CR FIRENZE: VARIAZIONE DEL CAPITALE SOCIALE  
 
 Firenze, 30 giugno 2004 – Banca Cr Firenze rende nota la nuova composizione del capitale sociale modificatosi in relazione alle seguenti circostanze: Il 23 giugno 2004 la Fondazione Cassa di Risparmio della Spezia ha sottoscritto e liberato n° 44.666.603 azioni ordinarie di nuova emissione in esecuzione della delibera di aumento di capitale riservato presa dall'assemblea straordinaria di Banca Cr Firenze S.p.a. Del 26 aprile 2004; il il 24 giugno alcuni beneficiari del piano di incentivazione azionaria (stock options) deliberato dal Consiglio di Amministrazione del 16 ottobre 2000 hanno esercitato la loro facoltà di sottoscrivere azioni di nuova emissione per n. 88.575 azioni. Le attestazioni ai sensi dell'art. 2444 c.C. Sono state depositate per l'iscrizione nel Registro delle Imprese di Firenze in data 28 Giugno 2004.
Capitale Sociale Attuale Capitale Sociale Precedente
Euro n. Azioni Val. Nom. Unitario Euro n. Azioni Val. Nom. Unitario
Tot. Di cui 645.933.310,95 1.133.216.335 0,57 620.422.859,49 1.088.461.157 0,57
Azioni ordinarie (godimento pieno) Num. Cedola in corso: 5 645.933.310,95 1.133.216.335 0,57 620.422.859,49 1.088.461.157 0,57
 
   
   
BANCA CR FIRENZE: VARIAZIONE DEL CAPITALE SOCIALE  
 
 Firenze, 30 giugno 2004 – Banca Cr Firenze rende nota la nuova composizione del capitale sociale modificatosi in relazione alle seguenti circostanze: Il 23 giugno 2004 la Fondazione Cassa di Risparmio della Spezia ha sottoscritto e liberato n° 44.666.603 azioni ordinarie di nuova emissione in esecuzione della delibera di aumento di capitale riservato presa dall'assemblea straordinaria di Banca Cr Firenze S.p.a. Del 26 aprile 2004; il il 24 giugno alcuni beneficiari del piano di incentivazione azionaria (stock options) deliberato dal Consiglio di Amministrazione del 16 ottobre 2000 hanno esercitato la loro facoltà di sottoscrivere azioni di nuova emissione per n. 88.575 azioni. Le attestazioni ai sensi dell'art. 2444 c.C. Sono state depositate per l'iscrizione nel Registro delle Imprese di Firenze in data 28 Giugno 2004.
Capitale Sociale Attuale Capitale Sociale Precedente
Euro n. Azioni Val. Nom. Unitario Euro n. Azioni Val. Nom. Unitario
Tot. Di cui 645.933.310,95 1.133.216.335 0,57 620.422.859,49 1.088.461.157 0,57
Azioni ordinarie (godimento pieno) Num. Cedola in corso: 5 645.933.310,95 1.133.216.335 0,57 620.422.859,49 1.088.461.157 0,57
 
   
   
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 Firenze, 30 giugno 2004 – Banca Cr Firenze rende nota la nuova composizione del capitale sociale modificatosi in relazione alle seguenti circostanze: Il 23 giugno 2004 la Fondazione Cassa di Risparmio della Spezia ha sottoscritto e liberato n° 44.666.603 azioni ordinarie di nuova emissione in esecuzione della delibera di aumento di capitale riservato presa dall'assemblea straordinaria di Banca Cr Firenze S.p.a. Del 26 aprile 2004; il il 24 giugno alcuni beneficiari del piano di incentivazione azionaria (stock options) deliberato dal Consiglio di Amministrazione del 16 ottobre 2000 hanno esercitato la loro facoltà di sottoscrivere azioni di nuova emissione per n. 88.575 azioni. Le attestazioni ai sensi dell'art. 2444 c.C. Sono state depositate per l'iscrizione nel Registro delle Imprese di Firenze in data 28 Giugno 2004.
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Azioni ordinarie (godimento pieno) Num. Cedola in corso: 5 645.933.310,95 1.133.216.335 0,57 620.422.859,49 1.088.461.157 0,57
 
   
   
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 Firenze, 30 giugno 2004 – Banca Cr Firenze rende nota la nuova composizione del capitale sociale modificatosi in relazione alle seguenti circostanze: Il 23 giugno 2004 la Fondazione Cassa di Risparmio della Spezia ha sottoscritto e liberato n° 44.666.603 azioni ordinarie di nuova emissione in esecuzione della delibera di aumento di capitale riservato presa dall'assemblea straordinaria di Banca Cr Firenze S.p.a. Del 26 aprile 2004; il il 24 giugno alcuni beneficiari del piano di incentivazione azionaria (stock options) deliberato dal Consiglio di Amministrazione del 16 ottobre 2000 hanno esercitato la loro facoltà di sottoscrivere azioni di nuova emissione per n. 88.575 azioni. Le attestazioni ai sensi dell'art. 2444 c.C. Sono state depositate per l'iscrizione nel Registro delle Imprese di Firenze in data 28 Giugno 2004.
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GIANFRANCO PITTATORE ENTRA NEL CONSIGLIO BPM  
 
Milano, 30 giugno 2004 - Il Consiglio di Amministrazione della Banca Popolare di Milano, nella riunione odierna, ha cooptato, quale nuovo consigliere, Gianfranco Pittatore, presidente della Fondazione Cassa di Risparmio di Alessandria. Il nuovo consigliere prende il posto di Maria Martellini, che sarà designata vicepresidente della Cassa di Risparmio di Alessandria. L’ingresso di Pittatore nel Consiglio della Bpm rientra negli accordi a suo tempo sottoscritti da Bpm e Fondazione Cr Alessandria per l’integrazione della Cassa nel Gruppo Bipiemme. Secondo i suddetti accordi, nel nuovo Consiglio di Amministrazione della Cassa di Risparmio di Alessandria saranno presenti anche consiglieri (compreso il vicepresidente) designati dalla Banca Popolare di Milano.  
   
   
GIANFRANCO PITTATORE ENTRA NEL CONSIGLIO BPM  
 
Milano, 30 giugno 2004 - Il Consiglio di Amministrazione della Banca Popolare di Milano, nella riunione odierna, ha cooptato, quale nuovo consigliere, Gianfranco Pittatore, presidente della Fondazione Cassa di Risparmio di Alessandria. Il nuovo consigliere prende il posto di Maria Martellini, che sarà designata vicepresidente della Cassa di Risparmio di Alessandria. L’ingresso di Pittatore nel Consiglio della Bpm rientra negli accordi a suo tempo sottoscritti da Bpm e Fondazione Cr Alessandria per l’integrazione della Cassa nel Gruppo Bipiemme. Secondo i suddetti accordi, nel nuovo Consiglio di Amministrazione della Cassa di Risparmio di Alessandria saranno presenti anche consiglieri (compreso il vicepresidente) designati dalla Banca Popolare di Milano.  
   
   
GIANFRANCO PITTATORE ENTRA NEL CONSIGLIO BPM  
 
Milano, 30 giugno 2004 - Il Consiglio di Amministrazione della Banca Popolare di Milano, nella riunione odierna, ha cooptato, quale nuovo consigliere, Gianfranco Pittatore, presidente della Fondazione Cassa di Risparmio di Alessandria. Il nuovo consigliere prende il posto di Maria Martellini, che sarà designata vicepresidente della Cassa di Risparmio di Alessandria. L’ingresso di Pittatore nel Consiglio della Bpm rientra negli accordi a suo tempo sottoscritti da Bpm e Fondazione Cr Alessandria per l’integrazione della Cassa nel Gruppo Bipiemme. Secondo i suddetti accordi, nel nuovo Consiglio di Amministrazione della Cassa di Risparmio di Alessandria saranno presenti anche consiglieri (compreso il vicepresidente) designati dalla Banca Popolare di Milano.  
   
   
GIANFRANCO PITTATORE ENTRA NEL CONSIGLIO BPM  
 
Milano, 30 giugno 2004 - Il Consiglio di Amministrazione della Banca Popolare di Milano, nella riunione odierna, ha cooptato, quale nuovo consigliere, Gianfranco Pittatore, presidente della Fondazione Cassa di Risparmio di Alessandria. Il nuovo consigliere prende il posto di Maria Martellini, che sarà designata vicepresidente della Cassa di Risparmio di Alessandria. L’ingresso di Pittatore nel Consiglio della Bpm rientra negli accordi a suo tempo sottoscritti da Bpm e Fondazione Cr Alessandria per l’integrazione della Cassa nel Gruppo Bipiemme. Secondo i suddetti accordi, nel nuovo Consiglio di Amministrazione della Cassa di Risparmio di Alessandria saranno presenti anche consiglieri (compreso il vicepresidente) designati dalla Banca Popolare di Milano.  
   
   
GIANFRANCO PITTATORE ENTRA NEL CONSIGLIO BPM  
 
Milano, 30 giugno 2004 - Il Consiglio di Amministrazione della Banca Popolare di Milano, nella riunione odierna, ha cooptato, quale nuovo consigliere, Gianfranco Pittatore, presidente della Fondazione Cassa di Risparmio di Alessandria. Il nuovo consigliere prende il posto di Maria Martellini, che sarà designata vicepresidente della Cassa di Risparmio di Alessandria. L’ingresso di Pittatore nel Consiglio della Bpm rientra negli accordi a suo tempo sottoscritti da Bpm e Fondazione Cr Alessandria per l’integrazione della Cassa nel Gruppo Bipiemme. Secondo i suddetti accordi, nel nuovo Consiglio di Amministrazione della Cassa di Risparmio di Alessandria saranno presenti anche consiglieri (compreso il vicepresidente) designati dalla Banca Popolare di Milano.  
   
   
GIANFRANCO PITTATORE ENTRA NEL CONSIGLIO BPM  
 
Milano, 30 giugno 2004 - Il Consiglio di Amministrazione della Banca Popolare di Milano, nella riunione odierna, ha cooptato, quale nuovo consigliere, Gianfranco Pittatore, presidente della Fondazione Cassa di Risparmio di Alessandria. Il nuovo consigliere prende il posto di Maria Martellini, che sarà designata vicepresidente della Cassa di Risparmio di Alessandria. L’ingresso di Pittatore nel Consiglio della Bpm rientra negli accordi a suo tempo sottoscritti da Bpm e Fondazione Cr Alessandria per l’integrazione della Cassa nel Gruppo Bipiemme. Secondo i suddetti accordi, nel nuovo Consiglio di Amministrazione della Cassa di Risparmio di Alessandria saranno presenti anche consiglieri (compreso il vicepresidente) designati dalla Banca Popolare di Milano.  
   
   
STEFANO VIGHI – ECONOMISTA E SALES MANAGER DI UNION INVESTMENT: “I MERCATI DEL FAR EAST E I FONDI UNION INVESTMENT”  
 
Milano, 30 giugno 2004 - Dopo un 2003 ricco di soddisfazioni il trend dei mercati emergenti asiatici ha vissuto fasi piuttosto turbolente nel 2004. Nel corso dei primi mesi dell’anno, sebbene numerosi fattori (dati macroeconomici relativamente solidi sostenuti, a loro volta, da una positiva dinamica congiunturale Usa e dati aziendali positivi, soprattutto grazie ai forti impulsi di crescita mostrati dalla Cina) rendevano probabile una prosecuzione della fase di crescita, ma ora il sentiment positivo su questi mercati si é in parte attenuato. La tendenza al rialzo dei prezzi é durata sino alla fine di aprile. In seguito il mercato ha registrato numerose correzioni che hanno interrotto il trend in salita. Una delle cause principali é da ricercarsi nelle misure adottate dalle autorità cinesi allo scopo di frenare la congiuntura ormai in fase di surriscaldamento. I timori circa un rallentamento dell‘economia della Cina (ritenuto motore di crescita dell´intera area geografica) hanno provocato reazioni forti con casi di panic-selling. Hanno inoltre influito anche i timori circa un aumento dei tassi da parte della Fed in Usa (dopo i dati relativi al mercato del lavoro che hanno evidenziato un quadro economico in netta ripresa) e il prezzo del petrolio. Il continente asiatico soffre di una forte dipendenza dalle importazioni petrolifere e solamente Malesia e Indonesia, che dispongono di propri giacimenti petroliferi, sono state poco colpite dai rincari del greggio. Il tutto ha portato a una „svalutazione“ degli utili/profitti raggiunti a inizio 2004 e spesso anche a perdite considerevoli sulle quotazioni. I mercati azionari di Cina (H-shares) e Tailandia, che nel 2003 avevano raggiunto tassi di crescita superiori al 100%, hanno registrato le perdite piú significative ed anche per i prossimi mesi prevediamo una forte volatilitá quale fattore determinante per i mercati asiatici. L´incertezza deriva sopratutto dalla discussione tuttora in corso su un possibile „hard o soft landing“ della congiuntura cinese. A causa della forte incertezza circa la tendenza di breve-medio termine, consigliamo un approccio cauto e di attesa. Tuttavia la nostra visione del mercato asiatico nel lungo termine non è cambiata e restiamo positivi sulle prospettive di crescita. I dati macroeconomici, in gran parte positivi, riguardanti i buoni risultati aziendali nonché gli interessanti livelli dei dividendi accompagnati da „evaluation ratio“ soddisfacenti rappresentano, a nostro parere, le condizioni ideali per investimenti nelle borse dell´Estremo Oriente. Nonostante l´atteso rallentamento della congiuntura, la Cina continua ad essere il „motore“ della crescita per l´intera regione. Il governo si muove comunque per garantire ed estendere la crescita economica a zone meno sviluppate (le zone rurali) e non dimentichiamo che la domanda interna e gli investimenti delle imprese locali dovrebbero ancora crescere. Siamo quindi convinti che l´attuale consolidamento rappresenti un‘opportunitá di investimento per chi voglia costruire posizioni azionarie con valutazioni basse o, quantomeno, favorevoli. Uniasia, Uniasiapacific e Unifareast sono fondi azionari che investono unicamente sui mercati asiatici differenziandosi, però, per allocazione geografica. Unifareast investe esclusivamente sui mercati emergenti. Non sono, pertanto, contemplati investimenti in piazze quali Singapore e Hong Kong che, essendo mercati già sviluppati, sono meno interessanti ai fini della filosofia d’investimento del prodotto. Sono invece presenti posizioni nello Sri Lanka e in Pakistan, mentre l´India é stata introdotta solo recentemente nel benchmark di riferimento. Inoltre, il fondo investe quasi il 25% del proprio patrimonio in Cina. Uniasia é l´unico in questa serie di fondi a detenere posizioni in titoli giapponesi, mentre Uniasiapacific é l´unico che presenta investimenti in Australia e Nuova Zelanda. Principalmente, i tre fondi investono nella Corea del Sud, Taiwan, sui mercati emergenti quali Tailandia, Cina, India, Indonesia, Malesia e Filippine, con pesi molto differenti tra loro. Ulteriori differenze riguardano i criteri di selezione dei titoli: mentre Uniasiapacific e Unifareast sono gestiti secondo uno stile di investimento „blend“ (mix equilibrato di titoli, growth“ e „value“, spesso Small Caps); Uniasia investe prevalentemente in Blue Chips. Quasi il 25% del patrimonio di Unifareast é investito in Cina. Come già detto, le recenti manovre congiunturali in Cina, volte a frenare il boom di crescita, sono state la causa principale del crollo delle quotazioni delle borse asiatiche. Gli operatori erano ampiamente consci che gli impulsi congiunturali provenienti dalla Cina e che sostengono l’intera regione asiatica (incluso il Giappone) erano destinati a raffreddarsi o comunque a diminuire e anche il crollo dei prezzi dei metalli e delle materie prime é chiaramente dipeso dal fatto che la Cina é un grande importatore di metalli industriali, oro e petrolio. Il 25% della produzione mondiale di rame, il 20% di alluminio e Nickel e il 36% di acciaio vengono assorbite dalla Cina la cui economia, nel 2003, é cresciuta del 9,1%. Nel primo trimestre 2004 si é registrata una crescita del Pil del 9,7% e gli investimenti correnti dell’industria sono cresciuti di oltre il 40%. Il Governo ha però deciso di intervenire quasi improvvisamente bloccando, in parte, la concessione di crediti alle imprese. Nel contempo la Banca Centrale cinese ha aumentato le riserve minime di liquiditá degli istituti di credito per la terza volta in 7 mesi. Tali misure sono volte a evitare una crescita economica superiore all’8% per il 2004. A nostro parere tali interventi sono stati accolti dal mercato dei risparmiatori con eccessivi timori suscitando un panico non sempre motivato. Riteniamo infatti che non sussistano pericoli reali circa la ripresa della congiuntura nell’area asiatica e che la Cina non sia destinata a perdere il ruolo di locomotiva economica locale. Crediamo piuttosto in un prossimo ritorno alla normalitá dopo una fase di forte volatilitá. Il listino cinese presenta diverse categorie di azioni, per questo motivo affermazioni riguardanti l´andamento del mercato cinese potrebbero essere fuorvianti o, talvolta, apparire poco chiare. H-shares: le grandi imprese statali cinesi (Soe= State-owned Enterprises); quotate su Hong Kong (per esempio China Telecom). Inoltre, gran parte delle H-shares vengono trattate sulla Borsa di New York sotto forma di Adr’s (esempi: China Mobile, China Life o China Semiconductor). B-shares: possono essere acquistate da investitori stranieri. A-shares: possono essere acquistate esclusivamente da investitori locali, esiste però una categoria di titoli A-shares in Usd, un mercato un cosiddetto „Developed“ che, al contrario dei mercati emergenti molto più volatili, rappresenta un investimento più stabile e consolidato; infatti le fluttuazioni dei prezzi non sono cosí forti come sulle borse asiatiche anche se, nel contempo, non si registrano trend rialzisti definiti. Come già accaduto nel 2003, anche nel primo semestre 2004 Uniasiapacific ha conseguito performance brillanti, e ciò grazie all´aumento dei prezzi delle materie prime, alla forza della valuta australiana e all´elevato tasso di sconto rispetto agli Usa. Il mercato azionario australiano Il mercato azionario australiano é noto per gli elevati rendimenti (dividend yield) e per l‘ampia varietá di titoli legati al settore delle materie prime. Il Dollaro australiano, così come il Dollaro canadese e il Rand sudafricano, é una valuta correlata ai prezzi delle materie prime e questo ha inciso positivamente sulla performance di Uniasiapacific che é fortemente investito in titoli attivi nel settore delle materie prime e favorito, quindi, dal rialzo delle quotazioni sui mercati delle Commodities. Alla performance del fondo ha contribuito inoltre l‘elevato tasso di interesse che ha reso l´Australia un paese appetibile agli investitori esteri portando grandi flussi di capitali stranieri. Uniasia investe nel Giappone Il Giappone, con un peso del 22%, rappresenta il principale Paese nel fondo Uniasia. Da inizio 2004, il mercato azionario giapponese ha registrato un andamento positivo malgrado le tensioni legate ad un imminente rialzo dei tassi Usa e agli interventi economici attuati dal governo cinese. Anche se manteniamo un giudizio positivo, nel lungo termine, circa il potenziale di crescita del mercato giapponese, non escludiamo fasi di forte volatilitá e incertezza nel breve termine come pure un andamento senza una chiara direzione. L´andamento della congiuntura rimane il tema piú importante: i dati economici indicano sviluppi positivi ma non paiono ancora del tutto convincenti. Il dato migliore relativo al primo trimestre 2004 riguarda la crescita del Pil pari al 5,6% e superiore alle attese del mercato. Ci attendiamo dati aziendali soddisfacenti e possibili sorprese positive in termini di utili. Alla luce di un tasso di crescita notevolissimo, la borsa indiana rappresenta uno dei mercati asiatici con le migliori prospettive di lungo termine. Investimenti sul listino azionario indiano sono presenti nei fondi Uniasiapacific e Unifareast. Dopo mesi di consistenti rialzi, il mercato azionario indiano ha destato forti preoccupazioni e mostrato una forte turbolenza delle quotazioni. A prescindere dall´impatto negativo della questione cinese, sul mercato indiano ha pesato fortemente il recente esito elettorale con l‘inattesa vittoria del Partito del Congresso e i conseguenti timori circa la possibilitá che il Partito Comunista locale possa entrare a far parte dell’Esecutivo. Gli operatori hanno infatti scorto pericoli di rallentamento delle riforme politiche e hanno reagito liquidando, rapidamente, buona parte delle posizioni detenute. In un secondo momento é risultato chiaro che il Partito Comunista non sarebbe entrato nel Governo e con la nomina di Chaidambaram a Ministro delle Finanze é finalmente tornata la calma sui mercati e si sono registrati anche forti recuperi. Le speranze circa una riforma efficiente e, soprattutto, gli sforzi volti allo sviluppo dei settori agricolo ed edilizio (strade, impianti di irrigazione, sistema scolastico) come pure il programma di privatizzazioni, spingono i mercati al rialzo. Sulla base di tali elementi si prospetta una crescita considerevole del mercato azionario indiano. Il tasso di crescita dell‘8,1% nell´anno fiscale 2004 (31.03) rappresenta un ulteriore elemento a conforto delle prospettive di crescita target al 10%. Alla fine dello scorso maggio Unifareast ha subito una perdita del 6,4% mentre Uniasiapacific lo 0,1%. La performance deludente di Unifareast é da attribuire al fatto che, durante i mesi passati, sulle borse asiatiche l´attenzione degli investitori si é rivolta soprattutto verso le Large Caps, favorendo il fondo Uniasia ma sfavorendo Unifareast che, nel periodo di riferimento, era particolarmente pesato sui titoli Small e Mid Caps. Infine, anche la forte esposizione sulla Cina ha influito negativamente. Complessivamente comunque, nell’ultimo anno, la performance dei fondi asiatici di Union Investment, se confrontata ai prodotti dei principali competitors, é stata piú che positiva: al 31 maggio 2004 Unifareast ha registrato una performance di +30,9%, Uniasiapacific +43,3% e Uniasia +36,1%. Punto di forza di questi prodotti é il portafoglio ampiamente diversificato per area geografica, per settore e per stile di investimento. Dato l’elevato grado del rapporto rischio/opportunitá (determinatoanche dall’effetto valute); questi fondi si prestano ad integrare portafogli azionari esistenti.  
   
   
STEFANO VIGHI – ECONOMISTA E SALES MANAGER DI UNION INVESTMENT: “I MERCATI DEL FAR EAST E I FONDI UNION INVESTMENT”  
 
Milano, 30 giugno 2004 - Dopo un 2003 ricco di soddisfazioni il trend dei mercati emergenti asiatici ha vissuto fasi piuttosto turbolente nel 2004. Nel corso dei primi mesi dell’anno, sebbene numerosi fattori (dati macroeconomici relativamente solidi sostenuti, a loro volta, da una positiva dinamica congiunturale Usa e dati aziendali positivi, soprattutto grazie ai forti impulsi di crescita mostrati dalla Cina) rendevano probabile una prosecuzione della fase di crescita, ma ora il sentiment positivo su questi mercati si é in parte attenuato. La tendenza al rialzo dei prezzi é durata sino alla fine di aprile. In seguito il mercato ha registrato numerose correzioni che hanno interrotto il trend in salita. Una delle cause principali é da ricercarsi nelle misure adottate dalle autorità cinesi allo scopo di frenare la congiuntura ormai in fase di surriscaldamento. I timori circa un rallentamento dell‘economia della Cina (ritenuto motore di crescita dell´intera area geografica) hanno provocato reazioni forti con casi di panic-selling. Hanno inoltre influito anche i timori circa un aumento dei tassi da parte della Fed in Usa (dopo i dati relativi al mercato del lavoro che hanno evidenziato un quadro economico in netta ripresa) e il prezzo del petrolio. Il continente asiatico soffre di una forte dipendenza dalle importazioni petrolifere e solamente Malesia e Indonesia, che dispongono di propri giacimenti petroliferi, sono state poco colpite dai rincari del greggio. Il tutto ha portato a una „svalutazione“ degli utili/profitti raggiunti a inizio 2004 e spesso anche a perdite considerevoli sulle quotazioni. I mercati azionari di Cina (H-shares) e Tailandia, che nel 2003 avevano raggiunto tassi di crescita superiori al 100%, hanno registrato le perdite piú significative ed anche per i prossimi mesi prevediamo una forte volatilitá quale fattore determinante per i mercati asiatici. L´incertezza deriva sopratutto dalla discussione tuttora in corso su un possibile „hard o soft landing“ della congiuntura cinese. A causa della forte incertezza circa la tendenza di breve-medio termine, consigliamo un approccio cauto e di attesa. Tuttavia la nostra visione del mercato asiatico nel lungo termine non è cambiata e restiamo positivi sulle prospettive di crescita. I dati macroeconomici, in gran parte positivi, riguardanti i buoni risultati aziendali nonché gli interessanti livelli dei dividendi accompagnati da „evaluation ratio“ soddisfacenti rappresentano, a nostro parere, le condizioni ideali per investimenti nelle borse dell´Estremo Oriente. Nonostante l´atteso rallentamento della congiuntura, la Cina continua ad essere il „motore“ della crescita per l´intera regione. Il governo si muove comunque per garantire ed estendere la crescita economica a zone meno sviluppate (le zone rurali) e non dimentichiamo che la domanda interna e gli investimenti delle imprese locali dovrebbero ancora crescere. Siamo quindi convinti che l´attuale consolidamento rappresenti un‘opportunitá di investimento per chi voglia costruire posizioni azionarie con valutazioni basse o, quantomeno, favorevoli. Uniasia, Uniasiapacific e Unifareast sono fondi azionari che investono unicamente sui mercati asiatici differenziandosi, però, per allocazione geografica. Unifareast investe esclusivamente sui mercati emergenti. Non sono, pertanto, contemplati investimenti in piazze quali Singapore e Hong Kong che, essendo mercati già sviluppati, sono meno interessanti ai fini della filosofia d’investimento del prodotto. Sono invece presenti posizioni nello Sri Lanka e in Pakistan, mentre l´India é stata introdotta solo recentemente nel benchmark di riferimento. Inoltre, il fondo investe quasi il 25% del proprio patrimonio in Cina. Uniasia é l´unico in questa serie di fondi a detenere posizioni in titoli giapponesi, mentre Uniasiapacific é l´unico che presenta investimenti in Australia e Nuova Zelanda. Principalmente, i tre fondi investono nella Corea del Sud, Taiwan, sui mercati emergenti quali Tailandia, Cina, India, Indonesia, Malesia e Filippine, con pesi molto differenti tra loro. Ulteriori differenze riguardano i criteri di selezione dei titoli: mentre Uniasiapacific e Unifareast sono gestiti secondo uno stile di investimento „blend“ (mix equilibrato di titoli, growth“ e „value“, spesso Small Caps); Uniasia investe prevalentemente in Blue Chips. Quasi il 25% del patrimonio di Unifareast é investito in Cina. Come già detto, le recenti manovre congiunturali in Cina, volte a frenare il boom di crescita, sono state la causa principale del crollo delle quotazioni delle borse asiatiche. Gli operatori erano ampiamente consci che gli impulsi congiunturali provenienti dalla Cina e che sostengono l’intera regione asiatica (incluso il Giappone) erano destinati a raffreddarsi o comunque a diminuire e anche il crollo dei prezzi dei metalli e delle materie prime é chiaramente dipeso dal fatto che la Cina é un grande importatore di metalli industriali, oro e petrolio. Il 25% della produzione mondiale di rame, il 20% di alluminio e Nickel e il 36% di acciaio vengono assorbite dalla Cina la cui economia, nel 2003, é cresciuta del 9,1%. Nel primo trimestre 2004 si é registrata una crescita del Pil del 9,7% e gli investimenti correnti dell’industria sono cresciuti di oltre il 40%. Il Governo ha però deciso di intervenire quasi improvvisamente bloccando, in parte, la concessione di crediti alle imprese. Nel contempo la Banca Centrale cinese ha aumentato le riserve minime di liquiditá degli istituti di credito per la terza volta in 7 mesi. Tali misure sono volte a evitare una crescita economica superiore all’8% per il 2004. A nostro parere tali interventi sono stati accolti dal mercato dei risparmiatori con eccessivi timori suscitando un panico non sempre motivato. Riteniamo infatti che non sussistano pericoli reali circa la ripresa della congiuntura nell’area asiatica e che la Cina non sia destinata a perdere il ruolo di locomotiva economica locale. Crediamo piuttosto in un prossimo ritorno alla normalitá dopo una fase di forte volatilitá. Il listino cinese presenta diverse categorie di azioni, per questo motivo affermazioni riguardanti l´andamento del mercato cinese potrebbero essere fuorvianti o, talvolta, apparire poco chiare. H-shares: le grandi imprese statali cinesi (Soe= State-owned Enterprises); quotate su Hong Kong (per esempio China Telecom). Inoltre, gran parte delle H-shares vengono trattate sulla Borsa di New York sotto forma di Adr’s (esempi: China Mobile, China Life o China Semiconductor). B-shares: possono essere acquistate da investitori stranieri. A-shares: possono essere acquistate esclusivamente da investitori locali, esiste però una categoria di titoli A-shares in Usd, un mercato un cosiddetto „Developed“ che, al contrario dei mercati emergenti molto più volatili, rappresenta un investimento più stabile e consolidato; infatti le fluttuazioni dei prezzi non sono cosí forti come sulle borse asiatiche anche se, nel contempo, non si registrano trend rialzisti definiti. Come già accaduto nel 2003, anche nel primo semestre 2004 Uniasiapacific ha conseguito performance brillanti, e ciò grazie all´aumento dei prezzi delle materie prime, alla forza della valuta australiana e all´elevato tasso di sconto rispetto agli Usa. Il mercato azionario australiano Il mercato azionario australiano é noto per gli elevati rendimenti (dividend yield) e per l‘ampia varietá di titoli legati al settore delle materie prime. Il Dollaro australiano, così come il Dollaro canadese e il Rand sudafricano, é una valuta correlata ai prezzi delle materie prime e questo ha inciso positivamente sulla performance di Uniasiapacific che é fortemente investito in titoli attivi nel settore delle materie prime e favorito, quindi, dal rialzo delle quotazioni sui mercati delle Commodities. Alla performance del fondo ha contribuito inoltre l‘elevato tasso di interesse che ha reso l´Australia un paese appetibile agli investitori esteri portando grandi flussi di capitali stranieri. Uniasia investe nel Giappone Il Giappone, con un peso del 22%, rappresenta il principale Paese nel fondo Uniasia. Da inizio 2004, il mercato azionario giapponese ha registrato un andamento positivo malgrado le tensioni legate ad un imminente rialzo dei tassi Usa e agli interventi economici attuati dal governo cinese. Anche se manteniamo un giudizio positivo, nel lungo termine, circa il potenziale di crescita del mercato giapponese, non escludiamo fasi di forte volatilitá e incertezza nel breve termine come pure un andamento senza una chiara direzione. L´andamento della congiuntura rimane il tema piú importante: i dati economici indicano sviluppi positivi ma non paiono ancora del tutto convincenti. Il dato migliore relativo al primo trimestre 2004 riguarda la crescita del Pil pari al 5,6% e superiore alle attese del mercato. Ci attendiamo dati aziendali soddisfacenti e possibili sorprese positive in termini di utili. Alla luce di un tasso di crescita notevolissimo, la borsa indiana rappresenta uno dei mercati asiatici con le migliori prospettive di lungo termine. Investimenti sul listino azionario indiano sono presenti nei fondi Uniasiapacific e Unifareast. Dopo mesi di consistenti rialzi, il mercato azionario indiano ha destato forti preoccupazioni e mostrato una forte turbolenza delle quotazioni. A prescindere dall´impatto negativo della questione cinese, sul mercato indiano ha pesato fortemente il recente esito elettorale con l‘inattesa vittoria del Partito del Congresso e i conseguenti timori circa la possibilitá che il Partito Comunista locale possa entrare a far parte dell’Esecutivo. Gli operatori hanno infatti scorto pericoli di rallentamento delle riforme politiche e hanno reagito liquidando, rapidamente, buona parte delle posizioni detenute. In un secondo momento é risultato chiaro che il Partito Comunista non sarebbe entrato nel Governo e con la nomina di Chaidambaram a Ministro delle Finanze é finalmente tornata la calma sui mercati e si sono registrati anche forti recuperi. Le speranze circa una riforma efficiente e, soprattutto, gli sforzi volti allo sviluppo dei settori agricolo ed edilizio (strade, impianti di irrigazione, sistema scolastico) come pure il programma di privatizzazioni, spingono i mercati al rialzo. Sulla base di tali elementi si prospetta una crescita considerevole del mercato azionario indiano. Il tasso di crescita dell‘8,1% nell´anno fiscale 2004 (31.03) rappresenta un ulteriore elemento a conforto delle prospettive di crescita target al 10%. Alla fine dello scorso maggio Unifareast ha subito una perdita del 6,4% mentre Uniasiapacific lo 0,1%. La performance deludente di Unifareast é da attribuire al fatto che, durante i mesi passati, sulle borse asiatiche l´attenzione degli investitori si é rivolta soprattutto verso le Large Caps, favorendo il fondo Uniasia ma sfavorendo Unifareast che, nel periodo di riferimento, era particolarmente pesato sui titoli Small e Mid Caps. Infine, anche la forte esposizione sulla Cina ha influito negativamente. Complessivamente comunque, nell’ultimo anno, la performance dei fondi asiatici di Union Investment, se confrontata ai prodotti dei principali competitors, é stata piú che positiva: al 31 maggio 2004 Unifareast ha registrato una performance di +30,9%, Uniasiapacific +43,3% e Uniasia +36,1%. Punto di forza di questi prodotti é il portafoglio ampiamente diversificato per area geografica, per settore e per stile di investimento. Dato l’elevato grado del rapporto rischio/opportunitá (determinatoanche dall’effetto valute); questi fondi si prestano ad integrare portafogli azionari esistenti.  
   
   
STEFANO VIGHI – ECONOMISTA E SALES MANAGER DI UNION INVESTMENT: “I MERCATI DEL FAR EAST E I FONDI UNION INVESTMENT”  
 
Milano, 30 giugno 2004 - Dopo un 2003 ricco di soddisfazioni il trend dei mercati emergenti asiatici ha vissuto fasi piuttosto turbolente nel 2004. Nel corso dei primi mesi dell’anno, sebbene numerosi fattori (dati macroeconomici relativamente solidi sostenuti, a loro volta, da una positiva dinamica congiunturale Usa e dati aziendali positivi, soprattutto grazie ai forti impulsi di crescita mostrati dalla Cina) rendevano probabile una prosecuzione della fase di crescita, ma ora il sentiment positivo su questi mercati si é in parte attenuato. La tendenza al rialzo dei prezzi é durata sino alla fine di aprile. In seguito il mercato ha registrato numerose correzioni che hanno interrotto il trend in salita. Una delle cause principali é da ricercarsi nelle misure adottate dalle autorità cinesi allo scopo di frenare la congiuntura ormai in fase di surriscaldamento. I timori circa un rallentamento dell‘economia della Cina (ritenuto motore di crescita dell´intera area geografica) hanno provocato reazioni forti con casi di panic-selling. Hanno inoltre influito anche i timori circa un aumento dei tassi da parte della Fed in Usa (dopo i dati relativi al mercato del lavoro che hanno evidenziato un quadro economico in netta ripresa) e il prezzo del petrolio. Il continente asiatico soffre di una forte dipendenza dalle importazioni petrolifere e solamente Malesia e Indonesia, che dispongono di propri giacimenti petroliferi, sono state poco colpite dai rincari del greggio. Il tutto ha portato a una „svalutazione“ degli utili/profitti raggiunti a inizio 2004 e spesso anche a perdite considerevoli sulle quotazioni. I mercati azionari di Cina (H-shares) e Tailandia, che nel 2003 avevano raggiunto tassi di crescita superiori al 100%, hanno registrato le perdite piú significative ed anche per i prossimi mesi prevediamo una forte volatilitá quale fattore determinante per i mercati asiatici. L´incertezza deriva sopratutto dalla discussione tuttora in corso su un possibile „hard o soft landing“ della congiuntura cinese. A causa della forte incertezza circa la tendenza di breve-medio termine, consigliamo un approccio cauto e di attesa. Tuttavia la nostra visione del mercato asiatico nel lungo termine non è cambiata e restiamo positivi sulle prospettive di crescita. I dati macroeconomici, in gran parte positivi, riguardanti i buoni risultati aziendali nonché gli interessanti livelli dei dividendi accompagnati da „evaluation ratio“ soddisfacenti rappresentano, a nostro parere, le condizioni ideali per investimenti nelle borse dell´Estremo Oriente. Nonostante l´atteso rallentamento della congiuntura, la Cina continua ad essere il „motore“ della crescita per l´intera regione. Il governo si muove comunque per garantire ed estendere la crescita economica a zone meno sviluppate (le zone rurali) e non dimentichiamo che la domanda interna e gli investimenti delle imprese locali dovrebbero ancora crescere. Siamo quindi convinti che l´attuale consolidamento rappresenti un‘opportunitá di investimento per chi voglia costruire posizioni azionarie con valutazioni basse o, quantomeno, favorevoli. Uniasia, Uniasiapacific e Unifareast sono fondi azionari che investono unicamente sui mercati asiatici differenziandosi, però, per allocazione geografica. Unifareast investe esclusivamente sui mercati emergenti. Non sono, pertanto, contemplati investimenti in piazze quali Singapore e Hong Kong che, essendo mercati già sviluppati, sono meno interessanti ai fini della filosofia d’investimento del prodotto. Sono invece presenti posizioni nello Sri Lanka e in Pakistan, mentre l´India é stata introdotta solo recentemente nel benchmark di riferimento. Inoltre, il fondo investe quasi il 25% del proprio patrimonio in Cina. Uniasia é l´unico in questa serie di fondi a detenere posizioni in titoli giapponesi, mentre Uniasiapacific é l´unico che presenta investimenti in Australia e Nuova Zelanda. Principalmente, i tre fondi investono nella Corea del Sud, Taiwan, sui mercati emergenti quali Tailandia, Cina, India, Indonesia, Malesia e Filippine, con pesi molto differenti tra loro. Ulteriori differenze riguardano i criteri di selezione dei titoli: mentre Uniasiapacific e Unifareast sono gestiti secondo uno stile di investimento „blend“ (mix equilibrato di titoli, growth“ e „value“, spesso Small Caps); Uniasia investe prevalentemente in Blue Chips. Quasi il 25% del patrimonio di Unifareast é investito in Cina. Come già detto, le recenti manovre congiunturali in Cina, volte a frenare il boom di crescita, sono state la causa principale del crollo delle quotazioni delle borse asiatiche. Gli operatori erano ampiamente consci che gli impulsi congiunturali provenienti dalla Cina e che sostengono l’intera regione asiatica (incluso il Giappone) erano destinati a raffreddarsi o comunque a diminuire e anche il crollo dei prezzi dei metalli e delle materie prime é chiaramente dipeso dal fatto che la Cina é un grande importatore di metalli industriali, oro e petrolio. Il 25% della produzione mondiale di rame, il 20% di alluminio e Nickel e il 36% di acciaio vengono assorbite dalla Cina la cui economia, nel 2003, é cresciuta del 9,1%. Nel primo trimestre 2004 si é registrata una crescita del Pil del 9,7% e gli investimenti correnti dell’industria sono cresciuti di oltre il 40%. Il Governo ha però deciso di intervenire quasi improvvisamente bloccando, in parte, la concessione di crediti alle imprese. Nel contempo la Banca Centrale cinese ha aumentato le riserve minime di liquiditá degli istituti di credito per la terza volta in 7 mesi. Tali misure sono volte a evitare una crescita economica superiore all’8% per il 2004. A nostro parere tali interventi sono stati accolti dal mercato dei risparmiatori con eccessivi timori suscitando un panico non sempre motivato. Riteniamo infatti che non sussistano pericoli reali circa la ripresa della congiuntura nell’area asiatica e che la Cina non sia destinata a perdere il ruolo di locomotiva economica locale. Crediamo piuttosto in un prossimo ritorno alla normalitá dopo una fase di forte volatilitá. Il listino cinese presenta diverse categorie di azioni, per questo motivo affermazioni riguardanti l´andamento del mercato cinese potrebbero essere fuorvianti o, talvolta, apparire poco chiare. H-shares: le grandi imprese statali cinesi (Soe= State-owned Enterprises); quotate su Hong Kong (per esempio China Telecom). Inoltre, gran parte delle H-shares vengono trattate sulla Borsa di New York sotto forma di Adr’s (esempi: China Mobile, China Life o China Semiconductor). B-shares: possono essere acquistate da investitori stranieri. A-shares: possono essere acquistate esclusivamente da investitori locali, esiste però una categoria di titoli A-shares in Usd, un mercato un cosiddetto „Developed“ che, al contrario dei mercati emergenti molto più volatili, rappresenta un investimento più stabile e consolidato; infatti le fluttuazioni dei prezzi non sono cosí forti come sulle borse asiatiche anche se, nel contempo, non si registrano trend rialzisti definiti. Come già accaduto nel 2003, anche nel primo semestre 2004 Uniasiapacific ha conseguito performance brillanti, e ciò grazie all´aumento dei prezzi delle materie prime, alla forza della valuta australiana e all´elevato tasso di sconto rispetto agli Usa. Il mercato azionario australiano Il mercato azionario australiano é noto per gli elevati rendimenti (dividend yield) e per l‘ampia varietá di titoli legati al settore delle materie prime. Il Dollaro australiano, così come il Dollaro canadese e il Rand sudafricano, é una valuta correlata ai prezzi delle materie prime e questo ha inciso positivamente sulla performance di Uniasiapacific che é fortemente investito in titoli attivi nel settore delle materie prime e favorito, quindi, dal rialzo delle quotazioni sui mercati delle Commodities. Alla performance del fondo ha contribuito inoltre l‘elevato tasso di interesse che ha reso l´Australia un paese appetibile agli investitori esteri portando grandi flussi di capitali stranieri. Uniasia investe nel Giappone Il Giappone, con un peso del 22%, rappresenta il principale Paese nel fondo Uniasia. Da inizio 2004, il mercato azionario giapponese ha registrato un andamento positivo malgrado le tensioni legate ad un imminente rialzo dei tassi Usa e agli interventi economici attuati dal governo cinese. Anche se manteniamo un giudizio positivo, nel lungo termine, circa il potenziale di crescita del mercato giapponese, non escludiamo fasi di forte volatilitá e incertezza nel breve termine come pure un andamento senza una chiara direzione. L´andamento della congiuntura rimane il tema piú importante: i dati economici indicano sviluppi positivi ma non paiono ancora del tutto convincenti. Il dato migliore relativo al primo trimestre 2004 riguarda la crescita del Pil pari al 5,6% e superiore alle attese del mercato. Ci attendiamo dati aziendali soddisfacenti e possibili sorprese positive in termini di utili. Alla luce di un tasso di crescita notevolissimo, la borsa indiana rappresenta uno dei mercati asiatici con le migliori prospettive di lungo termine. Investimenti sul listino azionario indiano sono presenti nei fondi Uniasiapacific e Unifareast. Dopo mesi di consistenti rialzi, il mercato azionario indiano ha destato forti preoccupazioni e mostrato una forte turbolenza delle quotazioni. A prescindere dall´impatto negativo della questione cinese, sul mercato indiano ha pesato fortemente il recente esito elettorale con l‘inattesa vittoria del Partito del Congresso e i conseguenti timori circa la possibilitá che il Partito Comunista locale possa entrare a far parte dell’Esecutivo. Gli operatori hanno infatti scorto pericoli di rallentamento delle riforme politiche e hanno reagito liquidando, rapidamente, buona parte delle posizioni detenute. In un secondo momento é risultato chiaro che il Partito Comunista non sarebbe entrato nel Governo e con la nomina di Chaidambaram a Ministro delle Finanze é finalmente tornata la calma sui mercati e si sono registrati anche forti recuperi. Le speranze circa una riforma efficiente e, soprattutto, gli sforzi volti allo sviluppo dei settori agricolo ed edilizio (strade, impianti di irrigazione, sistema scolastico) come pure il programma di privatizzazioni, spingono i mercati al rialzo. Sulla base di tali elementi si prospetta una crescita considerevole del mercato azionario indiano. Il tasso di crescita dell‘8,1% nell´anno fiscale 2004 (31.03) rappresenta un ulteriore elemento a conforto delle prospettive di crescita target al 10%. Alla fine dello scorso maggio Unifareast ha subito una perdita del 6,4% mentre Uniasiapacific lo 0,1%. La performance deludente di Unifareast é da attribuire al fatto che, durante i mesi passati, sulle borse asiatiche l´attenzione degli investitori si é rivolta soprattutto verso le Large Caps, favorendo il fondo Uniasia ma sfavorendo Unifareast che, nel periodo di riferimento, era particolarmente pesato sui titoli Small e Mid Caps. Infine, anche la forte esposizione sulla Cina ha influito negativamente. Complessivamente comunque, nell’ultimo anno, la performance dei fondi asiatici di Union Investment, se confrontata ai prodotti dei principali competitors, é stata piú che positiva: al 31 maggio 2004 Unifareast ha registrato una performance di +30,9%, Uniasiapacific +43,3% e Uniasia +36,1%. Punto di forza di questi prodotti é il portafoglio ampiamente diversificato per area geografica, per settore e per stile di investimento. Dato l’elevato grado del rapporto rischio/opportunitá (determinatoanche dall’effetto valute); questi fondi si prestano ad integrare portafogli azionari esistenti.  
   
   
STEFANO VIGHI – ECONOMISTA E SALES MANAGER DI UNION INVESTMENT: “I MERCATI DEL FAR EAST E I FONDI UNION INVESTMENT”  
 
Milano, 30 giugno 2004 - Dopo un 2003 ricco di soddisfazioni il trend dei mercati emergenti asiatici ha vissuto fasi piuttosto turbolente nel 2004. Nel corso dei primi mesi dell’anno, sebbene numerosi fattori (dati macroeconomici relativamente solidi sostenuti, a loro volta, da una positiva dinamica congiunturale Usa e dati aziendali positivi, soprattutto grazie ai forti impulsi di crescita mostrati dalla Cina) rendevano probabile una prosecuzione della fase di crescita, ma ora il sentiment positivo su questi mercati si é in parte attenuato. La tendenza al rialzo dei prezzi é durata sino alla fine di aprile. In seguito il mercato ha registrato numerose correzioni che hanno interrotto il trend in salita. Una delle cause principali é da ricercarsi nelle misure adottate dalle autorità cinesi allo scopo di frenare la congiuntura ormai in fase di surriscaldamento. I timori circa un rallentamento dell‘economia della Cina (ritenuto motore di crescita dell´intera area geografica) hanno provocato reazioni forti con casi di panic-selling. Hanno inoltre influito anche i timori circa un aumento dei tassi da parte della Fed in Usa (dopo i dati relativi al mercato del lavoro che hanno evidenziato un quadro economico in netta ripresa) e il prezzo del petrolio. Il continente asiatico soffre di una forte dipendenza dalle importazioni petrolifere e solamente Malesia e Indonesia, che dispongono di propri giacimenti petroliferi, sono state poco colpite dai rincari del greggio. Il tutto ha portato a una „svalutazione“ degli utili/profitti raggiunti a inizio 2004 e spesso anche a perdite considerevoli sulle quotazioni. I mercati azionari di Cina (H-shares) e Tailandia, che nel 2003 avevano raggiunto tassi di crescita superiori al 100%, hanno registrato le perdite piú significative ed anche per i prossimi mesi prevediamo una forte volatilitá quale fattore determinante per i mercati asiatici. L´incertezza deriva sopratutto dalla discussione tuttora in corso su un possibile „hard o soft landing“ della congiuntura cinese. A causa della forte incertezza circa la tendenza di breve-medio termine, consigliamo un approccio cauto e di attesa. Tuttavia la nostra visione del mercato asiatico nel lungo termine non è cambiata e restiamo positivi sulle prospettive di crescita. I dati macroeconomici, in gran parte positivi, riguardanti i buoni risultati aziendali nonché gli interessanti livelli dei dividendi accompagnati da „evaluation ratio“ soddisfacenti rappresentano, a nostro parere, le condizioni ideali per investimenti nelle borse dell´Estremo Oriente. Nonostante l´atteso rallentamento della congiuntura, la Cina continua ad essere il „motore“ della crescita per l´intera regione. Il governo si muove comunque per garantire ed estendere la crescita economica a zone meno sviluppate (le zone rurali) e non dimentichiamo che la domanda interna e gli investimenti delle imprese locali dovrebbero ancora crescere. Siamo quindi convinti che l´attuale consolidamento rappresenti un‘opportunitá di investimento per chi voglia costruire posizioni azionarie con valutazioni basse o, quantomeno, favorevoli. Uniasia, Uniasiapacific e Unifareast sono fondi azionari che investono unicamente sui mercati asiatici differenziandosi, però, per allocazione geografica. Unifareast investe esclusivamente sui mercati emergenti. Non sono, pertanto, contemplati investimenti in piazze quali Singapore e Hong Kong che, essendo mercati già sviluppati, sono meno interessanti ai fini della filosofia d’investimento del prodotto. Sono invece presenti posizioni nello Sri Lanka e in Pakistan, mentre l´India é stata introdotta solo recentemente nel benchmark di riferimento. Inoltre, il fondo investe quasi il 25% del proprio patrimonio in Cina. Uniasia é l´unico in questa serie di fondi a detenere posizioni in titoli giapponesi, mentre Uniasiapacific é l´unico che presenta investimenti in Australia e Nuova Zelanda. Principalmente, i tre fondi investono nella Corea del Sud, Taiwan, sui mercati emergenti quali Tailandia, Cina, India, Indonesia, Malesia e Filippine, con pesi molto differenti tra loro. Ulteriori differenze riguardano i criteri di selezione dei titoli: mentre Uniasiapacific e Unifareast sono gestiti secondo uno stile di investimento „blend“ (mix equilibrato di titoli, growth“ e „value“, spesso Small Caps); Uniasia investe prevalentemente in Blue Chips. Quasi il 25% del patrimonio di Unifareast é investito in Cina. Come già detto, le recenti manovre congiunturali in Cina, volte a frenare il boom di crescita, sono state la causa principale del crollo delle quotazioni delle borse asiatiche. Gli operatori erano ampiamente consci che gli impulsi congiunturali provenienti dalla Cina e che sostengono l’intera regione asiatica (incluso il Giappone) erano destinati a raffreddarsi o comunque a diminuire e anche il crollo dei prezzi dei metalli e delle materie prime é chiaramente dipeso dal fatto che la Cina é un grande importatore di metalli industriali, oro e petrolio. Il 25% della produzione mondiale di rame, il 20% di alluminio e Nickel e il 36% di acciaio vengono assorbite dalla Cina la cui economia, nel 2003, é cresciuta del 9,1%. Nel primo trimestre 2004 si é registrata una crescita del Pil del 9,7% e gli investimenti correnti dell’industria sono cresciuti di oltre il 40%. Il Governo ha però deciso di intervenire quasi improvvisamente bloccando, in parte, la concessione di crediti alle imprese. Nel contempo la Banca Centrale cinese ha aumentato le riserve minime di liquiditá degli istituti di credito per la terza volta in 7 mesi. Tali misure sono volte a evitare una crescita economica superiore all’8% per il 2004. A nostro parere tali interventi sono stati accolti dal mercato dei risparmiatori con eccessivi timori suscitando un panico non sempre motivato. Riteniamo infatti che non sussistano pericoli reali circa la ripresa della congiuntura nell’area asiatica e che la Cina non sia destinata a perdere il ruolo di locomotiva economica locale. Crediamo piuttosto in un prossimo ritorno alla normalitá dopo una fase di forte volatilitá. Il listino cinese presenta diverse categorie di azioni, per questo motivo affermazioni riguardanti l´andamento del mercato cinese potrebbero essere fuorvianti o, talvolta, apparire poco chiare. H-shares: le grandi imprese statali cinesi (Soe= State-owned Enterprises); quotate su Hong Kong (per esempio China Telecom). Inoltre, gran parte delle H-shares vengono trattate sulla Borsa di New York sotto forma di Adr’s (esempi: China Mobile, China Life o China Semiconductor). B-shares: possono essere acquistate da investitori stranieri. A-shares: possono essere acquistate esclusivamente da investitori locali, esiste però una categoria di titoli A-shares in Usd, un mercato un cosiddetto „Developed“ che, al contrario dei mercati emergenti molto più volatili, rappresenta un investimento più stabile e consolidato; infatti le fluttuazioni dei prezzi non sono cosí forti come sulle borse asiatiche anche se, nel contempo, non si registrano trend rialzisti definiti. Come già accaduto nel 2003, anche nel primo semestre 2004 Uniasiapacific ha conseguito performance brillanti, e ciò grazie all´aumento dei prezzi delle materie prime, alla forza della valuta australiana e all´elevato tasso di sconto rispetto agli Usa. Il mercato azionario australiano Il mercato azionario australiano é noto per gli elevati rendimenti (dividend yield) e per l‘ampia varietá di titoli legati al settore delle materie prime. Il Dollaro australiano, così come il Dollaro canadese e il Rand sudafricano, é una valuta correlata ai prezzi delle materie prime e questo ha inciso positivamente sulla performance di Uniasiapacific che é fortemente investito in titoli attivi nel settore delle materie prime e favorito, quindi, dal rialzo delle quotazioni sui mercati delle Commodities. Alla performance del fondo ha contribuito inoltre l‘elevato tasso di interesse che ha reso l´Australia un paese appetibile agli investitori esteri portando grandi flussi di capitali stranieri. Uniasia investe nel Giappone Il Giappone, con un peso del 22%, rappresenta il principale Paese nel fondo Uniasia. Da inizio 2004, il mercato azionario giapponese ha registrato un andamento positivo malgrado le tensioni legate ad un imminente rialzo dei tassi Usa e agli interventi economici attuati dal governo cinese. Anche se manteniamo un giudizio positivo, nel lungo termine, circa il potenziale di crescita del mercato giapponese, non escludiamo fasi di forte volatilitá e incertezza nel breve termine come pure un andamento senza una chiara direzione. L´andamento della congiuntura rimane il tema piú importante: i dati economici indicano sviluppi positivi ma non paiono ancora del tutto convincenti. Il dato migliore relativo al primo trimestre 2004 riguarda la crescita del Pil pari al 5,6% e superiore alle attese del mercato. Ci attendiamo dati aziendali soddisfacenti e possibili sorprese positive in termini di utili. Alla luce di un tasso di crescita notevolissimo, la borsa indiana rappresenta uno dei mercati asiatici con le migliori prospettive di lungo termine. Investimenti sul listino azionario indiano sono presenti nei fondi Uniasiapacific e Unifareast. Dopo mesi di consistenti rialzi, il mercato azionario indiano ha destato forti preoccupazioni e mostrato una forte turbolenza delle quotazioni. A prescindere dall´impatto negativo della questione cinese, sul mercato indiano ha pesato fortemente il recente esito elettorale con l‘inattesa vittoria del Partito del Congresso e i conseguenti timori circa la possibilitá che il Partito Comunista locale possa entrare a far parte dell’Esecutivo. Gli operatori hanno infatti scorto pericoli di rallentamento delle riforme politiche e hanno reagito liquidando, rapidamente, buona parte delle posizioni detenute. In un secondo momento é risultato chiaro che il Partito Comunista non sarebbe entrato nel Governo e con la nomina di Chaidambaram a Ministro delle Finanze é finalmente tornata la calma sui mercati e si sono registrati anche forti recuperi. Le speranze circa una riforma efficiente e, soprattutto, gli sforzi volti allo sviluppo dei settori agricolo ed edilizio (strade, impianti di irrigazione, sistema scolastico) come pure il programma di privatizzazioni, spingono i mercati al rialzo. Sulla base di tali elementi si prospetta una crescita considerevole del mercato azionario indiano. Il tasso di crescita dell‘8,1% nell´anno fiscale 2004 (31.03) rappresenta un ulteriore elemento a conforto delle prospettive di crescita target al 10%. Alla fine dello scorso maggio Unifareast ha subito una perdita del 6,4% mentre Uniasiapacific lo 0,1%. La performance deludente di Unifareast é da attribuire al fatto che, durante i mesi passati, sulle borse asiatiche l´attenzione degli investitori si é rivolta soprattutto verso le Large Caps, favorendo il fondo Uniasia ma sfavorendo Unifareast che, nel periodo di riferimento, era particolarmente pesato sui titoli Small e Mid Caps. Infine, anche la forte esposizione sulla Cina ha influito negativamente. Complessivamente comunque, nell’ultimo anno, la performance dei fondi asiatici di Union Investment, se confrontata ai prodotti dei principali competitors, é stata piú che positiva: al 31 maggio 2004 Unifareast ha registrato una performance di +30,9%, Uniasiapacific +43,3% e Uniasia +36,1%. Punto di forza di questi prodotti é il portafoglio ampiamente diversificato per area geografica, per settore e per stile di investimento. Dato l’elevato grado del rapporto rischio/opportunitá (determinatoanche dall’effetto valute); questi fondi si prestano ad integrare portafogli azionari esistenti.  
   
   
STEFANO VIGHI – ECONOMISTA E SALES MANAGER DI UNION INVESTMENT: “I MERCATI DEL FAR EAST E I FONDI UNION INVESTMENT”  
 
Milano, 30 giugno 2004 - Dopo un 2003 ricco di soddisfazioni il trend dei mercati emergenti asiatici ha vissuto fasi piuttosto turbolente nel 2004. Nel corso dei primi mesi dell’anno, sebbene numerosi fattori (dati macroeconomici relativamente solidi sostenuti, a loro volta, da una positiva dinamica congiunturale Usa e dati aziendali positivi, soprattutto grazie ai forti impulsi di crescita mostrati dalla Cina) rendevano probabile una prosecuzione della fase di crescita, ma ora il sentiment positivo su questi mercati si é in parte attenuato. La tendenza al rialzo dei prezzi é durata sino alla fine di aprile. In seguito il mercato ha registrato numerose correzioni che hanno interrotto il trend in salita. Una delle cause principali é da ricercarsi nelle misure adottate dalle autorità cinesi allo scopo di frenare la congiuntura ormai in fase di surriscaldamento. I timori circa un rallentamento dell‘economia della Cina (ritenuto motore di crescita dell´intera area geografica) hanno provocato reazioni forti con casi di panic-selling. Hanno inoltre influito anche i timori circa un aumento dei tassi da parte della Fed in Usa (dopo i dati relativi al mercato del lavoro che hanno evidenziato un quadro economico in netta ripresa) e il prezzo del petrolio. Il continente asiatico soffre di una forte dipendenza dalle importazioni petrolifere e solamente Malesia e Indonesia, che dispongono di propri giacimenti petroliferi, sono state poco colpite dai rincari del greggio. Il tutto ha portato a una „svalutazione“ degli utili/profitti raggiunti a inizio 2004 e spesso anche a perdite considerevoli sulle quotazioni. I mercati azionari di Cina (H-shares) e Tailandia, che nel 2003 avevano raggiunto tassi di crescita superiori al 100%, hanno registrato le perdite piú significative ed anche per i prossimi mesi prevediamo una forte volatilitá quale fattore determinante per i mercati asiatici. L´incertezza deriva sopratutto dalla discussione tuttora in corso su un possibile „hard o soft landing“ della congiuntura cinese. A causa della forte incertezza circa la tendenza di breve-medio termine, consigliamo un approccio cauto e di attesa. Tuttavia la nostra visione del mercato asiatico nel lungo termine non è cambiata e restiamo positivi sulle prospettive di crescita. I dati macroeconomici, in gran parte positivi, riguardanti i buoni risultati aziendali nonché gli interessanti livelli dei dividendi accompagnati da „evaluation ratio“ soddisfacenti rappresentano, a nostro parere, le condizioni ideali per investimenti nelle borse dell´Estremo Oriente. Nonostante l´atteso rallentamento della congiuntura, la Cina continua ad essere il „motore“ della crescita per l´intera regione. Il governo si muove comunque per garantire ed estendere la crescita economica a zone meno sviluppate (le zone rurali) e non dimentichiamo che la domanda interna e gli investimenti delle imprese locali dovrebbero ancora crescere. Siamo quindi convinti che l´attuale consolidamento rappresenti un‘opportunitá di investimento per chi voglia costruire posizioni azionarie con valutazioni basse o, quantomeno, favorevoli. Uniasia, Uniasiapacific e Unifareast sono fondi azionari che investono unicamente sui mercati asiatici differenziandosi, però, per allocazione geografica. Unifareast investe esclusivamente sui mercati emergenti. Non sono, pertanto, contemplati investimenti in piazze quali Singapore e Hong Kong che, essendo mercati già sviluppati, sono meno interessanti ai fini della filosofia d’investimento del prodotto. Sono invece presenti posizioni nello Sri Lanka e in Pakistan, mentre l´India é stata introdotta solo recentemente nel benchmark di riferimento. Inoltre, il fondo investe quasi il 25% del proprio patrimonio in Cina. Uniasia é l´unico in questa serie di fondi a detenere posizioni in titoli giapponesi, mentre Uniasiapacific é l´unico che presenta investimenti in Australia e Nuova Zelanda. Principalmente, i tre fondi investono nella Corea del Sud, Taiwan, sui mercati emergenti quali Tailandia, Cina, India, Indonesia, Malesia e Filippine, con pesi molto differenti tra loro. Ulteriori differenze riguardano i criteri di selezione dei titoli: mentre Uniasiapacific e Unifareast sono gestiti secondo uno stile di investimento „blend“ (mix equilibrato di titoli, growth“ e „value“, spesso Small Caps); Uniasia investe prevalentemente in Blue Chips. Quasi il 25% del patrimonio di Unifareast é investito in Cina. Come già detto, le recenti manovre congiunturali in Cina, volte a frenare il boom di crescita, sono state la causa principale del crollo delle quotazioni delle borse asiatiche. Gli operatori erano ampiamente consci che gli impulsi congiunturali provenienti dalla Cina e che sostengono l’intera regione asiatica (incluso il Giappone) erano destinati a raffreddarsi o comunque a diminuire e anche il crollo dei prezzi dei metalli e delle materie prime é chiaramente dipeso dal fatto che la Cina é un grande importatore di metalli industriali, oro e petrolio. Il 25% della produzione mondiale di rame, il 20% di alluminio e Nickel e il 36% di acciaio vengono assorbite dalla Cina la cui economia, nel 2003, é cresciuta del 9,1%. Nel primo trimestre 2004 si é registrata una crescita del Pil del 9,7% e gli investimenti correnti dell’industria sono cresciuti di oltre il 40%. Il Governo ha però deciso di intervenire quasi improvvisamente bloccando, in parte, la concessione di crediti alle imprese. Nel contempo la Banca Centrale cinese ha aumentato le riserve minime di liquiditá degli istituti di credito per la terza volta in 7 mesi. Tali misure sono volte a evitare una crescita economica superiore all’8% per il 2004. A nostro parere tali interventi sono stati accolti dal mercato dei risparmiatori con eccessivi timori suscitando un panico non sempre motivato. Riteniamo infatti che non sussistano pericoli reali circa la ripresa della congiuntura nell’area asiatica e che la Cina non sia destinata a perdere il ruolo di locomotiva economica locale. Crediamo piuttosto in un prossimo ritorno alla normalitá dopo una fase di forte volatilitá. Il listino cinese presenta diverse categorie di azioni, per questo motivo affermazioni riguardanti l´andamento del mercato cinese potrebbero essere fuorvianti o, talvolta, apparire poco chiare. H-shares: le grandi imprese statali cinesi (Soe= State-owned Enterprises); quotate su Hong Kong (per esempio China Telecom). Inoltre, gran parte delle H-shares vengono trattate sulla Borsa di New York sotto forma di Adr’s (esempi: China Mobile, China Life o China Semiconductor). B-shares: possono essere acquistate da investitori stranieri. A-shares: possono essere acquistate esclusivamente da investitori locali, esiste però una categoria di titoli A-shares in Usd, un mercato un cosiddetto „Developed“ che, al contrario dei mercati emergenti molto più volatili, rappresenta un investimento più stabile e consolidato; infatti le fluttuazioni dei prezzi non sono cosí forti come sulle borse asiatiche anche se, nel contempo, non si registrano trend rialzisti definiti. Come già accaduto nel 2003, anche nel primo semestre 2004 Uniasiapacific ha conseguito performance brillanti, e ciò grazie all´aumento dei prezzi delle materie prime, alla forza della valuta australiana e all´elevato tasso di sconto rispetto agli Usa. Il mercato azionario australiano Il mercato azionario australiano é noto per gli elevati rendimenti (dividend yield) e per l‘ampia varietá di titoli legati al settore delle materie prime. Il Dollaro australiano, così come il Dollaro canadese e il Rand sudafricano, é una valuta correlata ai prezzi delle materie prime e questo ha inciso positivamente sulla performance di Uniasiapacific che é fortemente investito in titoli attivi nel settore delle materie prime e favorito, quindi, dal rialzo delle quotazioni sui mercati delle Commodities. Alla performance del fondo ha contribuito inoltre l‘elevato tasso di interesse che ha reso l´Australia un paese appetibile agli investitori esteri portando grandi flussi di capitali stranieri. Uniasia investe nel Giappone Il Giappone, con un peso del 22%, rappresenta il principale Paese nel fondo Uniasia. Da inizio 2004, il mercato azionario giapponese ha registrato un andamento positivo malgrado le tensioni legate ad un imminente rialzo dei tassi Usa e agli interventi economici attuati dal governo cinese. Anche se manteniamo un giudizio positivo, nel lungo termine, circa il potenziale di crescita del mercato giapponese, non escludiamo fasi di forte volatilitá e incertezza nel breve termine come pure un andamento senza una chiara direzione. L´andamento della congiuntura rimane il tema piú importante: i dati economici indicano sviluppi positivi ma non paiono ancora del tutto convincenti. Il dato migliore relativo al primo trimestre 2004 riguarda la crescita del Pil pari al 5,6% e superiore alle attese del mercato. Ci attendiamo dati aziendali soddisfacenti e possibili sorprese positive in termini di utili. Alla luce di un tasso di crescita notevolissimo, la borsa indiana rappresenta uno dei mercati asiatici con le migliori prospettive di lungo termine. Investimenti sul listino azionario indiano sono presenti nei fondi Uniasiapacific e Unifareast. Dopo mesi di consistenti rialzi, il mercato azionario indiano ha destato forti preoccupazioni e mostrato una forte turbolenza delle quotazioni. A prescindere dall´impatto negativo della questione cinese, sul mercato indiano ha pesato fortemente il recente esito elettorale con l‘inattesa vittoria del Partito del Congresso e i conseguenti timori circa la possibilitá che il Partito Comunista locale possa entrare a far parte dell’Esecutivo. Gli operatori hanno infatti scorto pericoli di rallentamento delle riforme politiche e hanno reagito liquidando, rapidamente, buona parte delle posizioni detenute. In un secondo momento é risultato chiaro che il Partito Comunista non sarebbe entrato nel Governo e con la nomina di Chaidambaram a Ministro delle Finanze é finalmente tornata la calma sui mercati e si sono registrati anche forti recuperi. Le speranze circa una riforma efficiente e, soprattutto, gli sforzi volti allo sviluppo dei settori agricolo ed edilizio (strade, impianti di irrigazione, sistema scolastico) come pure il programma di privatizzazioni, spingono i mercati al rialzo. Sulla base di tali elementi si prospetta una crescita considerevole del mercato azionario indiano. Il tasso di crescita dell‘8,1% nell´anno fiscale 2004 (31.03) rappresenta un ulteriore elemento a conforto delle prospettive di crescita target al 10%. Alla fine dello scorso maggio Unifareast ha subito una perdita del 6,4% mentre Uniasiapacific lo 0,1%. La performance deludente di Unifareast é da attribuire al fatto che, durante i mesi passati, sulle borse asiatiche l´attenzione degli investitori si é rivolta soprattutto verso le Large Caps, favorendo il fondo Uniasia ma sfavorendo Unifareast che, nel periodo di riferimento, era particolarmente pesato sui titoli Small e Mid Caps. Infine, anche la forte esposizione sulla Cina ha influito negativamente. Complessivamente comunque, nell’ultimo anno, la performance dei fondi asiatici di Union Investment, se confrontata ai prodotti dei principali competitors, é stata piú che positiva: al 31 maggio 2004 Unifareast ha registrato una performance di +30,9%, Uniasiapacific +43,3% e Uniasia +36,1%. Punto di forza di questi prodotti é il portafoglio ampiamente diversificato per area geografica, per settore e per stile di investimento. Dato l’elevato grado del rapporto rischio/opportunitá (determinatoanche dall’effetto valute); questi fondi si prestano ad integrare portafogli azionari esistenti.  
   
   
STEFANO VIGHI – ECONOMISTA E SALES MANAGER DI UNION INVESTMENT: “I MERCATI DEL FAR EAST E I FONDI UNION INVESTMENT”  
 
Milano, 30 giugno 2004 - Dopo un 2003 ricco di soddisfazioni il trend dei mercati emergenti asiatici ha vissuto fasi piuttosto turbolente nel 2004. Nel corso dei primi mesi dell’anno, sebbene numerosi fattori (dati macroeconomici relativamente solidi sostenuti, a loro volta, da una positiva dinamica congiunturale Usa e dati aziendali positivi, soprattutto grazie ai forti impulsi di crescita mostrati dalla Cina) rendevano probabile una prosecuzione della fase di crescita, ma ora il sentiment positivo su questi mercati si é in parte attenuato. La tendenza al rialzo dei prezzi é durata sino alla fine di aprile. In seguito il mercato ha registrato numerose correzioni che hanno interrotto il trend in salita. Una delle cause principali é da ricercarsi nelle misure adottate dalle autorità cinesi allo scopo di frenare la congiuntura ormai in fase di surriscaldamento. I timori circa un rallentamento dell‘economia della Cina (ritenuto motore di crescita dell´intera area geografica) hanno provocato reazioni forti con casi di panic-selling. Hanno inoltre influito anche i timori circa un aumento dei tassi da parte della Fed in Usa (dopo i dati relativi al mercato del lavoro che hanno evidenziato un quadro economico in netta ripresa) e il prezzo del petrolio. Il continente asiatico soffre di una forte dipendenza dalle importazioni petrolifere e solamente Malesia e Indonesia, che dispongono di propri giacimenti petroliferi, sono state poco colpite dai rincari del greggio. Il tutto ha portato a una „svalutazione“ degli utili/profitti raggiunti a inizio 2004 e spesso anche a perdite considerevoli sulle quotazioni. I mercati azionari di Cina (H-shares) e Tailandia, che nel 2003 avevano raggiunto tassi di crescita superiori al 100%, hanno registrato le perdite piú significative ed anche per i prossimi mesi prevediamo una forte volatilitá quale fattore determinante per i mercati asiatici. L´incertezza deriva sopratutto dalla discussione tuttora in corso su un possibile „hard o soft landing“ della congiuntura cinese. A causa della forte incertezza circa la tendenza di breve-medio termine, consigliamo un approccio cauto e di attesa. Tuttavia la nostra visione del mercato asiatico nel lungo termine non è cambiata e restiamo positivi sulle prospettive di crescita. I dati macroeconomici, in gran parte positivi, riguardanti i buoni risultati aziendali nonché gli interessanti livelli dei dividendi accompagnati da „evaluation ratio“ soddisfacenti rappresentano, a nostro parere, le condizioni ideali per investimenti nelle borse dell´Estremo Oriente. Nonostante l´atteso rallentamento della congiuntura, la Cina continua ad essere il „motore“ della crescita per l´intera regione. Il governo si muove comunque per garantire ed estendere la crescita economica a zone meno sviluppate (le zone rurali) e non dimentichiamo che la domanda interna e gli investimenti delle imprese locali dovrebbero ancora crescere. Siamo quindi convinti che l´attuale consolidamento rappresenti un‘opportunitá di investimento per chi voglia costruire posizioni azionarie con valutazioni basse o, quantomeno, favorevoli. Uniasia, Uniasiapacific e Unifareast sono fondi azionari che investono unicamente sui mercati asiatici differenziandosi, però, per allocazione geografica. Unifareast investe esclusivamente sui mercati emergenti. Non sono, pertanto, contemplati investimenti in piazze quali Singapore e Hong Kong che, essendo mercati già sviluppati, sono meno interessanti ai fini della filosofia d’investimento del prodotto. Sono invece presenti posizioni nello Sri Lanka e in Pakistan, mentre l´India é stata introdotta solo recentemente nel benchmark di riferimento. Inoltre, il fondo investe quasi il 25% del proprio patrimonio in Cina. Uniasia é l´unico in questa serie di fondi a detenere posizioni in titoli giapponesi, mentre Uniasiapacific é l´unico che presenta investimenti in Australia e Nuova Zelanda. Principalmente, i tre fondi investono nella Corea del Sud, Taiwan, sui mercati emergenti quali Tailandia, Cina, India, Indonesia, Malesia e Filippine, con pesi molto differenti tra loro. Ulteriori differenze riguardano i criteri di selezione dei titoli: mentre Uniasiapacific e Unifareast sono gestiti secondo uno stile di investimento „blend“ (mix equilibrato di titoli, growth“ e „value“, spesso Small Caps); Uniasia investe prevalentemente in Blue Chips. Quasi il 25% del patrimonio di Unifareast é investito in Cina. Come già detto, le recenti manovre congiunturali in Cina, volte a frenare il boom di crescita, sono state la causa principale del crollo delle quotazioni delle borse asiatiche. Gli operatori erano ampiamente consci che gli impulsi congiunturali provenienti dalla Cina e che sostengono l’intera regione asiatica (incluso il Giappone) erano destinati a raffreddarsi o comunque a diminuire e anche il crollo dei prezzi dei metalli e delle materie prime é chiaramente dipeso dal fatto che la Cina é un grande importatore di metalli industriali, oro e petrolio. Il 25% della produzione mondiale di rame, il 20% di alluminio e Nickel e il 36% di acciaio vengono assorbite dalla Cina la cui economia, nel 2003, é cresciuta del 9,1%. Nel primo trimestre 2004 si é registrata una crescita del Pil del 9,7% e gli investimenti correnti dell’industria sono cresciuti di oltre il 40%. Il Governo ha però deciso di intervenire quasi improvvisamente bloccando, in parte, la concessione di crediti alle imprese. Nel contempo la Banca Centrale cinese ha aumentato le riserve minime di liquiditá degli istituti di credito per la terza volta in 7 mesi. Tali misure sono volte a evitare una crescita economica superiore all’8% per il 2004. A nostro parere tali interventi sono stati accolti dal mercato dei risparmiatori con eccessivi timori suscitando un panico non sempre motivato. Riteniamo infatti che non sussistano pericoli reali circa la ripresa della congiuntura nell’area asiatica e che la Cina non sia destinata a perdere il ruolo di locomotiva economica locale. Crediamo piuttosto in un prossimo ritorno alla normalitá dopo una fase di forte volatilitá. Il listino cinese presenta diverse categorie di azioni, per questo motivo affermazioni riguardanti l´andamento del mercato cinese potrebbero essere fuorvianti o, talvolta, apparire poco chiare. H-shares: le grandi imprese statali cinesi (Soe= State-owned Enterprises); quotate su Hong Kong (per esempio China Telecom). Inoltre, gran parte delle H-shares vengono trattate sulla Borsa di New York sotto forma di Adr’s (esempi: China Mobile, China Life o China Semiconductor). B-shares: possono essere acquistate da investitori stranieri. A-shares: possono essere acquistate esclusivamente da investitori locali, esiste però una categoria di titoli A-shares in Usd, un mercato un cosiddetto „Developed“ che, al contrario dei mercati emergenti molto più volatili, rappresenta un investimento più stabile e consolidato; infatti le fluttuazioni dei prezzi non sono cosí forti come sulle borse asiatiche anche se, nel contempo, non si registrano trend rialzisti definiti. Come già accaduto nel 2003, anche nel primo semestre 2004 Uniasiapacific ha conseguito performance brillanti, e ciò grazie all´aumento dei prezzi delle materie prime, alla forza della valuta australiana e all´elevato tasso di sconto rispetto agli Usa. Il mercato azionario australiano Il mercato azionario australiano é noto per gli elevati rendimenti (dividend yield) e per l‘ampia varietá di titoli legati al settore delle materie prime. Il Dollaro australiano, così come il Dollaro canadese e il Rand sudafricano, é una valuta correlata ai prezzi delle materie prime e questo ha inciso positivamente sulla performance di Uniasiapacific che é fortemente investito in titoli attivi nel settore delle materie prime e favorito, quindi, dal rialzo delle quotazioni sui mercati delle Commodities. Alla performance del fondo ha contribuito inoltre l‘elevato tasso di interesse che ha reso l´Australia un paese appetibile agli investitori esteri portando grandi flussi di capitali stranieri. Uniasia investe nel Giappone Il Giappone, con un peso del 22%, rappresenta il principale Paese nel fondo Uniasia. Da inizio 2004, il mercato azionario giapponese ha registrato un andamento positivo malgrado le tensioni legate ad un imminente rialzo dei tassi Usa e agli interventi economici attuati dal governo cinese. Anche se manteniamo un giudizio positivo, nel lungo termine, circa il potenziale di crescita del mercato giapponese, non escludiamo fasi di forte volatilitá e incertezza nel breve termine come pure un andamento senza una chiara direzione. L´andamento della congiuntura rimane il tema piú importante: i dati economici indicano sviluppi positivi ma non paiono ancora del tutto convincenti. Il dato migliore relativo al primo trimestre 2004 riguarda la crescita del Pil pari al 5,6% e superiore alle attese del mercato. Ci attendiamo dati aziendali soddisfacenti e possibili sorprese positive in termini di utili. Alla luce di un tasso di crescita notevolissimo, la borsa indiana rappresenta uno dei mercati asiatici con le migliori prospettive di lungo termine. Investimenti sul listino azionario indiano sono presenti nei fondi Uniasiapacific e Unifareast. Dopo mesi di consistenti rialzi, il mercato azionario indiano ha destato forti preoccupazioni e mostrato una forte turbolenza delle quotazioni. A prescindere dall´impatto negativo della questione cinese, sul mercato indiano ha pesato fortemente il recente esito elettorale con l‘inattesa vittoria del Partito del Congresso e i conseguenti timori circa la possibilitá che il Partito Comunista locale possa entrare a far parte dell’Esecutivo. Gli operatori hanno infatti scorto pericoli di rallentamento delle riforme politiche e hanno reagito liquidando, rapidamente, buona parte delle posizioni detenute. In un secondo momento é risultato chiaro che il Partito Comunista non sarebbe entrato nel Governo e con la nomina di Chaidambaram a Ministro delle Finanze é finalmente tornata la calma sui mercati e si sono registrati anche forti recuperi. Le speranze circa una riforma efficiente e, soprattutto, gli sforzi volti allo sviluppo dei settori agricolo ed edilizio (strade, impianti di irrigazione, sistema scolastico) come pure il programma di privatizzazioni, spingono i mercati al rialzo. Sulla base di tali elementi si prospetta una crescita considerevole del mercato azionario indiano. Il tasso di crescita dell‘8,1% nell´anno fiscale 2004 (31.03) rappresenta un ulteriore elemento a conforto delle prospettive di crescita target al 10%. Alla fine dello scorso maggio Unifareast ha subito una perdita del 6,4% mentre Uniasiapacific lo 0,1%. La performance deludente di Unifareast é da attribuire al fatto che, durante i mesi passati, sulle borse asiatiche l´attenzione degli investitori si é rivolta soprattutto verso le Large Caps, favorendo il fondo Uniasia ma sfavorendo Unifareast che, nel periodo di riferimento, era particolarmente pesato sui titoli Small e Mid Caps. Infine, anche la forte esposizione sulla Cina ha influito negativamente. Complessivamente comunque, nell’ultimo anno, la performance dei fondi asiatici di Union Investment, se confrontata ai prodotti dei principali competitors, é stata piú che positiva: al 31 maggio 2004 Unifareast ha registrato una performance di +30,9%, Uniasiapacific +43,3% e Uniasia +36,1%. Punto di forza di questi prodotti é il portafoglio ampiamente diversificato per area geografica, per settore e per stile di investimento. Dato l’elevato grado del rapporto rischio/opportunitá (determinatoanche dall’effetto valute); questi fondi si prestano ad integrare portafogli azionari esistenti.  
   
   
INTERBANCA INVESTIMENTI DUE INVESTE NEL CAPITALE DI CMG S.R.L.  
 
Milano, 30 giugno 2004 - Interbanca Gestione Investimenti Sgr S.p.a., società di gestione di fondi mobiliari chiusi di diritto italiano, annuncia il 25 giugno l’ingresso nel capitale di Cmg S.r.l. Attraverso la sottoscrizione di un aumento di capitale da € 2 Milioni, volto a sostenere il piano di sviluppo industriale dell’azienda. Cmg S.r.l. È uno dei principali produttori italiani di impianti per l’estrusione del film plastico. Ha sede a Cardano al Campo (Va) e produce impianti per l’estrusione del polietilene con la tecnologia denominata in bolla. Nasce nel 1966 su iniziativa di Ferdinando Daverio e Luigi Ghiglino come officina meccanica operativa nel campo della subfornitura nell’industria aeronautica ed in quella della lavorazione delle materie plastiche. Negli anni ottanta, a causa della crisi che ha investito il settore dell’aeronautica, la società ha deciso di concentrarsi nel settore dell’estrusione a soffio. Ispiratore di questo sviluppo è Umberto Daverio, Amministratore Delegato della Società, che anche dopo l’ingresso del fondo, con una quota di minoranza relativa nella compagine sociale, continuerà a guidare l’azienda nel percorso di crescita. Nel 2003 ha realizzato un fatturato di € 13.1 Milioni con un Margine Operativo Lordo pari a € 1.1 Milioni. Cmg S.r.l. Nel 2003 ha realizzato il 92% del proprio fatturato con controparti estere.  
   
   
INTERBANCA INVESTIMENTI DUE INVESTE NEL CAPITALE DI CMG S.R.L.  
 
Milano, 30 giugno 2004 - Interbanca Gestione Investimenti Sgr S.p.a., società di gestione di fondi mobiliari chiusi di diritto italiano, annuncia il 25 giugno l’ingresso nel capitale di Cmg S.r.l. Attraverso la sottoscrizione di un aumento di capitale da € 2 Milioni, volto a sostenere il piano di sviluppo industriale dell’azienda. Cmg S.r.l. È uno dei principali produttori italiani di impianti per l’estrusione del film plastico. Ha sede a Cardano al Campo (Va) e produce impianti per l’estrusione del polietilene con la tecnologia denominata in bolla. Nasce nel 1966 su iniziativa di Ferdinando Daverio e Luigi Ghiglino come officina meccanica operativa nel campo della subfornitura nell’industria aeronautica ed in quella della lavorazione delle materie plastiche. Negli anni ottanta, a causa della crisi che ha investito il settore dell’aeronautica, la società ha deciso di concentrarsi nel settore dell’estrusione a soffio. Ispiratore di questo sviluppo è Umberto Daverio, Amministratore Delegato della Società, che anche dopo l’ingresso del fondo, con una quota di minoranza relativa nella compagine sociale, continuerà a guidare l’azienda nel percorso di crescita. Nel 2003 ha realizzato un fatturato di € 13.1 Milioni con un Margine Operativo Lordo pari a € 1.1 Milioni. Cmg S.r.l. Nel 2003 ha realizzato il 92% del proprio fatturato con controparti estere.  
   
   
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Milano, 30 giugno 2004 - Interbanca Gestione Investimenti Sgr S.p.a., società di gestione di fondi mobiliari chiusi di diritto italiano, annuncia il 25 giugno l’ingresso nel capitale di Cmg S.r.l. Attraverso la sottoscrizione di un aumento di capitale da € 2 Milioni, volto a sostenere il piano di sviluppo industriale dell’azienda. Cmg S.r.l. È uno dei principali produttori italiani di impianti per l’estrusione del film plastico. Ha sede a Cardano al Campo (Va) e produce impianti per l’estrusione del polietilene con la tecnologia denominata in bolla. Nasce nel 1966 su iniziativa di Ferdinando Daverio e Luigi Ghiglino come officina meccanica operativa nel campo della subfornitura nell’industria aeronautica ed in quella della lavorazione delle materie plastiche. Negli anni ottanta, a causa della crisi che ha investito il settore dell’aeronautica, la società ha deciso di concentrarsi nel settore dell’estrusione a soffio. Ispiratore di questo sviluppo è Umberto Daverio, Amministratore Delegato della Società, che anche dopo l’ingresso del fondo, con una quota di minoranza relativa nella compagine sociale, continuerà a guidare l’azienda nel percorso di crescita. Nel 2003 ha realizzato un fatturato di € 13.1 Milioni con un Margine Operativo Lordo pari a € 1.1 Milioni. Cmg S.r.l. Nel 2003 ha realizzato il 92% del proprio fatturato con controparti estere.  
   
   
INTERBANCA INVESTIMENTI DUE INVESTE NEL CAPITALE DI CMG S.R.L.  
 
Milano, 30 giugno 2004 - Interbanca Gestione Investimenti Sgr S.p.a., società di gestione di fondi mobiliari chiusi di diritto italiano, annuncia il 25 giugno l’ingresso nel capitale di Cmg S.r.l. Attraverso la sottoscrizione di un aumento di capitale da € 2 Milioni, volto a sostenere il piano di sviluppo industriale dell’azienda. Cmg S.r.l. È uno dei principali produttori italiani di impianti per l’estrusione del film plastico. Ha sede a Cardano al Campo (Va) e produce impianti per l’estrusione del polietilene con la tecnologia denominata in bolla. Nasce nel 1966 su iniziativa di Ferdinando Daverio e Luigi Ghiglino come officina meccanica operativa nel campo della subfornitura nell’industria aeronautica ed in quella della lavorazione delle materie plastiche. Negli anni ottanta, a causa della crisi che ha investito il settore dell’aeronautica, la società ha deciso di concentrarsi nel settore dell’estrusione a soffio. Ispiratore di questo sviluppo è Umberto Daverio, Amministratore Delegato della Società, che anche dopo l’ingresso del fondo, con una quota di minoranza relativa nella compagine sociale, continuerà a guidare l’azienda nel percorso di crescita. Nel 2003 ha realizzato un fatturato di € 13.1 Milioni con un Margine Operativo Lordo pari a € 1.1 Milioni. Cmg S.r.l. Nel 2003 ha realizzato il 92% del proprio fatturato con controparti estere.  
   
   
INTERBANCA INVESTIMENTI DUE INVESTE NEL CAPITALE DI CMG S.R.L.  
 
Milano, 30 giugno 2004 - Interbanca Gestione Investimenti Sgr S.p.a., società di gestione di fondi mobiliari chiusi di diritto italiano, annuncia il 25 giugno l’ingresso nel capitale di Cmg S.r.l. Attraverso la sottoscrizione di un aumento di capitale da € 2 Milioni, volto a sostenere il piano di sviluppo industriale dell’azienda. Cmg S.r.l. È uno dei principali produttori italiani di impianti per l’estrusione del film plastico. Ha sede a Cardano al Campo (Va) e produce impianti per l’estrusione del polietilene con la tecnologia denominata in bolla. Nasce nel 1966 su iniziativa di Ferdinando Daverio e Luigi Ghiglino come officina meccanica operativa nel campo della subfornitura nell’industria aeronautica ed in quella della lavorazione delle materie plastiche. Negli anni ottanta, a causa della crisi che ha investito il settore dell’aeronautica, la società ha deciso di concentrarsi nel settore dell’estrusione a soffio. Ispiratore di questo sviluppo è Umberto Daverio, Amministratore Delegato della Società, che anche dopo l’ingresso del fondo, con una quota di minoranza relativa nella compagine sociale, continuerà a guidare l’azienda nel percorso di crescita. Nel 2003 ha realizzato un fatturato di € 13.1 Milioni con un Margine Operativo Lordo pari a € 1.1 Milioni. Cmg S.r.l. Nel 2003 ha realizzato il 92% del proprio fatturato con controparti estere.  
   
   
INTERBANCA INVESTIMENTI DUE INVESTE NEL CAPITALE DI CMG S.R.L.  
 
Milano, 30 giugno 2004 - Interbanca Gestione Investimenti Sgr S.p.a., società di gestione di fondi mobiliari chiusi di diritto italiano, annuncia il 25 giugno l’ingresso nel capitale di Cmg S.r.l. Attraverso la sottoscrizione di un aumento di capitale da € 2 Milioni, volto a sostenere il piano di sviluppo industriale dell’azienda. Cmg S.r.l. È uno dei principali produttori italiani di impianti per l’estrusione del film plastico. Ha sede a Cardano al Campo (Va) e produce impianti per l’estrusione del polietilene con la tecnologia denominata in bolla. Nasce nel 1966 su iniziativa di Ferdinando Daverio e Luigi Ghiglino come officina meccanica operativa nel campo della subfornitura nell’industria aeronautica ed in quella della lavorazione delle materie plastiche. Negli anni ottanta, a causa della crisi che ha investito il settore dell’aeronautica, la società ha deciso di concentrarsi nel settore dell’estrusione a soffio. Ispiratore di questo sviluppo è Umberto Daverio, Amministratore Delegato della Società, che anche dopo l’ingresso del fondo, con una quota di minoranza relativa nella compagine sociale, continuerà a guidare l’azienda nel percorso di crescita. Nel 2003 ha realizzato un fatturato di € 13.1 Milioni con un Margine Operativo Lordo pari a € 1.1 Milioni. Cmg S.r.l. Nel 2003 ha realizzato il 92% del proprio fatturato con controparti estere.  
   
   
FINECO LEASING: SUCCESSO DELL’OPERAZIONE DI CARTOLARIZZAZIONE PER 1,45 MLD DI EURO  
 
Milano, 30 maggio 2004 - L’operazione di cartolarizzazione di Fineco Leasing (controllata da Finecogroup, Gruppo Capitalia); lanciata il 28 giugno sul mercato per un valore complessivo di 1,45 miliardi di Euro, è stata accolta con grande interesse da parte degli investitori istituzionali con una domanda superiore di due volte l’offerta che ha permesso di chiudere l’operazione in anticipo di una settimana rispetto al calendario iniziale. Si tratta di una delle maggiori operazioni di cartolarizzazione di canoni leasing sinora realizzata in Europa. Essa vanta, inoltre, il rating massimo di “tripla A” sull’intera emissione, pari al 100% dei crediti ceduti, a conferma della qualità del portafoglio, caratterizzato da un elevato frazionamento su piccole e medie imprese per più dell’80% ubicate nel nord Italia. In particolare, le principali agenzie di rating (Moody’s, Standard & Poor’s e Fitch) hanno assegnato il rating massimo alla classe A da 1,34 miliardi di euro, con una vita media attesa di 3,9 anni. La classe B, da 108,5 milioni, con vita media pari a 7,2 anni, deve il suo rating tripla “A” alla garanzia del Fondo Europeo per gli Investimenti (Fei); che ha consentito a Fineco Leasing di ottenere il più elevato intervento mai effettuato dal Fei stesso su una singola operazione. Prima della garanzia il rating assegnato a questa tranche era “A-”. Ad ulteriore conferma dell’apprezzamento da parte degli investitori della qualità dei crediti sottostanti, nonché della struttura dell’operazione, la fase di bookbuilding si è ufficialmente conclusa in data odierna; gli investitori riceveranno una remunerazione pari al tasso Euribor 3 mesi più un margine di 19 punti base per la classe A e di 10 punti base per la classe B. L’operazione sarà regolata il 9 giugno prossimo con l’emissione dei titoli. Dal punto di vista della distribuzione, la domanda si presenta maggiormente concentrata su investitori di elevato standing, quali banche e fondi comuni, con particolare riferimento agli investitori stranieri. Finecogroup si conferma tra i principali operatori sul mercato internazionale della securitisation portando a termine la decima operazione di questo tipo per un controvalore complessivo di circa 7 miliardi di euro, considerando anche le operazioni realizzate da Banca Fineco su mutui e cessioni del quinto. L’operazione è stata strutturata da Mcc, in qualità di lead arranger, affiancata da Abn Amro e Morgan Stanley in veste di co-arranger. Le tre banche hanno anche agito in qualità di joint lead managers e bookrunners su entrambe le classi. Depfa Bank ha agito come co-manager sulla classe B.  
   
   
FINECO LEASING: SUCCESSO DELL’OPERAZIONE DI CARTOLARIZZAZIONE PER 1,45 MLD DI EURO  
 
Milano, 30 maggio 2004 - L’operazione di cartolarizzazione di Fineco Leasing (controllata da Finecogroup, Gruppo Capitalia); lanciata il 28 giugno sul mercato per un valore complessivo di 1,45 miliardi di Euro, è stata accolta con grande interesse da parte degli investitori istituzionali con una domanda superiore di due volte l’offerta che ha permesso di chiudere l’operazione in anticipo di una settimana rispetto al calendario iniziale. Si tratta di una delle maggiori operazioni di cartolarizzazione di canoni leasing sinora realizzata in Europa. Essa vanta, inoltre, il rating massimo di “tripla A” sull’intera emissione, pari al 100% dei crediti ceduti, a conferma della qualità del portafoglio, caratterizzato da un elevato frazionamento su piccole e medie imprese per più dell’80% ubicate nel nord Italia. In particolare, le principali agenzie di rating (Moody’s, Standard & Poor’s e Fitch) hanno assegnato il rating massimo alla classe A da 1,34 miliardi di euro, con una vita media attesa di 3,9 anni. La classe B, da 108,5 milioni, con vita media pari a 7,2 anni, deve il suo rating tripla “A” alla garanzia del Fondo Europeo per gli Investimenti (Fei); che ha consentito a Fineco Leasing di ottenere il più elevato intervento mai effettuato dal Fei stesso su una singola operazione. Prima della garanzia il rating assegnato a questa tranche era “A-”. Ad ulteriore conferma dell’apprezzamento da parte degli investitori della qualità dei crediti sottostanti, nonché della struttura dell’operazione, la fase di bookbuilding si è ufficialmente conclusa in data odierna; gli investitori riceveranno una remunerazione pari al tasso Euribor 3 mesi più un margine di 19 punti base per la classe A e di 10 punti base per la classe B. L’operazione sarà regolata il 9 giugno prossimo con l’emissione dei titoli. Dal punto di vista della distribuzione, la domanda si presenta maggiormente concentrata su investitori di elevato standing, quali banche e fondi comuni, con particolare riferimento agli investitori stranieri. Finecogroup si conferma tra i principali operatori sul mercato internazionale della securitisation portando a termine la decima operazione di questo tipo per un controvalore complessivo di circa 7 miliardi di euro, considerando anche le operazioni realizzate da Banca Fineco su mutui e cessioni del quinto. L’operazione è stata strutturata da Mcc, in qualità di lead arranger, affiancata da Abn Amro e Morgan Stanley in veste di co-arranger. Le tre banche hanno anche agito in qualità di joint lead managers e bookrunners su entrambe le classi. Depfa Bank ha agito come co-manager sulla classe B.  
   
   
FINECO LEASING: SUCCESSO DELL’OPERAZIONE DI CARTOLARIZZAZIONE PER 1,45 MLD DI EURO  
 
Milano, 30 maggio 2004 - L’operazione di cartolarizzazione di Fineco Leasing (controllata da Finecogroup, Gruppo Capitalia); lanciata il 28 giugno sul mercato per un valore complessivo di 1,45 miliardi di Euro, è stata accolta con grande interesse da parte degli investitori istituzionali con una domanda superiore di due volte l’offerta che ha permesso di chiudere l’operazione in anticipo di una settimana rispetto al calendario iniziale. Si tratta di una delle maggiori operazioni di cartolarizzazione di canoni leasing sinora realizzata in Europa. Essa vanta, inoltre, il rating massimo di “tripla A” sull’intera emissione, pari al 100% dei crediti ceduti, a conferma della qualità del portafoglio, caratterizzato da un elevato frazionamento su piccole e medie imprese per più dell’80% ubicate nel nord Italia. In particolare, le principali agenzie di rating (Moody’s, Standard & Poor’s e Fitch) hanno assegnato il rating massimo alla classe A da 1,34 miliardi di euro, con una vita media attesa di 3,9 anni. La classe B, da 108,5 milioni, con vita media pari a 7,2 anni, deve il suo rating tripla “A” alla garanzia del Fondo Europeo per gli Investimenti (Fei); che ha consentito a Fineco Leasing di ottenere il più elevato intervento mai effettuato dal Fei stesso su una singola operazione. Prima della garanzia il rating assegnato a questa tranche era “A-”. Ad ulteriore conferma dell’apprezzamento da parte degli investitori della qualità dei crediti sottostanti, nonché della struttura dell’operazione, la fase di bookbuilding si è ufficialmente conclusa in data odierna; gli investitori riceveranno una remunerazione pari al tasso Euribor 3 mesi più un margine di 19 punti base per la classe A e di 10 punti base per la classe B. L’operazione sarà regolata il 9 giugno prossimo con l’emissione dei titoli. Dal punto di vista della distribuzione, la domanda si presenta maggiormente concentrata su investitori di elevato standing, quali banche e fondi comuni, con particolare riferimento agli investitori stranieri. Finecogroup si conferma tra i principali operatori sul mercato internazionale della securitisation portando a termine la decima operazione di questo tipo per un controvalore complessivo di circa 7 miliardi di euro, considerando anche le operazioni realizzate da Banca Fineco su mutui e cessioni del quinto. L’operazione è stata strutturata da Mcc, in qualità di lead arranger, affiancata da Abn Amro e Morgan Stanley in veste di co-arranger. Le tre banche hanno anche agito in qualità di joint lead managers e bookrunners su entrambe le classi. Depfa Bank ha agito come co-manager sulla classe B.  
   
   
FINECO LEASING: SUCCESSO DELL’OPERAZIONE DI CARTOLARIZZAZIONE PER 1,45 MLD DI EURO  
 
Milano, 30 maggio 2004 - L’operazione di cartolarizzazione di Fineco Leasing (controllata da Finecogroup, Gruppo Capitalia); lanciata il 28 giugno sul mercato per un valore complessivo di 1,45 miliardi di Euro, è stata accolta con grande interesse da parte degli investitori istituzionali con una domanda superiore di due volte l’offerta che ha permesso di chiudere l’operazione in anticipo di una settimana rispetto al calendario iniziale. Si tratta di una delle maggiori operazioni di cartolarizzazione di canoni leasing sinora realizzata in Europa. Essa vanta, inoltre, il rating massimo di “tripla A” sull’intera emissione, pari al 100% dei crediti ceduti, a conferma della qualità del portafoglio, caratterizzato da un elevato frazionamento su piccole e medie imprese per più dell’80% ubicate nel nord Italia. In particolare, le principali agenzie di rating (Moody’s, Standard & Poor’s e Fitch) hanno assegnato il rating massimo alla classe A da 1,34 miliardi di euro, con una vita media attesa di 3,9 anni. La classe B, da 108,5 milioni, con vita media pari a 7,2 anni, deve il suo rating tripla “A” alla garanzia del Fondo Europeo per gli Investimenti (Fei); che ha consentito a Fineco Leasing di ottenere il più elevato intervento mai effettuato dal Fei stesso su una singola operazione. Prima della garanzia il rating assegnato a questa tranche era “A-”. Ad ulteriore conferma dell’apprezzamento da parte degli investitori della qualità dei crediti sottostanti, nonché della struttura dell’operazione, la fase di bookbuilding si è ufficialmente conclusa in data odierna; gli investitori riceveranno una remunerazione pari al tasso Euribor 3 mesi più un margine di 19 punti base per la classe A e di 10 punti base per la classe B. L’operazione sarà regolata il 9 giugno prossimo con l’emissione dei titoli. Dal punto di vista della distribuzione, la domanda si presenta maggiormente concentrata su investitori di elevato standing, quali banche e fondi comuni, con particolare riferimento agli investitori stranieri. Finecogroup si conferma tra i principali operatori sul mercato internazionale della securitisation portando a termine la decima operazione di questo tipo per un controvalore complessivo di circa 7 miliardi di euro, considerando anche le operazioni realizzate da Banca Fineco su mutui e cessioni del quinto. L’operazione è stata strutturata da Mcc, in qualità di lead arranger, affiancata da Abn Amro e Morgan Stanley in veste di co-arranger. Le tre banche hanno anche agito in qualità di joint lead managers e bookrunners su entrambe le classi. Depfa Bank ha agito come co-manager sulla classe B.  
   
   
FINECO LEASING: SUCCESSO DELL’OPERAZIONE DI CARTOLARIZZAZIONE PER 1,45 MLD DI EURO  
 
Milano, 30 maggio 2004 - L’operazione di cartolarizzazione di Fineco Leasing (controllata da Finecogroup, Gruppo Capitalia); lanciata il 28 giugno sul mercato per un valore complessivo di 1,45 miliardi di Euro, è stata accolta con grande interesse da parte degli investitori istituzionali con una domanda superiore di due volte l’offerta che ha permesso di chiudere l’operazione in anticipo di una settimana rispetto al calendario iniziale. Si tratta di una delle maggiori operazioni di cartolarizzazione di canoni leasing sinora realizzata in Europa. Essa vanta, inoltre, il rating massimo di “tripla A” sull’intera emissione, pari al 100% dei crediti ceduti, a conferma della qualità del portafoglio, caratterizzato da un elevato frazionamento su piccole e medie imprese per più dell’80% ubicate nel nord Italia. In particolare, le principali agenzie di rating (Moody’s, Standard & Poor’s e Fitch) hanno assegnato il rating massimo alla classe A da 1,34 miliardi di euro, con una vita media attesa di 3,9 anni. La classe B, da 108,5 milioni, con vita media pari a 7,2 anni, deve il suo rating tripla “A” alla garanzia del Fondo Europeo per gli Investimenti (Fei); che ha consentito a Fineco Leasing di ottenere il più elevato intervento mai effettuato dal Fei stesso su una singola operazione. Prima della garanzia il rating assegnato a questa tranche era “A-”. Ad ulteriore conferma dell’apprezzamento da parte degli investitori della qualità dei crediti sottostanti, nonché della struttura dell’operazione, la fase di bookbuilding si è ufficialmente conclusa in data odierna; gli investitori riceveranno una remunerazione pari al tasso Euribor 3 mesi più un margine di 19 punti base per la classe A e di 10 punti base per la classe B. L’operazione sarà regolata il 9 giugno prossimo con l’emissione dei titoli. Dal punto di vista della distribuzione, la domanda si presenta maggiormente concentrata su investitori di elevato standing, quali banche e fondi comuni, con particolare riferimento agli investitori stranieri. Finecogroup si conferma tra i principali operatori sul mercato internazionale della securitisation portando a termine la decima operazione di questo tipo per un controvalore complessivo di circa 7 miliardi di euro, considerando anche le operazioni realizzate da Banca Fineco su mutui e cessioni del quinto. L’operazione è stata strutturata da Mcc, in qualità di lead arranger, affiancata da Abn Amro e Morgan Stanley in veste di co-arranger. Le tre banche hanno anche agito in qualità di joint lead managers e bookrunners su entrambe le classi. Depfa Bank ha agito come co-manager sulla classe B.  
   
   
FINECO LEASING: SUCCESSO DELL’OPERAZIONE DI CARTOLARIZZAZIONE PER 1,45 MLD DI EURO  
 
Milano, 30 maggio 2004 - L’operazione di cartolarizzazione di Fineco Leasing (controllata da Finecogroup, Gruppo Capitalia); lanciata il 28 giugno sul mercato per un valore complessivo di 1,45 miliardi di Euro, è stata accolta con grande interesse da parte degli investitori istituzionali con una domanda superiore di due volte l’offerta che ha permesso di chiudere l’operazione in anticipo di una settimana rispetto al calendario iniziale. Si tratta di una delle maggiori operazioni di cartolarizzazione di canoni leasing sinora realizzata in Europa. Essa vanta, inoltre, il rating massimo di “tripla A” sull’intera emissione, pari al 100% dei crediti ceduti, a conferma della qualità del portafoglio, caratterizzato da un elevato frazionamento su piccole e medie imprese per più dell’80% ubicate nel nord Italia. In particolare, le principali agenzie di rating (Moody’s, Standard & Poor’s e Fitch) hanno assegnato il rating massimo alla classe A da 1,34 miliardi di euro, con una vita media attesa di 3,9 anni. La classe B, da 108,5 milioni, con vita media pari a 7,2 anni, deve il suo rating tripla “A” alla garanzia del Fondo Europeo per gli Investimenti (Fei); che ha consentito a Fineco Leasing di ottenere il più elevato intervento mai effettuato dal Fei stesso su una singola operazione. Prima della garanzia il rating assegnato a questa tranche era “A-”. Ad ulteriore conferma dell’apprezzamento da parte degli investitori della qualità dei crediti sottostanti, nonché della struttura dell’operazione, la fase di bookbuilding si è ufficialmente conclusa in data odierna; gli investitori riceveranno una remunerazione pari al tasso Euribor 3 mesi più un margine di 19 punti base per la classe A e di 10 punti base per la classe B. L’operazione sarà regolata il 9 giugno prossimo con l’emissione dei titoli. Dal punto di vista della distribuzione, la domanda si presenta maggiormente concentrata su investitori di elevato standing, quali banche e fondi comuni, con particolare riferimento agli investitori stranieri. Finecogroup si conferma tra i principali operatori sul mercato internazionale della securitisation portando a termine la decima operazione di questo tipo per un controvalore complessivo di circa 7 miliardi di euro, considerando anche le operazioni realizzate da Banca Fineco su mutui e cessioni del quinto. L’operazione è stata strutturata da Mcc, in qualità di lead arranger, affiancata da Abn Amro e Morgan Stanley in veste di co-arranger. Le tre banche hanno anche agito in qualità di joint lead managers e bookrunners su entrambe le classi. Depfa Bank ha agito come co-manager sulla classe B.  
   
   
PROCEDURA DI AMMISSIONE ALLA QUOTAZIONE DEL PRESTITO OBBLIGAZIONARIO "CREDITO VALTELLINESE 2,8% 2004-2007 CONVERTIBILE"  
 
 Sondrio, 30 giugno 2004 - Si rende noto che l'emittente Credito Valtellinese S.c. A r.L., a conclusione del collocamento dell'operazione di aumento di capitale approvata dall'Assemblea Straordinaria del 15 novembre 2003 e in conformità a quanto previsto nel relativo Prospetto Informativo pubblicato in data 23 febbraio 2004, ha provveduto nelle scorse settimane alla presentazione della domanda di ammissione alla quotazione presso il Mta (Mercato Telematico Azionario) delle obbligazioni convertibili del Prestito Obbligazionario "Credito Valtellinese 2,8% 2004-2007 convertibile" emesse nell'ambito della sopracitata operazione. Al riguardo si prevede che - compatibilmente con i tempi di istruttoria ancora in corso - l'inizio delle quotazioni delle richiamate obbligazioni possa avvenire entro il mese di luglio.  
   
   
PROCEDURA DI AMMISSIONE ALLA QUOTAZIONE DEL PRESTITO OBBLIGAZIONARIO "CREDITO VALTELLINESE 2,8% 2004-2007 CONVERTIBILE"  
 
 Sondrio, 30 giugno 2004 - Si rende noto che l'emittente Credito Valtellinese S.c. A r.L., a conclusione del collocamento dell'operazione di aumento di capitale approvata dall'Assemblea Straordinaria del 15 novembre 2003 e in conformità a quanto previsto nel relativo Prospetto Informativo pubblicato in data 23 febbraio 2004, ha provveduto nelle scorse settimane alla presentazione della domanda di ammissione alla quotazione presso il Mta (Mercato Telematico Azionario) delle obbligazioni convertibili del Prestito Obbligazionario "Credito Valtellinese 2,8% 2004-2007 convertibile" emesse nell'ambito della sopracitata operazione. Al riguardo si prevede che - compatibilmente con i tempi di istruttoria ancora in corso - l'inizio delle quotazioni delle richiamate obbligazioni possa avvenire entro il mese di luglio.  
   
   
PROCEDURA DI AMMISSIONE ALLA QUOTAZIONE DEL PRESTITO OBBLIGAZIONARIO "CREDITO VALTELLINESE 2,8% 2004-2007 CONVERTIBILE"  
 
 Sondrio, 30 giugno 2004 - Si rende noto che l'emittente Credito Valtellinese S.c. A r.L., a conclusione del collocamento dell'operazione di aumento di capitale approvata dall'Assemblea Straordinaria del 15 novembre 2003 e in conformità a quanto previsto nel relativo Prospetto Informativo pubblicato in data 23 febbraio 2004, ha provveduto nelle scorse settimane alla presentazione della domanda di ammissione alla quotazione presso il Mta (Mercato Telematico Azionario) delle obbligazioni convertibili del Prestito Obbligazionario "Credito Valtellinese 2,8% 2004-2007 convertibile" emesse nell'ambito della sopracitata operazione. Al riguardo si prevede che - compatibilmente con i tempi di istruttoria ancora in corso - l'inizio delle quotazioni delle richiamate obbligazioni possa avvenire entro il mese di luglio.  
   
   
PROCEDURA DI AMMISSIONE ALLA QUOTAZIONE DEL PRESTITO OBBLIGAZIONARIO "CREDITO VALTELLINESE 2,8% 2004-2007 CONVERTIBILE"  
 
 Sondrio, 30 giugno 2004 - Si rende noto che l'emittente Credito Valtellinese S.c. A r.L., a conclusione del collocamento dell'operazione di aumento di capitale approvata dall'Assemblea Straordinaria del 15 novembre 2003 e in conformità a quanto previsto nel relativo Prospetto Informativo pubblicato in data 23 febbraio 2004, ha provveduto nelle scorse settimane alla presentazione della domanda di ammissione alla quotazione presso il Mta (Mercato Telematico Azionario) delle obbligazioni convertibili del Prestito Obbligazionario "Credito Valtellinese 2,8% 2004-2007 convertibile" emesse nell'ambito della sopracitata operazione. Al riguardo si prevede che - compatibilmente con i tempi di istruttoria ancora in corso - l'inizio delle quotazioni delle richiamate obbligazioni possa avvenire entro il mese di luglio.  
   
   
PROCEDURA DI AMMISSIONE ALLA QUOTAZIONE DEL PRESTITO OBBLIGAZIONARIO "CREDITO VALTELLINESE 2,8% 2004-2007 CONVERTIBILE"  
 
 Sondrio, 30 giugno 2004 - Si rende noto che l'emittente Credito Valtellinese S.c. A r.L., a conclusione del collocamento dell'operazione di aumento di capitale approvata dall'Assemblea Straordinaria del 15 novembre 2003 e in conformità a quanto previsto nel relativo Prospetto Informativo pubblicato in data 23 febbraio 2004, ha provveduto nelle scorse settimane alla presentazione della domanda di ammissione alla quotazione presso il Mta (Mercato Telematico Azionario) delle obbligazioni convertibili del Prestito Obbligazionario "Credito Valtellinese 2,8% 2004-2007 convertibile" emesse nell'ambito della sopracitata operazione. Al riguardo si prevede che - compatibilmente con i tempi di istruttoria ancora in corso - l'inizio delle quotazioni delle richiamate obbligazioni possa avvenire entro il mese di luglio.  
   
   
PROCEDURA DI AMMISSIONE ALLA QUOTAZIONE DEL PRESTITO OBBLIGAZIONARIO "CREDITO VALTELLINESE 2,8% 2004-2007 CONVERTIBILE"  
 
 Sondrio, 30 giugno 2004 - Si rende noto che l'emittente Credito Valtellinese S.c. A r.L., a conclusione del collocamento dell'operazione di aumento di capitale approvata dall'Assemblea Straordinaria del 15 novembre 2003 e in conformità a quanto previsto nel relativo Prospetto Informativo pubblicato in data 23 febbraio 2004, ha provveduto nelle scorse settimane alla presentazione della domanda di ammissione alla quotazione presso il Mta (Mercato Telematico Azionario) delle obbligazioni convertibili del Prestito Obbligazionario "Credito Valtellinese 2,8% 2004-2007 convertibile" emesse nell'ambito della sopracitata operazione. Al riguardo si prevede che - compatibilmente con i tempi di istruttoria ancora in corso - l'inizio delle quotazioni delle richiamate obbligazioni possa avvenire entro il mese di luglio.  
   
   
DEXIA CREDIOP: AL VIA LA NUOVA EMISSIONE DI INFRASTRUTTURE S.P.A. (ISPA) DEL VALORE NOMINALE COMPLESSIVO DI 1 MILIARDO DI EURO. LEAD MANAGER DELL’OPERAZIONE SONO DEXIA CAPITAL MARKETS, CITIGROUP E MEDIOBANCA  
 
Milano, 30 giugno 2004 - E' stata lanciata e prezzata il 25 giugno la nuova emissione obbligazionaria di Infrastrutture Spa (Ispa). Il titolo ha le seguenti principali caratteristiche finanziarie: il valore nominale dell’emissione è pari a 1 miliardo di Euro per la durata complessiva di 30 anni ed un rendimento annuo del 5,23%, corrispondente ad uno spread di 23,5 punti base superiori al tasso swap di durata equivalente. Il titolo, che ha registrato una “oversubscription” pari ad circa 1,2 volte l’offerta, ha ricevuto un ottima accoglienza presso tutti i principali mercati europei: Italia, Belgio, Lussemburgo, Polonia, Germania, Irlanda e Scandinavia. L' emittente ha beneficiato della favorevole accoglienza da parte degli investitori instituzionali che hanno particolarmente apprezzato la durata trentennale nonchè lo “spread” sul Btp di pari durata (+6 punti base). A conferma del positivo apprezzamento da parte dei mercati finanziari, si segnala che il titolo è stato richiesto da banche, società di assicurazione e società di gestione del risparmio. La presente emissione completa il ricorso al mercato da parte di Ispa per l'anno 2004. I lead dell' operazione sono Citigroup, Dexia Capital Markets e Mediobanca. “La presenza in questa operazione conferma l’ attenzione del Gruppo Dexia per il mercato italiano, sia come investitore che come collocatore, e sottolinea la dinamicità del Gruppo nel mercato dei capitali”, afferma Gérard Bayol Amministratore Delegato di Dexia Crediop.  
   
   
DEXIA CREDIOP: AL VIA LA NUOVA EMISSIONE DI INFRASTRUTTURE S.P.A. (ISPA) DEL VALORE NOMINALE COMPLESSIVO DI 1 MILIARDO DI EURO. LEAD MANAGER DELL’OPERAZIONE SONO DEXIA CAPITAL MARKETS, CITIGROUP E MEDIOBANCA  
 
Milano, 30 giugno 2004 - E' stata lanciata e prezzata il 25 giugno la nuova emissione obbligazionaria di Infrastrutture Spa (Ispa). Il titolo ha le seguenti principali caratteristiche finanziarie: il valore nominale dell’emissione è pari a 1 miliardo di Euro per la durata complessiva di 30 anni ed un rendimento annuo del 5,23%, corrispondente ad uno spread di 23,5 punti base superiori al tasso swap di durata equivalente. Il titolo, che ha registrato una “oversubscription” pari ad circa 1,2 volte l’offerta, ha ricevuto un ottima accoglienza presso tutti i principali mercati europei: Italia, Belgio, Lussemburgo, Polonia, Germania, Irlanda e Scandinavia. L' emittente ha beneficiato della favorevole accoglienza da parte degli investitori instituzionali che hanno particolarmente apprezzato la durata trentennale nonchè lo “spread” sul Btp di pari durata (+6 punti base). A conferma del positivo apprezzamento da parte dei mercati finanziari, si segnala che il titolo è stato richiesto da banche, società di assicurazione e società di gestione del risparmio. La presente emissione completa il ricorso al mercato da parte di Ispa per l'anno 2004. I lead dell' operazione sono Citigroup, Dexia Capital Markets e Mediobanca. “La presenza in questa operazione conferma l’ attenzione del Gruppo Dexia per il mercato italiano, sia come investitore che come collocatore, e sottolinea la dinamicità del Gruppo nel mercato dei capitali”, afferma Gérard Bayol Amministratore Delegato di Dexia Crediop.  
   
   
DEXIA CREDIOP: AL VIA LA NUOVA EMISSIONE DI INFRASTRUTTURE S.P.A. (ISPA) DEL VALORE NOMINALE COMPLESSIVO DI 1 MILIARDO DI EURO. LEAD MANAGER DELL’OPERAZIONE SONO DEXIA CAPITAL MARKETS, CITIGROUP E MEDIOBANCA  
 
Milano, 30 giugno 2004 - E' stata lanciata e prezzata il 25 giugno la nuova emissione obbligazionaria di Infrastrutture Spa (Ispa). Il titolo ha le seguenti principali caratteristiche finanziarie: il valore nominale dell’emissione è pari a 1 miliardo di Euro per la durata complessiva di 30 anni ed un rendimento annuo del 5,23%, corrispondente ad uno spread di 23,5 punti base superiori al tasso swap di durata equivalente. Il titolo, che ha registrato una “oversubscription” pari ad circa 1,2 volte l’offerta, ha ricevuto un ottima accoglienza presso tutti i principali mercati europei: Italia, Belgio, Lussemburgo, Polonia, Germania, Irlanda e Scandinavia. L' emittente ha beneficiato della favorevole accoglienza da parte degli investitori instituzionali che hanno particolarmente apprezzato la durata trentennale nonchè lo “spread” sul Btp di pari durata (+6 punti base). A conferma del positivo apprezzamento da parte dei mercati finanziari, si segnala che il titolo è stato richiesto da banche, società di assicurazione e società di gestione del risparmio. La presente emissione completa il ricorso al mercato da parte di Ispa per l'anno 2004. I lead dell' operazione sono Citigroup, Dexia Capital Markets e Mediobanca. “La presenza in questa operazione conferma l’ attenzione del Gruppo Dexia per il mercato italiano, sia come investitore che come collocatore, e sottolinea la dinamicità del Gruppo nel mercato dei capitali”, afferma Gérard Bayol Amministratore Delegato di Dexia Crediop.  
   
   
DEXIA CREDIOP: AL VIA LA NUOVA EMISSIONE DI INFRASTRUTTURE S.P.A. (ISPA) DEL VALORE NOMINALE COMPLESSIVO DI 1 MILIARDO DI EURO. LEAD MANAGER DELL’OPERAZIONE SONO DEXIA CAPITAL MARKETS, CITIGROUP E MEDIOBANCA  
 
Milano, 30 giugno 2004 - E' stata lanciata e prezzata il 25 giugno la nuova emissione obbligazionaria di Infrastrutture Spa (Ispa). Il titolo ha le seguenti principali caratteristiche finanziarie: il valore nominale dell’emissione è pari a 1 miliardo di Euro per la durata complessiva di 30 anni ed un rendimento annuo del 5,23%, corrispondente ad uno spread di 23,5 punti base superiori al tasso swap di durata equivalente. Il titolo, che ha registrato una “oversubscription” pari ad circa 1,2 volte l’offerta, ha ricevuto un ottima accoglienza presso tutti i principali mercati europei: Italia, Belgio, Lussemburgo, Polonia, Germania, Irlanda e Scandinavia. L' emittente ha beneficiato della favorevole accoglienza da parte degli investitori instituzionali che hanno particolarmente apprezzato la durata trentennale nonchè lo “spread” sul Btp di pari durata (+6 punti base). A conferma del positivo apprezzamento da parte dei mercati finanziari, si segnala che il titolo è stato richiesto da banche, società di assicurazione e società di gestione del risparmio. La presente emissione completa il ricorso al mercato da parte di Ispa per l'anno 2004. I lead dell' operazione sono Citigroup, Dexia Capital Markets e Mediobanca. “La presenza in questa operazione conferma l’ attenzione del Gruppo Dexia per il mercato italiano, sia come investitore che come collocatore, e sottolinea la dinamicità del Gruppo nel mercato dei capitali”, afferma Gérard Bayol Amministratore Delegato di Dexia Crediop.  
   
   
DEXIA CREDIOP: AL VIA LA NUOVA EMISSIONE DI INFRASTRUTTURE S.P.A. (ISPA) DEL VALORE NOMINALE COMPLESSIVO DI 1 MILIARDO DI EURO. LEAD MANAGER DELL’OPERAZIONE SONO DEXIA CAPITAL MARKETS, CITIGROUP E MEDIOBANCA  
 
Milano, 30 giugno 2004 - E' stata lanciata e prezzata il 25 giugno la nuova emissione obbligazionaria di Infrastrutture Spa (Ispa). Il titolo ha le seguenti principali caratteristiche finanziarie: il valore nominale dell’emissione è pari a 1 miliardo di Euro per la durata complessiva di 30 anni ed un rendimento annuo del 5,23%, corrispondente ad uno spread di 23,5 punti base superiori al tasso swap di durata equivalente. Il titolo, che ha registrato una “oversubscription” pari ad circa 1,2 volte l’offerta, ha ricevuto un ottima accoglienza presso tutti i principali mercati europei: Italia, Belgio, Lussemburgo, Polonia, Germania, Irlanda e Scandinavia. L' emittente ha beneficiato della favorevole accoglienza da parte degli investitori instituzionali che hanno particolarmente apprezzato la durata trentennale nonchè lo “spread” sul Btp di pari durata (+6 punti base). A conferma del positivo apprezzamento da parte dei mercati finanziari, si segnala che il titolo è stato richiesto da banche, società di assicurazione e società di gestione del risparmio. La presente emissione completa il ricorso al mercato da parte di Ispa per l'anno 2004. I lead dell' operazione sono Citigroup, Dexia Capital Markets e Mediobanca. “La presenza in questa operazione conferma l’ attenzione del Gruppo Dexia per il mercato italiano, sia come investitore che come collocatore, e sottolinea la dinamicità del Gruppo nel mercato dei capitali”, afferma Gérard Bayol Amministratore Delegato di Dexia Crediop.  
   
   
DEXIA CREDIOP: AL VIA LA NUOVA EMISSIONE DI INFRASTRUTTURE S.P.A. (ISPA) DEL VALORE NOMINALE COMPLESSIVO DI 1 MILIARDO DI EURO. LEAD MANAGER DELL’OPERAZIONE SONO DEXIA CAPITAL MARKETS, CITIGROUP E MEDIOBANCA  
 
Milano, 30 giugno 2004 - E' stata lanciata e prezzata il 25 giugno la nuova emissione obbligazionaria di Infrastrutture Spa (Ispa). Il titolo ha le seguenti principali caratteristiche finanziarie: il valore nominale dell’emissione è pari a 1 miliardo di Euro per la durata complessiva di 30 anni ed un rendimento annuo del 5,23%, corrispondente ad uno spread di 23,5 punti base superiori al tasso swap di durata equivalente. Il titolo, che ha registrato una “oversubscription” pari ad circa 1,2 volte l’offerta, ha ricevuto un ottima accoglienza presso tutti i principali mercati europei: Italia, Belgio, Lussemburgo, Polonia, Germania, Irlanda e Scandinavia. L' emittente ha beneficiato della favorevole accoglienza da parte degli investitori instituzionali che hanno particolarmente apprezzato la durata trentennale nonchè lo “spread” sul Btp di pari durata (+6 punti base). A conferma del positivo apprezzamento da parte dei mercati finanziari, si segnala che il titolo è stato richiesto da banche, società di assicurazione e società di gestione del risparmio. La presente emissione completa il ricorso al mercato da parte di Ispa per l'anno 2004. I lead dell' operazione sono Citigroup, Dexia Capital Markets e Mediobanca. “La presenza in questa operazione conferma l’ attenzione del Gruppo Dexia per il mercato italiano, sia come investitore che come collocatore, e sottolinea la dinamicità del Gruppo nel mercato dei capitali”, afferma Gérard Bayol Amministratore Delegato di Dexia Crediop.  
   
   
AEM: DELIBERATO IL RICORSO DEL COMUNE AL CONSIGLIO DI STATO CONTRO L’ORDINANZA DEL TAR  
 
Milano, 30 giugno 2004 - Ieri la Giunta ha deliberato il ricorso del Comune di Milano al Consiglio di Stato contro l’ordinanza del Tar che qualche settimana fa aveva considerato illegittime le modifiche statutarie dell’Aem. “Con il ricorso al Consiglio di Stato – commenta la decisione il Vice Sindaco Riccardo De Corato - il Comune dimostrerà che le modifiche statutarie non sono illegittime e ci sono importanti motivazioni tecnico giuridiche che lo supportano”. Infatti il Comune sostiene che il Tar ha sbagliato perché le modifiche statutarie sono state approvate dall’assemblea dei soci, e lo statuto modificato è stato iscritto nel registro delle imprese e quindi è un atto giuridicamente valido ed efficace. Inoltre, su questa materia il giudice amministrativo non ha giurisdizione perché si tratta di un contratto tra soci e riguarda il diritto privatistico. In più la giurisprudenza comunitaria sul Golden Share citata dal Tar non può essere applicata al Comune di Milano in quanto riguarda casi di dismissione nei quali gli enti pubblici hanno mantenuto partecipazioni talmente basse tali da non consentire loro il controllo della società secondo le normali regole societarie e sono stati costretti a ricorrere all’utilizzo di poteri speciali. Invece la partecipazione del Comune all’interno dell’Aem (un terzo del capitale più un’azione) è tale da potergli garantire il controllo della società senza dover ricorrere a quei poteri speciali ai quali si riferisce la giurisprudenza del Golden Share.  
   
   
AEM: DELIBERATO IL RICORSO DEL COMUNE AL CONSIGLIO DI STATO CONTRO L’ORDINANZA DEL TAR  
 
Milano, 30 giugno 2004 - Ieri la Giunta ha deliberato il ricorso del Comune di Milano al Consiglio di Stato contro l’ordinanza del Tar che qualche settimana fa aveva considerato illegittime le modifiche statutarie dell’Aem. “Con il ricorso al Consiglio di Stato – commenta la decisione il Vice Sindaco Riccardo De Corato - il Comune dimostrerà che le modifiche statutarie non sono illegittime e ci sono importanti motivazioni tecnico giuridiche che lo supportano”. Infatti il Comune sostiene che il Tar ha sbagliato perché le modifiche statutarie sono state approvate dall’assemblea dei soci, e lo statuto modificato è stato iscritto nel registro delle imprese e quindi è un atto giuridicamente valido ed efficace. Inoltre, su questa materia il giudice amministrativo non ha giurisdizione perché si tratta di un contratto tra soci e riguarda il diritto privatistico. In più la giurisprudenza comunitaria sul Golden Share citata dal Tar non può essere applicata al Comune di Milano in quanto riguarda casi di dismissione nei quali gli enti pubblici hanno mantenuto partecipazioni talmente basse tali da non consentire loro il controllo della società secondo le normali regole societarie e sono stati costretti a ricorrere all’utilizzo di poteri speciali. Invece la partecipazione del Comune all’interno dell’Aem (un terzo del capitale più un’azione) è tale da potergli garantire il controllo della società senza dover ricorrere a quei poteri speciali ai quali si riferisce la giurisprudenza del Golden Share.  
   
   
AEM: DELIBERATO IL RICORSO DEL COMUNE AL CONSIGLIO DI STATO CONTRO L’ORDINANZA DEL TAR  
 
Milano, 30 giugno 2004 - Ieri la Giunta ha deliberato il ricorso del Comune di Milano al Consiglio di Stato contro l’ordinanza del Tar che qualche settimana fa aveva considerato illegittime le modifiche statutarie dell’Aem. “Con il ricorso al Consiglio di Stato – commenta la decisione il Vice Sindaco Riccardo De Corato - il Comune dimostrerà che le modifiche statutarie non sono illegittime e ci sono importanti motivazioni tecnico giuridiche che lo supportano”. Infatti il Comune sostiene che il Tar ha sbagliato perché le modifiche statutarie sono state approvate dall’assemblea dei soci, e lo statuto modificato è stato iscritto nel registro delle imprese e quindi è un atto giuridicamente valido ed efficace. Inoltre, su questa materia il giudice amministrativo non ha giurisdizione perché si tratta di un contratto tra soci e riguarda il diritto privatistico. In più la giurisprudenza comunitaria sul Golden Share citata dal Tar non può essere applicata al Comune di Milano in quanto riguarda casi di dismissione nei quali gli enti pubblici hanno mantenuto partecipazioni talmente basse tali da non consentire loro il controllo della società secondo le normali regole societarie e sono stati costretti a ricorrere all’utilizzo di poteri speciali. Invece la partecipazione del Comune all’interno dell’Aem (un terzo del capitale più un’azione) è tale da potergli garantire il controllo della società senza dover ricorrere a quei poteri speciali ai quali si riferisce la giurisprudenza del Golden Share.  
   
   
AEM: DELIBERATO IL RICORSO DEL COMUNE AL CONSIGLIO DI STATO CONTRO L’ORDINANZA DEL TAR  
 
Milano, 30 giugno 2004 - Ieri la Giunta ha deliberato il ricorso del Comune di Milano al Consiglio di Stato contro l’ordinanza del Tar che qualche settimana fa aveva considerato illegittime le modifiche statutarie dell’Aem. “Con il ricorso al Consiglio di Stato – commenta la decisione il Vice Sindaco Riccardo De Corato - il Comune dimostrerà che le modifiche statutarie non sono illegittime e ci sono importanti motivazioni tecnico giuridiche che lo supportano”. Infatti il Comune sostiene che il Tar ha sbagliato perché le modifiche statutarie sono state approvate dall’assemblea dei soci, e lo statuto modificato è stato iscritto nel registro delle imprese e quindi è un atto giuridicamente valido ed efficace. Inoltre, su questa materia il giudice amministrativo non ha giurisdizione perché si tratta di un contratto tra soci e riguarda il diritto privatistico. In più la giurisprudenza comunitaria sul Golden Share citata dal Tar non può essere applicata al Comune di Milano in quanto riguarda casi di dismissione nei quali gli enti pubblici hanno mantenuto partecipazioni talmente basse tali da non consentire loro il controllo della società secondo le normali regole societarie e sono stati costretti a ricorrere all’utilizzo di poteri speciali. Invece la partecipazione del Comune all’interno dell’Aem (un terzo del capitale più un’azione) è tale da potergli garantire il controllo della società senza dover ricorrere a quei poteri speciali ai quali si riferisce la giurisprudenza del Golden Share.  
   
   
AEM: DELIBERATO IL RICORSO DEL COMUNE AL CONSIGLIO DI STATO CONTRO L’ORDINANZA DEL TAR  
 
Milano, 30 giugno 2004 - Ieri la Giunta ha deliberato il ricorso del Comune di Milano al Consiglio di Stato contro l’ordinanza del Tar che qualche settimana fa aveva considerato illegittime le modifiche statutarie dell’Aem. “Con il ricorso al Consiglio di Stato – commenta la decisione il Vice Sindaco Riccardo De Corato - il Comune dimostrerà che le modifiche statutarie non sono illegittime e ci sono importanti motivazioni tecnico giuridiche che lo supportano”. Infatti il Comune sostiene che il Tar ha sbagliato perché le modifiche statutarie sono state approvate dall’assemblea dei soci, e lo statuto modificato è stato iscritto nel registro delle imprese e quindi è un atto giuridicamente valido ed efficace. Inoltre, su questa materia il giudice amministrativo non ha giurisdizione perché si tratta di un contratto tra soci e riguarda il diritto privatistico. In più la giurisprudenza comunitaria sul Golden Share citata dal Tar non può essere applicata al Comune di Milano in quanto riguarda casi di dismissione nei quali gli enti pubblici hanno mantenuto partecipazioni talmente basse tali da non consentire loro il controllo della società secondo le normali regole societarie e sono stati costretti a ricorrere all’utilizzo di poteri speciali. Invece la partecipazione del Comune all’interno dell’Aem (un terzo del capitale più un’azione) è tale da potergli garantire il controllo della società senza dover ricorrere a quei poteri speciali ai quali si riferisce la giurisprudenza del Golden Share.  
   
   
AEM: DELIBERATO IL RICORSO DEL COMUNE AL CONSIGLIO DI STATO CONTRO L’ORDINANZA DEL TAR  
 
Milano, 30 giugno 2004 - Ieri la Giunta ha deliberato il ricorso del Comune di Milano al Consiglio di Stato contro l’ordinanza del Tar che qualche settimana fa aveva considerato illegittime le modifiche statutarie dell’Aem. “Con il ricorso al Consiglio di Stato – commenta la decisione il Vice Sindaco Riccardo De Corato - il Comune dimostrerà che le modifiche statutarie non sono illegittime e ci sono importanti motivazioni tecnico giuridiche che lo supportano”. Infatti il Comune sostiene che il Tar ha sbagliato perché le modifiche statutarie sono state approvate dall’assemblea dei soci, e lo statuto modificato è stato iscritto nel registro delle imprese e quindi è un atto giuridicamente valido ed efficace. Inoltre, su questa materia il giudice amministrativo non ha giurisdizione perché si tratta di un contratto tra soci e riguarda il diritto privatistico. In più la giurisprudenza comunitaria sul Golden Share citata dal Tar non può essere applicata al Comune di Milano in quanto riguarda casi di dismissione nei quali gli enti pubblici hanno mantenuto partecipazioni talmente basse tali da non consentire loro il controllo della società secondo le normali regole societarie e sono stati costretti a ricorrere all’utilizzo di poteri speciali. Invece la partecipazione del Comune all’interno dell’Aem (un terzo del capitale più un’azione) è tale da potergli garantire il controllo della società senza dover ricorrere a quei poteri speciali ai quali si riferisce la giurisprudenza del Golden Share.  
   
   
SWISSCOM VENTURE FUND: UN’OPPORTUNITÀ PER I COLLABORATORI E PER IL MANAGEMENT  
 
Berna, 29 giugno 2004 - Lo scorporo delle attività che non rientrano in quelle principali può rappresentare un’opportunità sia per i nuovi fondatori che per le società da costituire. Questo lo dimostra il Swisscom Venture Fund, che nel corso dei primi cinque anni della sua esistenza ha sostenuto e accompagnato 17 giovani aziende in tutta la Svizzera nel salto verso l’indipendenza. Nel 1999 Swisscom ha creato un Venture Fund che è a disposizione di tutti i collaboratori del Gruppo Swisscom. Esso sostiene i collaboratori che desiderano diventare indipendenti e fornisce un contributo per la costituzione di nuove società. Il compito principale del Venture Fund consiste nell’assistere in modo professionale i collaboratori di Swisscom che intendono scorporare settori dell’azienda e trasformarli in nuove società, fornendo loro consulenza e finanziamenti. Swisscom ha creato il Venture Fund per riprendere l’infrastruttura creata, il know-how elaborato e i prodotti innovativi che l’azienda non vede più come facenti parte della sua attività principale. Il successo in cifre: nei primi cinque anni di vita, il Swisscom Venture Fund ha assistito a 17 scorpori. In questo modo, circa 300 posti a tempo pieno per 400 collaboratori si sono potuti integrare nelle giovani aziende. Ogni anno il Swisscom Venture Fund verifica decine di richieste. Analizza le idee aziendali presentate in base alla ”possibilità di sopravvivenza” sul mercato esterno. E finora con successo: tutti gli scorpori offrono tutt’ora i loro servizi. E questo in tutte le regioni della Svizzera, dal lago di Ginevra fino alla Svizzera orientale e da Basilea fino in Ticino. Anche il management si serve maggiormente di questo servizio interno specializzato: in occasione della rettifica di offerte e di riorganizzazioni, esso verifica la possibilità di trasformare singole parti dell’azienda in nuove imprese. Nel 2003 ad esempio, da Swisscom Systems sono nate otto aziende. Tutto ha diritto di essere promosso: prodotti e prestazioni che non fanno più parte delle attività principali; nuovi sviluppi che hanno più possibilità di avere successo in una determinata nicchia di mercato; servizi che verrebbero forniti in modo più efficiente da una piccola impresa; sviluppi tecnici che non hanno posto nel portafoglio. Se questi venissero integrati in aziende indipendenti, gli investimenti e il know-how dell’economia svizzera non andrebbero perduti. I giovani imprenditori e fondatori troverebbero così una nuova esistenza al di fuori delle grandi aziende. Dal punto di vista economico questa soluzione è molto più sensata, visto che l’azienda che effettua lo scorporo può continuare ad acquistare le prestazioni o ad offrirle ai propri clienti. Non bisogna però confondere il Swisscom Venture Fund con il programma Comotion che supporta la creazione di aziende in settori estranei a quello delle telecomunicazioni, riservate a collaboratori il cui posto di lavoro verrà soppresso. Infolink: www.Swisscom.com/venturefund  
   
   
SWISSCOM VENTURE FUND: UN’OPPORTUNITÀ PER I COLLABORATORI E PER IL MANAGEMENT  
 
Berna, 29 giugno 2004 - Lo scorporo delle attività che non rientrano in quelle principali può rappresentare un’opportunità sia per i nuovi fondatori che per le società da costituire. Questo lo dimostra il Swisscom Venture Fund, che nel corso dei primi cinque anni della sua esistenza ha sostenuto e accompagnato 17 giovani aziende in tutta la Svizzera nel salto verso l’indipendenza. Nel 1999 Swisscom ha creato un Venture Fund che è a disposizione di tutti i collaboratori del Gruppo Swisscom. Esso sostiene i collaboratori che desiderano diventare indipendenti e fornisce un contributo per la costituzione di nuove società. Il compito principale del Venture Fund consiste nell’assistere in modo professionale i collaboratori di Swisscom che intendono scorporare settori dell’azienda e trasformarli in nuove società, fornendo loro consulenza e finanziamenti. Swisscom ha creato il Venture Fund per riprendere l’infrastruttura creata, il know-how elaborato e i prodotti innovativi che l’azienda non vede più come facenti parte della sua attività principale. Il successo in cifre: nei primi cinque anni di vita, il Swisscom Venture Fund ha assistito a 17 scorpori. In questo modo, circa 300 posti a tempo pieno per 400 collaboratori si sono potuti integrare nelle giovani aziende. Ogni anno il Swisscom Venture Fund verifica decine di richieste. Analizza le idee aziendali presentate in base alla ”possibilità di sopravvivenza” sul mercato esterno. E finora con successo: tutti gli scorpori offrono tutt’ora i loro servizi. E questo in tutte le regioni della Svizzera, dal lago di Ginevra fino alla Svizzera orientale e da Basilea fino in Ticino. Anche il management si serve maggiormente di questo servizio interno specializzato: in occasione della rettifica di offerte e di riorganizzazioni, esso verifica la possibilità di trasformare singole parti dell’azienda in nuove imprese. Nel 2003 ad esempio, da Swisscom Systems sono nate otto aziende. Tutto ha diritto di essere promosso: prodotti e prestazioni che non fanno più parte delle attività principali; nuovi sviluppi che hanno più possibilità di avere successo in una determinata nicchia di mercato; servizi che verrebbero forniti in modo più efficiente da una piccola impresa; sviluppi tecnici che non hanno posto nel portafoglio. Se questi venissero integrati in aziende indipendenti, gli investimenti e il know-how dell’economia svizzera non andrebbero perduti. I giovani imprenditori e fondatori troverebbero così una nuova esistenza al di fuori delle grandi aziende. Dal punto di vista economico questa soluzione è molto più sensata, visto che l’azienda che effettua lo scorporo può continuare ad acquistare le prestazioni o ad offrirle ai propri clienti. Non bisogna però confondere il Swisscom Venture Fund con il programma Comotion che supporta la creazione di aziende in settori estranei a quello delle telecomunicazioni, riservate a collaboratori il cui posto di lavoro verrà soppresso. Infolink: www.Swisscom.com/venturefund  
   
   
SWISSCOM VENTURE FUND: UN’OPPORTUNITÀ PER I COLLABORATORI E PER IL MANAGEMENT  
 
Berna, 29 giugno 2004 - Lo scorporo delle attività che non rientrano in quelle principali può rappresentare un’opportunità sia per i nuovi fondatori che per le società da costituire. Questo lo dimostra il Swisscom Venture Fund, che nel corso dei primi cinque anni della sua esistenza ha sostenuto e accompagnato 17 giovani aziende in tutta la Svizzera nel salto verso l’indipendenza. Nel 1999 Swisscom ha creato un Venture Fund che è a disposizione di tutti i collaboratori del Gruppo Swisscom. Esso sostiene i collaboratori che desiderano diventare indipendenti e fornisce un contributo per la costituzione di nuove società. Il compito principale del Venture Fund consiste nell’assistere in modo professionale i collaboratori di Swisscom che intendono scorporare settori dell’azienda e trasformarli in nuove società, fornendo loro consulenza e finanziamenti. Swisscom ha creato il Venture Fund per riprendere l’infrastruttura creata, il know-how elaborato e i prodotti innovativi che l’azienda non vede più come facenti parte della sua attività principale. Il successo in cifre: nei primi cinque anni di vita, il Swisscom Venture Fund ha assistito a 17 scorpori. In questo modo, circa 300 posti a tempo pieno per 400 collaboratori si sono potuti integrare nelle giovani aziende. Ogni anno il Swisscom Venture Fund verifica decine di richieste. Analizza le idee aziendali presentate in base alla ”possibilità di sopravvivenza” sul mercato esterno. E finora con successo: tutti gli scorpori offrono tutt’ora i loro servizi. E questo in tutte le regioni della Svizzera, dal lago di Ginevra fino alla Svizzera orientale e da Basilea fino in Ticino. Anche il management si serve maggiormente di questo servizio interno specializzato: in occasione della rettifica di offerte e di riorganizzazioni, esso verifica la possibilità di trasformare singole parti dell’azienda in nuove imprese. Nel 2003 ad esempio, da Swisscom Systems sono nate otto aziende. Tutto ha diritto di essere promosso: prodotti e prestazioni che non fanno più parte delle attività principali; nuovi sviluppi che hanno più possibilità di avere successo in una determinata nicchia di mercato; servizi che verrebbero forniti in modo più efficiente da una piccola impresa; sviluppi tecnici che non hanno posto nel portafoglio. Se questi venissero integrati in aziende indipendenti, gli investimenti e il know-how dell’economia svizzera non andrebbero perduti. I giovani imprenditori e fondatori troverebbero così una nuova esistenza al di fuori delle grandi aziende. Dal punto di vista economico questa soluzione è molto più sensata, visto che l’azienda che effettua lo scorporo può continuare ad acquistare le prestazioni o ad offrirle ai propri clienti. Non bisogna però confondere il Swisscom Venture Fund con il programma Comotion che supporta la creazione di aziende in settori estranei a quello delle telecomunicazioni, riservate a collaboratori il cui posto di lavoro verrà soppresso. Infolink: www.Swisscom.com/venturefund  
   
   
SWISSCOM VENTURE FUND: UN’OPPORTUNITÀ PER I COLLABORATORI E PER IL MANAGEMENT  
 
Berna, 29 giugno 2004 - Lo scorporo delle attività che non rientrano in quelle principali può rappresentare un’opportunità sia per i nuovi fondatori che per le società da costituire. Questo lo dimostra il Swisscom Venture Fund, che nel corso dei primi cinque anni della sua esistenza ha sostenuto e accompagnato 17 giovani aziende in tutta la Svizzera nel salto verso l’indipendenza. Nel 1999 Swisscom ha creato un Venture Fund che è a disposizione di tutti i collaboratori del Gruppo Swisscom. Esso sostiene i collaboratori che desiderano diventare indipendenti e fornisce un contributo per la costituzione di nuove società. Il compito principale del Venture Fund consiste nell’assistere in modo professionale i collaboratori di Swisscom che intendono scorporare settori dell’azienda e trasformarli in nuove società, fornendo loro consulenza e finanziamenti. Swisscom ha creato il Venture Fund per riprendere l’infrastruttura creata, il know-how elaborato e i prodotti innovativi che l’azienda non vede più come facenti parte della sua attività principale. Il successo in cifre: nei primi cinque anni di vita, il Swisscom Venture Fund ha assistito a 17 scorpori. In questo modo, circa 300 posti a tempo pieno per 400 collaboratori si sono potuti integrare nelle giovani aziende. Ogni anno il Swisscom Venture Fund verifica decine di richieste. Analizza le idee aziendali presentate in base alla ”possibilità di sopravvivenza” sul mercato esterno. E finora con successo: tutti gli scorpori offrono tutt’ora i loro servizi. E questo in tutte le regioni della Svizzera, dal lago di Ginevra fino alla Svizzera orientale e da Basilea fino in Ticino. Anche il management si serve maggiormente di questo servizio interno specializzato: in occasione della rettifica di offerte e di riorganizzazioni, esso verifica la possibilità di trasformare singole parti dell’azienda in nuove imprese. Nel 2003 ad esempio, da Swisscom Systems sono nate otto aziende. Tutto ha diritto di essere promosso: prodotti e prestazioni che non fanno più parte delle attività principali; nuovi sviluppi che hanno più possibilità di avere successo in una determinata nicchia di mercato; servizi che verrebbero forniti in modo più efficiente da una piccola impresa; sviluppi tecnici che non hanno posto nel portafoglio. Se questi venissero integrati in aziende indipendenti, gli investimenti e il know-how dell’economia svizzera non andrebbero perduti. I giovani imprenditori e fondatori troverebbero così una nuova esistenza al di fuori delle grandi aziende. Dal punto di vista economico questa soluzione è molto più sensata, visto che l’azienda che effettua lo scorporo può continuare ad acquistare le prestazioni o ad offrirle ai propri clienti. Non bisogna però confondere il Swisscom Venture Fund con il programma Comotion che supporta la creazione di aziende in settori estranei a quello delle telecomunicazioni, riservate a collaboratori il cui posto di lavoro verrà soppresso. Infolink: www.Swisscom.com/venturefund  
   
   
SWISSCOM VENTURE FUND: UN’OPPORTUNITÀ PER I COLLABORATORI E PER IL MANAGEMENT  
 
Berna, 29 giugno 2004 - Lo scorporo delle attività che non rientrano in quelle principali può rappresentare un’opportunità sia per i nuovi fondatori che per le società da costituire. Questo lo dimostra il Swisscom Venture Fund, che nel corso dei primi cinque anni della sua esistenza ha sostenuto e accompagnato 17 giovani aziende in tutta la Svizzera nel salto verso l’indipendenza. Nel 1999 Swisscom ha creato un Venture Fund che è a disposizione di tutti i collaboratori del Gruppo Swisscom. Esso sostiene i collaboratori che desiderano diventare indipendenti e fornisce un contributo per la costituzione di nuove società. Il compito principale del Venture Fund consiste nell’assistere in modo professionale i collaboratori di Swisscom che intendono scorporare settori dell’azienda e trasformarli in nuove società, fornendo loro consulenza e finanziamenti. Swisscom ha creato il Venture Fund per riprendere l’infrastruttura creata, il know-how elaborato e i prodotti innovativi che l’azienda non vede più come facenti parte della sua attività principale. Il successo in cifre: nei primi cinque anni di vita, il Swisscom Venture Fund ha assistito a 17 scorpori. In questo modo, circa 300 posti a tempo pieno per 400 collaboratori si sono potuti integrare nelle giovani aziende. Ogni anno il Swisscom Venture Fund verifica decine di richieste. Analizza le idee aziendali presentate in base alla ”possibilità di sopravvivenza” sul mercato esterno. E finora con successo: tutti gli scorpori offrono tutt’ora i loro servizi. E questo in tutte le regioni della Svizzera, dal lago di Ginevra fino alla Svizzera orientale e da Basilea fino in Ticino. Anche il management si serve maggiormente di questo servizio interno specializzato: in occasione della rettifica di offerte e di riorganizzazioni, esso verifica la possibilità di trasformare singole parti dell’azienda in nuove imprese. Nel 2003 ad esempio, da Swisscom Systems sono nate otto aziende. Tutto ha diritto di essere promosso: prodotti e prestazioni che non fanno più parte delle attività principali; nuovi sviluppi che hanno più possibilità di avere successo in una determinata nicchia di mercato; servizi che verrebbero forniti in modo più efficiente da una piccola impresa; sviluppi tecnici che non hanno posto nel portafoglio. Se questi venissero integrati in aziende indipendenti, gli investimenti e il know-how dell’economia svizzera non andrebbero perduti. I giovani imprenditori e fondatori troverebbero così una nuova esistenza al di fuori delle grandi aziende. Dal punto di vista economico questa soluzione è molto più sensata, visto che l’azienda che effettua lo scorporo può continuare ad acquistare le prestazioni o ad offrirle ai propri clienti. Non bisogna però confondere il Swisscom Venture Fund con il programma Comotion che supporta la creazione di aziende in settori estranei a quello delle telecomunicazioni, riservate a collaboratori il cui posto di lavoro verrà soppresso. Infolink: www.Swisscom.com/venturefund  
   
   
SWISSCOM VENTURE FUND: UN’OPPORTUNITÀ PER I COLLABORATORI E PER IL MANAGEMENT  
 
Berna, 29 giugno 2004 - Lo scorporo delle attività che non rientrano in quelle principali può rappresentare un’opportunità sia per i nuovi fondatori che per le società da costituire. Questo lo dimostra il Swisscom Venture Fund, che nel corso dei primi cinque anni della sua esistenza ha sostenuto e accompagnato 17 giovani aziende in tutta la Svizzera nel salto verso l’indipendenza. Nel 1999 Swisscom ha creato un Venture Fund che è a disposizione di tutti i collaboratori del Gruppo Swisscom. Esso sostiene i collaboratori che desiderano diventare indipendenti e fornisce un contributo per la costituzione di nuove società. Il compito principale del Venture Fund consiste nell’assistere in modo professionale i collaboratori di Swisscom che intendono scorporare settori dell’azienda e trasformarli in nuove società, fornendo loro consulenza e finanziamenti. Swisscom ha creato il Venture Fund per riprendere l’infrastruttura creata, il know-how elaborato e i prodotti innovativi che l’azienda non vede più come facenti parte della sua attività principale. Il successo in cifre: nei primi cinque anni di vita, il Swisscom Venture Fund ha assistito a 17 scorpori. In questo modo, circa 300 posti a tempo pieno per 400 collaboratori si sono potuti integrare nelle giovani aziende. Ogni anno il Swisscom Venture Fund verifica decine di richieste. Analizza le idee aziendali presentate in base alla ”possibilità di sopravvivenza” sul mercato esterno. E finora con successo: tutti gli scorpori offrono tutt’ora i loro servizi. E questo in tutte le regioni della Svizzera, dal lago di Ginevra fino alla Svizzera orientale e da Basilea fino in Ticino. Anche il management si serve maggiormente di questo servizio interno specializzato: in occasione della rettifica di offerte e di riorganizzazioni, esso verifica la possibilità di trasformare singole parti dell’azienda in nuove imprese. Nel 2003 ad esempio, da Swisscom Systems sono nate otto aziende. Tutto ha diritto di essere promosso: prodotti e prestazioni che non fanno più parte delle attività principali; nuovi sviluppi che hanno più possibilità di avere successo in una determinata nicchia di mercato; servizi che verrebbero forniti in modo più efficiente da una piccola impresa; sviluppi tecnici che non hanno posto nel portafoglio. Se questi venissero integrati in aziende indipendenti, gli investimenti e il know-how dell’economia svizzera non andrebbero perduti. I giovani imprenditori e fondatori troverebbero così una nuova esistenza al di fuori delle grandi aziende. Dal punto di vista economico questa soluzione è molto più sensata, visto che l’azienda che effettua lo scorporo può continuare ad acquistare le prestazioni o ad offrirle ai propri clienti. Non bisogna però confondere il Swisscom Venture Fund con il programma Comotion che supporta la creazione di aziende in settori estranei a quello delle telecomunicazioni, riservate a collaboratori il cui posto di lavoro verrà soppresso. Infolink: www.Swisscom.com/venturefund  
   
   
RASBANK LANCIA DUE NUOVI PRODOTTI DI CREDITO AL CONSUMO  
 
Milano, 30 giugno 2004 – Cresce l’offerta di Rasbank con la nascita di Scelgo Small e di Scelgo Plus, due prodotti di finanziamento dedicati ai clienti della banca, che possono così ottenere il capitale necessario alle loro esigenze a tassi di interesse inferiori alla media di mercato (v. Schede in allegato); senza disinvestire i loro risparmi. La nuova linea di prestiti Scelgo - sviluppata da Rasbank in collaborazione con Deutsche Bank Mutui - prevede infatti che gli investimenti dei clienti con il Gruppo Ras (sotto forma di risparmio gestito, titoli o polizze vita) possano costituire la garanzia del finanziamento erogato. Scelgo Small è un finanziamento che prevede il rimborso di sole rate di interessi e permette di ottenere importi tra i 5 mila ed i 15 mila euro. E' destinato ai sottoscrittori di polizze vita del Gruppo Ras (come Rb Vita) e la durata del prestito è legata alla durata residua della polizza stessa: il meccanismo di restituzione del capitale prevede infatti la possibilità di estinguere il finanziamento in concomitanza con la liquidazione della polizza data in pegno. In alternativa, senza pagare penali, si può optare per l’estinzione del prestito il 30 giugno di ogni quinquennio successivo alla data di erogazione. La durata minima del prodotto è pari a 24 mesi, mentre è mensile la frequenza delle rate per la restituzione degli interessi. Scelgo Plus invece è un prodotto dedicato a soddisfare tutte le esigenze di finanziamento, con l’eccezione del settore immobiliare. L’importo finanziabile va da un minimo di 15 mila euro ad un massimo di 1.290 mila euro, dando in garanzia fondi comuni di investimento, polizze vita e titoli. La restituzione della quota interessi sarà effettuata su base trimestrale, mentre dopo 18 mesi dall’erogazione del finanziamento si può decidere due volte l’anno, il 20 aprile ed il 20 ottobre, di rimborsare una parte, o la totalità, della quota capitale. La durata del contratto varia da un minimo di 18 mesi fino ad un massimo di 10 anni (rinnovabile per altri 10 anni) e non prevede penali nel caso di estinzione anticipata del finanziamento. Scelgo Small e Scelgo Plus completano la linea di mutui immobiliari Rasbank, lanciati con successo due anni fa e costruiti con la logica di ottenere il finanziamento dando in garanzia gli investimenti effettuati con il gruppo Ras.  
   
   
RASBANK LANCIA DUE NUOVI PRODOTTI DI CREDITO AL CONSUMO  
 
Milano, 30 giugno 2004 – Cresce l’offerta di Rasbank con la nascita di Scelgo Small e di Scelgo Plus, due prodotti di finanziamento dedicati ai clienti della banca, che possono così ottenere il capitale necessario alle loro esigenze a tassi di interesse inferiori alla media di mercato (v. Schede in allegato); senza disinvestire i loro risparmi. La nuova linea di prestiti Scelgo - sviluppata da Rasbank in collaborazione con Deutsche Bank Mutui - prevede infatti che gli investimenti dei clienti con il Gruppo Ras (sotto forma di risparmio gestito, titoli o polizze vita) possano costituire la garanzia del finanziamento erogato. Scelgo Small è un finanziamento che prevede il rimborso di sole rate di interessi e permette di ottenere importi tra i 5 mila ed i 15 mila euro. E' destinato ai sottoscrittori di polizze vita del Gruppo Ras (come Rb Vita) e la durata del prestito è legata alla durata residua della polizza stessa: il meccanismo di restituzione del capitale prevede infatti la possibilità di estinguere il finanziamento in concomitanza con la liquidazione della polizza data in pegno. In alternativa, senza pagare penali, si può optare per l’estinzione del prestito il 30 giugno di ogni quinquennio successivo alla data di erogazione. La durata minima del prodotto è pari a 24 mesi, mentre è mensile la frequenza delle rate per la restituzione degli interessi. Scelgo Plus invece è un prodotto dedicato a soddisfare tutte le esigenze di finanziamento, con l’eccezione del settore immobiliare. L’importo finanziabile va da un minimo di 15 mila euro ad un massimo di 1.290 mila euro, dando in garanzia fondi comuni di investimento, polizze vita e titoli. La restituzione della quota interessi sarà effettuata su base trimestrale, mentre dopo 18 mesi dall’erogazione del finanziamento si può decidere due volte l’anno, il 20 aprile ed il 20 ottobre, di rimborsare una parte, o la totalità, della quota capitale. La durata del contratto varia da un minimo di 18 mesi fino ad un massimo di 10 anni (rinnovabile per altri 10 anni) e non prevede penali nel caso di estinzione anticipata del finanziamento. Scelgo Small e Scelgo Plus completano la linea di mutui immobiliari Rasbank, lanciati con successo due anni fa e costruiti con la logica di ottenere il finanziamento dando in garanzia gli investimenti effettuati con il gruppo Ras.  
   
   
RASBANK LANCIA DUE NUOVI PRODOTTI DI CREDITO AL CONSUMO  
 
Milano, 30 giugno 2004 – Cresce l’offerta di Rasbank con la nascita di Scelgo Small e di Scelgo Plus, due prodotti di finanziamento dedicati ai clienti della banca, che possono così ottenere il capitale necessario alle loro esigenze a tassi di interesse inferiori alla media di mercato (v. Schede in allegato); senza disinvestire i loro risparmi. La nuova linea di prestiti Scelgo - sviluppata da Rasbank in collaborazione con Deutsche Bank Mutui - prevede infatti che gli investimenti dei clienti con il Gruppo Ras (sotto forma di risparmio gestito, titoli o polizze vita) possano costituire la garanzia del finanziamento erogato. Scelgo Small è un finanziamento che prevede il rimborso di sole rate di interessi e permette di ottenere importi tra i 5 mila ed i 15 mila euro. E' destinato ai sottoscrittori di polizze vita del Gruppo Ras (come Rb Vita) e la durata del prestito è legata alla durata residua della polizza stessa: il meccanismo di restituzione del capitale prevede infatti la possibilità di estinguere il finanziamento in concomitanza con la liquidazione della polizza data in pegno. In alternativa, senza pagare penali, si può optare per l’estinzione del prestito il 30 giugno di ogni quinquennio successivo alla data di erogazione. La durata minima del prodotto è pari a 24 mesi, mentre è mensile la frequenza delle rate per la restituzione degli interessi. Scelgo Plus invece è un prodotto dedicato a soddisfare tutte le esigenze di finanziamento, con l’eccezione del settore immobiliare. L’importo finanziabile va da un minimo di 15 mila euro ad un massimo di 1.290 mila euro, dando in garanzia fondi comuni di investimento, polizze vita e titoli. La restituzione della quota interessi sarà effettuata su base trimestrale, mentre dopo 18 mesi dall’erogazione del finanziamento si può decidere due volte l’anno, il 20 aprile ed il 20 ottobre, di rimborsare una parte, o la totalità, della quota capitale. La durata del contratto varia da un minimo di 18 mesi fino ad un massimo di 10 anni (rinnovabile per altri 10 anni) e non prevede penali nel caso di estinzione anticipata del finanziamento. Scelgo Small e Scelgo Plus completano la linea di mutui immobiliari Rasbank, lanciati con successo due anni fa e costruiti con la logica di ottenere il finanziamento dando in garanzia gli investimenti effettuati con il gruppo Ras.  
   
   
RASBANK LANCIA DUE NUOVI PRODOTTI DI CREDITO AL CONSUMO  
 
Milano, 30 giugno 2004 – Cresce l’offerta di Rasbank con la nascita di Scelgo Small e di Scelgo Plus, due prodotti di finanziamento dedicati ai clienti della banca, che possono così ottenere il capitale necessario alle loro esigenze a tassi di interesse inferiori alla media di mercato (v. Schede in allegato); senza disinvestire i loro risparmi. La nuova linea di prestiti Scelgo - sviluppata da Rasbank in collaborazione con Deutsche Bank Mutui - prevede infatti che gli investimenti dei clienti con il Gruppo Ras (sotto forma di risparmio gestito, titoli o polizze vita) possano costituire la garanzia del finanziamento erogato. Scelgo Small è un finanziamento che prevede il rimborso di sole rate di interessi e permette di ottenere importi tra i 5 mila ed i 15 mila euro. E' destinato ai sottoscrittori di polizze vita del Gruppo Ras (come Rb Vita) e la durata del prestito è legata alla durata residua della polizza stessa: il meccanismo di restituzione del capitale prevede infatti la possibilità di estinguere il finanziamento in concomitanza con la liquidazione della polizza data in pegno. In alternativa, senza pagare penali, si può optare per l’estinzione del prestito il 30 giugno di ogni quinquennio successivo alla data di erogazione. La durata minima del prodotto è pari a 24 mesi, mentre è mensile la frequenza delle rate per la restituzione degli interessi. Scelgo Plus invece è un prodotto dedicato a soddisfare tutte le esigenze di finanziamento, con l’eccezione del settore immobiliare. L’importo finanziabile va da un minimo di 15 mila euro ad un massimo di 1.290 mila euro, dando in garanzia fondi comuni di investimento, polizze vita e titoli. La restituzione della quota interessi sarà effettuata su base trimestrale, mentre dopo 18 mesi dall’erogazione del finanziamento si può decidere due volte l’anno, il 20 aprile ed il 20 ottobre, di rimborsare una parte, o la totalità, della quota capitale. La durata del contratto varia da un minimo di 18 mesi fino ad un massimo di 10 anni (rinnovabile per altri 10 anni) e non prevede penali nel caso di estinzione anticipata del finanziamento. Scelgo Small e Scelgo Plus completano la linea di mutui immobiliari Rasbank, lanciati con successo due anni fa e costruiti con la logica di ottenere il finanziamento dando in garanzia gli investimenti effettuati con il gruppo Ras.  
   
   
RASBANK LANCIA DUE NUOVI PRODOTTI DI CREDITO AL CONSUMO  
 
Milano, 30 giugno 2004 – Cresce l’offerta di Rasbank con la nascita di Scelgo Small e di Scelgo Plus, due prodotti di finanziamento dedicati ai clienti della banca, che possono così ottenere il capitale necessario alle loro esigenze a tassi di interesse inferiori alla media di mercato (v. Schede in allegato); senza disinvestire i loro risparmi. La nuova linea di prestiti Scelgo - sviluppata da Rasbank in collaborazione con Deutsche Bank Mutui - prevede infatti che gli investimenti dei clienti con il Gruppo Ras (sotto forma di risparmio gestito, titoli o polizze vita) possano costituire la garanzia del finanziamento erogato. Scelgo Small è un finanziamento che prevede il rimborso di sole rate di interessi e permette di ottenere importi tra i 5 mila ed i 15 mila euro. E' destinato ai sottoscrittori di polizze vita del Gruppo Ras (come Rb Vita) e la durata del prestito è legata alla durata residua della polizza stessa: il meccanismo di restituzione del capitale prevede infatti la possibilità di estinguere il finanziamento in concomitanza con la liquidazione della polizza data in pegno. In alternativa, senza pagare penali, si può optare per l’estinzione del prestito il 30 giugno di ogni quinquennio successivo alla data di erogazione. La durata minima del prodotto è pari a 24 mesi, mentre è mensile la frequenza delle rate per la restituzione degli interessi. Scelgo Plus invece è un prodotto dedicato a soddisfare tutte le esigenze di finanziamento, con l’eccezione del settore immobiliare. L’importo finanziabile va da un minimo di 15 mila euro ad un massimo di 1.290 mila euro, dando in garanzia fondi comuni di investimento, polizze vita e titoli. La restituzione della quota interessi sarà effettuata su base trimestrale, mentre dopo 18 mesi dall’erogazione del finanziamento si può decidere due volte l’anno, il 20 aprile ed il 20 ottobre, di rimborsare una parte, o la totalità, della quota capitale. La durata del contratto varia da un minimo di 18 mesi fino ad un massimo di 10 anni (rinnovabile per altri 10 anni) e non prevede penali nel caso di estinzione anticipata del finanziamento. Scelgo Small e Scelgo Plus completano la linea di mutui immobiliari Rasbank, lanciati con successo due anni fa e costruiti con la logica di ottenere il finanziamento dando in garanzia gli investimenti effettuati con il gruppo Ras.  
   
   
RASBANK LANCIA DUE NUOVI PRODOTTI DI CREDITO AL CONSUMO  
 
Milano, 30 giugno 2004 – Cresce l’offerta di Rasbank con la nascita di Scelgo Small e di Scelgo Plus, due prodotti di finanziamento dedicati ai clienti della banca, che possono così ottenere il capitale necessario alle loro esigenze a tassi di interesse inferiori alla media di mercato (v. Schede in allegato); senza disinvestire i loro risparmi. La nuova linea di prestiti Scelgo - sviluppata da Rasbank in collaborazione con Deutsche Bank Mutui - prevede infatti che gli investimenti dei clienti con il Gruppo Ras (sotto forma di risparmio gestito, titoli o polizze vita) possano costituire la garanzia del finanziamento erogato. Scelgo Small è un finanziamento che prevede il rimborso di sole rate di interessi e permette di ottenere importi tra i 5 mila ed i 15 mila euro. E' destinato ai sottoscrittori di polizze vita del Gruppo Ras (come Rb Vita) e la durata del prestito è legata alla durata residua della polizza stessa: il meccanismo di restituzione del capitale prevede infatti la possibilità di estinguere il finanziamento in concomitanza con la liquidazione della polizza data in pegno. In alternativa, senza pagare penali, si può optare per l’estinzione del prestito il 30 giugno di ogni quinquennio successivo alla data di erogazione. La durata minima del prodotto è pari a 24 mesi, mentre è mensile la frequenza delle rate per la restituzione degli interessi. Scelgo Plus invece è un prodotto dedicato a soddisfare tutte le esigenze di finanziamento, con l’eccezione del settore immobiliare. L’importo finanziabile va da un minimo di 15 mila euro ad un massimo di 1.290 mila euro, dando in garanzia fondi comuni di investimento, polizze vita e titoli. La restituzione della quota interessi sarà effettuata su base trimestrale, mentre dopo 18 mesi dall’erogazione del finanziamento si può decidere due volte l’anno, il 20 aprile ed il 20 ottobre, di rimborsare una parte, o la totalità, della quota capitale. La durata del contratto varia da un minimo di 18 mesi fino ad un massimo di 10 anni (rinnovabile per altri 10 anni) e non prevede penali nel caso di estinzione anticipata del finanziamento. Scelgo Small e Scelgo Plus completano la linea di mutui immobiliari Rasbank, lanciati con successo due anni fa e costruiti con la logica di ottenere il finanziamento dando in garanzia gli investimenti effettuati con il gruppo Ras.  
   
   
AURORA ASSICURAZIONI E CROCE ROSSA ITALIANA INSIEME PER PREVENIRE GLI INCIDENTI DOMESTICI  
 
Milano 30 giugno 2004 - Sviluppare una forte sensibilizzazione sulla prevenzione ed i primi soccorsi negli incidenti domestici: è con questo obiettivo che Aurora Assicurazioni, terza compagnia assicurativa multiramo del mercato italiano, ha realizzato, con il patrocinio della Croce Rossa Italiana, l’opuscolo informativo “Incasasicuri”. L’opuscolo costituisce il “cuore” della campagna di comunicazione sociale che Aurora e Croce Rossa svilupperanno in questi giorni in tutta Italia. Infatti, oltre che nelle 1.300 agenzie della compagnia, “Incasasicuri”, attraverso il supporto di Sanofi-synthelabo O.t.c. - una delle più grandi aziende farmaceutiche mondiali - sarà distribuito ai cittadini nelle 17.000 farmacie diffuse sull’intero territorio nazionale. “Incasasicuri” fa parte di una collana di pubblicazioni promosse da Aurora Assicurazioni con l’obiettivo di contribuire alla prevenzione degli incidenti, oltre che in ambito domestico, anche in altri settori quali lo sport, il lavoro, le maxiemergenze, la circolazione stradale. “Come compagnia assicurativa – sottolinea Giampiero Gelmi, Direttore Generale di Aurora Assicurazioni - siamo convinti di essere portatori di un profondo ruolo sociale: un ruolo innato che deriva dal fatto stesso di garantire costantemente sicurezza e protezione al singolo e alla collettività. Ed è proprio a partire da questa convinzione che insieme a partner autorevoli, come in questo caso Croce Rossa Italiana, vogliamo sempre più farci promotori di progetti ed iniziative che contribuiscano a consolidare questa nostra responsabilità nei confronti della società che ci circonda”. Quello degli incidenti domestici è un fenomeno caratterizzato da dati che sono anche più rilevanti di quelli relativi agli incidenti stradali: ogni anno, infatti, perdono la vita migliaia di persone ed altre centinaia di migliaia riportano gravi ferite. Le cause più frequenti sono gli avvelenamenti, le ustioni, le ferite da taglio e le cadute accidentali. Per questo lo scopo di “Incasasicuri” e della relativa campagna nazionale è quello di suggerire alle famiglie italiane gli interventi corretti ed alla portata di tutti per ridurre le conseguenze fisiche, economiche e sociali di questa tipologia di incidenti. (segue) L’opuscolo - che ha ricevuto l’apprezzamento ufficiale da parte del Ministero della Salute ed è prodotto in collaborazione con Pharma Service Edizioni, a cura degli autori Francesca Assisi, medico tossicologo del Centro Antiveleni di Milano, e Learco Sandi, Ufficiale del Corpo Militare della Croce Rossa Italiana – è di facile consultazione ed è suddiviso in una prima parte sugli avvelenamenti ed una seconda sui primi soccorsi in casa. Offre quindi un percorso conoscitivo sintetico ma accurato sulle diverse tipologie di pericoli ed incidenti domestici e riporta in modo dettagliato i consigli più importanti circa un’efficace azione di prevenzione e gli interventi da compiere nei casi di emergenza (avvelenamenti ed intossicazioni, emorragie, soffocamento per ingestione di corpi estranei, ustioni, morsi e punture, emergenze traumatologiche ed ortopediche, crisi cardiache, ecc.). Infolink: www.Auroraassicurazioni.it  www.Cri.it  
   
   
AURORA ASSICURAZIONI E CROCE ROSSA ITALIANA INSIEME PER PREVENIRE GLI INCIDENTI DOMESTICI  
 
Milano 30 giugno 2004 - Sviluppare una forte sensibilizzazione sulla prevenzione ed i primi soccorsi negli incidenti domestici: è con questo obiettivo che Aurora Assicurazioni, terza compagnia assicurativa multiramo del mercato italiano, ha realizzato, con il patrocinio della Croce Rossa Italiana, l’opuscolo informativo “Incasasicuri”. L’opuscolo costituisce il “cuore” della campagna di comunicazione sociale che Aurora e Croce Rossa svilupperanno in questi giorni in tutta Italia. Infatti, oltre che nelle 1.300 agenzie della compagnia, “Incasasicuri”, attraverso il supporto di Sanofi-synthelabo O.t.c. - una delle più grandi aziende farmaceutiche mondiali - sarà distribuito ai cittadini nelle 17.000 farmacie diffuse sull’intero territorio nazionale. “Incasasicuri” fa parte di una collana di pubblicazioni promosse da Aurora Assicurazioni con l’obiettivo di contribuire alla prevenzione degli incidenti, oltre che in ambito domestico, anche in altri settori quali lo sport, il lavoro, le maxiemergenze, la circolazione stradale. “Come compagnia assicurativa – sottolinea Giampiero Gelmi, Direttore Generale di Aurora Assicurazioni - siamo convinti di essere portatori di un profondo ruolo sociale: un ruolo innato che deriva dal fatto stesso di garantire costantemente sicurezza e protezione al singolo e alla collettività. Ed è proprio a partire da questa convinzione che insieme a partner autorevoli, come in questo caso Croce Rossa Italiana, vogliamo sempre più farci promotori di progetti ed iniziative che contribuiscano a consolidare questa nostra responsabilità nei confronti della società che ci circonda”. Quello degli incidenti domestici è un fenomeno caratterizzato da dati che sono anche più rilevanti di quelli relativi agli incidenti stradali: ogni anno, infatti, perdono la vita migliaia di persone ed altre centinaia di migliaia riportano gravi ferite. Le cause più frequenti sono gli avvelenamenti, le ustioni, le ferite da taglio e le cadute accidentali. Per questo lo scopo di “Incasasicuri” e della relativa campagna nazionale è quello di suggerire alle famiglie italiane gli interventi corretti ed alla portata di tutti per ridurre le conseguenze fisiche, economiche e sociali di questa tipologia di incidenti. (segue) L’opuscolo - che ha ricevuto l’apprezzamento ufficiale da parte del Ministero della Salute ed è prodotto in collaborazione con Pharma Service Edizioni, a cura degli autori Francesca Assisi, medico tossicologo del Centro Antiveleni di Milano, e Learco Sandi, Ufficiale del Corpo Militare della Croce Rossa Italiana – è di facile consultazione ed è suddiviso in una prima parte sugli avvelenamenti ed una seconda sui primi soccorsi in casa. Offre quindi un percorso conoscitivo sintetico ma accurato sulle diverse tipologie di pericoli ed incidenti domestici e riporta in modo dettagliato i consigli più importanti circa un’efficace azione di prevenzione e gli interventi da compiere nei casi di emergenza (avvelenamenti ed intossicazioni, emorragie, soffocamento per ingestione di corpi estranei, ustioni, morsi e punture, emergenze traumatologiche ed ortopediche, crisi cardiache, ecc.). Infolink: www.Auroraassicurazioni.it  www.Cri.it  
   
   
AURORA ASSICURAZIONI E CROCE ROSSA ITALIANA INSIEME PER PREVENIRE GLI INCIDENTI DOMESTICI  
 
Milano 30 giugno 2004 - Sviluppare una forte sensibilizzazione sulla prevenzione ed i primi soccorsi negli incidenti domestici: è con questo obiettivo che Aurora Assicurazioni, terza compagnia assicurativa multiramo del mercato italiano, ha realizzato, con il patrocinio della Croce Rossa Italiana, l’opuscolo informativo “Incasasicuri”. L’opuscolo costituisce il “cuore” della campagna di comunicazione sociale che Aurora e Croce Rossa svilupperanno in questi giorni in tutta Italia. Infatti, oltre che nelle 1.300 agenzie della compagnia, “Incasasicuri”, attraverso il supporto di Sanofi-synthelabo O.t.c. - una delle più grandi aziende farmaceutiche mondiali - sarà distribuito ai cittadini nelle 17.000 farmacie diffuse sull’intero territorio nazionale. “Incasasicuri” fa parte di una collana di pubblicazioni promosse da Aurora Assicurazioni con l’obiettivo di contribuire alla prevenzione degli incidenti, oltre che in ambito domestico, anche in altri settori quali lo sport, il lavoro, le maxiemergenze, la circolazione stradale. “Come compagnia assicurativa – sottolinea Giampiero Gelmi, Direttore Generale di Aurora Assicurazioni - siamo convinti di essere portatori di un profondo ruolo sociale: un ruolo innato che deriva dal fatto stesso di garantire costantemente sicurezza e protezione al singolo e alla collettività. Ed è proprio a partire da questa convinzione che insieme a partner autorevoli, come in questo caso Croce Rossa Italiana, vogliamo sempre più farci promotori di progetti ed iniziative che contribuiscano a consolidare questa nostra responsabilità nei confronti della società che ci circonda”. Quello degli incidenti domestici è un fenomeno caratterizzato da dati che sono anche più rilevanti di quelli relativi agli incidenti stradali: ogni anno, infatti, perdono la vita migliaia di persone ed altre centinaia di migliaia riportano gravi ferite. Le cause più frequenti sono gli avvelenamenti, le ustioni, le ferite da taglio e le cadute accidentali. Per questo lo scopo di “Incasasicuri” e della relativa campagna nazionale è quello di suggerire alle famiglie italiane gli interventi corretti ed alla portata di tutti per ridurre le conseguenze fisiche, economiche e sociali di questa tipologia di incidenti. (segue) L’opuscolo - che ha ricevuto l’apprezzamento ufficiale da parte del Ministero della Salute ed è prodotto in collaborazione con Pharma Service Edizioni, a cura degli autori Francesca Assisi, medico tossicologo del Centro Antiveleni di Milano, e Learco Sandi, Ufficiale del Corpo Militare della Croce Rossa Italiana – è di facile consultazione ed è suddiviso in una prima parte sugli avvelenamenti ed una seconda sui primi soccorsi in casa. Offre quindi un percorso conoscitivo sintetico ma accurato sulle diverse tipologie di pericoli ed incidenti domestici e riporta in modo dettagliato i consigli più importanti circa un’efficace azione di prevenzione e gli interventi da compiere nei casi di emergenza (avvelenamenti ed intossicazioni, emorragie, soffocamento per ingestione di corpi estranei, ustioni, morsi e punture, emergenze traumatologiche ed ortopediche, crisi cardiache, ecc.). Infolink: www.Auroraassicurazioni.it  www.Cri.it  
   
   
AURORA ASSICURAZIONI E CROCE ROSSA ITALIANA INSIEME PER PREVENIRE GLI INCIDENTI DOMESTICI  
 
Milano 30 giugno 2004 - Sviluppare una forte sensibilizzazione sulla prevenzione ed i primi soccorsi negli incidenti domestici: è con questo obiettivo che Aurora Assicurazioni, terza compagnia assicurativa multiramo del mercato italiano, ha realizzato, con il patrocinio della Croce Rossa Italiana, l’opuscolo informativo “Incasasicuri”. L’opuscolo costituisce il “cuore” della campagna di comunicazione sociale che Aurora e Croce Rossa svilupperanno in questi giorni in tutta Italia. Infatti, oltre che nelle 1.300 agenzie della compagnia, “Incasasicuri”, attraverso il supporto di Sanofi-synthelabo O.t.c. - una delle più grandi aziende farmaceutiche mondiali - sarà distribuito ai cittadini nelle 17.000 farmacie diffuse sull’intero territorio nazionale. “Incasasicuri” fa parte di una collana di pubblicazioni promosse da Aurora Assicurazioni con l’obiettivo di contribuire alla prevenzione degli incidenti, oltre che in ambito domestico, anche in altri settori quali lo sport, il lavoro, le maxiemergenze, la circolazione stradale. “Come compagnia assicurativa – sottolinea Giampiero Gelmi, Direttore Generale di Aurora Assicurazioni - siamo convinti di essere portatori di un profondo ruolo sociale: un ruolo innato che deriva dal fatto stesso di garantire costantemente sicurezza e protezione al singolo e alla collettività. Ed è proprio a partire da questa convinzione che insieme a partner autorevoli, come in questo caso Croce Rossa Italiana, vogliamo sempre più farci promotori di progetti ed iniziative che contribuiscano a consolidare questa nostra responsabilità nei confronti della società che ci circonda”. Quello degli incidenti domestici è un fenomeno caratterizzato da dati che sono anche più rilevanti di quelli relativi agli incidenti stradali: ogni anno, infatti, perdono la vita migliaia di persone ed altre centinaia di migliaia riportano gravi ferite. Le cause più frequenti sono gli avvelenamenti, le ustioni, le ferite da taglio e le cadute accidentali. Per questo lo scopo di “Incasasicuri” e della relativa campagna nazionale è quello di suggerire alle famiglie italiane gli interventi corretti ed alla portata di tutti per ridurre le conseguenze fisiche, economiche e sociali di questa tipologia di incidenti. (segue) L’opuscolo - che ha ricevuto l’apprezzamento ufficiale da parte del Ministero della Salute ed è prodotto in collaborazione con Pharma Service Edizioni, a cura degli autori Francesca Assisi, medico tossicologo del Centro Antiveleni di Milano, e Learco Sandi, Ufficiale del Corpo Militare della Croce Rossa Italiana – è di facile consultazione ed è suddiviso in una prima parte sugli avvelenamenti ed una seconda sui primi soccorsi in casa. Offre quindi un percorso conoscitivo sintetico ma accurato sulle diverse tipologie di pericoli ed incidenti domestici e riporta in modo dettagliato i consigli più importanti circa un’efficace azione di prevenzione e gli interventi da compiere nei casi di emergenza (avvelenamenti ed intossicazioni, emorragie, soffocamento per ingestione di corpi estranei, ustioni, morsi e punture, emergenze traumatologiche ed ortopediche, crisi cardiache, ecc.). Infolink: www.Auroraassicurazioni.it  www.Cri.it  
   
   
AURORA ASSICURAZIONI E CROCE ROSSA ITALIANA INSIEME PER PREVENIRE GLI INCIDENTI DOMESTICI  
 
Milano 30 giugno 2004 - Sviluppare una forte sensibilizzazione sulla prevenzione ed i primi soccorsi negli incidenti domestici: è con questo obiettivo che Aurora Assicurazioni, terza compagnia assicurativa multiramo del mercato italiano, ha realizzato, con il patrocinio della Croce Rossa Italiana, l’opuscolo informativo “Incasasicuri”. L’opuscolo costituisce il “cuore” della campagna di comunicazione sociale che Aurora e Croce Rossa svilupperanno in questi giorni in tutta Italia. Infatti, oltre che nelle 1.300 agenzie della compagnia, “Incasasicuri”, attraverso il supporto di Sanofi-synthelabo O.t.c. - una delle più grandi aziende farmaceutiche mondiali - sarà distribuito ai cittadini nelle 17.000 farmacie diffuse sull’intero territorio nazionale. “Incasasicuri” fa parte di una collana di pubblicazioni promosse da Aurora Assicurazioni con l’obiettivo di contribuire alla prevenzione degli incidenti, oltre che in ambito domestico, anche in altri settori quali lo sport, il lavoro, le maxiemergenze, la circolazione stradale. “Come compagnia assicurativa – sottolinea Giampiero Gelmi, Direttore Generale di Aurora Assicurazioni - siamo convinti di essere portatori di un profondo ruolo sociale: un ruolo innato che deriva dal fatto stesso di garantire costantemente sicurezza e protezione al singolo e alla collettività. Ed è proprio a partire da questa convinzione che insieme a partner autorevoli, come in questo caso Croce Rossa Italiana, vogliamo sempre più farci promotori di progetti ed iniziative che contribuiscano a consolidare questa nostra responsabilità nei confronti della società che ci circonda”. Quello degli incidenti domestici è un fenomeno caratterizzato da dati che sono anche più rilevanti di quelli relativi agli incidenti stradali: ogni anno, infatti, perdono la vita migliaia di persone ed altre centinaia di migliaia riportano gravi ferite. Le cause più frequenti sono gli avvelenamenti, le ustioni, le ferite da taglio e le cadute accidentali. Per questo lo scopo di “Incasasicuri” e della relativa campagna nazionale è quello di suggerire alle famiglie italiane gli interventi corretti ed alla portata di tutti per ridurre le conseguenze fisiche, economiche e sociali di questa tipologia di incidenti. (segue) L’opuscolo - che ha ricevuto l’apprezzamento ufficiale da parte del Ministero della Salute ed è prodotto in collaborazione con Pharma Service Edizioni, a cura degli autori Francesca Assisi, medico tossicologo del Centro Antiveleni di Milano, e Learco Sandi, Ufficiale del Corpo Militare della Croce Rossa Italiana – è di facile consultazione ed è suddiviso in una prima parte sugli avvelenamenti ed una seconda sui primi soccorsi in casa. Offre quindi un percorso conoscitivo sintetico ma accurato sulle diverse tipologie di pericoli ed incidenti domestici e riporta in modo dettagliato i consigli più importanti circa un’efficace azione di prevenzione e gli interventi da compiere nei casi di emergenza (avvelenamenti ed intossicazioni, emorragie, soffocamento per ingestione di corpi estranei, ustioni, morsi e punture, emergenze traumatologiche ed ortopediche, crisi cardiache, ecc.). Infolink: www.Auroraassicurazioni.it  www.Cri.it  
   
   
AURORA ASSICURAZIONI E CROCE ROSSA ITALIANA INSIEME PER PREVENIRE GLI INCIDENTI DOMESTICI  
 
Milano 30 giugno 2004 - Sviluppare una forte sensibilizzazione sulla prevenzione ed i primi soccorsi negli incidenti domestici: è con questo obiettivo che Aurora Assicurazioni, terza compagnia assicurativa multiramo del mercato italiano, ha realizzato, con il patrocinio della Croce Rossa Italiana, l’opuscolo informativo “Incasasicuri”. L’opuscolo costituisce il “cuore” della campagna di comunicazione sociale che Aurora e Croce Rossa svilupperanno in questi giorni in tutta Italia. Infatti, oltre che nelle 1.300 agenzie della compagnia, “Incasasicuri”, attraverso il supporto di Sanofi-synthelabo O.t.c. - una delle più grandi aziende farmaceutiche mondiali - sarà distribuito ai cittadini nelle 17.000 farmacie diffuse sull’intero territorio nazionale. “Incasasicuri” fa parte di una collana di pubblicazioni promosse da Aurora Assicurazioni con l’obiettivo di contribuire alla prevenzione degli incidenti, oltre che in ambito domestico, anche in altri settori quali lo sport, il lavoro, le maxiemergenze, la circolazione stradale. “Come compagnia assicurativa – sottolinea Giampiero Gelmi, Direttore Generale di Aurora Assicurazioni - siamo convinti di essere portatori di un profondo ruolo sociale: un ruolo innato che deriva dal fatto stesso di garantire costantemente sicurezza e protezione al singolo e alla collettività. Ed è proprio a partire da questa convinzione che insieme a partner autorevoli, come in questo caso Croce Rossa Italiana, vogliamo sempre più farci promotori di progetti ed iniziative che contribuiscano a consolidare questa nostra responsabilità nei confronti della società che ci circonda”. Quello degli incidenti domestici è un fenomeno caratterizzato da dati che sono anche più rilevanti di quelli relativi agli incidenti stradali: ogni anno, infatti, perdono la vita migliaia di persone ed altre centinaia di migliaia riportano gravi ferite. Le cause più frequenti sono gli avvelenamenti, le ustioni, le ferite da taglio e le cadute accidentali. Per questo lo scopo di “Incasasicuri” e della relativa campagna nazionale è quello di suggerire alle famiglie italiane gli interventi corretti ed alla portata di tutti per ridurre le conseguenze fisiche, economiche e sociali di questa tipologia di incidenti. (segue) L’opuscolo - che ha ricevuto l’apprezzamento ufficiale da parte del Ministero della Salute ed è prodotto in collaborazione con Pharma Service Edizioni, a cura degli autori Francesca Assisi, medico tossicologo del Centro Antiveleni di Milano, e Learco Sandi, Ufficiale del Corpo Militare della Croce Rossa Italiana – è di facile consultazione ed è suddiviso in una prima parte sugli avvelenamenti ed una seconda sui primi soccorsi in casa. Offre quindi un percorso conoscitivo sintetico ma accurato sulle diverse tipologie di pericoli ed incidenti domestici e riporta in modo dettagliato i consigli più importanti circa un’efficace azione di prevenzione e gli interventi da compiere nei casi di emergenza (avvelenamenti ed intossicazioni, emorragie, soffocamento per ingestione di corpi estranei, ustioni, morsi e punture, emergenze traumatologiche ed ortopediche, crisi cardiache, ecc.). Infolink: www.Auroraassicurazioni.it  www.Cri.it  
   
   
UNINDUSTRIA PADOVA: CONFRONTO CON MONTEZEMOLO, URSO, PEZZOTTA SULLA POLITICA ECONOMICA  
 
Padova, 30 giugno 2004 - Il confronto sulla manovra correttiva e il rilancio della politica economica passa da Padova. Alla vigilia del varo per decreto legge, annunciato dal Governo per questa settimana, un’occasione di confronto su questi temi fra Governo, industriali e sindacato sarà l’Assemblea Generale 2004 di Unindustria Padova, che si terrà domani mercoledì 30 giugno, con inizio alle ore 17.30 al Centro Congressi Papa A. Luciani di Padova. Alla relazione del presidente degli industriali padovani Luca Bonàiti, seguirà il confronto fra il vice ministro delle Attività Produttive Adolfo Urso, il segretario generale della Cisl Savino Pezzotta, il presidente di Confindustria Veneto Luigi Rossi Luciani e l’economista Giorgio Brunetti dell’Università Bocconi, moderato dal giornalista Antonio Calabrò. Il presidente di Confindustria Luca Cordero di Montezemolo concluderà con il suo intervento i lavori dell’Assemblea. “Fuori dal tunnel. Come far ripartire un’economia che non gira” è il titolo emblematico dell’Assemblea di Unindustria Padova, dedicata a luci ed ombre del sistema produttivo italiano, ma anche locale e del Nord Est, e alle ricette per uscire dal tunnel della bassa crescita. Con un invito esplicito alla politica e agli stessi imprenditori ad uno sforzo corale senza precedenti, per favorire il riposizionamento competitivo dell’industria italiana e dei sistemi locali nella nuova geografia produttiva mondiale. Assemblea Generale 2004 Mercoledì 30 giugno 2004 - Centro Congressi “Papa A. Luciani” Padova Programma ore 17.30 Relazione introduttiva Luca Bonàiti presidente Unindustria Padova; Tavola rotonda “Fuori Dal Tunnel. Come far ripartire un’economia che non gira”; ne discutono Giorgio Brunetti professore ordinario di strategia e politica aziendale Università Bocconi, Antonio Calabrò direttore Apcom, Savino Pezzotta segretario generale Cisl, Luigi Rossi Luciani presidente Confindustria Veneto, Adolfo Urso vice ministro Attività Produttive. Conclusioni Luca Cordero di Montezemolo presidente Confindustria  
   
   
UNINDUSTRIA PADOVA: CONFRONTO CON MONTEZEMOLO, URSO, PEZZOTTA SULLA POLITICA ECONOMICA  
 
Padova, 30 giugno 2004 - Il confronto sulla manovra correttiva e il rilancio della politica economica passa da Padova. Alla vigilia del varo per decreto legge, annunciato dal Governo per questa settimana, un’occasione di confronto su questi temi fra Governo, industriali e sindacato sarà l’Assemblea Generale 2004 di Unindustria Padova, che si terrà domani mercoledì 30 giugno, con inizio alle ore 17.30 al Centro Congressi Papa A. Luciani di Padova. Alla relazione del presidente degli industriali padovani Luca Bonàiti, seguirà il confronto fra il vice ministro delle Attività Produttive Adolfo Urso, il segretario generale della Cisl Savino Pezzotta, il presidente di Confindustria Veneto Luigi Rossi Luciani e l’economista Giorgio Brunetti dell’Università Bocconi, moderato dal giornalista Antonio Calabrò. Il presidente di Confindustria Luca Cordero di Montezemolo concluderà con il suo intervento i lavori dell’Assemblea. “Fuori dal tunnel. Come far ripartire un’economia che non gira” è il titolo emblematico dell’Assemblea di Unindustria Padova, dedicata a luci ed ombre del sistema produttivo italiano, ma anche locale e del Nord Est, e alle ricette per uscire dal tunnel della bassa crescita. Con un invito esplicito alla politica e agli stessi imprenditori ad uno sforzo corale senza precedenti, per favorire il riposizionamento competitivo dell’industria italiana e dei sistemi locali nella nuova geografia produttiva mondiale. Assemblea Generale 2004 Mercoledì 30 giugno 2004 - Centro Congressi “Papa A. Luciani” Padova Programma ore 17.30 Relazione introduttiva Luca Bonàiti presidente Unindustria Padova; Tavola rotonda “Fuori Dal Tunnel. Come far ripartire un’economia che non gira”; ne discutono Giorgio Brunetti professore ordinario di strategia e politica aziendale Università Bocconi, Antonio Calabrò direttore Apcom, Savino Pezzotta segretario generale Cisl, Luigi Rossi Luciani presidente Confindustria Veneto, Adolfo Urso vice ministro Attività Produttive. Conclusioni Luca Cordero di Montezemolo presidente Confindustria  
   
   
UNINDUSTRIA PADOVA: CONFRONTO CON MONTEZEMOLO, URSO, PEZZOTTA SULLA POLITICA ECONOMICA  
 
Padova, 30 giugno 2004 - Il confronto sulla manovra correttiva e il rilancio della politica economica passa da Padova. Alla vigilia del varo per decreto legge, annunciato dal Governo per questa settimana, un’occasione di confronto su questi temi fra Governo, industriali e sindacato sarà l’Assemblea Generale 2004 di Unindustria Padova, che si terrà domani mercoledì 30 giugno, con inizio alle ore 17.30 al Centro Congressi Papa A. Luciani di Padova. Alla relazione del presidente degli industriali padovani Luca Bonàiti, seguirà il confronto fra il vice ministro delle Attività Produttive Adolfo Urso, il segretario generale della Cisl Savino Pezzotta, il presidente di Confindustria Veneto Luigi Rossi Luciani e l’economista Giorgio Brunetti dell’Università Bocconi, moderato dal giornalista Antonio Calabrò. Il presidente di Confindustria Luca Cordero di Montezemolo concluderà con il suo intervento i lavori dell’Assemblea. “Fuori dal tunnel. Come far ripartire un’economia che non gira” è il titolo emblematico dell’Assemblea di Unindustria Padova, dedicata a luci ed ombre del sistema produttivo italiano, ma anche locale e del Nord Est, e alle ricette per uscire dal tunnel della bassa crescita. Con un invito esplicito alla politica e agli stessi imprenditori ad uno sforzo corale senza precedenti, per favorire il riposizionamento competitivo dell’industria italiana e dei sistemi locali nella nuova geografia produttiva mondiale. Assemblea Generale 2004 Mercoledì 30 giugno 2004 - Centro Congressi “Papa A. Luciani” Padova Programma ore 17.30 Relazione introduttiva Luca Bonàiti presidente Unindustria Padova; Tavola rotonda “Fuori Dal Tunnel. Come far ripartire un’economia che non gira”; ne discutono Giorgio Brunetti professore ordinario di strategia e politica aziendale Università Bocconi, Antonio Calabrò direttore Apcom, Savino Pezzotta segretario generale Cisl, Luigi Rossi Luciani presidente Confindustria Veneto, Adolfo Urso vice ministro Attività Produttive. Conclusioni Luca Cordero di Montezemolo presidente Confindustria  
   
   
UNINDUSTRIA PADOVA: CONFRONTO CON MONTEZEMOLO, URSO, PEZZOTTA SULLA POLITICA ECONOMICA  
 
Padova, 30 giugno 2004 - Il confronto sulla manovra correttiva e il rilancio della politica economica passa da Padova. Alla vigilia del varo per decreto legge, annunciato dal Governo per questa settimana, un’occasione di confronto su questi temi fra Governo, industriali e sindacato sarà l’Assemblea Generale 2004 di Unindustria Padova, che si terrà domani mercoledì 30 giugno, con inizio alle ore 17.30 al Centro Congressi Papa A. Luciani di Padova. Alla relazione del presidente degli industriali padovani Luca Bonàiti, seguirà il confronto fra il vice ministro delle Attività Produttive Adolfo Urso, il segretario generale della Cisl Savino Pezzotta, il presidente di Confindustria Veneto Luigi Rossi Luciani e l’economista Giorgio Brunetti dell’Università Bocconi, moderato dal giornalista Antonio Calabrò. Il presidente di Confindustria Luca Cordero di Montezemolo concluderà con il suo intervento i lavori dell’Assemblea. “Fuori dal tunnel. Come far ripartire un’economia che non gira” è il titolo emblematico dell’Assemblea di Unindustria Padova, dedicata a luci ed ombre del sistema produttivo italiano, ma anche locale e del Nord Est, e alle ricette per uscire dal tunnel della bassa crescita. Con un invito esplicito alla politica e agli stessi imprenditori ad uno sforzo corale senza precedenti, per favorire il riposizionamento competitivo dell’industria italiana e dei sistemi locali nella nuova geografia produttiva mondiale. Assemblea Generale 2004 Mercoledì 30 giugno 2004 - Centro Congressi “Papa A. Luciani” Padova Programma ore 17.30 Relazione introduttiva Luca Bonàiti presidente Unindustria Padova; Tavola rotonda “Fuori Dal Tunnel. Come far ripartire un’economia che non gira”; ne discutono Giorgio Brunetti professore ordinario di strategia e politica aziendale Università Bocconi, Antonio Calabrò direttore Apcom, Savino Pezzotta segretario generale Cisl, Luigi Rossi Luciani presidente Confindustria Veneto, Adolfo Urso vice ministro Attività Produttive. Conclusioni Luca Cordero di Montezemolo presidente Confindustria  
   
   
UNINDUSTRIA PADOVA: CONFRONTO CON MONTEZEMOLO, URSO, PEZZOTTA SULLA POLITICA ECONOMICA  
 
Padova, 30 giugno 2004 - Il confronto sulla manovra correttiva e il rilancio della politica economica passa da Padova. Alla vigilia del varo per decreto legge, annunciato dal Governo per questa settimana, un’occasione di confronto su questi temi fra Governo, industriali e sindacato sarà l’Assemblea Generale 2004 di Unindustria Padova, che si terrà domani mercoledì 30 giugno, con inizio alle ore 17.30 al Centro Congressi Papa A. Luciani di Padova. Alla relazione del presidente degli industriali padovani Luca Bonàiti, seguirà il confronto fra il vice ministro delle Attività Produttive Adolfo Urso, il segretario generale della Cisl Savino Pezzotta, il presidente di Confindustria Veneto Luigi Rossi Luciani e l’economista Giorgio Brunetti dell’Università Bocconi, moderato dal giornalista Antonio Calabrò. Il presidente di Confindustria Luca Cordero di Montezemolo concluderà con il suo intervento i lavori dell’Assemblea. “Fuori dal tunnel. Come far ripartire un’economia che non gira” è il titolo emblematico dell’Assemblea di Unindustria Padova, dedicata a luci ed ombre del sistema produttivo italiano, ma anche locale e del Nord Est, e alle ricette per uscire dal tunnel della bassa crescita. Con un invito esplicito alla politica e agli stessi imprenditori ad uno sforzo corale senza precedenti, per favorire il riposizionamento competitivo dell’industria italiana e dei sistemi locali nella nuova geografia produttiva mondiale. Assemblea Generale 2004 Mercoledì 30 giugno 2004 - Centro Congressi “Papa A. Luciani” Padova Programma ore 17.30 Relazione introduttiva Luca Bonàiti presidente Unindustria Padova; Tavola rotonda “Fuori Dal Tunnel. Come far ripartire un’economia che non gira”; ne discutono Giorgio Brunetti professore ordinario di strategia e politica aziendale Università Bocconi, Antonio Calabrò direttore Apcom, Savino Pezzotta segretario generale Cisl, Luigi Rossi Luciani presidente Confindustria Veneto, Adolfo Urso vice ministro Attività Produttive. Conclusioni Luca Cordero di Montezemolo presidente Confindustria  
   
   
UNINDUSTRIA PADOVA: CONFRONTO CON MONTEZEMOLO, URSO, PEZZOTTA SULLA POLITICA ECONOMICA  
 
Padova, 30 giugno 2004 - Il confronto sulla manovra correttiva e il rilancio della politica economica passa da Padova. Alla vigilia del varo per decreto legge, annunciato dal Governo per questa settimana, un’occasione di confronto su questi temi fra Governo, industriali e sindacato sarà l’Assemblea Generale 2004 di Unindustria Padova, che si terrà domani mercoledì 30 giugno, con inizio alle ore 17.30 al Centro Congressi Papa A. Luciani di Padova. Alla relazione del presidente degli industriali padovani Luca Bonàiti, seguirà il confronto fra il vice ministro delle Attività Produttive Adolfo Urso, il segretario generale della Cisl Savino Pezzotta, il presidente di Confindustria Veneto Luigi Rossi Luciani e l’economista Giorgio Brunetti dell’Università Bocconi, moderato dal giornalista Antonio Calabrò. Il presidente di Confindustria Luca Cordero di Montezemolo concluderà con il suo intervento i lavori dell’Assemblea. “Fuori dal tunnel. Come far ripartire un’economia che non gira” è il titolo emblematico dell’Assemblea di Unindustria Padova, dedicata a luci ed ombre del sistema produttivo italiano, ma anche locale e del Nord Est, e alle ricette per uscire dal tunnel della bassa crescita. Con un invito esplicito alla politica e agli stessi imprenditori ad uno sforzo corale senza precedenti, per favorire il riposizionamento competitivo dell’industria italiana e dei sistemi locali nella nuova geografia produttiva mondiale. Assemblea Generale 2004 Mercoledì 30 giugno 2004 - Centro Congressi “Papa A. Luciani” Padova Programma ore 17.30 Relazione introduttiva Luca Bonàiti presidente Unindustria Padova; Tavola rotonda “Fuori Dal Tunnel. Come far ripartire un’economia che non gira”; ne discutono Giorgio Brunetti professore ordinario di strategia e politica aziendale Università Bocconi, Antonio Calabrò direttore Apcom, Savino Pezzotta segretario generale Cisl, Luigi Rossi Luciani presidente Confindustria Veneto, Adolfo Urso vice ministro Attività Produttive. Conclusioni Luca Cordero di Montezemolo presidente Confindustria  
   
   
RINNOVO DELLE CARICHE DI UCIMU-SISTEMI PER PRODURRE  
 
Cinisello, 30 giugno 2004 - Chiamata il 28 giugno 2004, a rinnovare le cariche sociali per il biennio 2004-05, l’assemblea dei soci di Ucimu-sistemi Per Produrre ha eletto Alberto Tacchella alla presidenza della associazione dei costruttori italiani di macchine utensili, robot e automazione. Alberto Tacchella, già vicepresidente dell’associazione, dal 2000 a oggi, è presidente della Tacchella Macchine (Cassine, Al); società specializzata nella produzione di rettificatrici per esterni in tondo, universali e da produzione. Alberto Tacchella sarà coadiuvato dai vicepresidenti: Fernando Caligaris (Comau, Grugliasco To); Mario Carnaghi (Carnaghi Mario, Olgiate Olona Va); Giancarlo Losma (Losma, Curno Bg). Completano la squadra, che guiderà l’associazione per il prossimo biennio: Alessandro Batisti (Gildemeister Italiana, Brembate Sopra Bg); Massimo Carboniero (Omera, Schio Vi); Patrick Colombo (Sacma Macchine Per Lamiera, Crosio della Valle Va); Federico Favretto (Favretto, Pino Torinese To); Luigi Galdabini (Cesare Galdabini, Cardano al Campo Va); Gabriele Gasperini (Mcm, Vigolzone Pc); Patrizia Ghiringhelli (Ghiringhelli, Luino Va); Giulio Maria Giana (Giuseppe Giana, Magnago Mi); Massimiliano Mandelli (Sandvik Italia, Milano Mi); Riccardo Rosa (Rosa Ermando, Rescaldina Mi); Tomaso Tarozzi (Iemca Giuliani, Faenza Ra). Direttore generale di Ucimu-sistemi Per Produrre è Alfredo Mariotti.  
   
   
RINNOVO DELLE CARICHE DI UCIMU-SISTEMI PER PRODURRE  
 
Cinisello, 30 giugno 2004 - Chiamata il 28 giugno 2004, a rinnovare le cariche sociali per il biennio 2004-05, l’assemblea dei soci di Ucimu-sistemi Per Produrre ha eletto Alberto Tacchella alla presidenza della associazione dei costruttori italiani di macchine utensili, robot e automazione. Alberto Tacchella, già vicepresidente dell’associazione, dal 2000 a oggi, è presidente della Tacchella Macchine (Cassine, Al); società specializzata nella produzione di rettificatrici per esterni in tondo, universali e da produzione. Alberto Tacchella sarà coadiuvato dai vicepresidenti: Fernando Caligaris (Comau, Grugliasco To); Mario Carnaghi (Carnaghi Mario, Olgiate Olona Va); Giancarlo Losma (Losma, Curno Bg). Completano la squadra, che guiderà l’associazione per il prossimo biennio: Alessandro Batisti (Gildemeister Italiana, Brembate Sopra Bg); Massimo Carboniero (Omera, Schio Vi); Patrick Colombo (Sacma Macchine Per Lamiera, Crosio della Valle Va); Federico Favretto (Favretto, Pino Torinese To); Luigi Galdabini (Cesare Galdabini, Cardano al Campo Va); Gabriele Gasperini (Mcm, Vigolzone Pc); Patrizia Ghiringhelli (Ghiringhelli, Luino Va); Giulio Maria Giana (Giuseppe Giana, Magnago Mi); Massimiliano Mandelli (Sandvik Italia, Milano Mi); Riccardo Rosa (Rosa Ermando, Rescaldina Mi); Tomaso Tarozzi (Iemca Giuliani, Faenza Ra). Direttore generale di Ucimu-sistemi Per Produrre è Alfredo Mariotti.  
   
   
RINNOVO DELLE CARICHE DI UCIMU-SISTEMI PER PRODURRE  
 
Cinisello, 30 giugno 2004 - Chiamata il 28 giugno 2004, a rinnovare le cariche sociali per il biennio 2004-05, l’assemblea dei soci di Ucimu-sistemi Per Produrre ha eletto Alberto Tacchella alla presidenza della associazione dei costruttori italiani di macchine utensili, robot e automazione. Alberto Tacchella, già vicepresidente dell’associazione, dal 2000 a oggi, è presidente della Tacchella Macchine (Cassine, Al); società specializzata nella produzione di rettificatrici per esterni in tondo, universali e da produzione. Alberto Tacchella sarà coadiuvato dai vicepresidenti: Fernando Caligaris (Comau, Grugliasco To); Mario Carnaghi (Carnaghi Mario, Olgiate Olona Va); Giancarlo Losma (Losma, Curno Bg). Completano la squadra, che guiderà l’associazione per il prossimo biennio: Alessandro Batisti (Gildemeister Italiana, Brembate Sopra Bg); Massimo Carboniero (Omera, Schio Vi); Patrick Colombo (Sacma Macchine Per Lamiera, Crosio della Valle Va); Federico Favretto (Favretto, Pino Torinese To); Luigi Galdabini (Cesare Galdabini, Cardano al Campo Va); Gabriele Gasperini (Mcm, Vigolzone Pc); Patrizia Ghiringhelli (Ghiringhelli, Luino Va); Giulio Maria Giana (Giuseppe Giana, Magnago Mi); Massimiliano Mandelli (Sandvik Italia, Milano Mi); Riccardo Rosa (Rosa Ermando, Rescaldina Mi); Tomaso Tarozzi (Iemca Giuliani, Faenza Ra). Direttore generale di Ucimu-sistemi Per Produrre è Alfredo Mariotti.  
   
   
RINNOVO DELLE CARICHE DI UCIMU-SISTEMI PER PRODURRE  
 
Cinisello, 30 giugno 2004 - Chiamata il 28 giugno 2004, a rinnovare le cariche sociali per il biennio 2004-05, l’assemblea dei soci di Ucimu-sistemi Per Produrre ha eletto Alberto Tacchella alla presidenza della associazione dei costruttori italiani di macchine utensili, robot e automazione. Alberto Tacchella, già vicepresidente dell’associazione, dal 2000 a oggi, è presidente della Tacchella Macchine (Cassine, Al); società specializzata nella produzione di rettificatrici per esterni in tondo, universali e da produzione. Alberto Tacchella sarà coadiuvato dai vicepresidenti: Fernando Caligaris (Comau, Grugliasco To); Mario Carnaghi (Carnaghi Mario, Olgiate Olona Va); Giancarlo Losma (Losma, Curno Bg). Completano la squadra, che guiderà l’associazione per il prossimo biennio: Alessandro Batisti (Gildemeister Italiana, Brembate Sopra Bg); Massimo Carboniero (Omera, Schio Vi); Patrick Colombo (Sacma Macchine Per Lamiera, Crosio della Valle Va); Federico Favretto (Favretto, Pino Torinese To); Luigi Galdabini (Cesare Galdabini, Cardano al Campo Va); Gabriele Gasperini (Mcm, Vigolzone Pc); Patrizia Ghiringhelli (Ghiringhelli, Luino Va); Giulio Maria Giana (Giuseppe Giana, Magnago Mi); Massimiliano Mandelli (Sandvik Italia, Milano Mi); Riccardo Rosa (Rosa Ermando, Rescaldina Mi); Tomaso Tarozzi (Iemca Giuliani, Faenza Ra). Direttore generale di Ucimu-sistemi Per Produrre è Alfredo Mariotti.  
   
   
RINNOVO DELLE CARICHE DI UCIMU-SISTEMI PER PRODURRE  
 
Cinisello, 30 giugno 2004 - Chiamata il 28 giugno 2004, a rinnovare le cariche sociali per il biennio 2004-05, l’assemblea dei soci di Ucimu-sistemi Per Produrre ha eletto Alberto Tacchella alla presidenza della associazione dei costruttori italiani di macchine utensili, robot e automazione. Alberto Tacchella, già vicepresidente dell’associazione, dal 2000 a oggi, è presidente della Tacchella Macchine (Cassine, Al); società specializzata nella produzione di rettificatrici per esterni in tondo, universali e da produzione. Alberto Tacchella sarà coadiuvato dai vicepresidenti: Fernando Caligaris (Comau, Grugliasco To); Mario Carnaghi (Carnaghi Mario, Olgiate Olona Va); Giancarlo Losma (Losma, Curno Bg). Completano la squadra, che guiderà l’associazione per il prossimo biennio: Alessandro Batisti (Gildemeister Italiana, Brembate Sopra Bg); Massimo Carboniero (Omera, Schio Vi); Patrick Colombo (Sacma Macchine Per Lamiera, Crosio della Valle Va); Federico Favretto (Favretto, Pino Torinese To); Luigi Galdabini (Cesare Galdabini, Cardano al Campo Va); Gabriele Gasperini (Mcm, Vigolzone Pc); Patrizia Ghiringhelli (Ghiringhelli, Luino Va); Giulio Maria Giana (Giuseppe Giana, Magnago Mi); Massimiliano Mandelli (Sandvik Italia, Milano Mi); Riccardo Rosa (Rosa Ermando, Rescaldina Mi); Tomaso Tarozzi (Iemca Giuliani, Faenza Ra). Direttore generale di Ucimu-sistemi Per Produrre è Alfredo Mariotti.  
   
   
RINNOVO DELLE CARICHE DI UCIMU-SISTEMI PER PRODURRE  
 
Cinisello, 30 giugno 2004 - Chiamata il 28 giugno 2004, a rinnovare le cariche sociali per il biennio 2004-05, l’assemblea dei soci di Ucimu-sistemi Per Produrre ha eletto Alberto Tacchella alla presidenza della associazione dei costruttori italiani di macchine utensili, robot e automazione. Alberto Tacchella, già vicepresidente dell’associazione, dal 2000 a oggi, è presidente della Tacchella Macchine (Cassine, Al); società specializzata nella produzione di rettificatrici per esterni in tondo, universali e da produzione. Alberto Tacchella sarà coadiuvato dai vicepresidenti: Fernando Caligaris (Comau, Grugliasco To); Mario Carnaghi (Carnaghi Mario, Olgiate Olona Va); Giancarlo Losma (Losma, Curno Bg). Completano la squadra, che guiderà l’associazione per il prossimo biennio: Alessandro Batisti (Gildemeister Italiana, Brembate Sopra Bg); Massimo Carboniero (Omera, Schio Vi); Patrick Colombo (Sacma Macchine Per Lamiera, Crosio della Valle Va); Federico Favretto (Favretto, Pino Torinese To); Luigi Galdabini (Cesare Galdabini, Cardano al Campo Va); Gabriele Gasperini (Mcm, Vigolzone Pc); Patrizia Ghiringhelli (Ghiringhelli, Luino Va); Giulio Maria Giana (Giuseppe Giana, Magnago Mi); Massimiliano Mandelli (Sandvik Italia, Milano Mi); Riccardo Rosa (Rosa Ermando, Rescaldina Mi); Tomaso Tarozzi (Iemca Giuliani, Faenza Ra). Direttore generale di Ucimu-sistemi Per Produrre è Alfredo Mariotti.  
   
   
TERRITORIO: I DATI DELL'OSSERVATORIO SULLE COMPRAVENDITE DI IMMOBILI  
 
Roma, 30 giugno 2004 - L’agenzia del Territorio ha pubblicato la nota semestrale in cui sono analizzati, a livello nazionale, i dati di consuntivo delle compravendite registrate nel 2003, anticipando con questo documento il “Rapporto immobiliare sui volumi di compravendita” disponibile sul sito dell'Agenzia dalla metà di luglio. A fronte di un forte aumento delle compravendite rilevato nel 2002, il mercato immobiliare nel corso del 2003 ha registrato una sostanziale tenuta soprattutto per le tipologie residenziale e commerciale. Mentre, le compravendite di box e posti auto in prevalenza, ma anche alberghi, immobili pubblici e altre categorie speciali risultano in lieve aumento (+1%) rispetto all'anno precedente. Infolink: http://www.Governo.it/governoinforma/dossier/mercato_immobiliare2003/index.html  
   
   
TERRITORIO: I DATI DELL'OSSERVATORIO SULLE COMPRAVENDITE DI IMMOBILI  
 
Roma, 30 giugno 2004 - L’agenzia del Territorio ha pubblicato la nota semestrale in cui sono analizzati, a livello nazionale, i dati di consuntivo delle compravendite registrate nel 2003, anticipando con questo documento il “Rapporto immobiliare sui volumi di compravendita” disponibile sul sito dell'Agenzia dalla metà di luglio. A fronte di un forte aumento delle compravendite rilevato nel 2002, il mercato immobiliare nel corso del 2003 ha registrato una sostanziale tenuta soprattutto per le tipologie residenziale e commerciale. Mentre, le compravendite di box e posti auto in prevalenza, ma anche alberghi, immobili pubblici e altre categorie speciali risultano in lieve aumento (+1%) rispetto all'anno precedente. Infolink: http://www.Governo.it/governoinforma/dossier/mercato_immobiliare2003/index.html  
   
   
TERRITORIO: I DATI DELL'OSSERVATORIO SULLE COMPRAVENDITE DI IMMOBILI  
 
Roma, 30 giugno 2004 - L’agenzia del Territorio ha pubblicato la nota semestrale in cui sono analizzati, a livello nazionale, i dati di consuntivo delle compravendite registrate nel 2003, anticipando con questo documento il “Rapporto immobiliare sui volumi di compravendita” disponibile sul sito dell'Agenzia dalla metà di luglio. A fronte di un forte aumento delle compravendite rilevato nel 2002, il mercato immobiliare nel corso del 2003 ha registrato una sostanziale tenuta soprattutto per le tipologie residenziale e commerciale. Mentre, le compravendite di box e posti auto in prevalenza, ma anche alberghi, immobili pubblici e altre categorie speciali risultano in lieve aumento (+1%) rispetto all'anno precedente. Infolink: http://www.Governo.it/governoinforma/dossier/mercato_immobiliare2003/index.html  
   
   
TERRITORIO: I DATI DELL'OSSERVATORIO SULLE COMPRAVENDITE DI IMMOBILI  
 
Roma, 30 giugno 2004 - L’agenzia del Territorio ha pubblicato la nota semestrale in cui sono analizzati, a livello nazionale, i dati di consuntivo delle compravendite registrate nel 2003, anticipando con questo documento il “Rapporto immobiliare sui volumi di compravendita” disponibile sul sito dell'Agenzia dalla metà di luglio. A fronte di un forte aumento delle compravendite rilevato nel 2002, il mercato immobiliare nel corso del 2003 ha registrato una sostanziale tenuta soprattutto per le tipologie residenziale e commerciale. Mentre, le compravendite di box e posti auto in prevalenza, ma anche alberghi, immobili pubblici e altre categorie speciali risultano in lieve aumento (+1%) rispetto all'anno precedente. Infolink: http://www.Governo.it/governoinforma/dossier/mercato_immobiliare2003/index.html  
   
   
TERRITORIO: I DATI DELL'OSSERVATORIO SULLE COMPRAVENDITE DI IMMOBILI  
 
Roma, 30 giugno 2004 - L’agenzia del Territorio ha pubblicato la nota semestrale in cui sono analizzati, a livello nazionale, i dati di consuntivo delle compravendite registrate nel 2003, anticipando con questo documento il “Rapporto immobiliare sui volumi di compravendita” disponibile sul sito dell'Agenzia dalla metà di luglio. A fronte di un forte aumento delle compravendite rilevato nel 2002, il mercato immobiliare nel corso del 2003 ha registrato una sostanziale tenuta soprattutto per le tipologie residenziale e commerciale. Mentre, le compravendite di box e posti auto in prevalenza, ma anche alberghi, immobili pubblici e altre categorie speciali risultano in lieve aumento (+1%) rispetto all'anno precedente. Infolink: http://www.Governo.it/governoinforma/dossier/mercato_immobiliare2003/index.html  
   
   
TERRITORIO: I DATI DELL'OSSERVATORIO SULLE COMPRAVENDITE DI IMMOBILI  
 
Roma, 30 giugno 2004 - L’agenzia del Territorio ha pubblicato la nota semestrale in cui sono analizzati, a livello nazionale, i dati di consuntivo delle compravendite registrate nel 2003, anticipando con questo documento il “Rapporto immobiliare sui volumi di compravendita” disponibile sul sito dell'Agenzia dalla metà di luglio. A fronte di un forte aumento delle compravendite rilevato nel 2002, il mercato immobiliare nel corso del 2003 ha registrato una sostanziale tenuta soprattutto per le tipologie residenziale e commerciale. Mentre, le compravendite di box e posti auto in prevalenza, ma anche alberghi, immobili pubblici e altre categorie speciali risultano in lieve aumento (+1%) rispetto all'anno precedente. Infolink: http://www.Governo.it/governoinforma/dossier/mercato_immobiliare2003/index.html  
   
   
TERRORISMO, IRAQ ED ISLAM: COME CAMBIANO LE ABITUDINI DEGLI ITALIANI UNA “DUE GIORNI”, 5 E 6 LUGLIO, CHE VEDRÀ MILANO “CAPITALE” DEL MEDITERRANEO  
 
 Milano, 30 giugno 2004 - Quanti vogliono una moschea vicino a casa? Quali sono i rapporti con la comunità islamica? Siamo tolleranti? E come sono cambiate dall’11 settembre 2001 le nostre abitudini quotidiane? Se ne parla in una ricerca della Camera di Commercio attraverso Cirm, su cinque città italiane - Milano, Bologna, Roma, Napoli, Palermo - che verrà spiegata e distribuita in occasione della presentazione del Secondo Laboratorio Euro-mediterraneo dal titolo:“Proposte, idee e progetti per la creazione di uno spazio comune Mediterraneo”. Un grande evento internazionale per prospettare un ruolo da protagonista del nostro Paese e di Milano sullo scacchiere del Mediterraneo, che vedrà "Milano capitale del Mediterraneo" per due giorni: il 5 e il 6 luglio si incontreranno intorno allo stesso tavolo ministri, imprenditori, protagonisti della cultura della "regione mediterranea". E proprio da Milano stanno partendo nuovi progetti di sviluppo. Tra i Paesi coinvolti: Turchia, Libano, Siria, Giordania, Egitto, Tunisia, Marocco, Libia, Cipro, Malta, Algeria: La presentazione della Conferenza e della ricerca è prevista: Giovedì 1 luglio alle ore 12, Palazzo Affari ai Giureconsulti, Piazza Mercanti 1 (Mm Duomo). Parteciperanno: Bruno Ermolli, Presidente di Promos, azienda speciale della Camera di Commercio di Milano per le attività internazionali e Pier Andrea Chevallard, Segretario generale della Camera di commercio di Milano.  
   
   
TERRORISMO, IRAQ ED ISLAM: COME CAMBIANO LE ABITUDINI DEGLI ITALIANI UNA “DUE GIORNI”, 5 E 6 LUGLIO, CHE VEDRÀ MILANO “CAPITALE” DEL MEDITERRANEO  
 
 Milano, 30 giugno 2004 - Quanti vogliono una moschea vicino a casa? Quali sono i rapporti con la comunità islamica? Siamo tolleranti? E come sono cambiate dall’11 settembre 2001 le nostre abitudini quotidiane? Se ne parla in una ricerca della Camera di Commercio attraverso Cirm, su cinque città italiane - Milano, Bologna, Roma, Napoli, Palermo - che verrà spiegata e distribuita in occasione della presentazione del Secondo Laboratorio Euro-mediterraneo dal titolo:“Proposte, idee e progetti per la creazione di uno spazio comune Mediterraneo”. Un grande evento internazionale per prospettare un ruolo da protagonista del nostro Paese e di Milano sullo scacchiere del Mediterraneo, che vedrà "Milano capitale del Mediterraneo" per due giorni: il 5 e il 6 luglio si incontreranno intorno allo stesso tavolo ministri, imprenditori, protagonisti della cultura della "regione mediterranea". E proprio da Milano stanno partendo nuovi progetti di sviluppo. Tra i Paesi coinvolti: Turchia, Libano, Siria, Giordania, Egitto, Tunisia, Marocco, Libia, Cipro, Malta, Algeria: La presentazione della Conferenza e della ricerca è prevista: Giovedì 1 luglio alle ore 12, Palazzo Affari ai Giureconsulti, Piazza Mercanti 1 (Mm Duomo). Parteciperanno: Bruno Ermolli, Presidente di Promos, azienda speciale della Camera di Commercio di Milano per le attività internazionali e Pier Andrea Chevallard, Segretario generale della Camera di commercio di Milano.  
   
   
TERRORISMO, IRAQ ED ISLAM: COME CAMBIANO LE ABITUDINI DEGLI ITALIANI UNA “DUE GIORNI”, 5 E 6 LUGLIO, CHE VEDRÀ MILANO “CAPITALE” DEL MEDITERRANEO  
 
 Milano, 30 giugno 2004 - Quanti vogliono una moschea vicino a casa? Quali sono i rapporti con la comunità islamica? Siamo tolleranti? E come sono cambiate dall’11 settembre 2001 le nostre abitudini quotidiane? Se ne parla in una ricerca della Camera di Commercio attraverso Cirm, su cinque città italiane - Milano, Bologna, Roma, Napoli, Palermo - che verrà spiegata e distribuita in occasione della presentazione del Secondo Laboratorio Euro-mediterraneo dal titolo:“Proposte, idee e progetti per la creazione di uno spazio comune Mediterraneo”. Un grande evento internazionale per prospettare un ruolo da protagonista del nostro Paese e di Milano sullo scacchiere del Mediterraneo, che vedrà "Milano capitale del Mediterraneo" per due giorni: il 5 e il 6 luglio si incontreranno intorno allo stesso tavolo ministri, imprenditori, protagonisti della cultura della "regione mediterranea". E proprio da Milano stanno partendo nuovi progetti di sviluppo. Tra i Paesi coinvolti: Turchia, Libano, Siria, Giordania, Egitto, Tunisia, Marocco, Libia, Cipro, Malta, Algeria: La presentazione della Conferenza e della ricerca è prevista: Giovedì 1 luglio alle ore 12, Palazzo Affari ai Giureconsulti, Piazza Mercanti 1 (Mm Duomo). Parteciperanno: Bruno Ermolli, Presidente di Promos, azienda speciale della Camera di Commercio di Milano per le attività internazionali e Pier Andrea Chevallard, Segretario generale della Camera di commercio di Milano.  
   
   
TERRORISMO, IRAQ ED ISLAM: COME CAMBIANO LE ABITUDINI DEGLI ITALIANI UNA “DUE GIORNI”, 5 E 6 LUGLIO, CHE VEDRÀ MILANO “CAPITALE” DEL MEDITERRANEO  
 
 Milano, 30 giugno 2004 - Quanti vogliono una moschea vicino a casa? Quali sono i rapporti con la comunità islamica? Siamo tolleranti? E come sono cambiate dall’11 settembre 2001 le nostre abitudini quotidiane? Se ne parla in una ricerca della Camera di Commercio attraverso Cirm, su cinque città italiane - Milano, Bologna, Roma, Napoli, Palermo - che verrà spiegata e distribuita in occasione della presentazione del Secondo Laboratorio Euro-mediterraneo dal titolo:“Proposte, idee e progetti per la creazione di uno spazio comune Mediterraneo”. Un grande evento internazionale per prospettare un ruolo da protagonista del nostro Paese e di Milano sullo scacchiere del Mediterraneo, che vedrà "Milano capitale del Mediterraneo" per due giorni: il 5 e il 6 luglio si incontreranno intorno allo stesso tavolo ministri, imprenditori, protagonisti della cultura della "regione mediterranea". E proprio da Milano stanno partendo nuovi progetti di sviluppo. Tra i Paesi coinvolti: Turchia, Libano, Siria, Giordania, Egitto, Tunisia, Marocco, Libia, Cipro, Malta, Algeria: La presentazione della Conferenza e della ricerca è prevista: Giovedì 1 luglio alle ore 12, Palazzo Affari ai Giureconsulti, Piazza Mercanti 1 (Mm Duomo). Parteciperanno: Bruno Ermolli, Presidente di Promos, azienda speciale della Camera di Commercio di Milano per le attività internazionali e Pier Andrea Chevallard, Segretario generale della Camera di commercio di Milano.  
   
   
TERRORISMO, IRAQ ED ISLAM: COME CAMBIANO LE ABITUDINI DEGLI ITALIANI UNA “DUE GIORNI”, 5 E 6 LUGLIO, CHE VEDRÀ MILANO “CAPITALE” DEL MEDITERRANEO  
 
 Milano, 30 giugno 2004 - Quanti vogliono una moschea vicino a casa? Quali sono i rapporti con la comunità islamica? Siamo tolleranti? E come sono cambiate dall’11 settembre 2001 le nostre abitudini quotidiane? Se ne parla in una ricerca della Camera di Commercio attraverso Cirm, su cinque città italiane - Milano, Bologna, Roma, Napoli, Palermo - che verrà spiegata e distribuita in occasione della presentazione del Secondo Laboratorio Euro-mediterraneo dal titolo:“Proposte, idee e progetti per la creazione di uno spazio comune Mediterraneo”. Un grande evento internazionale per prospettare un ruolo da protagonista del nostro Paese e di Milano sullo scacchiere del Mediterraneo, che vedrà "Milano capitale del Mediterraneo" per due giorni: il 5 e il 6 luglio si incontreranno intorno allo stesso tavolo ministri, imprenditori, protagonisti della cultura della "regione mediterranea". E proprio da Milano stanno partendo nuovi progetti di sviluppo. Tra i Paesi coinvolti: Turchia, Libano, Siria, Giordania, Egitto, Tunisia, Marocco, Libia, Cipro, Malta, Algeria: La presentazione della Conferenza e della ricerca è prevista: Giovedì 1 luglio alle ore 12, Palazzo Affari ai Giureconsulti, Piazza Mercanti 1 (Mm Duomo). Parteciperanno: Bruno Ermolli, Presidente di Promos, azienda speciale della Camera di Commercio di Milano per le attività internazionali e Pier Andrea Chevallard, Segretario generale della Camera di commercio di Milano.  
   
   
TERRORISMO, IRAQ ED ISLAM: COME CAMBIANO LE ABITUDINI DEGLI ITALIANI UNA “DUE GIORNI”, 5 E 6 LUGLIO, CHE VEDRÀ MILANO “CAPITALE” DEL MEDITERRANEO  
 
 Milano, 30 giugno 2004 - Quanti vogliono una moschea vicino a casa? Quali sono i rapporti con la comunità islamica? Siamo tolleranti? E come sono cambiate dall’11 settembre 2001 le nostre abitudini quotidiane? Se ne parla in una ricerca della Camera di Commercio attraverso Cirm, su cinque città italiane - Milano, Bologna, Roma, Napoli, Palermo - che verrà spiegata e distribuita in occasione della presentazione del Secondo Laboratorio Euro-mediterraneo dal titolo:“Proposte, idee e progetti per la creazione di uno spazio comune Mediterraneo”. Un grande evento internazionale per prospettare un ruolo da protagonista del nostro Paese e di Milano sullo scacchiere del Mediterraneo, che vedrà "Milano capitale del Mediterraneo" per due giorni: il 5 e il 6 luglio si incontreranno intorno allo stesso tavolo ministri, imprenditori, protagonisti della cultura della "regione mediterranea". E proprio da Milano stanno partendo nuovi progetti di sviluppo. Tra i Paesi coinvolti: Turchia, Libano, Siria, Giordania, Egitto, Tunisia, Marocco, Libia, Cipro, Malta, Algeria: La presentazione della Conferenza e della ricerca è prevista: Giovedì 1 luglio alle ore 12, Palazzo Affari ai Giureconsulti, Piazza Mercanti 1 (Mm Duomo). Parteciperanno: Bruno Ermolli, Presidente di Promos, azienda speciale della Camera di Commercio di Milano per le attività internazionali e Pier Andrea Chevallard, Segretario generale della Camera di commercio di Milano.  
   
   
IN ARRIVO 8 MILIONI DI EURO PER GLI IMPRENDITORI MILANESI E LOMBARDI FINO A 25.000 EURO PER OGNI IMPRESA. PER ARREDI, SOFTWARE, RISTRUTTURAZIONE, FRANCHISING, COMUNICAZIONE, SPESE NOTARILI  
 
Milano, 30 giugno 2004 - Arrivano i contributi: 8 milioni di euro. Li mette a disposizione il Progetto Saturno per le nuove imprese ed i lavoratori autonomi. L’obiettivo è quello di promuovere e sviluppare l’imprenditorialità milanese e lombarda attraverso un sistema di rete che prevede contributi in conto capitale a fondo perduto per sostenere le nuove imprese, l’aiuto ai lavoratori autonomi e per i progetti innovativi quali programmi d’investimento per l’innovazione di prodotto, di mercato, di processo, anche per l’ampliamento e l’ammodernamento dell’attività esercitata. Per la domanda di richiesta dei contributi dovrà essere utilizzata esclusivamente la modulistica disponibile sul sito www.Saturno.lombardia.it o presso la rete degli Sportelli Punto Nuova Impresa. Le domande devono pervenire entro le ore 16.00 del 30 settembre 2004, presso l’Ufficio Protocollo della Camera di commercio di Milano, in via San Vittore al Teatro 14, a Milano. Questa è una delle iniziative del Progetto di Sovvenzione globale Saturno che stanzia in totale 17 milioni di euro per orientamento, informazione, assistenza e contributi, arriva un aiuto reale. Un progetto, promosso e cofinanziato da Regione Lombardia, Ministero del lavoro e delle politiche sociali e Fondo Sociale Europeo, realizzato dalle Camere di Commercio lombarde - con capofila la Camera di Commercio di Milano - e Unioncamere Lombardia. “Il Progetto di Sovvenzione globale Saturno - ha dichiarato Carlo Sangalli, presidente della Camera di Commercio di Milano - ha l'obiettivo di diffondere imprenditorialità, supportare l’inizio attività e favorire l’innovazione nelle piccole imprese milanesi e lombarde, e pone una particolare attenzione alle specifiche esigenze territoriali attraverso la rete delle Camere di Commercio locali e delle associazioni delle imprese”. Destinatari - I contributi possono richiederli le nuove imprese iscritte al Registro delle Imprese a partire dal 1/1/2002: piccole imprese individuali, le società di persone, le società di capitali e le cooperative. La sede operativa deve essere in Lombardia. I lavoratori autonomi che abbiano richiesto l’avvio attività presso l’Ufficio delle Entrate (attribuzione della partita Iva) a partire dall’01/01/2002 e fino alla data di pubblicazione del presente Bando, che abbiano sede operativa in Lombardia. Spese ammissibili - Acquisto di beni strumentali ed arredi necessari all’attività; acquisto di software; ristrutturazione di immobili; avvio di attività in franchising; spese notarili; spese per il piano di comunicazione; acquisto di attività preesistenti. Nel programma di investimento possono rientrare le spese fatturate a partire dal 01/01/2004. Contributi - L'entità del contributo, in conto capitale, a fondo perduto è pari al 50% degli investimenti ammessi, al netto di Iva, fino ad un massimo di 25.000,00 euro. Per progetti che prevedano investimenti ammessi superiori a € 50.000,00, il contributo a fondo perduto non potrà superare, comunque, il tetto massimo di € 25.000,00. L’investimento complessivo ammesso dovrà risultare non inferiore a € 10.000,00 al netto dell’Iva, pertanto il contributo minimo erogabile è di € 5.000,00. Non saranno ammesse a contributo le spese sostenute in contanti o mediante assegno circolare. L’erogazione del contributo avverrà in un’unica soluzione, dietro presentazione, da parte del beneficiario, della “Richiesta di erogazione saldo” e della documentazione finale di spesa. Il contributo sarà erogato entro 30 giorni dalla presentazione della richiesta di erogazione completa di tutti i suoi elementi. Come si presenta la domanda - Bisogna utilizzare la modulistica disponibile sul sito www.Saturno.lombardia.it che consiste in un modulo di domanda contenente i principali dati ed informazioni sull’impresa o lavoratore autonomo e una scheda tecnica (business plan o piano di sviluppo) riguardante la descrizione dettagliata dell’iniziativa proposta ed i relativi dati economico-finanziari. Dopo aver compilato ed inviato on-line il formulario devono, pena l’inammissibilità, stampare ed inviare “in forma cartacea”. Le domande devono pervenire, entro le ore 16.00 del 30/09/2004, in busta chiusa, presso l’Ufficio Protocollo della Camera di Commercio di Milano. Presentazioni pubbliche del bando - La Regione Lombardia e le Camere di Commercio locali hanno organizzato delle presentazioni pubbliche per spiegare il bando, di seguito il calendario: Bergamo, 12 Luglio dalle ore 10,00 alle ore 12,30 Palazzo dei Contratti e delle Manifestazioni Via Petrarca, 10 (Piazza delle Libertà); Milano, 13 Luglio dalle ore 10,00 alle ore 12,30 Camera di Commercio - Sala Conferenze Via Meravigli, 9/b; Brescia, 13 Luglio dalle ore 15,00 alle ore 17,30 Camera di Commercio - Sala A (piano terra) Via Orzinuovi, 3; Mantova, 14 Luglio dalle ore 10,00 alle ore 12,30 Centro Congressi Mamu - Sala Oltrepo Mantovano Largo Pradella, 1/A; Lodi, 15 Luglio dalle ore 10,00 alle ore 12,30 Camera di Commercio - Sala Consiglio (3° piano) Via Haussmann, 11/15; Sondrio, 15 Luglio dalle ore 10,45 alle ore 13,15 Camera di Commercio Via Piazzi, 23; Pavia, 16 Luglio dalle ore 10,00 alle ore 12,30 Camera di Commercio - Sala Consiliare Via Mentana, 27; Como, 19 Luglio dalle ore 9,30 alle ore 12,00 Camera di Commercio - Salone Scacchi (1° piano) Via Parini, 16; Lecco, 19 Luglio dalle ore 14,30 alle ore 17,00 presso Camera di Commercio - Sala Riunioni (1° piano) Via Amendola, 4; Cremona, 20 Luglio dalle ore 10,00 alle ore 12,30 presso Camera di Commercio - Sala Maffei Via Lanaioli, 7. Gli Sportelli Punto Nuova Impresa ricevono su appuntamento e si trovano presso le Camere di Commercio di: Bergamo, Via Zilioli, 2 Tel. 035/3888015 - Fax 035/247169 E-mail: pni@bg.Camcom.it ; Brescia, Via Orzinuovi, 3 Tel. 030/3514319 - Fax 030/3514364 E-mail: pni@probrixia.Camcom.it  Como Via Parini, 16 Tel. 031/256379 – Fax 031/256517 E-mail: pni@co.Camcom.it  Cremona P.zza Stradivari, 5 Tel. 0372/490278 - Fax 0372/21396 E-mail: pni@cr.Camcom.it  Lecco C.so Martiri, 73 - Tel. 0341/292216 - Fax 0341/292255 E-mail: pni@lc.Camcom.it  Lodi Via Haussmann, 15 - Tel. 0371/4505234 - Fax 0371/431604 E-mail: sportello.Informativo@lo.camcom.it  Mantova L.go Pradella, 1 - Tel. 0376/356043 - Fax 0376/224430 E-mail: ligabue@promoimpresaonline.It  Milano Via Mercanti, 8 - Tel. 02/8515.5342 - Fax 02/8515.5335 E-mail: formaper.Pni@mi.camcom.it  Pavia C.so Strada Nuova, 47/d - Tel. 0382/393235 - Fax 0382/393271 E-mail: paviaform@pv.Camcom.it  Sondrio Via Piazzi, 23 - Tel. 0342/527203 - Fax 0342/512866 E-mail: pni@so.Camcom.it  Varese P.zza Monte Grappa, 5 - Tel. 0332/295361 - Fax 0332/286038 E-mail: pni@va.Camcom.it  e presso la Regione Lombardia - Direzione Generale Formazione Istruzione e Lavoro Via Cardano, 10 - Milano Tel. 02/6765.2299 - Fax 02/6765.2088 E-mail: formaper.Pni.rl@mi.camcom.it  
   
   
IN ARRIVO 8 MILIONI DI EURO PER GLI IMPRENDITORI MILANESI E LOMBARDI FINO A 25.000 EURO PER OGNI IMPRESA. PER ARREDI, SOFTWARE, RISTRUTTURAZIONE, FRANCHISING, COMUNICAZIONE, SPESE NOTARILI  
 
Milano, 30 giugno 2004 - Arrivano i contributi: 8 milioni di euro. Li mette a disposizione il Progetto Saturno per le nuove imprese ed i lavoratori autonomi. L’obiettivo è quello di promuovere e sviluppare l’imprenditorialità milanese e lombarda attraverso un sistema di rete che prevede contributi in conto capitale a fondo perduto per sostenere le nuove imprese, l’aiuto ai lavoratori autonomi e per i progetti innovativi quali programmi d’investimento per l’innovazione di prodotto, di mercato, di processo, anche per l’ampliamento e l’ammodernamento dell’attività esercitata. Per la domanda di richiesta dei contributi dovrà essere utilizzata esclusivamente la modulistica disponibile sul sito www.Saturno.lombardia.it o presso la rete degli Sportelli Punto Nuova Impresa. Le domande devono pervenire entro le ore 16.00 del 30 settembre 2004, presso l’Ufficio Protocollo della Camera di commercio di Milano, in via San Vittore al Teatro 14, a Milano. Questa è una delle iniziative del Progetto di Sovvenzione globale Saturno che stanzia in totale 17 milioni di euro per orientamento, informazione, assistenza e contributi, arriva un aiuto reale. Un progetto, promosso e cofinanziato da Regione Lombardia, Ministero del lavoro e delle politiche sociali e Fondo Sociale Europeo, realizzato dalle Camere di Commercio lombarde - con capofila la Camera di Commercio di Milano - e Unioncamere Lombardia. “Il Progetto di Sovvenzione globale Saturno - ha dichiarato Carlo Sangalli, presidente della Camera di Commercio di Milano - ha l'obiettivo di diffondere imprenditorialità, supportare l’inizio attività e favorire l’innovazione nelle piccole imprese milanesi e lombarde, e pone una particolare attenzione alle specifiche esigenze territoriali attraverso la rete delle Camere di Commercio locali e delle associazioni delle imprese”. Destinatari - I contributi possono richiederli le nuove imprese iscritte al Registro delle Imprese a partire dal 1/1/2002: piccole imprese individuali, le società di persone, le società di capitali e le cooperative. La sede operativa deve essere in Lombardia. I lavoratori autonomi che abbiano richiesto l’avvio attività presso l’Ufficio delle Entrate (attribuzione della partita Iva) a partire dall’01/01/2002 e fino alla data di pubblicazione del presente Bando, che abbiano sede operativa in Lombardia. Spese ammissibili - Acquisto di beni strumentali ed arredi necessari all’attività; acquisto di software; ristrutturazione di immobili; avvio di attività in franchising; spese notarili; spese per il piano di comunicazione; acquisto di attività preesistenti. Nel programma di investimento possono rientrare le spese fatturate a partire dal 01/01/2004. Contributi - L'entità del contributo, in conto capitale, a fondo perduto è pari al 50% degli investimenti ammessi, al netto di Iva, fino ad un massimo di 25.000,00 euro. Per progetti che prevedano investimenti ammessi superiori a € 50.000,00, il contributo a fondo perduto non potrà superare, comunque, il tetto massimo di € 25.000,00. L’investimento complessivo ammesso dovrà risultare non inferiore a € 10.000,00 al netto dell’Iva, pertanto il contributo minimo erogabile è di € 5.000,00. Non saranno ammesse a contributo le spese sostenute in contanti o mediante assegno circolare. L’erogazione del contributo avverrà in un’unica soluzione, dietro presentazione, da parte del beneficiario, della “Richiesta di erogazione saldo” e della documentazione finale di spesa. Il contributo sarà erogato entro 30 giorni dalla presentazione della richiesta di erogazione completa di tutti i suoi elementi. Come si presenta la domanda - Bisogna utilizzare la modulistica disponibile sul sito www.Saturno.lombardia.it che consiste in un modulo di domanda contenente i principali dati ed informazioni sull’impresa o lavoratore autonomo e una scheda tecnica (business plan o piano di sviluppo) riguardante la descrizione dettagliata dell’iniziativa proposta ed i relativi dati economico-finanziari. Dopo aver compilato ed inviato on-line il formulario devono, pena l’inammissibilità, stampare ed inviare “in forma cartacea”. Le domande devono pervenire, entro le ore 16.00 del 30/09/2004, in busta chiusa, presso l’Ufficio Protocollo della Camera di Commercio di Milano. Presentazioni pubbliche del bando - La Regione Lombardia e le Camere di Commercio locali hanno organizzato delle presentazioni pubbliche per spiegare il bando, di seguito il calendario: Bergamo, 12 Luglio dalle ore 10,00 alle ore 12,30 Palazzo dei Contratti e delle Manifestazioni Via Petrarca, 10 (Piazza delle Libertà); Milano, 13 Luglio dalle ore 10,00 alle ore 12,30 Camera di Commercio - Sala Conferenze Via Meravigli, 9/b; Brescia, 13 Luglio dalle ore 15,00 alle ore 17,30 Camera di Commercio - Sala A (piano terra) Via Orzinuovi, 3; Mantova, 14 Luglio dalle ore 10,00 alle ore 12,30 Centro Congressi Mamu - Sala Oltrepo Mantovano Largo Pradella, 1/A; Lodi, 15 Luglio dalle ore 10,00 alle ore 12,30 Camera di Commercio - Sala Consiglio (3° piano) Via Haussmann, 11/15; Sondrio, 15 Luglio dalle ore 10,45 alle ore 13,15 Camera di Commercio Via Piazzi, 23; Pavia, 16 Luglio dalle ore 10,00 alle ore 12,30 Camera di Commercio - Sala Consiliare Via Mentana, 27; Como, 19 Luglio dalle ore 9,30 alle ore 12,00 Camera di Commercio - Salone Scacchi (1° piano) Via Parini, 16; Lecco, 19 Luglio dalle ore 14,30 alle ore 17,00 presso Camera di Commercio - Sala Riunioni (1° piano) Via Amendola, 4; Cremona, 20 Luglio dalle ore 10,00 alle ore 12,30 presso Camera di Commercio - Sala Maffei Via Lanaioli, 7. Gli Sportelli Punto Nuova Impresa ricevono su appuntamento e si trovano presso le Camere di Commercio di: Bergamo, Via Zilioli, 2 Tel. 035/3888015 - Fax 035/247169 E-mail: pni@bg.Camcom.it ; Brescia, Via Orzinuovi, 3 Tel. 030/3514319 - Fax 030/3514364 E-mail: pni@probrixia.Camcom.it  Como Via Parini, 16 Tel. 031/256379 – Fax 031/256517 E-mail: pni@co.Camcom.it  Cremona P.zza Stradivari, 5 Tel. 0372/490278 - Fax 0372/21396 E-mail: pni@cr.Camcom.it  Lecco C.so Martiri, 73 - Tel. 0341/292216 - Fax 0341/292255 E-mail: pni@lc.Camcom.it  Lodi Via Haussmann, 15 - Tel. 0371/4505234 - Fax 0371/431604 E-mail: sportello.Informativo@lo.camcom.it  Mantova L.go Pradella, 1 - Tel. 0376/356043 - Fax 0376/224430 E-mail: ligabue@promoimpresaonline.It  Milano Via Mercanti, 8 - Tel. 02/8515.5342 - Fax 02/8515.5335 E-mail: formaper.Pni@mi.camcom.it  Pavia C.so Strada Nuova, 47/d - Tel. 0382/393235 - Fax 0382/393271 E-mail: paviaform@pv.Camcom.it  Sondrio Via Piazzi, 23 - Tel. 0342/527203 - Fax 0342/512866 E-mail: pni@so.Camcom.it  Varese P.zza Monte Grappa, 5 - Tel. 0332/295361 - Fax 0332/286038 E-mail: pni@va.Camcom.it  e presso la Regione Lombardia - Direzione Generale Formazione Istruzione e Lavoro Via Cardano, 10 - Milano Tel. 02/6765.2299 - Fax 02/6765.2088 E-mail: formaper.Pni.rl@mi.camcom.it  
   
   
IN ARRIVO 8 MILIONI DI EURO PER GLI IMPRENDITORI MILANESI E LOMBARDI FINO A 25.000 EURO PER OGNI IMPRESA. PER ARREDI, SOFTWARE, RISTRUTTURAZIONE, FRANCHISING, COMUNICAZIONE, SPESE NOTARILI  
 
Milano, 30 giugno 2004 - Arrivano i contributi: 8 milioni di euro. Li mette a disposizione il Progetto Saturno per le nuove imprese ed i lavoratori autonomi. L’obiettivo è quello di promuovere e sviluppare l’imprenditorialità milanese e lombarda attraverso un sistema di rete che prevede contributi in conto capitale a fondo perduto per sostenere le nuove imprese, l’aiuto ai lavoratori autonomi e per i progetti innovativi quali programmi d’investimento per l’innovazione di prodotto, di mercato, di processo, anche per l’ampliamento e l’ammodernamento dell’attività esercitata. Per la domanda di richiesta dei contributi dovrà essere utilizzata esclusivamente la modulistica disponibile sul sito www.Saturno.lombardia.it o presso la rete degli Sportelli Punto Nuova Impresa. Le domande devono pervenire entro le ore 16.00 del 30 settembre 2004, presso l’Ufficio Protocollo della Camera di commercio di Milano, in via San Vittore al Teatro 14, a Milano. Questa è una delle iniziative del Progetto di Sovvenzione globale Saturno che stanzia in totale 17 milioni di euro per orientamento, informazione, assistenza e contributi, arriva un aiuto reale. Un progetto, promosso e cofinanziato da Regione Lombardia, Ministero del lavoro e delle politiche sociali e Fondo Sociale Europeo, realizzato dalle Camere di Commercio lombarde - con capofila la Camera di Commercio di Milano - e Unioncamere Lombardia. “Il Progetto di Sovvenzione globale Saturno - ha dichiarato Carlo Sangalli, presidente della Camera di Commercio di Milano - ha l'obiettivo di diffondere imprenditorialità, supportare l’inizio attività e favorire l’innovazione nelle piccole imprese milanesi e lombarde, e pone una particolare attenzione alle specifiche esigenze territoriali attraverso la rete delle Camere di Commercio locali e delle associazioni delle imprese”. Destinatari - I contributi possono richiederli le nuove imprese iscritte al Registro delle Imprese a partire dal 1/1/2002: piccole imprese individuali, le società di persone, le società di capitali e le cooperative. La sede operativa deve essere in Lombardia. I lavoratori autonomi che abbiano richiesto l’avvio attività presso l’Ufficio delle Entrate (attribuzione della partita Iva) a partire dall’01/01/2002 e fino alla data di pubblicazione del presente Bando, che abbiano sede operativa in Lombardia. Spese ammissibili - Acquisto di beni strumentali ed arredi necessari all’attività; acquisto di software; ristrutturazione di immobili; avvio di attività in franchising; spese notarili; spese per il piano di comunicazione; acquisto di attività preesistenti. Nel programma di investimento possono rientrare le spese fatturate a partire dal 01/01/2004. Contributi - L'entità del contributo, in conto capitale, a fondo perduto è pari al 50% degli investimenti ammessi, al netto di Iva, fino ad un massimo di 25.000,00 euro. Per progetti che prevedano investimenti ammessi superiori a € 50.000,00, il contributo a fondo perduto non potrà superare, comunque, il tetto massimo di € 25.000,00. L’investimento complessivo ammesso dovrà risultare non inferiore a € 10.000,00 al netto dell’Iva, pertanto il contributo minimo erogabile è di € 5.000,00. Non saranno ammesse a contributo le spese sostenute in contanti o mediante assegno circolare. L’erogazione del contributo avverrà in un’unica soluzione, dietro presentazione, da parte del beneficiario, della “Richiesta di erogazione saldo” e della documentazione finale di spesa. Il contributo sarà erogato entro 30 giorni dalla presentazione della richiesta di erogazione completa di tutti i suoi elementi. Come si presenta la domanda - Bisogna utilizzare la modulistica disponibile sul sito www.Saturno.lombardia.it che consiste in un modulo di domanda contenente i principali dati ed informazioni sull’impresa o lavoratore autonomo e una scheda tecnica (business plan o piano di sviluppo) riguardante la descrizione dettagliata dell’iniziativa proposta ed i relativi dati economico-finanziari. Dopo aver compilato ed inviato on-line il formulario devono, pena l’inammissibilità, stampare ed inviare “in forma cartacea”. Le domande devono pervenire, entro le ore 16.00 del 30/09/2004, in busta chiusa, presso l’Ufficio Protocollo della Camera di Commercio di Milano. Presentazioni pubbliche del bando - La Regione Lombardia e le Camere di Commercio locali hanno organizzato delle presentazioni pubbliche per spiegare il bando, di seguito il calendario: Bergamo, 12 Luglio dalle ore 10,00 alle ore 12,30 Palazzo dei Contratti e delle Manifestazioni Via Petrarca, 10 (Piazza delle Libertà); Milano, 13 Luglio dalle ore 10,00 alle ore 12,30 Camera di Commercio - Sala Conferenze Via Meravigli, 9/b; Brescia, 13 Luglio dalle ore 15,00 alle ore 17,30 Camera di Commercio - Sala A (piano terra) Via Orzinuovi, 3; Mantova, 14 Luglio dalle ore 10,00 alle ore 12,30 Centro Congressi Mamu - Sala Oltrepo Mantovano Largo Pradella, 1/A; Lodi, 15 Luglio dalle ore 10,00 alle ore 12,30 Camera di Commercio - Sala Consiglio (3° piano) Via Haussmann, 11/15; Sondrio, 15 Luglio dalle ore 10,45 alle ore 13,15 Camera di Commercio Via Piazzi, 23; Pavia, 16 Luglio dalle ore 10,00 alle ore 12,30 Camera di Commercio - Sala Consiliare Via Mentana, 27; Como, 19 Luglio dalle ore 9,30 alle ore 12,00 Camera di Commercio - Salone Scacchi (1° piano) Via Parini, 16; Lecco, 19 Luglio dalle ore 14,30 alle ore 17,00 presso Camera di Commercio - Sala Riunioni (1° piano) Via Amendola, 4; Cremona, 20 Luglio dalle ore 10,00 alle ore 12,30 presso Camera di Commercio - Sala Maffei Via Lanaioli, 7. Gli Sportelli Punto Nuova Impresa ricevono su appuntamento e si trovano presso le Camere di Commercio di: Bergamo, Via Zilioli, 2 Tel. 035/3888015 - Fax 035/247169 E-mail: pni@bg.Camcom.it ; Brescia, Via Orzinuovi, 3 Tel. 030/3514319 - Fax 030/3514364 E-mail: pni@probrixia.Camcom.it  Como Via Parini, 16 Tel. 031/256379 – Fax 031/256517 E-mail: pni@co.Camcom.it  Cremona P.zza Stradivari, 5 Tel. 0372/490278 - Fax 0372/21396 E-mail: pni@cr.Camcom.it  Lecco C.so Martiri, 73 - Tel. 0341/292216 - Fax 0341/292255 E-mail: pni@lc.Camcom.it  Lodi Via Haussmann, 15 - Tel. 0371/4505234 - Fax 0371/431604 E-mail: sportello.Informativo@lo.camcom.it  Mantova L.go Pradella, 1 - Tel. 0376/356043 - Fax 0376/224430 E-mail: ligabue@promoimpresaonline.It  Milano Via Mercanti, 8 - Tel. 02/8515.5342 - Fax 02/8515.5335 E-mail: formaper.Pni@mi.camcom.it  Pavia C.so Strada Nuova, 47/d - Tel. 0382/393235 - Fax 0382/393271 E-mail: paviaform@pv.Camcom.it  Sondrio Via Piazzi, 23 - Tel. 0342/527203 - Fax 0342/512866 E-mail: pni@so.Camcom.it  Varese P.zza Monte Grappa, 5 - Tel. 0332/295361 - Fax 0332/286038 E-mail: pni@va.Camcom.it  e presso la Regione Lombardia - Direzione Generale Formazione Istruzione e Lavoro Via Cardano, 10 - Milano Tel. 02/6765.2299 - Fax 02/6765.2088 E-mail: formaper.Pni.rl@mi.camcom.it  
   
   
IN ARRIVO 8 MILIONI DI EURO PER GLI IMPRENDITORI MILANESI E LOMBARDI FINO A 25.000 EURO PER OGNI IMPRESA. PER ARREDI, SOFTWARE, RISTRUTTURAZIONE, FRANCHISING, COMUNICAZIONE, SPESE NOTARILI  
 
Milano, 30 giugno 2004 - Arrivano i contributi: 8 milioni di euro. Li mette a disposizione il Progetto Saturno per le nuove imprese ed i lavoratori autonomi. L’obiettivo è quello di promuovere e sviluppare l’imprenditorialità milanese e lombarda attraverso un sistema di rete che prevede contributi in conto capitale a fondo perduto per sostenere le nuove imprese, l’aiuto ai lavoratori autonomi e per i progetti innovativi quali programmi d’investimento per l’innovazione di prodotto, di mercato, di processo, anche per l’ampliamento e l’ammodernamento dell’attività esercitata. Per la domanda di richiesta dei contributi dovrà essere utilizzata esclusivamente la modulistica disponibile sul sito www.Saturno.lombardia.it o presso la rete degli Sportelli Punto Nuova Impresa. Le domande devono pervenire entro le ore 16.00 del 30 settembre 2004, presso l’Ufficio Protocollo della Camera di commercio di Milano, in via San Vittore al Teatro 14, a Milano. Questa è una delle iniziative del Progetto di Sovvenzione globale Saturno che stanzia in totale 17 milioni di euro per orientamento, informazione, assistenza e contributi, arriva un aiuto reale. Un progetto, promosso e cofinanziato da Regione Lombardia, Ministero del lavoro e delle politiche sociali e Fondo Sociale Europeo, realizzato dalle Camere di Commercio lombarde - con capofila la Camera di Commercio di Milano - e Unioncamere Lombardia. “Il Progetto di Sovvenzione globale Saturno - ha dichiarato Carlo Sangalli, presidente della Camera di Commercio di Milano - ha l'obiettivo di diffondere imprenditorialità, supportare l’inizio attività e favorire l’innovazione nelle piccole imprese milanesi e lombarde, e pone una particolare attenzione alle specifiche esigenze territoriali attraverso la rete delle Camere di Commercio locali e delle associazioni delle imprese”. Destinatari - I contributi possono richiederli le nuove imprese iscritte al Registro delle Imprese a partire dal 1/1/2002: piccole imprese individuali, le società di persone, le società di capitali e le cooperative. La sede operativa deve essere in Lombardia. I lavoratori autonomi che abbiano richiesto l’avvio attività presso l’Ufficio delle Entrate (attribuzione della partita Iva) a partire dall’01/01/2002 e fino alla data di pubblicazione del presente Bando, che abbiano sede operativa in Lombardia. Spese ammissibili - Acquisto di beni strumentali ed arredi necessari all’attività; acquisto di software; ristrutturazione di immobili; avvio di attività in franchising; spese notarili; spese per il piano di comunicazione; acquisto di attività preesistenti. Nel programma di investimento possono rientrare le spese fatturate a partire dal 01/01/2004. Contributi - L'entità del contributo, in conto capitale, a fondo perduto è pari al 50% degli investimenti ammessi, al netto di Iva, fino ad un massimo di 25.000,00 euro. Per progetti che prevedano investimenti ammessi superiori a € 50.000,00, il contributo a fondo perduto non potrà superare, comunque, il tetto massimo di € 25.000,00. L’investimento complessivo ammesso dovrà risultare non inferiore a € 10.000,00 al netto dell’Iva, pertanto il contributo minimo erogabile è di € 5.000,00. Non saranno ammesse a contributo le spese sostenute in contanti o mediante assegno circolare. L’erogazione del contributo avverrà in un’unica soluzione, dietro presentazione, da parte del beneficiario, della “Richiesta di erogazione saldo” e della documentazione finale di spesa. Il contributo sarà erogato entro 30 giorni dalla presentazione della richiesta di erogazione completa di tutti i suoi elementi. Come si presenta la domanda - Bisogna utilizzare la modulistica disponibile sul sito www.Saturno.lombardia.it che consiste in un modulo di domanda contenente i principali dati ed informazioni sull’impresa o lavoratore autonomo e una scheda tecnica (business plan o piano di sviluppo) riguardante la descrizione dettagliata dell’iniziativa proposta ed i relativi dati economico-finanziari. Dopo aver compilato ed inviato on-line il formulario devono, pena l’inammissibilità, stampare ed inviare “in forma cartacea”. Le domande devono pervenire, entro le ore 16.00 del 30/09/2004, in busta chiusa, presso l’Ufficio Protocollo della Camera di Commercio di Milano. Presentazioni pubbliche del bando - La Regione Lombardia e le Camere di Commercio locali hanno organizzato delle presentazioni pubbliche per spiegare il bando, di seguito il calendario: Bergamo, 12 Luglio dalle ore 10,00 alle ore 12,30 Palazzo dei Contratti e delle Manifestazioni Via Petrarca, 10 (Piazza delle Libertà); Milano, 13 Luglio dalle ore 10,00 alle ore 12,30 Camera di Commercio - Sala Conferenze Via Meravigli, 9/b; Brescia, 13 Luglio dalle ore 15,00 alle ore 17,30 Camera di Commercio - Sala A (piano terra) Via Orzinuovi, 3; Mantova, 14 Luglio dalle ore 10,00 alle ore 12,30 Centro Congressi Mamu - Sala Oltrepo Mantovano Largo Pradella, 1/A; Lodi, 15 Luglio dalle ore 10,00 alle ore 12,30 Camera di Commercio - Sala Consiglio (3° piano) Via Haussmann, 11/15; Sondrio, 15 Luglio dalle ore 10,45 alle ore 13,15 Camera di Commercio Via Piazzi, 23; Pavia, 16 Luglio dalle ore 10,00 alle ore 12,30 Camera di Commercio - Sala Consiliare Via Mentana, 27; Como, 19 Luglio dalle ore 9,30 alle ore 12,00 Camera di Commercio - Salone Scacchi (1° piano) Via Parini, 16; Lecco, 19 Luglio dalle ore 14,30 alle ore 17,00 presso Camera di Commercio - Sala Riunioni (1° piano) Via Amendola, 4; Cremona, 20 Luglio dalle ore 10,00 alle ore 12,30 presso Camera di Commercio - Sala Maffei Via Lanaioli, 7. Gli Sportelli Punto Nuova Impresa ricevono su appuntamento e si trovano presso le Camere di Commercio di: Bergamo, Via Zilioli, 2 Tel. 035/3888015 - Fax 035/247169 E-mail: pni@bg.Camcom.it ; Brescia, Via Orzinuovi, 3 Tel. 030/3514319 - Fax 030/3514364 E-mail: pni@probrixia.Camcom.it  Como Via Parini, 16 Tel. 031/256379 – Fax 031/256517 E-mail: pni@co.Camcom.it  Cremona P.zza Stradivari, 5 Tel. 0372/490278 - Fax 0372/21396 E-mail: pni@cr.Camcom.it  Lecco C.so Martiri, 73 - Tel. 0341/292216 - Fax 0341/292255 E-mail: pni@lc.Camcom.it  Lodi Via Haussmann, 15 - Tel. 0371/4505234 - Fax 0371/431604 E-mail: sportello.Informativo@lo.camcom.it  Mantova L.go Pradella, 1 - Tel. 0376/356043 - Fax 0376/224430 E-mail: ligabue@promoimpresaonline.It  Milano Via Mercanti, 8 - Tel. 02/8515.5342 - Fax 02/8515.5335 E-mail: formaper.Pni@mi.camcom.it  Pavia C.so Strada Nuova, 47/d - Tel. 0382/393235 - Fax 0382/393271 E-mail: paviaform@pv.Camcom.it  Sondrio Via Piazzi, 23 - Tel. 0342/527203 - Fax 0342/512866 E-mail: pni@so.Camcom.it  Varese P.zza Monte Grappa, 5 - Tel. 0332/295361 - Fax 0332/286038 E-mail: pni@va.Camcom.it  e presso la Regione Lombardia - Direzione Generale Formazione Istruzione e Lavoro Via Cardano, 10 - Milano Tel. 02/6765.2299 - Fax 02/6765.2088 E-mail: formaper.Pni.rl@mi.camcom.it  
   
   
IN ARRIVO 8 MILIONI DI EURO PER GLI IMPRENDITORI MILANESI E LOMBARDI FINO A 25.000 EURO PER OGNI IMPRESA. PER ARREDI, SOFTWARE, RISTRUTTURAZIONE, FRANCHISING, COMUNICAZIONE, SPESE NOTARILI  
 
Milano, 30 giugno 2004 - Arrivano i contributi: 8 milioni di euro. Li mette a disposizione il Progetto Saturno per le nuove imprese ed i lavoratori autonomi. L’obiettivo è quello di promuovere e sviluppare l’imprenditorialità milanese e lombarda attraverso un sistema di rete che prevede contributi in conto capitale a fondo perduto per sostenere le nuove imprese, l’aiuto ai lavoratori autonomi e per i progetti innovativi quali programmi d’investimento per l’innovazione di prodotto, di mercato, di processo, anche per l’ampliamento e l’ammodernamento dell’attività esercitata. Per la domanda di richiesta dei contributi dovrà essere utilizzata esclusivamente la modulistica disponibile sul sito www.Saturno.lombardia.it o presso la rete degli Sportelli Punto Nuova Impresa. Le domande devono pervenire entro le ore 16.00 del 30 settembre 2004, presso l’Ufficio Protocollo della Camera di commercio di Milano, in via San Vittore al Teatro 14, a Milano. Questa è una delle iniziative del Progetto di Sovvenzione globale Saturno che stanzia in totale 17 milioni di euro per orientamento, informazione, assistenza e contributi, arriva un aiuto reale. Un progetto, promosso e cofinanziato da Regione Lombardia, Ministero del lavoro e delle politiche sociali e Fondo Sociale Europeo, realizzato dalle Camere di Commercio lombarde - con capofila la Camera di Commercio di Milano - e Unioncamere Lombardia. “Il Progetto di Sovvenzione globale Saturno - ha dichiarato Carlo Sangalli, presidente della Camera di Commercio di Milano - ha l'obiettivo di diffondere imprenditorialità, supportare l’inizio attività e favorire l’innovazione nelle piccole imprese milanesi e lombarde, e pone una particolare attenzione alle specifiche esigenze territoriali attraverso la rete delle Camere di Commercio locali e delle associazioni delle imprese”. Destinatari - I contributi possono richiederli le nuove imprese iscritte al Registro delle Imprese a partire dal 1/1/2002: piccole imprese individuali, le società di persone, le società di capitali e le cooperative. La sede operativa deve essere in Lombardia. I lavoratori autonomi che abbiano richiesto l’avvio attività presso l’Ufficio delle Entrate (attribuzione della partita Iva) a partire dall’01/01/2002 e fino alla data di pubblicazione del presente Bando, che abbiano sede operativa in Lombardia. Spese ammissibili - Acquisto di beni strumentali ed arredi necessari all’attività; acquisto di software; ristrutturazione di immobili; avvio di attività in franchising; spese notarili; spese per il piano di comunicazione; acquisto di attività preesistenti. Nel programma di investimento possono rientrare le spese fatturate a partire dal 01/01/2004. Contributi - L'entità del contributo, in conto capitale, a fondo perduto è pari al 50% degli investimenti ammessi, al netto di Iva, fino ad un massimo di 25.000,00 euro. Per progetti che prevedano investimenti ammessi superiori a € 50.000,00, il contributo a fondo perduto non potrà superare, comunque, il tetto massimo di € 25.000,00. L’investimento complessivo ammesso dovrà risultare non inferiore a € 10.000,00 al netto dell’Iva, pertanto il contributo minimo erogabile è di € 5.000,00. Non saranno ammesse a contributo le spese sostenute in contanti o mediante assegno circolare. L’erogazione del contributo avverrà in un’unica soluzione, dietro presentazione, da parte del beneficiario, della “Richiesta di erogazione saldo” e della documentazione finale di spesa. Il contributo sarà erogato entro 30 giorni dalla presentazione della richiesta di erogazione completa di tutti i suoi elementi. Come si presenta la domanda - Bisogna utilizzare la modulistica disponibile sul sito www.Saturno.lombardia.it che consiste in un modulo di domanda contenente i principali dati ed informazioni sull’impresa o lavoratore autonomo e una scheda tecnica (business plan o piano di sviluppo) riguardante la descrizione dettagliata dell’iniziativa proposta ed i relativi dati economico-finanziari. Dopo aver compilato ed inviato on-line il formulario devono, pena l’inammissibilità, stampare ed inviare “in forma cartacea”. Le domande devono pervenire, entro le ore 16.00 del 30/09/2004, in busta chiusa, presso l’Ufficio Protocollo della Camera di Commercio di Milano. Presentazioni pubbliche del bando - La Regione Lombardia e le Camere di Commercio locali hanno organizzato delle presentazioni pubbliche per spiegare il bando, di seguito il calendario: Bergamo, 12 Luglio dalle ore 10,00 alle ore 12,30 Palazzo dei Contratti e delle Manifestazioni Via Petrarca, 10 (Piazza delle Libertà); Milano, 13 Luglio dalle ore 10,00 alle ore 12,30 Camera di Commercio - Sala Conferenze Via Meravigli, 9/b; Brescia, 13 Luglio dalle ore 15,00 alle ore 17,30 Camera di Commercio - Sala A (piano terra) Via Orzinuovi, 3; Mantova, 14 Luglio dalle ore 10,00 alle ore 12,30 Centro Congressi Mamu - Sala Oltrepo Mantovano Largo Pradella, 1/A; Lodi, 15 Luglio dalle ore 10,00 alle ore 12,30 Camera di Commercio - Sala Consiglio (3° piano) Via Haussmann, 11/15; Sondrio, 15 Luglio dalle ore 10,45 alle ore 13,15 Camera di Commercio Via Piazzi, 23; Pavia, 16 Luglio dalle ore 10,00 alle ore 12,30 Camera di Commercio - Sala Consiliare Via Mentana, 27; Como, 19 Luglio dalle ore 9,30 alle ore 12,00 Camera di Commercio - Salone Scacchi (1° piano) Via Parini, 16; Lecco, 19 Luglio dalle ore 14,30 alle ore 17,00 presso Camera di Commercio - Sala Riunioni (1° piano) Via Amendola, 4; Cremona, 20 Luglio dalle ore 10,00 alle ore 12,30 presso Camera di Commercio - Sala Maffei Via Lanaioli, 7. Gli Sportelli Punto Nuova Impresa ricevono su appuntamento e si trovano presso le Camere di Commercio di: Bergamo, Via Zilioli, 2 Tel. 035/3888015 - Fax 035/247169 E-mail: pni@bg.Camcom.it ; Brescia, Via Orzinuovi, 3 Tel. 030/3514319 - Fax 030/3514364 E-mail: pni@probrixia.Camcom.it  Como Via Parini, 16 Tel. 031/256379 – Fax 031/256517 E-mail: pni@co.Camcom.it  Cremona P.zza Stradivari, 5 Tel. 0372/490278 - Fax 0372/21396 E-mail: pni@cr.Camcom.it  Lecco C.so Martiri, 73 - Tel. 0341/292216 - Fax 0341/292255 E-mail: pni@lc.Camcom.it  Lodi Via Haussmann, 15 - Tel. 0371/4505234 - Fax 0371/431604 E-mail: sportello.Informativo@lo.camcom.it  Mantova L.go Pradella, 1 - Tel. 0376/356043 - Fax 0376/224430 E-mail: ligabue@promoimpresaonline.It  Milano Via Mercanti, 8 - Tel. 02/8515.5342 - Fax 02/8515.5335 E-mail: formaper.Pni@mi.camcom.it  Pavia C.so Strada Nuova, 47/d - Tel. 0382/393235 - Fax 0382/393271 E-mail: paviaform@pv.Camcom.it  Sondrio Via Piazzi, 23 - Tel. 0342/527203 - Fax 0342/512866 E-mail: pni@so.Camcom.it  Varese P.zza Monte Grappa, 5 - Tel. 0332/295361 - Fax 0332/286038 E-mail: pni@va.Camcom.it  e presso la Regione Lombardia - Direzione Generale Formazione Istruzione e Lavoro Via Cardano, 10 - Milano Tel. 02/6765.2299 - Fax 02/6765.2088 E-mail: formaper.Pni.rl@mi.camcom.it  
   
   
IN ARRIVO 8 MILIONI DI EURO PER GLI IMPRENDITORI MILANESI E LOMBARDI FINO A 25.000 EURO PER OGNI IMPRESA. PER ARREDI, SOFTWARE, RISTRUTTURAZIONE, FRANCHISING, COMUNICAZIONE, SPESE NOTARILI  
 
Milano, 30 giugno 2004 - Arrivano i contributi: 8 milioni di euro. Li mette a disposizione il Progetto Saturno per le nuove imprese ed i lavoratori autonomi. L’obiettivo è quello di promuovere e sviluppare l’imprenditorialità milanese e lombarda attraverso un sistema di rete che prevede contributi in conto capitale a fondo perduto per sostenere le nuove imprese, l’aiuto ai lavoratori autonomi e per i progetti innovativi quali programmi d’investimento per l’innovazione di prodotto, di mercato, di processo, anche per l’ampliamento e l’ammodernamento dell’attività esercitata. Per la domanda di richiesta dei contributi dovrà essere utilizzata esclusivamente la modulistica disponibile sul sito www.Saturno.lombardia.it o presso la rete degli Sportelli Punto Nuova Impresa. Le domande devono pervenire entro le ore 16.00 del 30 settembre 2004, presso l’Ufficio Protocollo della Camera di commercio di Milano, in via San Vittore al Teatro 14, a Milano. Questa è una delle iniziative del Progetto di Sovvenzione globale Saturno che stanzia in totale 17 milioni di euro per orientamento, informazione, assistenza e contributi, arriva un aiuto reale. Un progetto, promosso e cofinanziato da Regione Lombardia, Ministero del lavoro e delle politiche sociali e Fondo Sociale Europeo, realizzato dalle Camere di Commercio lombarde - con capofila la Camera di Commercio di Milano - e Unioncamere Lombardia. “Il Progetto di Sovvenzione globale Saturno - ha dichiarato Carlo Sangalli, presidente della Camera di Commercio di Milano - ha l'obiettivo di diffondere imprenditorialità, supportare l’inizio attività e favorire l’innovazione nelle piccole imprese milanesi e lombarde, e pone una particolare attenzione alle specifiche esigenze territoriali attraverso la rete delle Camere di Commercio locali e delle associazioni delle imprese”. Destinatari - I contributi possono richiederli le nuove imprese iscritte al Registro delle Imprese a partire dal 1/1/2002: piccole imprese individuali, le società di persone, le società di capitali e le cooperative. La sede operativa deve essere in Lombardia. I lavoratori autonomi che abbiano richiesto l’avvio attività presso l’Ufficio delle Entrate (attribuzione della partita Iva) a partire dall’01/01/2002 e fino alla data di pubblicazione del presente Bando, che abbiano sede operativa in Lombardia. Spese ammissibili - Acquisto di beni strumentali ed arredi necessari all’attività; acquisto di software; ristrutturazione di immobili; avvio di attività in franchising; spese notarili; spese per il piano di comunicazione; acquisto di attività preesistenti. Nel programma di investimento possono rientrare le spese fatturate a partire dal 01/01/2004. Contributi - L'entità del contributo, in conto capitale, a fondo perduto è pari al 50% degli investimenti ammessi, al netto di Iva, fino ad un massimo di 25.000,00 euro. Per progetti che prevedano investimenti ammessi superiori a € 50.000,00, il contributo a fondo perduto non potrà superare, comunque, il tetto massimo di € 25.000,00. L’investimento complessivo ammesso dovrà risultare non inferiore a € 10.000,00 al netto dell’Iva, pertanto il contributo minimo erogabile è di € 5.000,00. Non saranno ammesse a contributo le spese sostenute in contanti o mediante assegno circolare. L’erogazione del contributo avverrà in un’unica soluzione, dietro presentazione, da parte del beneficiario, della “Richiesta di erogazione saldo” e della documentazione finale di spesa. Il contributo sarà erogato entro 30 giorni dalla presentazione della richiesta di erogazione completa di tutti i suoi elementi. Come si presenta la domanda - Bisogna utilizzare la modulistica disponibile sul sito www.Saturno.lombardia.it che consiste in un modulo di domanda contenente i principali dati ed informazioni sull’impresa o lavoratore autonomo e una scheda tecnica (business plan o piano di sviluppo) riguardante la descrizione dettagliata dell’iniziativa proposta ed i relativi dati economico-finanziari. Dopo aver compilato ed inviato on-line il formulario devono, pena l’inammissibilità, stampare ed inviare “in forma cartacea”. Le domande devono pervenire, entro le ore 16.00 del 30/09/2004, in busta chiusa, presso l’Ufficio Protocollo della Camera di Commercio di Milano. Presentazioni pubbliche del bando - La Regione Lombardia e le Camere di Commercio locali hanno organizzato delle presentazioni pubbliche per spiegare il bando, di seguito il calendario: Bergamo, 12 Luglio dalle ore 10,00 alle ore 12,30 Palazzo dei Contratti e delle Manifestazioni Via Petrarca, 10 (Piazza delle Libertà); Milano, 13 Luglio dalle ore 10,00 alle ore 12,30 Camera di Commercio - Sala Conferenze Via Meravigli, 9/b; Brescia, 13 Luglio dalle ore 15,00 alle ore 17,30 Camera di Commercio - Sala A (piano terra) Via Orzinuovi, 3; Mantova, 14 Luglio dalle ore 10,00 alle ore 12,30 Centro Congressi Mamu - Sala Oltrepo Mantovano Largo Pradella, 1/A; Lodi, 15 Luglio dalle ore 10,00 alle ore 12,30 Camera di Commercio - Sala Consiglio (3° piano) Via Haussmann, 11/15; Sondrio, 15 Luglio dalle ore 10,45 alle ore 13,15 Camera di Commercio Via Piazzi, 23; Pavia, 16 Luglio dalle ore 10,00 alle ore 12,30 Camera di Commercio - Sala Consiliare Via Mentana, 27; Como, 19 Luglio dalle ore 9,30 alle ore 12,00 Camera di Commercio - Salone Scacchi (1° piano) Via Parini, 16; Lecco, 19 Luglio dalle ore 14,30 alle ore 17,00 presso Camera di Commercio - Sala Riunioni (1° piano) Via Amendola, 4; Cremona, 20 Luglio dalle ore 10,00 alle ore 12,30 presso Camera di Commercio - Sala Maffei Via Lanaioli, 7. Gli Sportelli Punto Nuova Impresa ricevono su appuntamento e si trovano presso le Camere di Commercio di: Bergamo, Via Zilioli, 2 Tel. 035/3888015 - Fax 035/247169 E-mail: pni@bg.Camcom.it ; Brescia, Via Orzinuovi, 3 Tel. 030/3514319 - Fax 030/3514364 E-mail: pni@probrixia.Camcom.it  Como Via Parini, 16 Tel. 031/256379 – Fax 031/256517 E-mail: pni@co.Camcom.it  Cremona P.zza Stradivari, 5 Tel. 0372/490278 - Fax 0372/21396 E-mail: pni@cr.Camcom.it  Lecco C.so Martiri, 73 - Tel. 0341/292216 - Fax 0341/292255 E-mail: pni@lc.Camcom.it  Lodi Via Haussmann, 15 - Tel. 0371/4505234 - Fax 0371/431604 E-mail: sportello.Informativo@lo.camcom.it  Mantova L.go Pradella, 1 - Tel. 0376/356043 - Fax 0376/224430 E-mail: ligabue@promoimpresaonline.It  Milano Via Mercanti, 8 - Tel. 02/8515.5342 - Fax 02/8515.5335 E-mail: formaper.Pni@mi.camcom.it  Pavia C.so Strada Nuova, 47/d - Tel. 0382/393235 - Fax 0382/393271 E-mail: paviaform@pv.Camcom.it  Sondrio Via Piazzi, 23 - Tel. 0342/527203 - Fax 0342/512866 E-mail: pni@so.Camcom.it  Varese P.zza Monte Grappa, 5 - Tel. 0332/295361 - Fax 0332/286038 E-mail: pni@va.Camcom.it  e presso la Regione Lombardia - Direzione Generale Formazione Istruzione e Lavoro Via Cardano, 10 - Milano Tel. 02/6765.2299 - Fax 02/6765.2088 E-mail: formaper.Pni.rl@mi.camcom.it  
   
   
VIA AI "LOMBARDIA POINT" A SERVIZIO DELL'EXPORT PRESSO LE 11 CAMERE DI COMMERCIO I PUNTI OPERATIVI PER L'INTERNAZIONALIZZAZIONE  
 
Milano, 30 giugno 2004 - Inaugurato ieri dal presidente della Regione, Roberto Formigoni, e dal vice ministro alle Attività Produttive, Adolfo Urso, alla Camera di Commercio di Milano il primo "Lombardia Point" (Punto Operativo per l'Internazionalizzazione); presenti il presidente di Unioncamere Lombardia, Marco Citterio, e il presidente di Promos, Azienda speciale della Camera di Commercio di Milano per le attività Internazionali, Bruno Ermolli. E' questo il primo di una rete di 11 Punti situati presso le altrettante Camere di Commercio lombarde. Il loro compito primario è sostenere le imprese locali nella loro attività con l'estero, facilitando l'incontro tra domanda e offerta di tutta la gamma di servizi necessari per gli scambi commerciali e per l'internazionalizzazione, dalla ricerca di partner alle analisi di mercato, dalla consulenza in materia di contratti all'organizzazione di fiere e missioni, fino ai servizi assicurativi e di certificazione per l'export. Nata lo scorso 5 dicembre 2003 con la sottoscrizione di un'intesa istituzionale fra lo stesso Formigoni, il vice ministro Urso e il presidente Citterio, la Rete Lombardia Point ha visto poi l'adesione delle 11 Camere di Commercio Lombarde, di Ice, Sace e Simest. "L'apertura di questo primo Lombardia Point a Milano - ha sottolineato Formigoni - costituisce il secondo importante passo di un processo innovativo iniziato due anni fa: nel 2002 abbiamo attivato la Rete estera per l'internazionalizzazione delle imprese lombarde, costituita ad oggi da 24 Punti Operativi situati in altrettante città di 21 paesi dell'America, dell'Asia, dell'Unione Europea, dell'Europa Centro Orientale e del bacino del Mediterraneo". Le imprese lombarde di import-export sono oltre 31.000 , di cui circa 12.000 nell'area milanese, un terzo circa delle 100.000 italiane.  
   
   
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Milano, 30 giugno 2004 - Inaugurato ieri dal presidente della Regione, Roberto Formigoni, e dal vice ministro alle Attività Produttive, Adolfo Urso, alla Camera di Commercio di Milano il primo "Lombardia Point" (Punto Operativo per l'Internazionalizzazione); presenti il presidente di Unioncamere Lombardia, Marco Citterio, e il presidente di Promos, Azienda speciale della Camera di Commercio di Milano per le attività Internazionali, Bruno Ermolli. E' questo il primo di una rete di 11 Punti situati presso le altrettante Camere di Commercio lombarde. Il loro compito primario è sostenere le imprese locali nella loro attività con l'estero, facilitando l'incontro tra domanda e offerta di tutta la gamma di servizi necessari per gli scambi commerciali e per l'internazionalizzazione, dalla ricerca di partner alle analisi di mercato, dalla consulenza in materia di contratti all'organizzazione di fiere e missioni, fino ai servizi assicurativi e di certificazione per l'export. Nata lo scorso 5 dicembre 2003 con la sottoscrizione di un'intesa istituzionale fra lo stesso Formigoni, il vice ministro Urso e il presidente Citterio, la Rete Lombardia Point ha visto poi l'adesione delle 11 Camere di Commercio Lombarde, di Ice, Sace e Simest. "L'apertura di questo primo Lombardia Point a Milano - ha sottolineato Formigoni - costituisce il secondo importante passo di un processo innovativo iniziato due anni fa: nel 2002 abbiamo attivato la Rete estera per l'internazionalizzazione delle imprese lombarde, costituita ad oggi da 24 Punti Operativi situati in altrettante città di 21 paesi dell'America, dell'Asia, dell'Unione Europea, dell'Europa Centro Orientale e del bacino del Mediterraneo". Le imprese lombarde di import-export sono oltre 31.000 , di cui circa 12.000 nell'area milanese, un terzo circa delle 100.000 italiane.  
   
   
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Milano, 30 giugno 2004 - Inaugurato ieri dal presidente della Regione, Roberto Formigoni, e dal vice ministro alle Attività Produttive, Adolfo Urso, alla Camera di Commercio di Milano il primo "Lombardia Point" (Punto Operativo per l'Internazionalizzazione); presenti il presidente di Unioncamere Lombardia, Marco Citterio, e il presidente di Promos, Azienda speciale della Camera di Commercio di Milano per le attività Internazionali, Bruno Ermolli. E' questo il primo di una rete di 11 Punti situati presso le altrettante Camere di Commercio lombarde. Il loro compito primario è sostenere le imprese locali nella loro attività con l'estero, facilitando l'incontro tra domanda e offerta di tutta la gamma di servizi necessari per gli scambi commerciali e per l'internazionalizzazione, dalla ricerca di partner alle analisi di mercato, dalla consulenza in materia di contratti all'organizzazione di fiere e missioni, fino ai servizi assicurativi e di certificazione per l'export. Nata lo scorso 5 dicembre 2003 con la sottoscrizione di un'intesa istituzionale fra lo stesso Formigoni, il vice ministro Urso e il presidente Citterio, la Rete Lombardia Point ha visto poi l'adesione delle 11 Camere di Commercio Lombarde, di Ice, Sace e Simest. "L'apertura di questo primo Lombardia Point a Milano - ha sottolineato Formigoni - costituisce il secondo importante passo di un processo innovativo iniziato due anni fa: nel 2002 abbiamo attivato la Rete estera per l'internazionalizzazione delle imprese lombarde, costituita ad oggi da 24 Punti Operativi situati in altrettante città di 21 paesi dell'America, dell'Asia, dell'Unione Europea, dell'Europa Centro Orientale e del bacino del Mediterraneo". Le imprese lombarde di import-export sono oltre 31.000 , di cui circa 12.000 nell'area milanese, un terzo circa delle 100.000 italiane.  
   
   
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Milano, 30 giugno 2004 - Inaugurato ieri dal presidente della Regione, Roberto Formigoni, e dal vice ministro alle Attività Produttive, Adolfo Urso, alla Camera di Commercio di Milano il primo "Lombardia Point" (Punto Operativo per l'Internazionalizzazione); presenti il presidente di Unioncamere Lombardia, Marco Citterio, e il presidente di Promos, Azienda speciale della Camera di Commercio di Milano per le attività Internazionali, Bruno Ermolli. E' questo il primo di una rete di 11 Punti situati presso le altrettante Camere di Commercio lombarde. Il loro compito primario è sostenere le imprese locali nella loro attività con l'estero, facilitando l'incontro tra domanda e offerta di tutta la gamma di servizi necessari per gli scambi commerciali e per l'internazionalizzazione, dalla ricerca di partner alle analisi di mercato, dalla consulenza in materia di contratti all'organizzazione di fiere e missioni, fino ai servizi assicurativi e di certificazione per l'export. Nata lo scorso 5 dicembre 2003 con la sottoscrizione di un'intesa istituzionale fra lo stesso Formigoni, il vice ministro Urso e il presidente Citterio, la Rete Lombardia Point ha visto poi l'adesione delle 11 Camere di Commercio Lombarde, di Ice, Sace e Simest. "L'apertura di questo primo Lombardia Point a Milano - ha sottolineato Formigoni - costituisce il secondo importante passo di un processo innovativo iniziato due anni fa: nel 2002 abbiamo attivato la Rete estera per l'internazionalizzazione delle imprese lombarde, costituita ad oggi da 24 Punti Operativi situati in altrettante città di 21 paesi dell'America, dell'Asia, dell'Unione Europea, dell'Europa Centro Orientale e del bacino del Mediterraneo". Le imprese lombarde di import-export sono oltre 31.000 , di cui circa 12.000 nell'area milanese, un terzo circa delle 100.000 italiane.  
   
   
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Milano, 30 giugno 2004 - Inaugurato ieri dal presidente della Regione, Roberto Formigoni, e dal vice ministro alle Attività Produttive, Adolfo Urso, alla Camera di Commercio di Milano il primo "Lombardia Point" (Punto Operativo per l'Internazionalizzazione); presenti il presidente di Unioncamere Lombardia, Marco Citterio, e il presidente di Promos, Azienda speciale della Camera di Commercio di Milano per le attività Internazionali, Bruno Ermolli. E' questo il primo di una rete di 11 Punti situati presso le altrettante Camere di Commercio lombarde. Il loro compito primario è sostenere le imprese locali nella loro attività con l'estero, facilitando l'incontro tra domanda e offerta di tutta la gamma di servizi necessari per gli scambi commerciali e per l'internazionalizzazione, dalla ricerca di partner alle analisi di mercato, dalla consulenza in materia di contratti all'organizzazione di fiere e missioni, fino ai servizi assicurativi e di certificazione per l'export. Nata lo scorso 5 dicembre 2003 con la sottoscrizione di un'intesa istituzionale fra lo stesso Formigoni, il vice ministro Urso e il presidente Citterio, la Rete Lombardia Point ha visto poi l'adesione delle 11 Camere di Commercio Lombarde, di Ice, Sace e Simest. "L'apertura di questo primo Lombardia Point a Milano - ha sottolineato Formigoni - costituisce il secondo importante passo di un processo innovativo iniziato due anni fa: nel 2002 abbiamo attivato la Rete estera per l'internazionalizzazione delle imprese lombarde, costituita ad oggi da 24 Punti Operativi situati in altrettante città di 21 paesi dell'America, dell'Asia, dell'Unione Europea, dell'Europa Centro Orientale e del bacino del Mediterraneo". Le imprese lombarde di import-export sono oltre 31.000 , di cui circa 12.000 nell'area milanese, un terzo circa delle 100.000 italiane.  
   
   
IL 10 LUGLIO “TUTTI PER IL FUTURO”, IL “LABORATORIO BIELLESE” PARLA AL DISTRETTO E ALLA COMMISSIONE EUROPEA: VA DIFESO IL MADE IN ITALY!  
 
Biella, 30 giugno 300 - Il 10 Luglio 2004 rappresenta una data di fondamentale importanza per il distretto biellese: in programma, un’iniziativa che per la prima volta riunisce tutte le libere associazioni di rappresentanza nell’organizzazione di un evento, che coinvolgerà i principali esponenti del mondo dell’economia e del lavoro biellese. “Tutti per il futuro” costituisce un’occasione straordinaria per discutere dello sviluppo sociale ed economico del nostro Paese, a partire da uno scenario particolare - il distretto biellese - , e per esporre alle Istituzioni europee e nazionali le prospettive e le esigenze di supporto a tale sviluppo. E’ in quest’ottica che Ascom, Cgil-cisl-uil, Cia, Coldiretti, Collegio Edile, Cna, Confartigianato, Confesercenti, Federmanager Abdai e Unione Industriale Biellese, hanno preparato un Documento che indica, da un lato, le colonne portanti del futuro sviluppo del distretto, e dall’altro alcune precise richieste sia alla Commissione Ue che al Governo Nazionale. Il Distretto Biellese assume le vesti di un vero e proprio “Laboratorio di idee e di proposte”: - Manifattura d’eccellenza: una tradizione secolare che rinnova ogni giorno gli aspetti di creatività, di tecnologia e d’immagine, simboleggiata in primis dal Marchio “Biella The Art of Excellence.” Turismo d’eccellenza: il territorio dell’intera provincia può essere considerato com un “giacimento solo parzialmente sfruttato di beni turistici” sia storici, sia ambientali. Babb Biella Art Business and Beauty: un nuovo originale progetto di “edutainement” fondato sulla capacità di “produrre creatività ed eccellenza”, dal punto di vista turistico e manifatturiero. Made in Italy: la realizzazione delle prospettive indicate per il futuro reclama ad alta voce un supporto, da parte di Unione Europea e Governo Nazionale, che tuteli il valore dell’origine dei prodotti, prima di tutto in difesa del consumatore. Il Distretto Biellese chiede fermamente che l’Europa si decida ad introdurre l’obbligo della indicazione del Paese di origine, per qualsiasi prodotto, dovunque prodotto, che sia offerto sul mercato europeo al consumatore finale: regola di trasparenza già vigente sui principali mercati del mondo. A tal proposito, le 12 associazioni di categoria hanno costituito un sito apposito - www.Fattoinitalia.org - che mostra una strabiliante collezione di contraffazioni. All’incontro parteciperanno: Guglielmo Epifani (Segretario Nazionale Cgil); Savino Pezzotta (Segretario Nazionale Cisl); Luigi Angeletti (Segretario Nazionale Uil); Alberto Bombassei (vicepresidente di Confindustria). Biella, Palazzatto dello Sport (Via Paietta) – sabato 10 luglio ore 10.00 Infolink:  www.Ui.biella.it  www.Fattoinitalia.org  
   
   
IL 10 LUGLIO “TUTTI PER IL FUTURO”, IL “LABORATORIO BIELLESE” PARLA AL DISTRETTO E ALLA COMMISSIONE EUROPEA: VA DIFESO IL MADE IN ITALY!  
 
Biella, 30 giugno 300 - Il 10 Luglio 2004 rappresenta una data di fondamentale importanza per il distretto biellese: in programma, un’iniziativa che per la prima volta riunisce tutte le libere associazioni di rappresentanza nell’organizzazione di un evento, che coinvolgerà i principali esponenti del mondo dell’economia e del lavoro biellese. “Tutti per il futuro” costituisce un’occasione straordinaria per discutere dello sviluppo sociale ed economico del nostro Paese, a partire da uno scenario particolare - il distretto biellese - , e per esporre alle Istituzioni europee e nazionali le prospettive e le esigenze di supporto a tale sviluppo. E’ in quest’ottica che Ascom, Cgil-cisl-uil, Cia, Coldiretti, Collegio Edile, Cna, Confartigianato, Confesercenti, Federmanager Abdai e Unione Industriale Biellese, hanno preparato un Documento che indica, da un lato, le colonne portanti del futuro sviluppo del distretto, e dall’altro alcune precise richieste sia alla Commissione Ue che al Governo Nazionale. Il Distretto Biellese assume le vesti di un vero e proprio “Laboratorio di idee e di proposte”: - Manifattura d’eccellenza: una tradizione secolare che rinnova ogni giorno gli aspetti di creatività, di tecnologia e d’immagine, simboleggiata in primis dal Marchio “Biella The Art of Excellence.” Turismo d’eccellenza: il territorio dell’intera provincia può essere considerato com un “giacimento solo parzialmente sfruttato di beni turistici” sia storici, sia ambientali. Babb Biella Art Business and Beauty: un nuovo originale progetto di “edutainement” fondato sulla capacità di “produrre creatività ed eccellenza”, dal punto di vista turistico e manifatturiero. Made in Italy: la realizzazione delle prospettive indicate per il futuro reclama ad alta voce un supporto, da parte di Unione Europea e Governo Nazionale, che tuteli il valore dell’origine dei prodotti, prima di tutto in difesa del consumatore. Il Distretto Biellese chiede fermamente che l’Europa si decida ad introdurre l’obbligo della indicazione del Paese di origine, per qualsiasi prodotto, dovunque prodotto, che sia offerto sul mercato europeo al consumatore finale: regola di trasparenza già vigente sui principali mercati del mondo. A tal proposito, le 12 associazioni di categoria hanno costituito un sito apposito - www.Fattoinitalia.org - che mostra una strabiliante collezione di contraffazioni. All’incontro parteciperanno: Guglielmo Epifani (Segretario Nazionale Cgil); Savino Pezzotta (Segretario Nazionale Cisl); Luigi Angeletti (Segretario Nazionale Uil); Alberto Bombassei (vicepresidente di Confindustria). Biella, Palazzatto dello Sport (Via Paietta) – sabato 10 luglio ore 10.00 Infolink:  www.Ui.biella.it  www.Fattoinitalia.org  
   
   
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Biella, 30 giugno 300 - Il 10 Luglio 2004 rappresenta una data di fondamentale importanza per il distretto biellese: in programma, un’iniziativa che per la prima volta riunisce tutte le libere associazioni di rappresentanza nell’organizzazione di un evento, che coinvolgerà i principali esponenti del mondo dell’economia e del lavoro biellese. “Tutti per il futuro” costituisce un’occasione straordinaria per discutere dello sviluppo sociale ed economico del nostro Paese, a partire da uno scenario particolare - il distretto biellese - , e per esporre alle Istituzioni europee e nazionali le prospettive e le esigenze di supporto a tale sviluppo. E’ in quest’ottica che Ascom, Cgil-cisl-uil, Cia, Coldiretti, Collegio Edile, Cna, Confartigianato, Confesercenti, Federmanager Abdai e Unione Industriale Biellese, hanno preparato un Documento che indica, da un lato, le colonne portanti del futuro sviluppo del distretto, e dall’altro alcune precise richieste sia alla Commissione Ue che al Governo Nazionale. Il Distretto Biellese assume le vesti di un vero e proprio “Laboratorio di idee e di proposte”: - Manifattura d’eccellenza: una tradizione secolare che rinnova ogni giorno gli aspetti di creatività, di tecnologia e d’immagine, simboleggiata in primis dal Marchio “Biella The Art of Excellence.” Turismo d’eccellenza: il territorio dell’intera provincia può essere considerato com un “giacimento solo parzialmente sfruttato di beni turistici” sia storici, sia ambientali. Babb Biella Art Business and Beauty: un nuovo originale progetto di “edutainement” fondato sulla capacità di “produrre creatività ed eccellenza”, dal punto di vista turistico e manifatturiero. Made in Italy: la realizzazione delle prospettive indicate per il futuro reclama ad alta voce un supporto, da parte di Unione Europea e Governo Nazionale, che tuteli il valore dell’origine dei prodotti, prima di tutto in difesa del consumatore. Il Distretto Biellese chiede fermamente che l’Europa si decida ad introdurre l’obbligo della indicazione del Paese di origine, per qualsiasi prodotto, dovunque prodotto, che sia offerto sul mercato europeo al consumatore finale: regola di trasparenza già vigente sui principali mercati del mondo. A tal proposito, le 12 associazioni di categoria hanno costituito un sito apposito - www.Fattoinitalia.org - che mostra una strabiliante collezione di contraffazioni. All’incontro parteciperanno: Guglielmo Epifani (Segretario Nazionale Cgil); Savino Pezzotta (Segretario Nazionale Cisl); Luigi Angeletti (Segretario Nazionale Uil); Alberto Bombassei (vicepresidente di Confindustria). Biella, Palazzatto dello Sport (Via Paietta) – sabato 10 luglio ore 10.00 Infolink:  www.Ui.biella.it  www.Fattoinitalia.org  
   
   
IL 10 LUGLIO “TUTTI PER IL FUTURO”, IL “LABORATORIO BIELLESE” PARLA AL DISTRETTO E ALLA COMMISSIONE EUROPEA: VA DIFESO IL MADE IN ITALY!  
 
Biella, 30 giugno 300 - Il 10 Luglio 2004 rappresenta una data di fondamentale importanza per il distretto biellese: in programma, un’iniziativa che per la prima volta riunisce tutte le libere associazioni di rappresentanza nell’organizzazione di un evento, che coinvolgerà i principali esponenti del mondo dell’economia e del lavoro biellese. “Tutti per il futuro” costituisce un’occasione straordinaria per discutere dello sviluppo sociale ed economico del nostro Paese, a partire da uno scenario particolare - il distretto biellese - , e per esporre alle Istituzioni europee e nazionali le prospettive e le esigenze di supporto a tale sviluppo. E’ in quest’ottica che Ascom, Cgil-cisl-uil, Cia, Coldiretti, Collegio Edile, Cna, Confartigianato, Confesercenti, Federmanager Abdai e Unione Industriale Biellese, hanno preparato un Documento che indica, da un lato, le colonne portanti del futuro sviluppo del distretto, e dall’altro alcune precise richieste sia alla Commissione Ue che al Governo Nazionale. Il Distretto Biellese assume le vesti di un vero e proprio “Laboratorio di idee e di proposte”: - Manifattura d’eccellenza: una tradizione secolare che rinnova ogni giorno gli aspetti di creatività, di tecnologia e d’immagine, simboleggiata in primis dal Marchio “Biella The Art of Excellence.” Turismo d’eccellenza: il territorio dell’intera provincia può essere considerato com un “giacimento solo parzialmente sfruttato di beni turistici” sia storici, sia ambientali. Babb Biella Art Business and Beauty: un nuovo originale progetto di “edutainement” fondato sulla capacità di “produrre creatività ed eccellenza”, dal punto di vista turistico e manifatturiero. Made in Italy: la realizzazione delle prospettive indicate per il futuro reclama ad alta voce un supporto, da parte di Unione Europea e Governo Nazionale, che tuteli il valore dell’origine dei prodotti, prima di tutto in difesa del consumatore. Il Distretto Biellese chiede fermamente che l’Europa si decida ad introdurre l’obbligo della indicazione del Paese di origine, per qualsiasi prodotto, dovunque prodotto, che sia offerto sul mercato europeo al consumatore finale: regola di trasparenza già vigente sui principali mercati del mondo. A tal proposito, le 12 associazioni di categoria hanno costituito un sito apposito - www.Fattoinitalia.org - che mostra una strabiliante collezione di contraffazioni. All’incontro parteciperanno: Guglielmo Epifani (Segretario Nazionale Cgil); Savino Pezzotta (Segretario Nazionale Cisl); Luigi Angeletti (Segretario Nazionale Uil); Alberto Bombassei (vicepresidente di Confindustria). Biella, Palazzatto dello Sport (Via Paietta) – sabato 10 luglio ore 10.00 Infolink:  www.Ui.biella.it  www.Fattoinitalia.org  
   
   
IL 10 LUGLIO “TUTTI PER IL FUTURO”, IL “LABORATORIO BIELLESE” PARLA AL DISTRETTO E ALLA COMMISSIONE EUROPEA: VA DIFESO IL MADE IN ITALY!  
 
Biella, 30 giugno 300 - Il 10 Luglio 2004 rappresenta una data di fondamentale importanza per il distretto biellese: in programma, un’iniziativa che per la prima volta riunisce tutte le libere associazioni di rappresentanza nell’organizzazione di un evento, che coinvolgerà i principali esponenti del mondo dell’economia e del lavoro biellese. “Tutti per il futuro” costituisce un’occasione straordinaria per discutere dello sviluppo sociale ed economico del nostro Paese, a partire da uno scenario particolare - il distretto biellese - , e per esporre alle Istituzioni europee e nazionali le prospettive e le esigenze di supporto a tale sviluppo. E’ in quest’ottica che Ascom, Cgil-cisl-uil, Cia, Coldiretti, Collegio Edile, Cna, Confartigianato, Confesercenti, Federmanager Abdai e Unione Industriale Biellese, hanno preparato un Documento che indica, da un lato, le colonne portanti del futuro sviluppo del distretto, e dall’altro alcune precise richieste sia alla Commissione Ue che al Governo Nazionale. Il Distretto Biellese assume le vesti di un vero e proprio “Laboratorio di idee e di proposte”: - Manifattura d’eccellenza: una tradizione secolare che rinnova ogni giorno gli aspetti di creatività, di tecnologia e d’immagine, simboleggiata in primis dal Marchio “Biella The Art of Excellence.” Turismo d’eccellenza: il territorio dell’intera provincia può essere considerato com un “giacimento solo parzialmente sfruttato di beni turistici” sia storici, sia ambientali. Babb Biella Art Business and Beauty: un nuovo originale progetto di “edutainement” fondato sulla capacità di “produrre creatività ed eccellenza”, dal punto di vista turistico e manifatturiero. Made in Italy: la realizzazione delle prospettive indicate per il futuro reclama ad alta voce un supporto, da parte di Unione Europea e Governo Nazionale, che tuteli il valore dell’origine dei prodotti, prima di tutto in difesa del consumatore. Il Distretto Biellese chiede fermamente che l’Europa si decida ad introdurre l’obbligo della indicazione del Paese di origine, per qualsiasi prodotto, dovunque prodotto, che sia offerto sul mercato europeo al consumatore finale: regola di trasparenza già vigente sui principali mercati del mondo. A tal proposito, le 12 associazioni di categoria hanno costituito un sito apposito - www.Fattoinitalia.org - che mostra una strabiliante collezione di contraffazioni. All’incontro parteciperanno: Guglielmo Epifani (Segretario Nazionale Cgil); Savino Pezzotta (Segretario Nazionale Cisl); Luigi Angeletti (Segretario Nazionale Uil); Alberto Bombassei (vicepresidente di Confindustria). Biella, Palazzatto dello Sport (Via Paietta) – sabato 10 luglio ore 10.00 Infolink:  www.Ui.biella.it  www.Fattoinitalia.org  
   
   
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Biella, 30 giugno 300 - Il 10 Luglio 2004 rappresenta una data di fondamentale importanza per il distretto biellese: in programma, un’iniziativa che per la prima volta riunisce tutte le libere associazioni di rappresentanza nell’organizzazione di un evento, che coinvolgerà i principali esponenti del mondo dell’economia e del lavoro biellese. “Tutti per il futuro” costituisce un’occasione straordinaria per discutere dello sviluppo sociale ed economico del nostro Paese, a partire da uno scenario particolare - il distretto biellese - , e per esporre alle Istituzioni europee e nazionali le prospettive e le esigenze di supporto a tale sviluppo. E’ in quest’ottica che Ascom, Cgil-cisl-uil, Cia, Coldiretti, Collegio Edile, Cna, Confartigianato, Confesercenti, Federmanager Abdai e Unione Industriale Biellese, hanno preparato un Documento che indica, da un lato, le colonne portanti del futuro sviluppo del distretto, e dall’altro alcune precise richieste sia alla Commissione Ue che al Governo Nazionale. Il Distretto Biellese assume le vesti di un vero e proprio “Laboratorio di idee e di proposte”: - Manifattura d’eccellenza: una tradizione secolare che rinnova ogni giorno gli aspetti di creatività, di tecnologia e d’immagine, simboleggiata in primis dal Marchio “Biella The Art of Excellence.” Turismo d’eccellenza: il territorio dell’intera provincia può essere considerato com un “giacimento solo parzialmente sfruttato di beni turistici” sia storici, sia ambientali. Babb Biella Art Business and Beauty: un nuovo originale progetto di “edutainement” fondato sulla capacità di “produrre creatività ed eccellenza”, dal punto di vista turistico e manifatturiero. Made in Italy: la realizzazione delle prospettive indicate per il futuro reclama ad alta voce un supporto, da parte di Unione Europea e Governo Nazionale, che tuteli il valore dell’origine dei prodotti, prima di tutto in difesa del consumatore. Il Distretto Biellese chiede fermamente che l’Europa si decida ad introdurre l’obbligo della indicazione del Paese di origine, per qualsiasi prodotto, dovunque prodotto, che sia offerto sul mercato europeo al consumatore finale: regola di trasparenza già vigente sui principali mercati del mondo. A tal proposito, le 12 associazioni di categoria hanno costituito un sito apposito - www.Fattoinitalia.org - che mostra una strabiliante collezione di contraffazioni. All’incontro parteciperanno: Guglielmo Epifani (Segretario Nazionale Cgil); Savino Pezzotta (Segretario Nazionale Cisl); Luigi Angeletti (Segretario Nazionale Uil); Alberto Bombassei (vicepresidente di Confindustria). Biella, Palazzatto dello Sport (Via Paietta) – sabato 10 luglio ore 10.00 Infolink:  www.Ui.biella.it  www.Fattoinitalia.org  
   
   
DOPO CINQUANT'ANNI D'ENERGIA NUCLEARE, L'AIEA GUARDA AL FUTURO  
 
Bruxelles, 30 giugno 2004 - Esattamente mezzo secolo dopo che nell'ex Unione Sovietica una centrale nucleare era stata per prima collegata ad una rete di distribuzione dell'energia elettrica, l'Agenzia internazionale per l'energia atomica (Aiea) afferma che il futuro dell'energia nucleare in Europa è ben lungi dall'essere chiaro. Malgrado vi siano molte più centrali nucleari in Europa occidentale e America del nord che ovunque altrove, la maggior parte dei nuovi impianti vengono costruiti in Asia. Dei 27 attualmente in costruzione, 18 saranno ubicati nella regione, mentre l'Europa orientale (Russia inclusa) viene al secondo posto per le nuove costruzioni, con un totale di otto. Secondo l'Aiea, i fattori che guidano l'espansione dell'energia nucleare in Asia sono le pressioni della crescita economica, la scarsità di risorse naturali e l'aumento della popolazione. E sebbene l'espansione dell'energia nucleare nell'Europa occidentale sia tutto tranne che in stasi, l'agenzia non esclude la possibilità che questa immagine possa subire drammatici cambiamenti negli anni a venire. 'Quanto più guardiamo al futuro, tanto più ci aspettiamo che i paesi vadano considerando i potenziali vantaggi che l'espansione dell'energia nucleare potrebbe offrire per l'ambiente globale e la crescita economica', dichiara il direttore generale dell'Aiea Mohamed Elbaradei. 'La decisione di adottare l'energia nucleare non può essere presa ricorrendo al principio della 'taglia unica'. Le nuove centrali nucleari risultano più attraenti dove la domanda d'energia è in crescita e le risorse alternative sono scarse, e dove la sicurezza energetica e la riduzione dell'inquinamento atmosferico e dei gas a effetto serra sono una priorità. Ma certi paesi hanno escluso l'energia nucleare dal loro mix energetico a causa delle preoccupazioni per la sicurezza e i rifiuti nucleari', ha aggiunto Elbaradei. Gli esperti dell'Aiea fanno regolarmente proiezioni sul futuro dell'energia nucleare, ma poiché queste stime spesso si basano su decisioni politiche non ancora prese in molti paesi, l'Aiea fa una stima 'alta' e una 'bassa'. Nella sua più recente valutazione 'bassa', l'Aiea vede la quantità d'energia nucleare generata aumentare annualmente fino al 2020, ma poiché questo tasso di crescita sarebbe inferiore a quello di altre fonti energetiche, la quota di elettricità nucleare generata nel mondo scenderebbe entro il 2020 dall'attuale 16% al 12%. Secondo le proiezioni di stima 'alta' dell'Aiea, l'energia nucleare genererà nel 2030 il 70% d'elettricità in più che nel 2002, con un tasso di crescita continuo che però inciderà poco sulla quota nucleare del mix energetico globale. Tuttavia l'Aiea addita gli studi a più lungo termine dell'Ipcc (Gruppo intergovernativo di esperti sui cambiamenti del clima); dell'Aie (Agenzia internazionale per l'energia) e di altri per la prova della presenza sempre più forte dell'energia nucleare nei prossimi decenni. Questi studi calcolano l'energia totale necessaria per incrementare gli standard di vita in tutto il mondo, oltre a tenere conto dell'esaurirsi delle risorse di carburanti fossili e a predire quale sarà la scelta più sensata per l'economia a lungo termine. Gli studi concludono che, con il suo 27% della produzione totale d'elettricità, l'uso dell'energia nucleare aumenterà di due volte e mezzo entro il 2030, e si quadruplicherà nel 2050. Secondo l'Aiea, l'avverarsi di uno dei vari futuri previsti per l'energia nucleare dipende da un certo numero di fattori. In modo inequivocabile, la sicurezza nucleare e i rifiuti nucleari figurano come i punti chiave che attualmente dissuadono i paesi dall'adottare questa tecnologia. Per quanto riguarda la sicurezza, mentre l'Aiea afferma che sono stati compiuti progressi sostanziali nel miglioramento delle prestazioni degli impianti, un certo numero di questioni, come le preoccupazioni per l'invecchiamento delle attrezzature, richiedono una maggiore attenzione. Tuttavia Tomihiro Taniguchi, vice direttore generale dell'Aiea per la sicurezza nucleare, sottolinea: 'La base adesso è che esiste il riconoscimento a scala mondiale e il relativo impegno sul principio che il funzionamento [delle centrali termonucleari] deve concentrarsi sulla sicurezza, prima di qualsiasi cosa'. Per quanto attiene alla questione dei rifiuti nucleari, l'Aiea obietta che la comunità scientifica generalmente è concorde nell'affermare che i rifiuti d'alto livello e il combustibile esaurito possono essere smaltiti in tutta sicurezza interrandoli a grande profondità geologica. 'Tuttavia in molti paesi del mondo non sono stati fatti grandi progressi per l'approntamento di depositi per lo [...] smaltimento, e la soluzione di questo punto appare come un fattore chiave di grande incidenza sul futuro sviluppo dell'energia nucleare', afferma l'Aiea. Anche l'innovazione sarà un fattore chiave nello sviluppo delle future tecnologie nucleari, secondo il vice direttore dell'Aiea per l'energia nucleare Yuri Sokolov: 'Su un più lungo termine, nuove progettazioni innovative, con tempi di costruzione più brevi e costi significativamente inferiori, potrebbero contribuire alla promozione di una nuova era dell'energia nucleare', ha dichiarato. L'aiea calcola che i giacimenti mondiali di uranio conosciuti e sfruttabili usando le odierne tecnologie dureranno dai 50 ai 65 anni, ma afferma che le future innovazioni tecnologiche dovrebbero moltiplicare per 60 la sfruttabilità di queste risorse. 'Tenendo conto di tutti questi fattori, non vi sono sicuramente limiti d'approvvigionamento per lo sviluppo dell'energia nucleare nel Xxi secolo, e nemmeno per molto tempo dopo', ha concluso Sokolov. Infolink: http://www.Iaea.org/newscenter/focus/nuclearpower/index.shtml  
   
   
DOPO CINQUANT'ANNI D'ENERGIA NUCLEARE, L'AIEA GUARDA AL FUTURO  
 
Bruxelles, 30 giugno 2004 - Esattamente mezzo secolo dopo che nell'ex Unione Sovietica una centrale nucleare era stata per prima collegata ad una rete di distribuzione dell'energia elettrica, l'Agenzia internazionale per l'energia atomica (Aiea) afferma che il futuro dell'energia nucleare in Europa è ben lungi dall'essere chiaro. Malgrado vi siano molte più centrali nucleari in Europa occidentale e America del nord che ovunque altrove, la maggior parte dei nuovi impianti vengono costruiti in Asia. Dei 27 attualmente in costruzione, 18 saranno ubicati nella regione, mentre l'Europa orientale (Russia inclusa) viene al secondo posto per le nuove costruzioni, con un totale di otto. Secondo l'Aiea, i fattori che guidano l'espansione dell'energia nucleare in Asia sono le pressioni della crescita economica, la scarsità di risorse naturali e l'aumento della popolazione. E sebbene l'espansione dell'energia nucleare nell'Europa occidentale sia tutto tranne che in stasi, l'agenzia non esclude la possibilità che questa immagine possa subire drammatici cambiamenti negli anni a venire. 'Quanto più guardiamo al futuro, tanto più ci aspettiamo che i paesi vadano considerando i potenziali vantaggi che l'espansione dell'energia nucleare potrebbe offrire per l'ambiente globale e la crescita economica', dichiara il direttore generale dell'Aiea Mohamed Elbaradei. 'La decisione di adottare l'energia nucleare non può essere presa ricorrendo al principio della 'taglia unica'. Le nuove centrali nucleari risultano più attraenti dove la domanda d'energia è in crescita e le risorse alternative sono scarse, e dove la sicurezza energetica e la riduzione dell'inquinamento atmosferico e dei gas a effetto serra sono una priorità. Ma certi paesi hanno escluso l'energia nucleare dal loro mix energetico a causa delle preoccupazioni per la sicurezza e i rifiuti nucleari', ha aggiunto Elbaradei. Gli esperti dell'Aiea fanno regolarmente proiezioni sul futuro dell'energia nucleare, ma poiché queste stime spesso si basano su decisioni politiche non ancora prese in molti paesi, l'Aiea fa una stima 'alta' e una 'bassa'. Nella sua più recente valutazione 'bassa', l'Aiea vede la quantità d'energia nucleare generata aumentare annualmente fino al 2020, ma poiché questo tasso di crescita sarebbe inferiore a quello di altre fonti energetiche, la quota di elettricità nucleare generata nel mondo scenderebbe entro il 2020 dall'attuale 16% al 12%. Secondo le proiezioni di stima 'alta' dell'Aiea, l'energia nucleare genererà nel 2030 il 70% d'elettricità in più che nel 2002, con un tasso di crescita continuo che però inciderà poco sulla quota nucleare del mix energetico globale. Tuttavia l'Aiea addita gli studi a più lungo termine dell'Ipcc (Gruppo intergovernativo di esperti sui cambiamenti del clima); dell'Aie (Agenzia internazionale per l'energia) e di altri per la prova della presenza sempre più forte dell'energia nucleare nei prossimi decenni. Questi studi calcolano l'energia totale necessaria per incrementare gli standard di vita in tutto il mondo, oltre a tenere conto dell'esaurirsi delle risorse di carburanti fossili e a predire quale sarà la scelta più sensata per l'economia a lungo termine. Gli studi concludono che, con il suo 27% della produzione totale d'elettricità, l'uso dell'energia nucleare aumenterà di due volte e mezzo entro il 2030, e si quadruplicherà nel 2050. Secondo l'Aiea, l'avverarsi di uno dei vari futuri previsti per l'energia nucleare dipende da un certo numero di fattori. In modo inequivocabile, la sicurezza nucleare e i rifiuti nucleari figurano come i punti chiave che attualmente dissuadono i paesi dall'adottare questa tecnologia. Per quanto riguarda la sicurezza, mentre l'Aiea afferma che sono stati compiuti progressi sostanziali nel miglioramento delle prestazioni degli impianti, un certo numero di questioni, come le preoccupazioni per l'invecchiamento delle attrezzature, richiedono una maggiore attenzione. Tuttavia Tomihiro Taniguchi, vice direttore generale dell'Aiea per la sicurezza nucleare, sottolinea: 'La base adesso è che esiste il riconoscimento a scala mondiale e il relativo impegno sul principio che il funzionamento [delle centrali termonucleari] deve concentrarsi sulla sicurezza, prima di qualsiasi cosa'. Per quanto attiene alla questione dei rifiuti nucleari, l'Aiea obietta che la comunità scientifica generalmente è concorde nell'affermare che i rifiuti d'alto livello e il combustibile esaurito possono essere smaltiti in tutta sicurezza interrandoli a grande profondità geologica. 'Tuttavia in molti paesi del mondo non sono stati fatti grandi progressi per l'approntamento di depositi per lo [...] smaltimento, e la soluzione di questo punto appare come un fattore chiave di grande incidenza sul futuro sviluppo dell'energia nucleare', afferma l'Aiea. Anche l'innovazione sarà un fattore chiave nello sviluppo delle future tecnologie nucleari, secondo il vice direttore dell'Aiea per l'energia nucleare Yuri Sokolov: 'Su un più lungo termine, nuove progettazioni innovative, con tempi di costruzione più brevi e costi significativamente inferiori, potrebbero contribuire alla promozione di una nuova era dell'energia nucleare', ha dichiarato. L'aiea calcola che i giacimenti mondiali di uranio conosciuti e sfruttabili usando le odierne tecnologie dureranno dai 50 ai 65 anni, ma afferma che le future innovazioni tecnologiche dovrebbero moltiplicare per 60 la sfruttabilità di queste risorse. 'Tenendo conto di tutti questi fattori, non vi sono sicuramente limiti d'approvvigionamento per lo sviluppo dell'energia nucleare nel Xxi secolo, e nemmeno per molto tempo dopo', ha concluso Sokolov. Infolink: http://www.Iaea.org/newscenter/focus/nuclearpower/index.shtml  
   
   
DOPO CINQUANT'ANNI D'ENERGIA NUCLEARE, L'AIEA GUARDA AL FUTURO  
 
Bruxelles, 30 giugno 2004 - Esattamente mezzo secolo dopo che nell'ex Unione Sovietica una centrale nucleare era stata per prima collegata ad una rete di distribuzione dell'energia elettrica, l'Agenzia internazionale per l'energia atomica (Aiea) afferma che il futuro dell'energia nucleare in Europa è ben lungi dall'essere chiaro. Malgrado vi siano molte più centrali nucleari in Europa occidentale e America del nord che ovunque altrove, la maggior parte dei nuovi impianti vengono costruiti in Asia. Dei 27 attualmente in costruzione, 18 saranno ubicati nella regione, mentre l'Europa orientale (Russia inclusa) viene al secondo posto per le nuove costruzioni, con un totale di otto. Secondo l'Aiea, i fattori che guidano l'espansione dell'energia nucleare in Asia sono le pressioni della crescita economica, la scarsità di risorse naturali e l'aumento della popolazione. E sebbene l'espansione dell'energia nucleare nell'Europa occidentale sia tutto tranne che in stasi, l'agenzia non esclude la possibilità che questa immagine possa subire drammatici cambiamenti negli anni a venire. 'Quanto più guardiamo al futuro, tanto più ci aspettiamo che i paesi vadano considerando i potenziali vantaggi che l'espansione dell'energia nucleare potrebbe offrire per l'ambiente globale e la crescita economica', dichiara il direttore generale dell'Aiea Mohamed Elbaradei. 'La decisione di adottare l'energia nucleare non può essere presa ricorrendo al principio della 'taglia unica'. Le nuove centrali nucleari risultano più attraenti dove la domanda d'energia è in crescita e le risorse alternative sono scarse, e dove la sicurezza energetica e la riduzione dell'inquinamento atmosferico e dei gas a effetto serra sono una priorità. Ma certi paesi hanno escluso l'energia nucleare dal loro mix energetico a causa delle preoccupazioni per la sicurezza e i rifiuti nucleari', ha aggiunto Elbaradei. Gli esperti dell'Aiea fanno regolarmente proiezioni sul futuro dell'energia nucleare, ma poiché queste stime spesso si basano su decisioni politiche non ancora prese in molti paesi, l'Aiea fa una stima 'alta' e una 'bassa'. Nella sua più recente valutazione 'bassa', l'Aiea vede la quantità d'energia nucleare generata aumentare annualmente fino al 2020, ma poiché questo tasso di crescita sarebbe inferiore a quello di altre fonti energetiche, la quota di elettricità nucleare generata nel mondo scenderebbe entro il 2020 dall'attuale 16% al 12%. Secondo le proiezioni di stima 'alta' dell'Aiea, l'energia nucleare genererà nel 2030 il 70% d'elettricità in più che nel 2002, con un tasso di crescita continuo che però inciderà poco sulla quota nucleare del mix energetico globale. Tuttavia l'Aiea addita gli studi a più lungo termine dell'Ipcc (Gruppo intergovernativo di esperti sui cambiamenti del clima); dell'Aie (Agenzia internazionale per l'energia) e di altri per la prova della presenza sempre più forte dell'energia nucleare nei prossimi decenni. Questi studi calcolano l'energia totale necessaria per incrementare gli standard di vita in tutto il mondo, oltre a tenere conto dell'esaurirsi delle risorse di carburanti fossili e a predire quale sarà la scelta più sensata per l'economia a lungo termine. Gli studi concludono che, con il suo 27% della produzione totale d'elettricità, l'uso dell'energia nucleare aumenterà di due volte e mezzo entro il 2030, e si quadruplicherà nel 2050. Secondo l'Aiea, l'avverarsi di uno dei vari futuri previsti per l'energia nucleare dipende da un certo numero di fattori. In modo inequivocabile, la sicurezza nucleare e i rifiuti nucleari figurano come i punti chiave che attualmente dissuadono i paesi dall'adottare questa tecnologia. Per quanto riguarda la sicurezza, mentre l'Aiea afferma che sono stati compiuti progressi sostanziali nel miglioramento delle prestazioni degli impianti, un certo numero di questioni, come le preoccupazioni per l'invecchiamento delle attrezzature, richiedono una maggiore attenzione. Tuttavia Tomihiro Taniguchi, vice direttore generale dell'Aiea per la sicurezza nucleare, sottolinea: 'La base adesso è che esiste il riconoscimento a scala mondiale e il relativo impegno sul principio che il funzionamento [delle centrali termonucleari] deve concentrarsi sulla sicurezza, prima di qualsiasi cosa'. Per quanto attiene alla questione dei rifiuti nucleari, l'Aiea obietta che la comunità scientifica generalmente è concorde nell'affermare che i rifiuti d'alto livello e il combustibile esaurito possono essere smaltiti in tutta sicurezza interrandoli a grande profondità geologica. 'Tuttavia in molti paesi del mondo non sono stati fatti grandi progressi per l'approntamento di depositi per lo [...] smaltimento, e la soluzione di questo punto appare come un fattore chiave di grande incidenza sul futuro sviluppo dell'energia nucleare', afferma l'Aiea. Anche l'innovazione sarà un fattore chiave nello sviluppo delle future tecnologie nucleari, secondo il vice direttore dell'Aiea per l'energia nucleare Yuri Sokolov: 'Su un più lungo termine, nuove progettazioni innovative, con tempi di costruzione più brevi e costi significativamente inferiori, potrebbero contribuire alla promozione di una nuova era dell'energia nucleare', ha dichiarato. L'aiea calcola che i giacimenti mondiali di uranio conosciuti e sfruttabili usando le odierne tecnologie dureranno dai 50 ai 65 anni, ma afferma che le future innovazioni tecnologiche dovrebbero moltiplicare per 60 la sfruttabilità di queste risorse. 'Tenendo conto di tutti questi fattori, non vi sono sicuramente limiti d'approvvigionamento per lo sviluppo dell'energia nucleare nel Xxi secolo, e nemmeno per molto tempo dopo', ha concluso Sokolov. Infolink: http://www.Iaea.org/newscenter/focus/nuclearpower/index.shtml  
   
   
DOPO CINQUANT'ANNI D'ENERGIA NUCLEARE, L'AIEA GUARDA AL FUTURO  
 
Bruxelles, 30 giugno 2004 - Esattamente mezzo secolo dopo che nell'ex Unione Sovietica una centrale nucleare era stata per prima collegata ad una rete di distribuzione dell'energia elettrica, l'Agenzia internazionale per l'energia atomica (Aiea) afferma che il futuro dell'energia nucleare in Europa è ben lungi dall'essere chiaro. Malgrado vi siano molte più centrali nucleari in Europa occidentale e America del nord che ovunque altrove, la maggior parte dei nuovi impianti vengono costruiti in Asia. Dei 27 attualmente in costruzione, 18 saranno ubicati nella regione, mentre l'Europa orientale (Russia inclusa) viene al secondo posto per le nuove costruzioni, con un totale di otto. Secondo l'Aiea, i fattori che guidano l'espansione dell'energia nucleare in Asia sono le pressioni della crescita economica, la scarsità di risorse naturali e l'aumento della popolazione. E sebbene l'espansione dell'energia nucleare nell'Europa occidentale sia tutto tranne che in stasi, l'agenzia non esclude la possibilità che questa immagine possa subire drammatici cambiamenti negli anni a venire. 'Quanto più guardiamo al futuro, tanto più ci aspettiamo che i paesi vadano considerando i potenziali vantaggi che l'espansione dell'energia nucleare potrebbe offrire per l'ambiente globale e la crescita economica', dichiara il direttore generale dell'Aiea Mohamed Elbaradei. 'La decisione di adottare l'energia nucleare non può essere presa ricorrendo al principio della 'taglia unica'. Le nuove centrali nucleari risultano più attraenti dove la domanda d'energia è in crescita e le risorse alternative sono scarse, e dove la sicurezza energetica e la riduzione dell'inquinamento atmosferico e dei gas a effetto serra sono una priorità. Ma certi paesi hanno escluso l'energia nucleare dal loro mix energetico a causa delle preoccupazioni per la sicurezza e i rifiuti nucleari', ha aggiunto Elbaradei. Gli esperti dell'Aiea fanno regolarmente proiezioni sul futuro dell'energia nucleare, ma poiché queste stime spesso si basano su decisioni politiche non ancora prese in molti paesi, l'Aiea fa una stima 'alta' e una 'bassa'. Nella sua più recente valutazione 'bassa', l'Aiea vede la quantità d'energia nucleare generata aumentare annualmente fino al 2020, ma poiché questo tasso di crescita sarebbe inferiore a quello di altre fonti energetiche, la quota di elettricità nucleare generata nel mondo scenderebbe entro il 2020 dall'attuale 16% al 12%. Secondo le proiezioni di stima 'alta' dell'Aiea, l'energia nucleare genererà nel 2030 il 70% d'elettricità in più che nel 2002, con un tasso di crescita continuo che però inciderà poco sulla quota nucleare del mix energetico globale. Tuttavia l'Aiea addita gli studi a più lungo termine dell'Ipcc (Gruppo intergovernativo di esperti sui cambiamenti del clima); dell'Aie (Agenzia internazionale per l'energia) e di altri per la prova della presenza sempre più forte dell'energia nucleare nei prossimi decenni. Questi studi calcolano l'energia totale necessaria per incrementare gli standard di vita in tutto il mondo, oltre a tenere conto dell'esaurirsi delle risorse di carburanti fossili e a predire quale sarà la scelta più sensata per l'economia a lungo termine. Gli studi concludono che, con il suo 27% della produzione totale d'elettricità, l'uso dell'energia nucleare aumenterà di due volte e mezzo entro il 2030, e si quadruplicherà nel 2050. Secondo l'Aiea, l'avverarsi di uno dei vari futuri previsti per l'energia nucleare dipende da un certo numero di fattori. In modo inequivocabile, la sicurezza nucleare e i rifiuti nucleari figurano come i punti chiave che attualmente dissuadono i paesi dall'adottare questa tecnologia. Per quanto riguarda la sicurezza, mentre l'Aiea afferma che sono stati compiuti progressi sostanziali nel miglioramento delle prestazioni degli impianti, un certo numero di questioni, come le preoccupazioni per l'invecchiamento delle attrezzature, richiedono una maggiore attenzione. Tuttavia Tomihiro Taniguchi, vice direttore generale dell'Aiea per la sicurezza nucleare, sottolinea: 'La base adesso è che esiste il riconoscimento a scala mondiale e il relativo impegno sul principio che il funzionamento [delle centrali termonucleari] deve concentrarsi sulla sicurezza, prima di qualsiasi cosa'. Per quanto attiene alla questione dei rifiuti nucleari, l'Aiea obietta che la comunità scientifica generalmente è concorde nell'affermare che i rifiuti d'alto livello e il combustibile esaurito possono essere smaltiti in tutta sicurezza interrandoli a grande profondità geologica. 'Tuttavia in molti paesi del mondo non sono stati fatti grandi progressi per l'approntamento di depositi per lo [...] smaltimento, e la soluzione di questo punto appare come un fattore chiave di grande incidenza sul futuro sviluppo dell'energia nucleare', afferma l'Aiea. Anche l'innovazione sarà un fattore chiave nello sviluppo delle future tecnologie nucleari, secondo il vice direttore dell'Aiea per l'energia nucleare Yuri Sokolov: 'Su un più lungo termine, nuove progettazioni innovative, con tempi di costruzione più brevi e costi significativamente inferiori, potrebbero contribuire alla promozione di una nuova era dell'energia nucleare', ha dichiarato. L'aiea calcola che i giacimenti mondiali di uranio conosciuti e sfruttabili usando le odierne tecnologie dureranno dai 50 ai 65 anni, ma afferma che le future innovazioni tecnologiche dovrebbero moltiplicare per 60 la sfruttabilità di queste risorse. 'Tenendo conto di tutti questi fattori, non vi sono sicuramente limiti d'approvvigionamento per lo sviluppo dell'energia nucleare nel Xxi secolo, e nemmeno per molto tempo dopo', ha concluso Sokolov. Infolink: http://www.Iaea.org/newscenter/focus/nuclearpower/index.shtml  
   
   
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Bruxelles, 30 giugno 2004 - Esattamente mezzo secolo dopo che nell'ex Unione Sovietica una centrale nucleare era stata per prima collegata ad una rete di distribuzione dell'energia elettrica, l'Agenzia internazionale per l'energia atomica (Aiea) afferma che il futuro dell'energia nucleare in Europa è ben lungi dall'essere chiaro. Malgrado vi siano molte più centrali nucleari in Europa occidentale e America del nord che ovunque altrove, la maggior parte dei nuovi impianti vengono costruiti in Asia. Dei 27 attualmente in costruzione, 18 saranno ubicati nella regione, mentre l'Europa orientale (Russia inclusa) viene al secondo posto per le nuove costruzioni, con un totale di otto. Secondo l'Aiea, i fattori che guidano l'espansione dell'energia nucleare in Asia sono le pressioni della crescita economica, la scarsità di risorse naturali e l'aumento della popolazione. E sebbene l'espansione dell'energia nucleare nell'Europa occidentale sia tutto tranne che in stasi, l'agenzia non esclude la possibilità che questa immagine possa subire drammatici cambiamenti negli anni a venire. 'Quanto più guardiamo al futuro, tanto più ci aspettiamo che i paesi vadano considerando i potenziali vantaggi che l'espansione dell'energia nucleare potrebbe offrire per l'ambiente globale e la crescita economica', dichiara il direttore generale dell'Aiea Mohamed Elbaradei. 'La decisione di adottare l'energia nucleare non può essere presa ricorrendo al principio della 'taglia unica'. Le nuove centrali nucleari risultano più attraenti dove la domanda d'energia è in crescita e le risorse alternative sono scarse, e dove la sicurezza energetica e la riduzione dell'inquinamento atmosferico e dei gas a effetto serra sono una priorità. Ma certi paesi hanno escluso l'energia nucleare dal loro mix energetico a causa delle preoccupazioni per la sicurezza e i rifiuti nucleari', ha aggiunto Elbaradei. Gli esperti dell'Aiea fanno regolarmente proiezioni sul futuro dell'energia nucleare, ma poiché queste stime spesso si basano su decisioni politiche non ancora prese in molti paesi, l'Aiea fa una stima 'alta' e una 'bassa'. Nella sua più recente valutazione 'bassa', l'Aiea vede la quantità d'energia nucleare generata aumentare annualmente fino al 2020, ma poiché questo tasso di crescita sarebbe inferiore a quello di altre fonti energetiche, la quota di elettricità nucleare generata nel mondo scenderebbe entro il 2020 dall'attuale 16% al 12%. Secondo le proiezioni di stima 'alta' dell'Aiea, l'energia nucleare genererà nel 2030 il 70% d'elettricità in più che nel 2002, con un tasso di crescita continuo che però inciderà poco sulla quota nucleare del mix energetico globale. Tuttavia l'Aiea addita gli studi a più lungo termine dell'Ipcc (Gruppo intergovernativo di esperti sui cambiamenti del clima); dell'Aie (Agenzia internazionale per l'energia) e di altri per la prova della presenza sempre più forte dell'energia nucleare nei prossimi decenni. Questi studi calcolano l'energia totale necessaria per incrementare gli standard di vita in tutto il mondo, oltre a tenere conto dell'esaurirsi delle risorse di carburanti fossili e a predire quale sarà la scelta più sensata per l'economia a lungo termine. Gli studi concludono che, con il suo 27% della produzione totale d'elettricità, l'uso dell'energia nucleare aumenterà di due volte e mezzo entro il 2030, e si quadruplicherà nel 2050. Secondo l'Aiea, l'avverarsi di uno dei vari futuri previsti per l'energia nucleare dipende da un certo numero di fattori. In modo inequivocabile, la sicurezza nucleare e i rifiuti nucleari figurano come i punti chiave che attualmente dissuadono i paesi dall'adottare questa tecnologia. Per quanto riguarda la sicurezza, mentre l'Aiea afferma che sono stati compiuti progressi sostanziali nel miglioramento delle prestazioni degli impianti, un certo numero di questioni, come le preoccupazioni per l'invecchiamento delle attrezzature, richiedono una maggiore attenzione. Tuttavia Tomihiro Taniguchi, vice direttore generale dell'Aiea per la sicurezza nucleare, sottolinea: 'La base adesso è che esiste il riconoscimento a scala mondiale e il relativo impegno sul principio che il funzionamento [delle centrali termonucleari] deve concentrarsi sulla sicurezza, prima di qualsiasi cosa'. Per quanto attiene alla questione dei rifiuti nucleari, l'Aiea obietta che la comunità scientifica generalmente è concorde nell'affermare che i rifiuti d'alto livello e il combustibile esaurito possono essere smaltiti in tutta sicurezza interrandoli a grande profondità geologica. 'Tuttavia in molti paesi del mondo non sono stati fatti grandi progressi per l'approntamento di depositi per lo [...] smaltimento, e la soluzione di questo punto appare come un fattore chiave di grande incidenza sul futuro sviluppo dell'energia nucleare', afferma l'Aiea. Anche l'innovazione sarà un fattore chiave nello sviluppo delle future tecnologie nucleari, secondo il vice direttore dell'Aiea per l'energia nucleare Yuri Sokolov: 'Su un più lungo termine, nuove progettazioni innovative, con tempi di costruzione più brevi e costi significativamente inferiori, potrebbero contribuire alla promozione di una nuova era dell'energia nucleare', ha dichiarato. L'aiea calcola che i giacimenti mondiali di uranio conosciuti e sfruttabili usando le odierne tecnologie dureranno dai 50 ai 65 anni, ma afferma che le future innovazioni tecnologiche dovrebbero moltiplicare per 60 la sfruttabilità di queste risorse. 'Tenendo conto di tutti questi fattori, non vi sono sicuramente limiti d'approvvigionamento per lo sviluppo dell'energia nucleare nel Xxi secolo, e nemmeno per molto tempo dopo', ha concluso Sokolov. Infolink: http://www.Iaea.org/newscenter/focus/nuclearpower/index.shtml  
   
   
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Bruxelles, 30 giugno 2004 - Esattamente mezzo secolo dopo che nell'ex Unione Sovietica una centrale nucleare era stata per prima collegata ad una rete di distribuzione dell'energia elettrica, l'Agenzia internazionale per l'energia atomica (Aiea) afferma che il futuro dell'energia nucleare in Europa è ben lungi dall'essere chiaro. Malgrado vi siano molte più centrali nucleari in Europa occidentale e America del nord che ovunque altrove, la maggior parte dei nuovi impianti vengono costruiti in Asia. Dei 27 attualmente in costruzione, 18 saranno ubicati nella regione, mentre l'Europa orientale (Russia inclusa) viene al secondo posto per le nuove costruzioni, con un totale di otto. Secondo l'Aiea, i fattori che guidano l'espansione dell'energia nucleare in Asia sono le pressioni della crescita economica, la scarsità di risorse naturali e l'aumento della popolazione. E sebbene l'espansione dell'energia nucleare nell'Europa occidentale sia tutto tranne che in stasi, l'agenzia non esclude la possibilità che questa immagine possa subire drammatici cambiamenti negli anni a venire. 'Quanto più guardiamo al futuro, tanto più ci aspettiamo che i paesi vadano considerando i potenziali vantaggi che l'espansione dell'energia nucleare potrebbe offrire per l'ambiente globale e la crescita economica', dichiara il direttore generale dell'Aiea Mohamed Elbaradei. 'La decisione di adottare l'energia nucleare non può essere presa ricorrendo al principio della 'taglia unica'. Le nuove centrali nucleari risultano più attraenti dove la domanda d'energia è in crescita e le risorse alternative sono scarse, e dove la sicurezza energetica e la riduzione dell'inquinamento atmosferico e dei gas a effetto serra sono una priorità. Ma certi paesi hanno escluso l'energia nucleare dal loro mix energetico a causa delle preoccupazioni per la sicurezza e i rifiuti nucleari', ha aggiunto Elbaradei. Gli esperti dell'Aiea fanno regolarmente proiezioni sul futuro dell'energia nucleare, ma poiché queste stime spesso si basano su decisioni politiche non ancora prese in molti paesi, l'Aiea fa una stima 'alta' e una 'bassa'. Nella sua più recente valutazione 'bassa', l'Aiea vede la quantità d'energia nucleare generata aumentare annualmente fino al 2020, ma poiché questo tasso di crescita sarebbe inferiore a quello di altre fonti energetiche, la quota di elettricità nucleare generata nel mondo scenderebbe entro il 2020 dall'attuale 16% al 12%. Secondo le proiezioni di stima 'alta' dell'Aiea, l'energia nucleare genererà nel 2030 il 70% d'elettricità in più che nel 2002, con un tasso di crescita continuo che però inciderà poco sulla quota nucleare del mix energetico globale. Tuttavia l'Aiea addita gli studi a più lungo termine dell'Ipcc (Gruppo intergovernativo di esperti sui cambiamenti del clima); dell'Aie (Agenzia internazionale per l'energia) e di altri per la prova della presenza sempre più forte dell'energia nucleare nei prossimi decenni. Questi studi calcolano l'energia totale necessaria per incrementare gli standard di vita in tutto il mondo, oltre a tenere conto dell'esaurirsi delle risorse di carburanti fossili e a predire quale sarà la scelta più sensata per l'economia a lungo termine. Gli studi concludono che, con il suo 27% della produzione totale d'elettricità, l'uso dell'energia nucleare aumenterà di due volte e mezzo entro il 2030, e si quadruplicherà nel 2050. Secondo l'Aiea, l'avverarsi di uno dei vari futuri previsti per l'energia nucleare dipende da un certo numero di fattori. In modo inequivocabile, la sicurezza nucleare e i rifiuti nucleari figurano come i punti chiave che attualmente dissuadono i paesi dall'adottare questa tecnologia. Per quanto riguarda la sicurezza, mentre l'Aiea afferma che sono stati compiuti progressi sostanziali nel miglioramento delle prestazioni degli impianti, un certo numero di questioni, come le preoccupazioni per l'invecchiamento delle attrezzature, richiedono una maggiore attenzione. Tuttavia Tomihiro Taniguchi, vice direttore generale dell'Aiea per la sicurezza nucleare, sottolinea: 'La base adesso è che esiste il riconoscimento a scala mondiale e il relativo impegno sul principio che il funzionamento [delle centrali termonucleari] deve concentrarsi sulla sicurezza, prima di qualsiasi cosa'. Per quanto attiene alla questione dei rifiuti nucleari, l'Aiea obietta che la comunità scientifica generalmente è concorde nell'affermare che i rifiuti d'alto livello e il combustibile esaurito possono essere smaltiti in tutta sicurezza interrandoli a grande profondità geologica. 'Tuttavia in molti paesi del mondo non sono stati fatti grandi progressi per l'approntamento di depositi per lo [...] smaltimento, e la soluzione di questo punto appare come un fattore chiave di grande incidenza sul futuro sviluppo dell'energia nucleare', afferma l'Aiea. Anche l'innovazione sarà un fattore chiave nello sviluppo delle future tecnologie nucleari, secondo il vice direttore dell'Aiea per l'energia nucleare Yuri Sokolov: 'Su un più lungo termine, nuove progettazioni innovative, con tempi di costruzione più brevi e costi significativamente inferiori, potrebbero contribuire alla promozione di una nuova era dell'energia nucleare', ha dichiarato. L'aiea calcola che i giacimenti mondiali di uranio conosciuti e sfruttabili usando le odierne tecnologie dureranno dai 50 ai 65 anni, ma afferma che le future innovazioni tecnologiche dovrebbero moltiplicare per 60 la sfruttabilità di queste risorse. 'Tenendo conto di tutti questi fattori, non vi sono sicuramente limiti d'approvvigionamento per lo sviluppo dell'energia nucleare nel Xxi secolo, e nemmeno per molto tempo dopo', ha concluso Sokolov. Infolink: http://www.Iaea.org/newscenter/focus/nuclearpower/index.shtml  
   
   
SIEMENS REALIZZA PER L’AZIENDA ENERGETICA DI BOLZANO E MERANO LA STAZIONE DI TRASFORMAZIONE ALTA/MEDIA TENSIONE DI COLLE (BZ)  
 
Milano, 30 giugno 2004 - L’area Power Transmission and Distribution di Siemens Italia ha completato la trasformazione At/mt della stazione di Colle dell’ Azienda Energetica di Bolzano e Merano, che da più di cento anni produce e distribuisce energia elettrica. La nuova stazione di distribuzione elettrica è stata voluta nell’ottica di potenziare l’alimentazione della città di Bolzano e dei comuni limitrofi. A partire dall’ingegneria di base dell’Azienda Energetica, Siemens si è occupata della progettazione esecutiva, della fornitura e dell’installazione dell’intera sezione a 66 kV e del quadro di distribuzione esercito a 16,5kV. Per la parte Alta Tensione la fornitura ha riguardato, oltre al quadro di comando ed ai due quadri di protezione dotati dei dispositivi Siemens serie Siprotec 4, i quattro interruttori tipo 3Ap1 Fg, le due terne di scaricatori tipo 3El2 con involucro in gomma siliconica e le altre apparecchiature primarie a 66 kV. In particolare, gli scaricatori tipo Siemens 3El2 sono tra i primi installati in Italia e offrono il vantaggio, rispetto a quelli in porcellana, di una migliore resa con difficili condizioni atmosferiche e con variazioni climatiche, e di una maggiore resistenza alle sollecitazioni meccaniche. Una maggiore conservazione nel tempo delle performance dello scaricatore stesso ed una durata superiore all’interno dell’impianto sono tra i benefici più immediati. Per la parte Media Tensione Siemens ha fornito 21 scomparti Nxair. Il quadro, disposto su due fronti, è equipaggiato con interruttori sottovuoto 3Ah ed è a tenuta d’arco interno; la tensione di isolamento è di 20 kV (esercizio a 16,5 kV); la corrente nominale degli arrivi dai trasformatori, del congiuntore e delle sbarre è di 2500 A. Le protezioni sono tipo Siprotec 4.  
   
   
SIEMENS REALIZZA PER L’AZIENDA ENERGETICA DI BOLZANO E MERANO LA STAZIONE DI TRASFORMAZIONE ALTA/MEDIA TENSIONE DI COLLE (BZ)  
 
Milano, 30 giugno 2004 - L’area Power Transmission and Distribution di Siemens Italia ha completato la trasformazione At/mt della stazione di Colle dell’ Azienda Energetica di Bolzano e Merano, che da più di cento anni produce e distribuisce energia elettrica. La nuova stazione di distribuzione elettrica è stata voluta nell’ottica di potenziare l’alimentazione della città di Bolzano e dei comuni limitrofi. A partire dall’ingegneria di base dell’Azienda Energetica, Siemens si è occupata della progettazione esecutiva, della fornitura e dell’installazione dell’intera sezione a 66 kV e del quadro di distribuzione esercito a 16,5kV. Per la parte Alta Tensione la fornitura ha riguardato, oltre al quadro di comando ed ai due quadri di protezione dotati dei dispositivi Siemens serie Siprotec 4, i quattro interruttori tipo 3Ap1 Fg, le due terne di scaricatori tipo 3El2 con involucro in gomma siliconica e le altre apparecchiature primarie a 66 kV. In particolare, gli scaricatori tipo Siemens 3El2 sono tra i primi installati in Italia e offrono il vantaggio, rispetto a quelli in porcellana, di una migliore resa con difficili condizioni atmosferiche e con variazioni climatiche, e di una maggiore resistenza alle sollecitazioni meccaniche. Una maggiore conservazione nel tempo delle performance dello scaricatore stesso ed una durata superiore all’interno dell’impianto sono tra i benefici più immediati. Per la parte Media Tensione Siemens ha fornito 21 scomparti Nxair. Il quadro, disposto su due fronti, è equipaggiato con interruttori sottovuoto 3Ah ed è a tenuta d’arco interno; la tensione di isolamento è di 20 kV (esercizio a 16,5 kV); la corrente nominale degli arrivi dai trasformatori, del congiuntore e delle sbarre è di 2500 A. Le protezioni sono tipo Siprotec 4.  
   
   
SIEMENS REALIZZA PER L’AZIENDA ENERGETICA DI BOLZANO E MERANO LA STAZIONE DI TRASFORMAZIONE ALTA/MEDIA TENSIONE DI COLLE (BZ)  
 
Milano, 30 giugno 2004 - L’area Power Transmission and Distribution di Siemens Italia ha completato la trasformazione At/mt della stazione di Colle dell’ Azienda Energetica di Bolzano e Merano, che da più di cento anni produce e distribuisce energia elettrica. La nuova stazione di distribuzione elettrica è stata voluta nell’ottica di potenziare l’alimentazione della città di Bolzano e dei comuni limitrofi. A partire dall’ingegneria di base dell’Azienda Energetica, Siemens si è occupata della progettazione esecutiva, della fornitura e dell’installazione dell’intera sezione a 66 kV e del quadro di distribuzione esercito a 16,5kV. Per la parte Alta Tensione la fornitura ha riguardato, oltre al quadro di comando ed ai due quadri di protezione dotati dei dispositivi Siemens serie Siprotec 4, i quattro interruttori tipo 3Ap1 Fg, le due terne di scaricatori tipo 3El2 con involucro in gomma siliconica e le altre apparecchiature primarie a 66 kV. In particolare, gli scaricatori tipo Siemens 3El2 sono tra i primi installati in Italia e offrono il vantaggio, rispetto a quelli in porcellana, di una migliore resa con difficili condizioni atmosferiche e con variazioni climatiche, e di una maggiore resistenza alle sollecitazioni meccaniche. Una maggiore conservazione nel tempo delle performance dello scaricatore stesso ed una durata superiore all’interno dell’impianto sono tra i benefici più immediati. Per la parte Media Tensione Siemens ha fornito 21 scomparti Nxair. Il quadro, disposto su due fronti, è equipaggiato con interruttori sottovuoto 3Ah ed è a tenuta d’arco interno; la tensione di isolamento è di 20 kV (esercizio a 16,5 kV); la corrente nominale degli arrivi dai trasformatori, del congiuntore e delle sbarre è di 2500 A. Le protezioni sono tipo Siprotec 4.  
   
   
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Milano, 30 giugno 2004 - L’area Power Transmission and Distribution di Siemens Italia ha completato la trasformazione At/mt della stazione di Colle dell’ Azienda Energetica di Bolzano e Merano, che da più di cento anni produce e distribuisce energia elettrica. La nuova stazione di distribuzione elettrica è stata voluta nell’ottica di potenziare l’alimentazione della città di Bolzano e dei comuni limitrofi. A partire dall’ingegneria di base dell’Azienda Energetica, Siemens si è occupata della progettazione esecutiva, della fornitura e dell’installazione dell’intera sezione a 66 kV e del quadro di distribuzione esercito a 16,5kV. Per la parte Alta Tensione la fornitura ha riguardato, oltre al quadro di comando ed ai due quadri di protezione dotati dei dispositivi Siemens serie Siprotec 4, i quattro interruttori tipo 3Ap1 Fg, le due terne di scaricatori tipo 3El2 con involucro in gomma siliconica e le altre apparecchiature primarie a 66 kV. In particolare, gli scaricatori tipo Siemens 3El2 sono tra i primi installati in Italia e offrono il vantaggio, rispetto a quelli in porcellana, di una migliore resa con difficili condizioni atmosferiche e con variazioni climatiche, e di una maggiore resistenza alle sollecitazioni meccaniche. Una maggiore conservazione nel tempo delle performance dello scaricatore stesso ed una durata superiore all’interno dell’impianto sono tra i benefici più immediati. Per la parte Media Tensione Siemens ha fornito 21 scomparti Nxair. Il quadro, disposto su due fronti, è equipaggiato con interruttori sottovuoto 3Ah ed è a tenuta d’arco interno; la tensione di isolamento è di 20 kV (esercizio a 16,5 kV); la corrente nominale degli arrivi dai trasformatori, del congiuntore e delle sbarre è di 2500 A. Le protezioni sono tipo Siprotec 4.  
   
   
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Milano, 30 giugno 2004 - L’area Power Transmission and Distribution di Siemens Italia ha completato la trasformazione At/mt della stazione di Colle dell’ Azienda Energetica di Bolzano e Merano, che da più di cento anni produce e distribuisce energia elettrica. La nuova stazione di distribuzione elettrica è stata voluta nell’ottica di potenziare l’alimentazione della città di Bolzano e dei comuni limitrofi. A partire dall’ingegneria di base dell’Azienda Energetica, Siemens si è occupata della progettazione esecutiva, della fornitura e dell’installazione dell’intera sezione a 66 kV e del quadro di distribuzione esercito a 16,5kV. Per la parte Alta Tensione la fornitura ha riguardato, oltre al quadro di comando ed ai due quadri di protezione dotati dei dispositivi Siemens serie Siprotec 4, i quattro interruttori tipo 3Ap1 Fg, le due terne di scaricatori tipo 3El2 con involucro in gomma siliconica e le altre apparecchiature primarie a 66 kV. In particolare, gli scaricatori tipo Siemens 3El2 sono tra i primi installati in Italia e offrono il vantaggio, rispetto a quelli in porcellana, di una migliore resa con difficili condizioni atmosferiche e con variazioni climatiche, e di una maggiore resistenza alle sollecitazioni meccaniche. Una maggiore conservazione nel tempo delle performance dello scaricatore stesso ed una durata superiore all’interno dell’impianto sono tra i benefici più immediati. Per la parte Media Tensione Siemens ha fornito 21 scomparti Nxair. Il quadro, disposto su due fronti, è equipaggiato con interruttori sottovuoto 3Ah ed è a tenuta d’arco interno; la tensione di isolamento è di 20 kV (esercizio a 16,5 kV); la corrente nominale degli arrivi dai trasformatori, del congiuntore e delle sbarre è di 2500 A. Le protezioni sono tipo Siprotec 4.  
   
   
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Milano, 30 giugno 2004 - L’area Power Transmission and Distribution di Siemens Italia ha completato la trasformazione At/mt della stazione di Colle dell’ Azienda Energetica di Bolzano e Merano, che da più di cento anni produce e distribuisce energia elettrica. La nuova stazione di distribuzione elettrica è stata voluta nell’ottica di potenziare l’alimentazione della città di Bolzano e dei comuni limitrofi. A partire dall’ingegneria di base dell’Azienda Energetica, Siemens si è occupata della progettazione esecutiva, della fornitura e dell’installazione dell’intera sezione a 66 kV e del quadro di distribuzione esercito a 16,5kV. Per la parte Alta Tensione la fornitura ha riguardato, oltre al quadro di comando ed ai due quadri di protezione dotati dei dispositivi Siemens serie Siprotec 4, i quattro interruttori tipo 3Ap1 Fg, le due terne di scaricatori tipo 3El2 con involucro in gomma siliconica e le altre apparecchiature primarie a 66 kV. In particolare, gli scaricatori tipo Siemens 3El2 sono tra i primi installati in Italia e offrono il vantaggio, rispetto a quelli in porcellana, di una migliore resa con difficili condizioni atmosferiche e con variazioni climatiche, e di una maggiore resistenza alle sollecitazioni meccaniche. Una maggiore conservazione nel tempo delle performance dello scaricatore stesso ed una durata superiore all’interno dell’impianto sono tra i benefici più immediati. Per la parte Media Tensione Siemens ha fornito 21 scomparti Nxair. Il quadro, disposto su due fronti, è equipaggiato con interruttori sottovuoto 3Ah ed è a tenuta d’arco interno; la tensione di isolamento è di 20 kV (esercizio a 16,5 kV); la corrente nominale degli arrivi dai trasformatori, del congiuntore e delle sbarre è di 2500 A. Le protezioni sono tipo Siprotec 4.  
   
   
BP ITALIA SPA SI AGGIUDICA IL PRIMO GIRONE DELL’EUROPEAN ELECTRICITY CHALLENGE 2004  
 
Milano, 30 Giugno 2004 – Si è concluso il primo girone di qualificazione dell’edizione 2004 dell’European Electricity Challenge (Eec); la competizione europea promossa da Cesim che, attraverso l’utilizzo dei Business Game, si propone di sviluppare le competenze aziendali di successo in un settore in continuo movimento come quello dell’energia elettrica e del gas. Ad aggiudicarsi il primo girone è stata Bp Italia Spa, filiale italiana del secondo gruppo mondiale dell’energia Bp, che impiega 120.000 persone ed è presente in oltre 100 paesi. Al secondo posto del girone di qualificazione si è piazzata il defender champion dell’edizione 2003, Energia Spa, uno dei principali operatori sul mercato libero dell’elettricità e del gas, nata da una joint venture tra il gruppo Cir e l’austriaca Verbund. European Electricity Challenge, giunta questo anno alla sua terza edizione, vede le aziende partecipanti sfidarsi nella gestione di un’azienda virtuale, con l’obiettivo di vincere la sfida nel mercato europeo dell’energia. La competizione simula la gestione dell’azienda elettrica per cinque anni e le decisioni aziendali devono essere fornite dalle squadre via Internet ogni settimana, potendo decidere in modo autonomo i tempi e le modalità di lavoro. Il prossimo girone prenderà il via il 17 settembre 2004. Le migliori squadre dei due gironi approderanno alle semifinali che, come le eliminatorie, si svolgeranno direttamente presso le sedi lavorative dei partecipanti e il confronto avverrà via Internet. Le migliori squadre delle semifinali passeranno alle fasi conclusive e si scontreranno nella finale che si svolgerà dal vivo in una località europea.  
   
   
BP ITALIA SPA SI AGGIUDICA IL PRIMO GIRONE DELL’EUROPEAN ELECTRICITY CHALLENGE 2004  
 
Milano, 30 Giugno 2004 – Si è concluso il primo girone di qualificazione dell’edizione 2004 dell’European Electricity Challenge (Eec); la competizione europea promossa da Cesim che, attraverso l’utilizzo dei Business Game, si propone di sviluppare le competenze aziendali di successo in un settore in continuo movimento come quello dell’energia elettrica e del gas. Ad aggiudicarsi il primo girone è stata Bp Italia Spa, filiale italiana del secondo gruppo mondiale dell’energia Bp, che impiega 120.000 persone ed è presente in oltre 100 paesi. Al secondo posto del girone di qualificazione si è piazzata il defender champion dell’edizione 2003, Energia Spa, uno dei principali operatori sul mercato libero dell’elettricità e del gas, nata da una joint venture tra il gruppo Cir e l’austriaca Verbund. European Electricity Challenge, giunta questo anno alla sua terza edizione, vede le aziende partecipanti sfidarsi nella gestione di un’azienda virtuale, con l’obiettivo di vincere la sfida nel mercato europeo dell’energia. La competizione simula la gestione dell’azienda elettrica per cinque anni e le decisioni aziendali devono essere fornite dalle squadre via Internet ogni settimana, potendo decidere in modo autonomo i tempi e le modalità di lavoro. Il prossimo girone prenderà il via il 17 settembre 2004. Le migliori squadre dei due gironi approderanno alle semifinali che, come le eliminatorie, si svolgeranno direttamente presso le sedi lavorative dei partecipanti e il confronto avverrà via Internet. Le migliori squadre delle semifinali passeranno alle fasi conclusive e si scontreranno nella finale che si svolgerà dal vivo in una località europea.  
   
   
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Milano, 30 Giugno 2004 – Si è concluso il primo girone di qualificazione dell’edizione 2004 dell’European Electricity Challenge (Eec); la competizione europea promossa da Cesim che, attraverso l’utilizzo dei Business Game, si propone di sviluppare le competenze aziendali di successo in un settore in continuo movimento come quello dell’energia elettrica e del gas. Ad aggiudicarsi il primo girone è stata Bp Italia Spa, filiale italiana del secondo gruppo mondiale dell’energia Bp, che impiega 120.000 persone ed è presente in oltre 100 paesi. Al secondo posto del girone di qualificazione si è piazzata il defender champion dell’edizione 2003, Energia Spa, uno dei principali operatori sul mercato libero dell’elettricità e del gas, nata da una joint venture tra il gruppo Cir e l’austriaca Verbund. European Electricity Challenge, giunta questo anno alla sua terza edizione, vede le aziende partecipanti sfidarsi nella gestione di un’azienda virtuale, con l’obiettivo di vincere la sfida nel mercato europeo dell’energia. La competizione simula la gestione dell’azienda elettrica per cinque anni e le decisioni aziendali devono essere fornite dalle squadre via Internet ogni settimana, potendo decidere in modo autonomo i tempi e le modalità di lavoro. Il prossimo girone prenderà il via il 17 settembre 2004. Le migliori squadre dei due gironi approderanno alle semifinali che, come le eliminatorie, si svolgeranno direttamente presso le sedi lavorative dei partecipanti e il confronto avverrà via Internet. Le migliori squadre delle semifinali passeranno alle fasi conclusive e si scontreranno nella finale che si svolgerà dal vivo in una località europea.  
   
   
BP ITALIA SPA SI AGGIUDICA IL PRIMO GIRONE DELL’EUROPEAN ELECTRICITY CHALLENGE 2004  
 
Milano, 30 Giugno 2004 – Si è concluso il primo girone di qualificazione dell’edizione 2004 dell’European Electricity Challenge (Eec); la competizione europea promossa da Cesim che, attraverso l’utilizzo dei Business Game, si propone di sviluppare le competenze aziendali di successo in un settore in continuo movimento come quello dell’energia elettrica e del gas. Ad aggiudicarsi il primo girone è stata Bp Italia Spa, filiale italiana del secondo gruppo mondiale dell’energia Bp, che impiega 120.000 persone ed è presente in oltre 100 paesi. Al secondo posto del girone di qualificazione si è piazzata il defender champion dell’edizione 2003, Energia Spa, uno dei principali operatori sul mercato libero dell’elettricità e del gas, nata da una joint venture tra il gruppo Cir e l’austriaca Verbund. European Electricity Challenge, giunta questo anno alla sua terza edizione, vede le aziende partecipanti sfidarsi nella gestione di un’azienda virtuale, con l’obiettivo di vincere la sfida nel mercato europeo dell’energia. La competizione simula la gestione dell’azienda elettrica per cinque anni e le decisioni aziendali devono essere fornite dalle squadre via Internet ogni settimana, potendo decidere in modo autonomo i tempi e le modalità di lavoro. Il prossimo girone prenderà il via il 17 settembre 2004. Le migliori squadre dei due gironi approderanno alle semifinali che, come le eliminatorie, si svolgeranno direttamente presso le sedi lavorative dei partecipanti e il confronto avverrà via Internet. Le migliori squadre delle semifinali passeranno alle fasi conclusive e si scontreranno nella finale che si svolgerà dal vivo in una località europea.  
   
   
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Milano, 30 Giugno 2004 – Si è concluso il primo girone di qualificazione dell’edizione 2004 dell’European Electricity Challenge (Eec); la competizione europea promossa da Cesim che, attraverso l’utilizzo dei Business Game, si propone di sviluppare le competenze aziendali di successo in un settore in continuo movimento come quello dell’energia elettrica e del gas. Ad aggiudicarsi il primo girone è stata Bp Italia Spa, filiale italiana del secondo gruppo mondiale dell’energia Bp, che impiega 120.000 persone ed è presente in oltre 100 paesi. Al secondo posto del girone di qualificazione si è piazzata il defender champion dell’edizione 2003, Energia Spa, uno dei principali operatori sul mercato libero dell’elettricità e del gas, nata da una joint venture tra il gruppo Cir e l’austriaca Verbund. European Electricity Challenge, giunta questo anno alla sua terza edizione, vede le aziende partecipanti sfidarsi nella gestione di un’azienda virtuale, con l’obiettivo di vincere la sfida nel mercato europeo dell’energia. La competizione simula la gestione dell’azienda elettrica per cinque anni e le decisioni aziendali devono essere fornite dalle squadre via Internet ogni settimana, potendo decidere in modo autonomo i tempi e le modalità di lavoro. Il prossimo girone prenderà il via il 17 settembre 2004. Le migliori squadre dei due gironi approderanno alle semifinali che, come le eliminatorie, si svolgeranno direttamente presso le sedi lavorative dei partecipanti e il confronto avverrà via Internet. Le migliori squadre delle semifinali passeranno alle fasi conclusive e si scontreranno nella finale che si svolgerà dal vivo in una località europea.  
   
   
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RYANAIR MIGLIORA LA POLITICA PER LA MODIFICA DEI NOMINATIVI E INTRODUCE LA POSSIBILITÀ DI CAMBIARE ROTTA  
 
Milano, 30 giugno 2004 – Ieri Ryanair, ha annunciato il miglioramento dei servizi per i consumatori che desiderano cambiare un nominativo su una prenotazione, e un nuovo servizio che permetterà ai passeggeri di modificare la tratta. Queste nuove iniziative “customer friendly”, che sono il risultato di forti sollecitazioni dei clienti, sono state inaugurate ieri.  
   
   
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Milano, 30 giugno 2004 – Ieri Ryanair, ha annunciato il miglioramento dei servizi per i consumatori che desiderano cambiare un nominativo su una prenotazione, e un nuovo servizio che permetterà ai passeggeri di modificare la tratta. Queste nuove iniziative “customer friendly”, che sono il risultato di forti sollecitazioni dei clienti, sono state inaugurate ieri.  
   
   
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Milano, 30 giugno 2004 – Ieri Ryanair, ha annunciato il miglioramento dei servizi per i consumatori che desiderano cambiare un nominativo su una prenotazione, e un nuovo servizio che permetterà ai passeggeri di modificare la tratta. Queste nuove iniziative “customer friendly”, che sono il risultato di forti sollecitazioni dei clienti, sono state inaugurate ieri.  
   
   
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Milano, 30 giugno 2004 – Ieri Ryanair, ha annunciato il miglioramento dei servizi per i consumatori che desiderano cambiare un nominativo su una prenotazione, e un nuovo servizio che permetterà ai passeggeri di modificare la tratta. Queste nuove iniziative “customer friendly”, che sono il risultato di forti sollecitazioni dei clienti, sono state inaugurate ieri.  
   
   
NASCE LUXURY DISTRIBUTION NETWORK LA DISTRIBUZIONE CHE VIAGGIA IN SCATOLA, DEBUTTA IN TRACONF E DIVENTA PROTAGONISTA  
 
Verona, 30 giugno 2004 - Nasce Luxury Distribution Network E’ il nuovo prodotto nato in casa Traconf che propone una gamma di servizi dedicati al trasporto ed alla distribuzione di prodotti di lusso in scatola. In realtà si tratta di un servizio nuovo cui oggi è stato attributo un nome ed una dignità che di fatto ha già conquistato sul campo. Traconf infatti da anni veicola capi moda in scatola: è leader non solo nella distribuzione di capi appesi, ma anche per l’invio dei capi distesi. Pertanto Luxury Distribution Network non ha fatto altro che trasformare una competenza già acquisita, interpretando un’ esigenza che proviene dal mercato: quella di poter veicolare la merce, di un certo valore e di lusso, garantiti dallo stesso occhio vigile, dalla stessa professionalità e soprattutto dallo stesso know how acquisito, nel distribuire moda in tutto il mondo. Luxury Distributions Network nasce quindi per soddisfare le richieste già provenienti da altri settori primo tra tutti quello degli accessori moda: occhiali, calzature, pelletteria, cinture, ma anche per esempio quello della telefonia mobile, alto design, gioielli, orologi ma anche cosmetici e profumi che necessitano di un’attenzione particolare nel trasporto e nella movimentazione specifica. Luxury Distribution Network ha assunto quindi un ruolo importante e strategico: di fatto pone Traconf in una posizione di spicco soprattutto nei confronti delle aziende concorrenti, questo perchè apparentemente in concorrenza con i numerosissimi distributori e trasportatori già presenti sul palcoscenico italiano. E’ ovvio chiedersi: qual è l’asso nella manica di Luxury Distribution Network? Sicuramente la qualità del servizio offerto e la personalizzazione, unita ad un alto livello sicurezza, che per molte aziende di produzione rappresentano l’unico punto di forza rispetto a qualsiasi distributore e trasportatore in scatola già presente sul mercato. Del resto il fatto che questo Network nasca proprio dalla richiesta degli stessi utilizzatori, dimostra come, a tutt’oggi, non ci sia per il settore “merce di lusso”, un servizio pensato su misura per soddisfare esigenze specifiche e settoriali. Questo fa presumere, e le prime richieste del servizio confortano le previsioni, che Luxury Distribution Network farà molto presto la parte da leone in casa Traconf, tanto da riuscire a rivoluzionare completamente la mission, la strategia marketing e gli obiettivi di crescita aziendale. Traconf Fashion Logistic Group Una realtà aziendale che nasce nel 1977 e che ha scelto di puntare sullo sviluppo della logistica integrata per le aziende. Traconf ha individuato inizialmente quale mercato obiettivo, quello del settore dell’abbigliamento. In pochi anni ha fatto crescere al suo interno il settore trasporti, la distribuzione e la logistica diventando leader per il trasporto dei capi di abbigliamento appesi. La scelta strategica di campo, nel settore alta moda, ha consentito all’azienda di maturare il know how necessario per distribuire, con la stessa cura di chi produce, i prodotti confezionati ed inviati. L’attenzione, la flessibilità, la cortesia, nel giro breve hanno consentito a Traconf di raggiungere risultati così ambiziosi, tanto da essere considerati quali gli unici ad offrire sul mercato un servizio di logistica e distribuzione moda così specializzato per le aziende. Il core business Traconf oggi Logistica, trasporto e distribuzione della merce per qualsiasi tipo di azienda che necessiti di un servizio davvero impeccabile, personalizzabile, ma soprattutto affidabile e sicuro. La strategia dell’outsourcing L’idea che ha guidato la strategia Traconf è stata quella di diventare ed essere considerato un partner sicuro per le aziende, cui affidare la gestione ed il controllo sia delle materie prime che dei prodotti finiti. La scelta di campo della gestione in outsourcing ha un indubbio vantaggio per le aziende, quello di poter cedere totalmente l’attività di logistica e distribuzione: struttura, dipendenti ed automezzi, con l’ulteriore garanzia per il cliente-azienda produttrice, di avere una maggiore flessibilità finanziaria ed un abbattimento dei costi generali con la serenità di essere sempre assistiti nell’organizzazione della logistica dei propri prodotti, di disporre del massimo dell’efficienza dello staff addetto e della massima cura ed attenzione anche nella ricerca dell’innovazione (indispensabile per la scelta e la valutazione della professionalità di un partner veramente qualificato). L’organizzazione Traconf Italia - Divisione Logistica Magazzini Una fitta rete di strutture situate nell’area Nord e Centro dell’Italia: 18 magazzini attrezzati anche per cicli di lavorazione accessoria (che precedono l’arrivo dei capi nei negozi o destinazioni). In ciascuna struttura è attivo un sofisticato sistema ad elevata automazione che consente il controllo costante dei capi in ingresso e lo smistamento della merce del cliente. Grazie al quale è possibile attribuire automaticamente ai capi la località di destinazione con una riduzione drastica delle possibilità di errore nelle consegne. Italia – Europa - Divisione Trasporti e Distribuzione Un’organizzazione capillare di trasporto e di distribuzione si dipana sull’intero territorio Italiano con 16 filiali, isole comprese. In 18 paesi europei importanti alleanze con partner specializzati nella distribuzione, con la supervisione ed il contatto costante Traconf, consentono la conservazione delle merce in viaggio nelle stesse condizioni in cui sono alla partenza. Il tutto sotto la supervisone di Fashionet. Traconf aderisce al network Fashionet, una vasta organizzazione specializzata nella distribuzione moda, fondata su regole collaborative tra i distributori europei che garantiscono ai partner membri, la distribuzione ed il trasporto nei 18 paesi europei. Il marchio Fashionet è un marchio sinonimo di qualità e di garanzia: i clienti grazie al sistema informatico uniforme riescono a monitorare costantemente tutte le fasi di spedizione della merce in viaggio. Nord America - Distribuzione e Logistica Una struttura “ad hoc”, gemellata con l’organizzazione logistica Italia e realizzata sulle linee guida che hanno dato vita al progetto Italia–europa, rende possibile nell’area Nord America la logistica e la distribuzione con una movimentazione da e per l’Europa. Le strutture hanno replicato quelle condizioni che Traconf considera prioritarie per la movimentazione della merce: uno staff altamente specializzato, la sicurezza, la pulizia delle aree adibite alla logistica, la giusta location dei magazzini ed un sofisticato sistema informatico di controllo la cui flessibilità si adatta a qualsiasi richiesta del cliente. I servizi aggiuntivi: il Follow up della merce. Servizi accessori ed aggiuntivi offrono la possibilità di un controllo costante e diretto dell’integrità e della posizione della merce in viaggio in Italia, in Europa ed in Nord America. Servizio Tra-sat Un sofisticato sistema di computer che consente di controllare, a scelta del cliente, le spedizioni gestite da Traconf. Avanzamento spedizioni su Web Il controllo puntuale avviene attraverso il web-site, al cliente è attribuita una password che permette l’accesso in rete al sistema, dal sito è così possibile verificare lo stato di avanzamento della merce verso il cliente finale (il servizio Tra-sat registra il cambiamento delle posizioni e le trasmette in rete) ma è anche possibile effettuare il controllo dei resi, delle fatturazioni e delle relative statistiche. Nuovi progetti in campo “Total Outsourcing”: Da alcuni anni Traconf sta sviluppando il progetto che prende il nome di “Total Outsourcing” che consente alle aziende di abbigliamento e del settore lusso di usufruire di servizi che vanno dall’importazione del tessuto e/o del capo finito, fino ad una distribuzione di dettaglio in tutto il mondo. I risultati di questa iniziativa capitanata da Traconf ha dato in termini numerici risultati davvero sorprendenti basti pensare che sono già stati conclusi accordi di gestione per oltre 75.000.000 di capi con altrettanti accordi in fieri. Il progetto alla sua nascita prevedeva come risultato ottimale il raggiungimento di oltre 100.000.000 di capi gestiti completamente dal tessuto al distribuzione, con l’avvio ed apertura di nuovi mercati con particolare interesse verso i paesi dell’Est Europeo, Giappone Cina ed espansione del mercato Usa.  
   
   
NASCE LUXURY DISTRIBUTION NETWORK LA DISTRIBUZIONE CHE VIAGGIA IN SCATOLA, DEBUTTA IN TRACONF E DIVENTA PROTAGONISTA  
 
Verona, 30 giugno 2004 - Nasce Luxury Distribution Network E’ il nuovo prodotto nato in casa Traconf che propone una gamma di servizi dedicati al trasporto ed alla distribuzione di prodotti di lusso in scatola. In realtà si tratta di un servizio nuovo cui oggi è stato attributo un nome ed una dignità che di fatto ha già conquistato sul campo. Traconf infatti da anni veicola capi moda in scatola: è leader non solo nella distribuzione di capi appesi, ma anche per l’invio dei capi distesi. Pertanto Luxury Distribution Network non ha fatto altro che trasformare una competenza già acquisita, interpretando un’ esigenza che proviene dal mercato: quella di poter veicolare la merce, di un certo valore e di lusso, garantiti dallo stesso occhio vigile, dalla stessa professionalità e soprattutto dallo stesso know how acquisito, nel distribuire moda in tutto il mondo. Luxury Distributions Network nasce quindi per soddisfare le richieste già provenienti da altri settori primo tra tutti quello degli accessori moda: occhiali, calzature, pelletteria, cinture, ma anche per esempio quello della telefonia mobile, alto design, gioielli, orologi ma anche cosmetici e profumi che necessitano di un’attenzione particolare nel trasporto e nella movimentazione specifica. Luxury Distribution Network ha assunto quindi un ruolo importante e strategico: di fatto pone Traconf in una posizione di spicco soprattutto nei confronti delle aziende concorrenti, questo perchè apparentemente in concorrenza con i numerosissimi distributori e trasportatori già presenti sul palcoscenico italiano. E’ ovvio chiedersi: qual è l’asso nella manica di Luxury Distribution Network? Sicuramente la qualità del servizio offerto e la personalizzazione, unita ad un alto livello sicurezza, che per molte aziende di produzione rappresentano l’unico punto di forza rispetto a qualsiasi distributore e trasportatore in scatola già presente sul mercato. Del resto il fatto che questo Network nasca proprio dalla richiesta degli stessi utilizzatori, dimostra come, a tutt’oggi, non ci sia per il settore “merce di lusso”, un servizio pensato su misura per soddisfare esigenze specifiche e settoriali. Questo fa presumere, e le prime richieste del servizio confortano le previsioni, che Luxury Distribution Network farà molto presto la parte da leone in casa Traconf, tanto da riuscire a rivoluzionare completamente la mission, la strategia marketing e gli obiettivi di crescita aziendale. Traconf Fashion Logistic Group Una realtà aziendale che nasce nel 1977 e che ha scelto di puntare sullo sviluppo della logistica integrata per le aziende. Traconf ha individuato inizialmente quale mercato obiettivo, quello del settore dell’abbigliamento. In pochi anni ha fatto crescere al suo interno il settore trasporti, la distribuzione e la logistica diventando leader per il trasporto dei capi di abbigliamento appesi. La scelta strategica di campo, nel settore alta moda, ha consentito all’azienda di maturare il know how necessario per distribuire, con la stessa cura di chi produce, i prodotti confezionati ed inviati. L’attenzione, la flessibilità, la cortesia, nel giro breve hanno consentito a Traconf di raggiungere risultati così ambiziosi, tanto da essere considerati quali gli unici ad offrire sul mercato un servizio di logistica e distribuzione moda così specializzato per le aziende. Il core business Traconf oggi Logistica, trasporto e distribuzione della merce per qualsiasi tipo di azienda che necessiti di un servizio davvero impeccabile, personalizzabile, ma soprattutto affidabile e sicuro. La strategia dell’outsourcing L’idea che ha guidato la strategia Traconf è stata quella di diventare ed essere considerato un partner sicuro per le aziende, cui affidare la gestione ed il controllo sia delle materie prime che dei prodotti finiti. La scelta di campo della gestione in outsourcing ha un indubbio vantaggio per le aziende, quello di poter cedere totalmente l’attività di logistica e distribuzione: struttura, dipendenti ed automezzi, con l’ulteriore garanzia per il cliente-azienda produttrice, di avere una maggiore flessibilità finanziaria ed un abbattimento dei costi generali con la serenità di essere sempre assistiti nell’organizzazione della logistica dei propri prodotti, di disporre del massimo dell’efficienza dello staff addetto e della massima cura ed attenzione anche nella ricerca dell’innovazione (indispensabile per la scelta e la valutazione della professionalità di un partner veramente qualificato). L’organizzazione Traconf Italia - Divisione Logistica Magazzini Una fitta rete di strutture situate nell’area Nord e Centro dell’Italia: 18 magazzini attrezzati anche per cicli di lavorazione accessoria (che precedono l’arrivo dei capi nei negozi o destinazioni). In ciascuna struttura è attivo un sofisticato sistema ad elevata automazione che consente il controllo costante dei capi in ingresso e lo smistamento della merce del cliente. Grazie al quale è possibile attribuire automaticamente ai capi la località di destinazione con una riduzione drastica delle possibilità di errore nelle consegne. Italia – Europa - Divisione Trasporti e Distribuzione Un’organizzazione capillare di trasporto e di distribuzione si dipana sull’intero territorio Italiano con 16 filiali, isole comprese. In 18 paesi europei importanti alleanze con partner specializzati nella distribuzione, con la supervisione ed il contatto costante Traconf, consentono la conservazione delle merce in viaggio nelle stesse condizioni in cui sono alla partenza. Il tutto sotto la supervisone di Fashionet. Traconf aderisce al network Fashionet, una vasta organizzazione specializzata nella distribuzione moda, fondata su regole collaborative tra i distributori europei che garantiscono ai partner membri, la distribuzione ed il trasporto nei 18 paesi europei. Il marchio Fashionet è un marchio sinonimo di qualità e di garanzia: i clienti grazie al sistema informatico uniforme riescono a monitorare costantemente tutte le fasi di spedizione della merce in viaggio. Nord America - Distribuzione e Logistica Una struttura “ad hoc”, gemellata con l’organizzazione logistica Italia e realizzata sulle linee guida che hanno dato vita al progetto Italia–europa, rende possibile nell’area Nord America la logistica e la distribuzione con una movimentazione da e per l’Europa. Le strutture hanno replicato quelle condizioni che Traconf considera prioritarie per la movimentazione della merce: uno staff altamente specializzato, la sicurezza, la pulizia delle aree adibite alla logistica, la giusta location dei magazzini ed un sofisticato sistema informatico di controllo la cui flessibilità si adatta a qualsiasi richiesta del cliente. I servizi aggiuntivi: il Follow up della merce. Servizi accessori ed aggiuntivi offrono la possibilità di un controllo costante e diretto dell’integrità e della posizione della merce in viaggio in Italia, in Europa ed in Nord America. Servizio Tra-sat Un sofisticato sistema di computer che consente di controllare, a scelta del cliente, le spedizioni gestite da Traconf. Avanzamento spedizioni su Web Il controllo puntuale avviene attraverso il web-site, al cliente è attribuita una password che permette l’accesso in rete al sistema, dal sito è così possibile verificare lo stato di avanzamento della merce verso il cliente finale (il servizio Tra-sat registra il cambiamento delle posizioni e le trasmette in rete) ma è anche possibile effettuare il controllo dei resi, delle fatturazioni e delle relative statistiche. Nuovi progetti in campo “Total Outsourcing”: Da alcuni anni Traconf sta sviluppando il progetto che prende il nome di “Total Outsourcing” che consente alle aziende di abbigliamento e del settore lusso di usufruire di servizi che vanno dall’importazione del tessuto e/o del capo finito, fino ad una distribuzione di dettaglio in tutto il mondo. I risultati di questa iniziativa capitanata da Traconf ha dato in termini numerici risultati davvero sorprendenti basti pensare che sono già stati conclusi accordi di gestione per oltre 75.000.000 di capi con altrettanti accordi in fieri. Il progetto alla sua nascita prevedeva come risultato ottimale il raggiungimento di oltre 100.000.000 di capi gestiti completamente dal tessuto al distribuzione, con l’avvio ed apertura di nuovi mercati con particolare interesse verso i paesi dell’Est Europeo, Giappone Cina ed espansione del mercato Usa.  
   
   
NASCE LUXURY DISTRIBUTION NETWORK LA DISTRIBUZIONE CHE VIAGGIA IN SCATOLA, DEBUTTA IN TRACONF E DIVENTA PROTAGONISTA  
 
Verona, 30 giugno 2004 - Nasce Luxury Distribution Network E’ il nuovo prodotto nato in casa Traconf che propone una gamma di servizi dedicati al trasporto ed alla distribuzione di prodotti di lusso in scatola. In realtà si tratta di un servizio nuovo cui oggi è stato attributo un nome ed una dignità che di fatto ha già conquistato sul campo. Traconf infatti da anni veicola capi moda in scatola: è leader non solo nella distribuzione di capi appesi, ma anche per l’invio dei capi distesi. Pertanto Luxury Distribution Network non ha fatto altro che trasformare una competenza già acquisita, interpretando un’ esigenza che proviene dal mercato: quella di poter veicolare la merce, di un certo valore e di lusso, garantiti dallo stesso occhio vigile, dalla stessa professionalità e soprattutto dallo stesso know how acquisito, nel distribuire moda in tutto il mondo. Luxury Distributions Network nasce quindi per soddisfare le richieste già provenienti da altri settori primo tra tutti quello degli accessori moda: occhiali, calzature, pelletteria, cinture, ma anche per esempio quello della telefonia mobile, alto design, gioielli, orologi ma anche cosmetici e profumi che necessitano di un’attenzione particolare nel trasporto e nella movimentazione specifica. Luxury Distribution Network ha assunto quindi un ruolo importante e strategico: di fatto pone Traconf in una posizione di spicco soprattutto nei confronti delle aziende concorrenti, questo perchè apparentemente in concorrenza con i numerosissimi distributori e trasportatori già presenti sul palcoscenico italiano. E’ ovvio chiedersi: qual è l’asso nella manica di Luxury Distribution Network? Sicuramente la qualità del servizio offerto e la personalizzazione, unita ad un alto livello sicurezza, che per molte aziende di produzione rappresentano l’unico punto di forza rispetto a qualsiasi distributore e trasportatore in scatola già presente sul mercato. Del resto il fatto che questo Network nasca proprio dalla richiesta degli stessi utilizzatori, dimostra come, a tutt’oggi, non ci sia per il settore “merce di lusso”, un servizio pensato su misura per soddisfare esigenze specifiche e settoriali. Questo fa presumere, e le prime richieste del servizio confortano le previsioni, che Luxury Distribution Network farà molto presto la parte da leone in casa Traconf, tanto da riuscire a rivoluzionare completamente la mission, la strategia marketing e gli obiettivi di crescita aziendale. Traconf Fashion Logistic Group Una realtà aziendale che nasce nel 1977 e che ha scelto di puntare sullo sviluppo della logistica integrata per le aziende. Traconf ha individuato inizialmente quale mercato obiettivo, quello del settore dell’abbigliamento. In pochi anni ha fatto crescere al suo interno il settore trasporti, la distribuzione e la logistica diventando leader per il trasporto dei capi di abbigliamento appesi. La scelta strategica di campo, nel settore alta moda, ha consentito all’azienda di maturare il know how necessario per distribuire, con la stessa cura di chi produce, i prodotti confezionati ed inviati. L’attenzione, la flessibilità, la cortesia, nel giro breve hanno consentito a Traconf di raggiungere risultati così ambiziosi, tanto da essere considerati quali gli unici ad offrire sul mercato un servizio di logistica e distribuzione moda così specializzato per le aziende. Il core business Traconf oggi Logistica, trasporto e distribuzione della merce per qualsiasi tipo di azienda che necessiti di un servizio davvero impeccabile, personalizzabile, ma soprattutto affidabile e sicuro. La strategia dell’outsourcing L’idea che ha guidato la strategia Traconf è stata quella di diventare ed essere considerato un partner sicuro per le aziende, cui affidare la gestione ed il controllo sia delle materie prime che dei prodotti finiti. La scelta di campo della gestione in outsourcing ha un indubbio vantaggio per le aziende, quello di poter cedere totalmente l’attività di logistica e distribuzione: struttura, dipendenti ed automezzi, con l’ulteriore garanzia per il cliente-azienda produttrice, di avere una maggiore flessibilità finanziaria ed un abbattimento dei costi generali con la serenità di essere sempre assistiti nell’organizzazione della logistica dei propri prodotti, di disporre del massimo dell’efficienza dello staff addetto e della massima cura ed attenzione anche nella ricerca dell’innovazione (indispensabile per la scelta e la valutazione della professionalità di un partner veramente qualificato). L’organizzazione Traconf Italia - Divisione Logistica Magazzini Una fitta rete di strutture situate nell’area Nord e Centro dell’Italia: 18 magazzini attrezzati anche per cicli di lavorazione accessoria (che precedono l’arrivo dei capi nei negozi o destinazioni). In ciascuna struttura è attivo un sofisticato sistema ad elevata automazione che consente il controllo costante dei capi in ingresso e lo smistamento della merce del cliente. Grazie al quale è possibile attribuire automaticamente ai capi la località di destinazione con una riduzione drastica delle possibilità di errore nelle consegne. Italia – Europa - Divisione Trasporti e Distribuzione Un’organizzazione capillare di trasporto e di distribuzione si dipana sull’intero territorio Italiano con 16 filiali, isole comprese. In 18 paesi europei importanti alleanze con partner specializzati nella distribuzione, con la supervisione ed il contatto costante Traconf, consentono la conservazione delle merce in viaggio nelle stesse condizioni in cui sono alla partenza. Il tutto sotto la supervisone di Fashionet. Traconf aderisce al network Fashionet, una vasta organizzazione specializzata nella distribuzione moda, fondata su regole collaborative tra i distributori europei che garantiscono ai partner membri, la distribuzione ed il trasporto nei 18 paesi europei. Il marchio Fashionet è un marchio sinonimo di qualità e di garanzia: i clienti grazie al sistema informatico uniforme riescono a monitorare costantemente tutte le fasi di spedizione della merce in viaggio. Nord America - Distribuzione e Logistica Una struttura “ad hoc”, gemellata con l’organizzazione logistica Italia e realizzata sulle linee guida che hanno dato vita al progetto Italia–europa, rende possibile nell’area Nord America la logistica e la distribuzione con una movimentazione da e per l’Europa. Le strutture hanno replicato quelle condizioni che Traconf considera prioritarie per la movimentazione della merce: uno staff altamente specializzato, la sicurezza, la pulizia delle aree adibite alla logistica, la giusta location dei magazzini ed un sofisticato sistema informatico di controllo la cui flessibilità si adatta a qualsiasi richiesta del cliente. I servizi aggiuntivi: il Follow up della merce. Servizi accessori ed aggiuntivi offrono la possibilità di un controllo costante e diretto dell’integrità e della posizione della merce in viaggio in Italia, in Europa ed in Nord America. Servizio Tra-sat Un sofisticato sistema di computer che consente di controllare, a scelta del cliente, le spedizioni gestite da Traconf. Avanzamento spedizioni su Web Il controllo puntuale avviene attraverso il web-site, al cliente è attribuita una password che permette l’accesso in rete al sistema, dal sito è così possibile verificare lo stato di avanzamento della merce verso il cliente finale (il servizio Tra-sat registra il cambiamento delle posizioni e le trasmette in rete) ma è anche possibile effettuare il controllo dei resi, delle fatturazioni e delle relative statistiche. Nuovi progetti in campo “Total Outsourcing”: Da alcuni anni Traconf sta sviluppando il progetto che prende il nome di “Total Outsourcing” che consente alle aziende di abbigliamento e del settore lusso di usufruire di servizi che vanno dall’importazione del tessuto e/o del capo finito, fino ad una distribuzione di dettaglio in tutto il mondo. I risultati di questa iniziativa capitanata da Traconf ha dato in termini numerici risultati davvero sorprendenti basti pensare che sono già stati conclusi accordi di gestione per oltre 75.000.000 di capi con altrettanti accordi in fieri. Il progetto alla sua nascita prevedeva come risultato ottimale il raggiungimento di oltre 100.000.000 di capi gestiti completamente dal tessuto al distribuzione, con l’avvio ed apertura di nuovi mercati con particolare interesse verso i paesi dell’Est Europeo, Giappone Cina ed espansione del mercato Usa.  
   
   
NASCE LUXURY DISTRIBUTION NETWORK LA DISTRIBUZIONE CHE VIAGGIA IN SCATOLA, DEBUTTA IN TRACONF E DIVENTA PROTAGONISTA  
 
Verona, 30 giugno 2004 - Nasce Luxury Distribution Network E’ il nuovo prodotto nato in casa Traconf che propone una gamma di servizi dedicati al trasporto ed alla distribuzione di prodotti di lusso in scatola. In realtà si tratta di un servizio nuovo cui oggi è stato attributo un nome ed una dignità che di fatto ha già conquistato sul campo. Traconf infatti da anni veicola capi moda in scatola: è leader non solo nella distribuzione di capi appesi, ma anche per l’invio dei capi distesi. Pertanto Luxury Distribution Network non ha fatto altro che trasformare una competenza già acquisita, interpretando un’ esigenza che proviene dal mercato: quella di poter veicolare la merce, di un certo valore e di lusso, garantiti dallo stesso occhio vigile, dalla stessa professionalità e soprattutto dallo stesso know how acquisito, nel distribuire moda in tutto il mondo. Luxury Distributions Network nasce quindi per soddisfare le richieste già provenienti da altri settori primo tra tutti quello degli accessori moda: occhiali, calzature, pelletteria, cinture, ma anche per esempio quello della telefonia mobile, alto design, gioielli, orologi ma anche cosmetici e profumi che necessitano di un’attenzione particolare nel trasporto e nella movimentazione specifica. Luxury Distribution Network ha assunto quindi un ruolo importante e strategico: di fatto pone Traconf in una posizione di spicco soprattutto nei confronti delle aziende concorrenti, questo perchè apparentemente in concorrenza con i numerosissimi distributori e trasportatori già presenti sul palcoscenico italiano. E’ ovvio chiedersi: qual è l’asso nella manica di Luxury Distribution Network? Sicuramente la qualità del servizio offerto e la personalizzazione, unita ad un alto livello sicurezza, che per molte aziende di produzione rappresentano l’unico punto di forza rispetto a qualsiasi distributore e trasportatore in scatola già presente sul mercato. Del resto il fatto che questo Network nasca proprio dalla richiesta degli stessi utilizzatori, dimostra come, a tutt’oggi, non ci sia per il settore “merce di lusso”, un servizio pensato su misura per soddisfare esigenze specifiche e settoriali. Questo fa presumere, e le prime richieste del servizio confortano le previsioni, che Luxury Distribution Network farà molto presto la parte da leone in casa Traconf, tanto da riuscire a rivoluzionare completamente la mission, la strategia marketing e gli obiettivi di crescita aziendale. Traconf Fashion Logistic Group Una realtà aziendale che nasce nel 1977 e che ha scelto di puntare sullo sviluppo della logistica integrata per le aziende. Traconf ha individuato inizialmente quale mercato obiettivo, quello del settore dell’abbigliamento. In pochi anni ha fatto crescere al suo interno il settore trasporti, la distribuzione e la logistica diventando leader per il trasporto dei capi di abbigliamento appesi. La scelta strategica di campo, nel settore alta moda, ha consentito all’azienda di maturare il know how necessario per distribuire, con la stessa cura di chi produce, i prodotti confezionati ed inviati. L’attenzione, la flessibilità, la cortesia, nel giro breve hanno consentito a Traconf di raggiungere risultati così ambiziosi, tanto da essere considerati quali gli unici ad offrire sul mercato un servizio di logistica e distribuzione moda così specializzato per le aziende. Il core business Traconf oggi Logistica, trasporto e distribuzione della merce per qualsiasi tipo di azienda che necessiti di un servizio davvero impeccabile, personalizzabile, ma soprattutto affidabile e sicuro. La strategia dell’outsourcing L’idea che ha guidato la strategia Traconf è stata quella di diventare ed essere considerato un partner sicuro per le aziende, cui affidare la gestione ed il controllo sia delle materie prime che dei prodotti finiti. La scelta di campo della gestione in outsourcing ha un indubbio vantaggio per le aziende, quello di poter cedere totalmente l’attività di logistica e distribuzione: struttura, dipendenti ed automezzi, con l’ulteriore garanzia per il cliente-azienda produttrice, di avere una maggiore flessibilità finanziaria ed un abbattimento dei costi generali con la serenità di essere sempre assistiti nell’organizzazione della logistica dei propri prodotti, di disporre del massimo dell’efficienza dello staff addetto e della massima cura ed attenzione anche nella ricerca dell’innovazione (indispensabile per la scelta e la valutazione della professionalità di un partner veramente qualificato). L’organizzazione Traconf Italia - Divisione Logistica Magazzini Una fitta rete di strutture situate nell’area Nord e Centro dell’Italia: 18 magazzini attrezzati anche per cicli di lavorazione accessoria (che precedono l’arrivo dei capi nei negozi o destinazioni). In ciascuna struttura è attivo un sofisticato sistema ad elevata automazione che consente il controllo costante dei capi in ingresso e lo smistamento della merce del cliente. Grazie al quale è possibile attribuire automaticamente ai capi la località di destinazione con una riduzione drastica delle possibilità di errore nelle consegne. Italia – Europa - Divisione Trasporti e Distribuzione Un’organizzazione capillare di trasporto e di distribuzione si dipana sull’intero territorio Italiano con 16 filiali, isole comprese. In 18 paesi europei importanti alleanze con partner specializzati nella distribuzione, con la supervisione ed il contatto costante Traconf, consentono la conservazione delle merce in viaggio nelle stesse condizioni in cui sono alla partenza. Il tutto sotto la supervisone di Fashionet. Traconf aderisce al network Fashionet, una vasta organizzazione specializzata nella distribuzione moda, fondata su regole collaborative tra i distributori europei che garantiscono ai partner membri, la distribuzione ed il trasporto nei 18 paesi europei. Il marchio Fashionet è un marchio sinonimo di qualità e di garanzia: i clienti grazie al sistema informatico uniforme riescono a monitorare costantemente tutte le fasi di spedizione della merce in viaggio. Nord America - Distribuzione e Logistica Una struttura “ad hoc”, gemellata con l’organizzazione logistica Italia e realizzata sulle linee guida che hanno dato vita al progetto Italia–europa, rende possibile nell’area Nord America la logistica e la distribuzione con una movimentazione da e per l’Europa. Le strutture hanno replicato quelle condizioni che Traconf considera prioritarie per la movimentazione della merce: uno staff altamente specializzato, la sicurezza, la pulizia delle aree adibite alla logistica, la giusta location dei magazzini ed un sofisticato sistema informatico di controllo la cui flessibilità si adatta a qualsiasi richiesta del cliente. I servizi aggiuntivi: il Follow up della merce. Servizi accessori ed aggiuntivi offrono la possibilità di un controllo costante e diretto dell’integrità e della posizione della merce in viaggio in Italia, in Europa ed in Nord America. Servizio Tra-sat Un sofisticato sistema di computer che consente di controllare, a scelta del cliente, le spedizioni gestite da Traconf. Avanzamento spedizioni su Web Il controllo puntuale avviene attraverso il web-site, al cliente è attribuita una password che permette l’accesso in rete al sistema, dal sito è così possibile verificare lo stato di avanzamento della merce verso il cliente finale (il servizio Tra-sat registra il cambiamento delle posizioni e le trasmette in rete) ma è anche possibile effettuare il controllo dei resi, delle fatturazioni e delle relative statistiche. Nuovi progetti in campo “Total Outsourcing”: Da alcuni anni Traconf sta sviluppando il progetto che prende il nome di “Total Outsourcing” che consente alle aziende di abbigliamento e del settore lusso di usufruire di servizi che vanno dall’importazione del tessuto e/o del capo finito, fino ad una distribuzione di dettaglio in tutto il mondo. I risultati di questa iniziativa capitanata da Traconf ha dato in termini numerici risultati davvero sorprendenti basti pensare che sono già stati conclusi accordi di gestione per oltre 75.000.000 di capi con altrettanti accordi in fieri. Il progetto alla sua nascita prevedeva come risultato ottimale il raggiungimento di oltre 100.000.000 di capi gestiti completamente dal tessuto al distribuzione, con l’avvio ed apertura di nuovi mercati con particolare interesse verso i paesi dell’Est Europeo, Giappone Cina ed espansione del mercato Usa.  
   
   
NASCE LUXURY DISTRIBUTION NETWORK LA DISTRIBUZIONE CHE VIAGGIA IN SCATOLA, DEBUTTA IN TRACONF E DIVENTA PROTAGONISTA  
 
Verona, 30 giugno 2004 - Nasce Luxury Distribution Network E’ il nuovo prodotto nato in casa Traconf che propone una gamma di servizi dedicati al trasporto ed alla distribuzione di prodotti di lusso in scatola. In realtà si tratta di un servizio nuovo cui oggi è stato attributo un nome ed una dignità che di fatto ha già conquistato sul campo. Traconf infatti da anni veicola capi moda in scatola: è leader non solo nella distribuzione di capi appesi, ma anche per l’invio dei capi distesi. Pertanto Luxury Distribution Network non ha fatto altro che trasformare una competenza già acquisita, interpretando un’ esigenza che proviene dal mercato: quella di poter veicolare la merce, di un certo valore e di lusso, garantiti dallo stesso occhio vigile, dalla stessa professionalità e soprattutto dallo stesso know how acquisito, nel distribuire moda in tutto il mondo. Luxury Distributions Network nasce quindi per soddisfare le richieste già provenienti da altri settori primo tra tutti quello degli accessori moda: occhiali, calzature, pelletteria, cinture, ma anche per esempio quello della telefonia mobile, alto design, gioielli, orologi ma anche cosmetici e profumi che necessitano di un’attenzione particolare nel trasporto e nella movimentazione specifica. Luxury Distribution Network ha assunto quindi un ruolo importante e strategico: di fatto pone Traconf in una posizione di spicco soprattutto nei confronti delle aziende concorrenti, questo perchè apparentemente in concorrenza con i numerosissimi distributori e trasportatori già presenti sul palcoscenico italiano. E’ ovvio chiedersi: qual è l’asso nella manica di Luxury Distribution Network? Sicuramente la qualità del servizio offerto e la personalizzazione, unita ad un alto livello sicurezza, che per molte aziende di produzione rappresentano l’unico punto di forza rispetto a qualsiasi distributore e trasportatore in scatola già presente sul mercato. Del resto il fatto che questo Network nasca proprio dalla richiesta degli stessi utilizzatori, dimostra come, a tutt’oggi, non ci sia per il settore “merce di lusso”, un servizio pensato su misura per soddisfare esigenze specifiche e settoriali. Questo fa presumere, e le prime richieste del servizio confortano le previsioni, che Luxury Distribution Network farà molto presto la parte da leone in casa Traconf, tanto da riuscire a rivoluzionare completamente la mission, la strategia marketing e gli obiettivi di crescita aziendale. Traconf Fashion Logistic Group Una realtà aziendale che nasce nel 1977 e che ha scelto di puntare sullo sviluppo della logistica integrata per le aziende. Traconf ha individuato inizialmente quale mercato obiettivo, quello del settore dell’abbigliamento. In pochi anni ha fatto crescere al suo interno il settore trasporti, la distribuzione e la logistica diventando leader per il trasporto dei capi di abbigliamento appesi. La scelta strategica di campo, nel settore alta moda, ha consentito all’azienda di maturare il know how necessario per distribuire, con la stessa cura di chi produce, i prodotti confezionati ed inviati. L’attenzione, la flessibilità, la cortesia, nel giro breve hanno consentito a Traconf di raggiungere risultati così ambiziosi, tanto da essere considerati quali gli unici ad offrire sul mercato un servizio di logistica e distribuzione moda così specializzato per le aziende. Il core business Traconf oggi Logistica, trasporto e distribuzione della merce per qualsiasi tipo di azienda che necessiti di un servizio davvero impeccabile, personalizzabile, ma soprattutto affidabile e sicuro. La strategia dell’outsourcing L’idea che ha guidato la strategia Traconf è stata quella di diventare ed essere considerato un partner sicuro per le aziende, cui affidare la gestione ed il controllo sia delle materie prime che dei prodotti finiti. La scelta di campo della gestione in outsourcing ha un indubbio vantaggio per le aziende, quello di poter cedere totalmente l’attività di logistica e distribuzione: struttura, dipendenti ed automezzi, con l’ulteriore garanzia per il cliente-azienda produttrice, di avere una maggiore flessibilità finanziaria ed un abbattimento dei costi generali con la serenità di essere sempre assistiti nell’organizzazione della logistica dei propri prodotti, di disporre del massimo dell’efficienza dello staff addetto e della massima cura ed attenzione anche nella ricerca dell’innovazione (indispensabile per la scelta e la valutazione della professionalità di un partner veramente qualificato). L’organizzazione Traconf Italia - Divisione Logistica Magazzini Una fitta rete di strutture situate nell’area Nord e Centro dell’Italia: 18 magazzini attrezzati anche per cicli di lavorazione accessoria (che precedono l’arrivo dei capi nei negozi o destinazioni). In ciascuna struttura è attivo un sofisticato sistema ad elevata automazione che consente il controllo costante dei capi in ingresso e lo smistamento della merce del cliente. Grazie al quale è possibile attribuire automaticamente ai capi la località di destinazione con una riduzione drastica delle possibilità di errore nelle consegne. Italia – Europa - Divisione Trasporti e Distribuzione Un’organizzazione capillare di trasporto e di distribuzione si dipana sull’intero territorio Italiano con 16 filiali, isole comprese. In 18 paesi europei importanti alleanze con partner specializzati nella distribuzione, con la supervisione ed il contatto costante Traconf, consentono la conservazione delle merce in viaggio nelle stesse condizioni in cui sono alla partenza. Il tutto sotto la supervisone di Fashionet. Traconf aderisce al network Fashionet, una vasta organizzazione specializzata nella distribuzione moda, fondata su regole collaborative tra i distributori europei che garantiscono ai partner membri, la distribuzione ed il trasporto nei 18 paesi europei. Il marchio Fashionet è un marchio sinonimo di qualità e di garanzia: i clienti grazie al sistema informatico uniforme riescono a monitorare costantemente tutte le fasi di spedizione della merce in viaggio. Nord America - Distribuzione e Logistica Una struttura “ad hoc”, gemellata con l’organizzazione logistica Italia e realizzata sulle linee guida che hanno dato vita al progetto Italia–europa, rende possibile nell’area Nord America la logistica e la distribuzione con una movimentazione da e per l’Europa. Le strutture hanno replicato quelle condizioni che Traconf considera prioritarie per la movimentazione della merce: uno staff altamente specializzato, la sicurezza, la pulizia delle aree adibite alla logistica, la giusta location dei magazzini ed un sofisticato sistema informatico di controllo la cui flessibilità si adatta a qualsiasi richiesta del cliente. I servizi aggiuntivi: il Follow up della merce. Servizi accessori ed aggiuntivi offrono la possibilità di un controllo costante e diretto dell’integrità e della posizione della merce in viaggio in Italia, in Europa ed in Nord America. Servizio Tra-sat Un sofisticato sistema di computer che consente di controllare, a scelta del cliente, le spedizioni gestite da Traconf. Avanzamento spedizioni su Web Il controllo puntuale avviene attraverso il web-site, al cliente è attribuita una password che permette l’accesso in rete al sistema, dal sito è così possibile verificare lo stato di avanzamento della merce verso il cliente finale (il servizio Tra-sat registra il cambiamento delle posizioni e le trasmette in rete) ma è anche possibile effettuare il controllo dei resi, delle fatturazioni e delle relative statistiche. Nuovi progetti in campo “Total Outsourcing”: Da alcuni anni Traconf sta sviluppando il progetto che prende il nome di “Total Outsourcing” che consente alle aziende di abbigliamento e del settore lusso di usufruire di servizi che vanno dall’importazione del tessuto e/o del capo finito, fino ad una distribuzione di dettaglio in tutto il mondo. I risultati di questa iniziativa capitanata da Traconf ha dato in termini numerici risultati davvero sorprendenti basti pensare che sono già stati conclusi accordi di gestione per oltre 75.000.000 di capi con altrettanti accordi in fieri. Il progetto alla sua nascita prevedeva come risultato ottimale il raggiungimento di oltre 100.000.000 di capi gestiti completamente dal tessuto al distribuzione, con l’avvio ed apertura di nuovi mercati con particolare interesse verso i paesi dell’Est Europeo, Giappone Cina ed espansione del mercato Usa.  
   
   
NASCE LUXURY DISTRIBUTION NETWORK LA DISTRIBUZIONE CHE VIAGGIA IN SCATOLA, DEBUTTA IN TRACONF E DIVENTA PROTAGONISTA  
 
Verona, 30 giugno 2004 - Nasce Luxury Distribution Network E’ il nuovo prodotto nato in casa Traconf che propone una gamma di servizi dedicati al trasporto ed alla distribuzione di prodotti di lusso in scatola. In realtà si tratta di un servizio nuovo cui oggi è stato attributo un nome ed una dignità che di fatto ha già conquistato sul campo. Traconf infatti da anni veicola capi moda in scatola: è leader non solo nella distribuzione di capi appesi, ma anche per l’invio dei capi distesi. Pertanto Luxury Distribution Network non ha fatto altro che trasformare una competenza già acquisita, interpretando un’ esigenza che proviene dal mercato: quella di poter veicolare la merce, di un certo valore e di lusso, garantiti dallo stesso occhio vigile, dalla stessa professionalità e soprattutto dallo stesso know how acquisito, nel distribuire moda in tutto il mondo. Luxury Distributions Network nasce quindi per soddisfare le richieste già provenienti da altri settori primo tra tutti quello degli accessori moda: occhiali, calzature, pelletteria, cinture, ma anche per esempio quello della telefonia mobile, alto design, gioielli, orologi ma anche cosmetici e profumi che necessitano di un’attenzione particolare nel trasporto e nella movimentazione specifica. Luxury Distribution Network ha assunto quindi un ruolo importante e strategico: di fatto pone Traconf in una posizione di spicco soprattutto nei confronti delle aziende concorrenti, questo perchè apparentemente in concorrenza con i numerosissimi distributori e trasportatori già presenti sul palcoscenico italiano. E’ ovvio chiedersi: qual è l’asso nella manica di Luxury Distribution Network? Sicuramente la qualità del servizio offerto e la personalizzazione, unita ad un alto livello sicurezza, che per molte aziende di produzione rappresentano l’unico punto di forza rispetto a qualsiasi distributore e trasportatore in scatola già presente sul mercato. Del resto il fatto che questo Network nasca proprio dalla richiesta degli stessi utilizzatori, dimostra come, a tutt’oggi, non ci sia per il settore “merce di lusso”, un servizio pensato su misura per soddisfare esigenze specifiche e settoriali. Questo fa presumere, e le prime richieste del servizio confortano le previsioni, che Luxury Distribution Network farà molto presto la parte da leone in casa Traconf, tanto da riuscire a rivoluzionare completamente la mission, la strategia marketing e gli obiettivi di crescita aziendale. Traconf Fashion Logistic Group Una realtà aziendale che nasce nel 1977 e che ha scelto di puntare sullo sviluppo della logistica integrata per le aziende. Traconf ha individuato inizialmente quale mercato obiettivo, quello del settore dell’abbigliamento. In pochi anni ha fatto crescere al suo interno il settore trasporti, la distribuzione e la logistica diventando leader per il trasporto dei capi di abbigliamento appesi. La scelta strategica di campo, nel settore alta moda, ha consentito all’azienda di maturare il know how necessario per distribuire, con la stessa cura di chi produce, i prodotti confezionati ed inviati. L’attenzione, la flessibilità, la cortesia, nel giro breve hanno consentito a Traconf di raggiungere risultati così ambiziosi, tanto da essere considerati quali gli unici ad offrire sul mercato un servizio di logistica e distribuzione moda così specializzato per le aziende. Il core business Traconf oggi Logistica, trasporto e distribuzione della merce per qualsiasi tipo di azienda che necessiti di un servizio davvero impeccabile, personalizzabile, ma soprattutto affidabile e sicuro. La strategia dell’outsourcing L’idea che ha guidato la strategia Traconf è stata quella di diventare ed essere considerato un partner sicuro per le aziende, cui affidare la gestione ed il controllo sia delle materie prime che dei prodotti finiti. La scelta di campo della gestione in outsourcing ha un indubbio vantaggio per le aziende, quello di poter cedere totalmente l’attività di logistica e distribuzione: struttura, dipendenti ed automezzi, con l’ulteriore garanzia per il cliente-azienda produttrice, di avere una maggiore flessibilità finanziaria ed un abbattimento dei costi generali con la serenità di essere sempre assistiti nell’organizzazione della logistica dei propri prodotti, di disporre del massimo dell’efficienza dello staff addetto e della massima cura ed attenzione anche nella ricerca dell’innovazione (indispensabile per la scelta e la valutazione della professionalità di un partner veramente qualificato). L’organizzazione Traconf Italia - Divisione Logistica Magazzini Una fitta rete di strutture situate nell’area Nord e Centro dell’Italia: 18 magazzini attrezzati anche per cicli di lavorazione accessoria (che precedono l’arrivo dei capi nei negozi o destinazioni). In ciascuna struttura è attivo un sofisticato sistema ad elevata automazione che consente il controllo costante dei capi in ingresso e lo smistamento della merce del cliente. Grazie al quale è possibile attribuire automaticamente ai capi la località di destinazione con una riduzione drastica delle possibilità di errore nelle consegne. Italia – Europa - Divisione Trasporti e Distribuzione Un’organizzazione capillare di trasporto e di distribuzione si dipana sull’intero territorio Italiano con 16 filiali, isole comprese. In 18 paesi europei importanti alleanze con partner specializzati nella distribuzione, con la supervisione ed il contatto costante Traconf, consentono la conservazione delle merce in viaggio nelle stesse condizioni in cui sono alla partenza. Il tutto sotto la supervisone di Fashionet. Traconf aderisce al network Fashionet, una vasta organizzazione specializzata nella distribuzione moda, fondata su regole collaborative tra i distributori europei che garantiscono ai partner membri, la distribuzione ed il trasporto nei 18 paesi europei. Il marchio Fashionet è un marchio sinonimo di qualità e di garanzia: i clienti grazie al sistema informatico uniforme riescono a monitorare costantemente tutte le fasi di spedizione della merce in viaggio. Nord America - Distribuzione e Logistica Una struttura “ad hoc”, gemellata con l’organizzazione logistica Italia e realizzata sulle linee guida che hanno dato vita al progetto Italia–europa, rende possibile nell’area Nord America la logistica e la distribuzione con una movimentazione da e per l’Europa. Le strutture hanno replicato quelle condizioni che Traconf considera prioritarie per la movimentazione della merce: uno staff altamente specializzato, la sicurezza, la pulizia delle aree adibite alla logistica, la giusta location dei magazzini ed un sofisticato sistema informatico di controllo la cui flessibilità si adatta a qualsiasi richiesta del cliente. I servizi aggiuntivi: il Follow up della merce. Servizi accessori ed aggiuntivi offrono la possibilità di un controllo costante e diretto dell’integrità e della posizione della merce in viaggio in Italia, in Europa ed in Nord America. Servizio Tra-sat Un sofisticato sistema di computer che consente di controllare, a scelta del cliente, le spedizioni gestite da Traconf. Avanzamento spedizioni su Web Il controllo puntuale avviene attraverso il web-site, al cliente è attribuita una password che permette l’accesso in rete al sistema, dal sito è così possibile verificare lo stato di avanzamento della merce verso il cliente finale (il servizio Tra-sat registra il cambiamento delle posizioni e le trasmette in rete) ma è anche possibile effettuare il controllo dei resi, delle fatturazioni e delle relative statistiche. Nuovi progetti in campo “Total Outsourcing”: Da alcuni anni Traconf sta sviluppando il progetto che prende il nome di “Total Outsourcing” che consente alle aziende di abbigliamento e del settore lusso di usufruire di servizi che vanno dall’importazione del tessuto e/o del capo finito, fino ad una distribuzione di dettaglio in tutto il mondo. I risultati di questa iniziativa capitanata da Traconf ha dato in termini numerici risultati davvero sorprendenti basti pensare che sono già stati conclusi accordi di gestione per oltre 75.000.000 di capi con altrettanti accordi in fieri. Il progetto alla sua nascita prevedeva come risultato ottimale il raggiungimento di oltre 100.000.000 di capi gestiti completamente dal tessuto al distribuzione, con l’avvio ed apertura di nuovi mercati con particolare interesse verso i paesi dell’Est Europeo, Giappone Cina ed espansione del mercato Usa.  
   
   
AGRICOLTURA: NUOVE REGOLE PER LA PESCA E L'ACQUACOLTURA  
 
Roma, 30 giugno 2004 - E' stato pubblicato sulla Gazzetta ufficiale del 24 giugno 2004 il decreto legislativo "Modernizzazione del settore pesca e dell'acquacoltura" emanato in attuazione dell'articolo 1 della legge delega sulla modernizzazione dell'agricoltura n.38/2003. In particolare, il provvedimento ha lo scopo di razionalizzare la disciplina ed il sistema dei controlli sulla pesca marittima svolta da imprenditori ittici e dai pescatori. Tra gli interventi vi è la riforma dei Registri dei pescatori marittimi e delle imprese di pesca, la previsione di equipaggi flessibili nel numero e nella composizione, disposizioni a tutela di esemplari di specie ittiche al disotto della taglia minima prevista per la pesca e il riordino delle disposizioni relative agli organi di vigilanza. Infolink: Http://www.governo.it/governoinforma/dossier/agricoltura_pesca_modernizzazione/index.html  
   
   
AGRICOLTURA: NUOVE REGOLE PER LA PESCA E L'ACQUACOLTURA  
 
Roma, 30 giugno 2004 - E' stato pubblicato sulla Gazzetta ufficiale del 24 giugno 2004 il decreto legislativo "Modernizzazione del settore pesca e dell'acquacoltura" emanato in attuazione dell'articolo 1 della legge delega sulla modernizzazione dell'agricoltura n.38/2003. In particolare, il provvedimento ha lo scopo di razionalizzare la disciplina ed il sistema dei controlli sulla pesca marittima svolta da imprenditori ittici e dai pescatori. Tra gli interventi vi è la riforma dei Registri dei pescatori marittimi e delle imprese di pesca, la previsione di equipaggi flessibili nel numero e nella composizione, disposizioni a tutela di esemplari di specie ittiche al disotto della taglia minima prevista per la pesca e il riordino delle disposizioni relative agli organi di vigilanza. Infolink: Http://www.governo.it/governoinforma/dossier/agricoltura_pesca_modernizzazione/index.html  
   
   
AGRICOLTURA: NUOVE REGOLE PER LA PESCA E L'ACQUACOLTURA  
 
Roma, 30 giugno 2004 - E' stato pubblicato sulla Gazzetta ufficiale del 24 giugno 2004 il decreto legislativo "Modernizzazione del settore pesca e dell'acquacoltura" emanato in attuazione dell'articolo 1 della legge delega sulla modernizzazione dell'agricoltura n.38/2003. In particolare, il provvedimento ha lo scopo di razionalizzare la disciplina ed il sistema dei controlli sulla pesca marittima svolta da imprenditori ittici e dai pescatori. Tra gli interventi vi è la riforma dei Registri dei pescatori marittimi e delle imprese di pesca, la previsione di equipaggi flessibili nel numero e nella composizione, disposizioni a tutela di esemplari di specie ittiche al disotto della taglia minima prevista per la pesca e il riordino delle disposizioni relative agli organi di vigilanza. Infolink: Http://www.governo.it/governoinforma/dossier/agricoltura_pesca_modernizzazione/index.html  
   
   
AGRICOLTURA: NUOVE REGOLE PER LA PESCA E L'ACQUACOLTURA  
 
Roma, 30 giugno 2004 - E' stato pubblicato sulla Gazzetta ufficiale del 24 giugno 2004 il decreto legislativo "Modernizzazione del settore pesca e dell'acquacoltura" emanato in attuazione dell'articolo 1 della legge delega sulla modernizzazione dell'agricoltura n.38/2003. In particolare, il provvedimento ha lo scopo di razionalizzare la disciplina ed il sistema dei controlli sulla pesca marittima svolta da imprenditori ittici e dai pescatori. Tra gli interventi vi è la riforma dei Registri dei pescatori marittimi e delle imprese di pesca, la previsione di equipaggi flessibili nel numero e nella composizione, disposizioni a tutela di esemplari di specie ittiche al disotto della taglia minima prevista per la pesca e il riordino delle disposizioni relative agli organi di vigilanza. Infolink: Http://www.governo.it/governoinforma/dossier/agricoltura_pesca_modernizzazione/index.html  
   
   
AGRICOLTURA: NUOVE REGOLE PER LA PESCA E L'ACQUACOLTURA  
 
Roma, 30 giugno 2004 - E' stato pubblicato sulla Gazzetta ufficiale del 24 giugno 2004 il decreto legislativo "Modernizzazione del settore pesca e dell'acquacoltura" emanato in attuazione dell'articolo 1 della legge delega sulla modernizzazione dell'agricoltura n.38/2003. In particolare, il provvedimento ha lo scopo di razionalizzare la disciplina ed il sistema dei controlli sulla pesca marittima svolta da imprenditori ittici e dai pescatori. Tra gli interventi vi è la riforma dei Registri dei pescatori marittimi e delle imprese di pesca, la previsione di equipaggi flessibili nel numero e nella composizione, disposizioni a tutela di esemplari di specie ittiche al disotto della taglia minima prevista per la pesca e il riordino delle disposizioni relative agli organi di vigilanza. Infolink: Http://www.governo.it/governoinforma/dossier/agricoltura_pesca_modernizzazione/index.html  
   
   
AGRICOLTURA: NUOVE REGOLE PER LA PESCA E L'ACQUACOLTURA  
 
Roma, 30 giugno 2004 - E' stato pubblicato sulla Gazzetta ufficiale del 24 giugno 2004 il decreto legislativo "Modernizzazione del settore pesca e dell'acquacoltura" emanato in attuazione dell'articolo 1 della legge delega sulla modernizzazione dell'agricoltura n.38/2003. In particolare, il provvedimento ha lo scopo di razionalizzare la disciplina ed il sistema dei controlli sulla pesca marittima svolta da imprenditori ittici e dai pescatori. Tra gli interventi vi è la riforma dei Registri dei pescatori marittimi e delle imprese di pesca, la previsione di equipaggi flessibili nel numero e nella composizione, disposizioni a tutela di esemplari di specie ittiche al disotto della taglia minima prevista per la pesca e il riordino delle disposizioni relative agli organi di vigilanza. Infolink: Http://www.governo.it/governoinforma/dossier/agricoltura_pesca_modernizzazione/index.html  
   
   
DSM SOMOS ANNUNCIA ACCORDO GLOBALE NON ESCLUSIVO CON 3D SYSTEMS PER LA DISTRIBUZIONE DELLE RESINE STEREOLITOGRAFICHE SOMOS  
 
New Castle, Delaware, 30 giugno 2004 - Dsm Desotech Inc. E 3D Systems Corporation hanno annunciato la firma di un'accordo globale non esclusivo per la distribuzione di resina stereolitografica (Sl); in base al quale 3D Systems distribuira' le resine stereolitografiche Dsm Somos'. Dsm Somos intende continuare a produrre, commercializzare e distribuire i propri prodotti sia direttamente che attraverso la propria rete esistente di distributori autorizzati. 3D Systems si occupera' di promuovere, vendere e fornire supporto sulle resine Dsm Somos in tutto il mondo, continuando al contempo a produrre, commercializzare e distribuire le proprie resine Accura Sl. "Dsm e' lieta di poter dare maggiore impulso alla diffusione dei prodotti Somos grazie alla consolidata rete di distribuzione di 3D Systems", ha affermato Jim Reitz , Business Manager di Dsm Somos. "Riteniamo che questo sia il perfetto complemento per le nostre attuali attivita' di vendita diretta e per i nostri consueti canali di distribuzione. Una maggiore diffusione nel mercato deii prodotti Somos fornira' un'ulteriore sostegno al nostro lavoro nel campo di ricerca e sviluppo, consentendo a Somos di continuare a concentrarsi su materiali innovativi per il mercato solid imaging." "Siamo lieti di questa collaborazione con un leader del settore come Dsm," ha dichiarato Abe Reichental, presidente e Ceo di 3D Systems. "Con l'aggiunta della linea di prodotti Dsm Somos al nostro portafoglio di soluzioni, saremo in grado di offrire ai clienti maggior flessibilita', una scelta di materiali piu' ampia e l'accesso all'intera gamma di soluzioni professionali del sistema Sla . Riteniamo che questa partnership ci consentira' di meglio soddisfare i nostri clienti grazie all'offerta di una gamma di materiali piu' completa e permettera' a Dsm di ampliare i propri canali di distribuzione contribuendo positivamente al nostro modello di business."  
   
   
DSM SOMOS ANNUNCIA ACCORDO GLOBALE NON ESCLUSIVO CON 3D SYSTEMS PER LA DISTRIBUZIONE DELLE RESINE STEREOLITOGRAFICHE SOMOS  
 
New Castle, Delaware, 30 giugno 2004 - Dsm Desotech Inc. E 3D Systems Corporation hanno annunciato la firma di un'accordo globale non esclusivo per la distribuzione di resina stereolitografica (Sl); in base al quale 3D Systems distribuira' le resine stereolitografiche Dsm Somos'. Dsm Somos intende continuare a produrre, commercializzare e distribuire i propri prodotti sia direttamente che attraverso la propria rete esistente di distributori autorizzati. 3D Systems si occupera' di promuovere, vendere e fornire supporto sulle resine Dsm Somos in tutto il mondo, continuando al contempo a produrre, commercializzare e distribuire le proprie resine Accura Sl. "Dsm e' lieta di poter dare maggiore impulso alla diffusione dei prodotti Somos grazie alla consolidata rete di distribuzione di 3D Systems", ha affermato Jim Reitz , Business Manager di Dsm Somos. "Riteniamo che questo sia il perfetto complemento per le nostre attuali attivita' di vendita diretta e per i nostri consueti canali di distribuzione. Una maggiore diffusione nel mercato deii prodotti Somos fornira' un'ulteriore sostegno al nostro lavoro nel campo di ricerca e sviluppo, consentendo a Somos di continuare a concentrarsi su materiali innovativi per il mercato solid imaging." "Siamo lieti di questa collaborazione con un leader del settore come Dsm," ha dichiarato Abe Reichental, presidente e Ceo di 3D Systems. "Con l'aggiunta della linea di prodotti Dsm Somos al nostro portafoglio di soluzioni, saremo in grado di offrire ai clienti maggior flessibilita', una scelta di materiali piu' ampia e l'accesso all'intera gamma di soluzioni professionali del sistema Sla . Riteniamo che questa partnership ci consentira' di meglio soddisfare i nostri clienti grazie all'offerta di una gamma di materiali piu' completa e permettera' a Dsm di ampliare i propri canali di distribuzione contribuendo positivamente al nostro modello di business."  
   
   
DSM SOMOS ANNUNCIA ACCORDO GLOBALE NON ESCLUSIVO CON 3D SYSTEMS PER LA DISTRIBUZIONE DELLE RESINE STEREOLITOGRAFICHE SOMOS  
 
New Castle, Delaware, 30 giugno 2004 - Dsm Desotech Inc. E 3D Systems Corporation hanno annunciato la firma di un'accordo globale non esclusivo per la distribuzione di resina stereolitografica (Sl); in base al quale 3D Systems distribuira' le resine stereolitografiche Dsm Somos'. Dsm Somos intende continuare a produrre, commercializzare e distribuire i propri prodotti sia direttamente che attraverso la propria rete esistente di distributori autorizzati. 3D Systems si occupera' di promuovere, vendere e fornire supporto sulle resine Dsm Somos in tutto il mondo, continuando al contempo a produrre, commercializzare e distribuire le proprie resine Accura Sl. "Dsm e' lieta di poter dare maggiore impulso alla diffusione dei prodotti Somos grazie alla consolidata rete di distribuzione di 3D Systems", ha affermato Jim Reitz , Business Manager di Dsm Somos. "Riteniamo che questo sia il perfetto complemento per le nostre attuali attivita' di vendita diretta e per i nostri consueti canali di distribuzione. Una maggiore diffusione nel mercato deii prodotti Somos fornira' un'ulteriore sostegno al nostro lavoro nel campo di ricerca e sviluppo, consentendo a Somos di continuare a concentrarsi su materiali innovativi per il mercato solid imaging." "Siamo lieti di questa collaborazione con un leader del settore come Dsm," ha dichiarato Abe Reichental, presidente e Ceo di 3D Systems. "Con l'aggiunta della linea di prodotti Dsm Somos al nostro portafoglio di soluzioni, saremo in grado di offrire ai clienti maggior flessibilita', una scelta di materiali piu' ampia e l'accesso all'intera gamma di soluzioni professionali del sistema Sla . Riteniamo che questa partnership ci consentira' di meglio soddisfare i nostri clienti grazie all'offerta di una gamma di materiali piu' completa e permettera' a Dsm di ampliare i propri canali di distribuzione contribuendo positivamente al nostro modello di business."  
   
   
DSM SOMOS ANNUNCIA ACCORDO GLOBALE NON ESCLUSIVO CON 3D SYSTEMS PER LA DISTRIBUZIONE DELLE RESINE STEREOLITOGRAFICHE SOMOS  
 
New Castle, Delaware, 30 giugno 2004 - Dsm Desotech Inc. E 3D Systems Corporation hanno annunciato la firma di un'accordo globale non esclusivo per la distribuzione di resina stereolitografica (Sl); in base al quale 3D Systems distribuira' le resine stereolitografiche Dsm Somos'. Dsm Somos intende continuare a produrre, commercializzare e distribuire i propri prodotti sia direttamente che attraverso la propria rete esistente di distributori autorizzati. 3D Systems si occupera' di promuovere, vendere e fornire supporto sulle resine Dsm Somos in tutto il mondo, continuando al contempo a produrre, commercializzare e distribuire le proprie resine Accura Sl. "Dsm e' lieta di poter dare maggiore impulso alla diffusione dei prodotti Somos grazie alla consolidata rete di distribuzione di 3D Systems", ha affermato Jim Reitz , Business Manager di Dsm Somos. "Riteniamo che questo sia il perfetto complemento per le nostre attuali attivita' di vendita diretta e per i nostri consueti canali di distribuzione. Una maggiore diffusione nel mercato deii prodotti Somos fornira' un'ulteriore sostegno al nostro lavoro nel campo di ricerca e sviluppo, consentendo a Somos di continuare a concentrarsi su materiali innovativi per il mercato solid imaging." "Siamo lieti di questa collaborazione con un leader del settore come Dsm," ha dichiarato Abe Reichental, presidente e Ceo di 3D Systems. "Con l'aggiunta della linea di prodotti Dsm Somos al nostro portafoglio di soluzioni, saremo in grado di offrire ai clienti maggior flessibilita', una scelta di materiali piu' ampia e l'accesso all'intera gamma di soluzioni professionali del sistema Sla . Riteniamo che questa partnership ci consentira' di meglio soddisfare i nostri clienti grazie all'offerta di una gamma di materiali piu' completa e permettera' a Dsm di ampliare i propri canali di distribuzione contribuendo positivamente al nostro modello di business."  
   
   
DSM SOMOS ANNUNCIA ACCORDO GLOBALE NON ESCLUSIVO CON 3D SYSTEMS PER LA DISTRIBUZIONE DELLE RESINE STEREOLITOGRAFICHE SOMOS  
 
New Castle, Delaware, 30 giugno 2004 - Dsm Desotech Inc. E 3D Systems Corporation hanno annunciato la firma di un'accordo globale non esclusivo per la distribuzione di resina stereolitografica (Sl); in base al quale 3D Systems distribuira' le resine stereolitografiche Dsm Somos'. Dsm Somos intende continuare a produrre, commercializzare e distribuire i propri prodotti sia direttamente che attraverso la propria rete esistente di distributori autorizzati. 3D Systems si occupera' di promuovere, vendere e fornire supporto sulle resine Dsm Somos in tutto il mondo, continuando al contempo a produrre, commercializzare e distribuire le proprie resine Accura Sl. "Dsm e' lieta di poter dare maggiore impulso alla diffusione dei prodotti Somos grazie alla consolidata rete di distribuzione di 3D Systems", ha affermato Jim Reitz , Business Manager di Dsm Somos. "Riteniamo che questo sia il perfetto complemento per le nostre attuali attivita' di vendita diretta e per i nostri consueti canali di distribuzione. Una maggiore diffusione nel mercato deii prodotti Somos fornira' un'ulteriore sostegno al nostro lavoro nel campo di ricerca e sviluppo, consentendo a Somos di continuare a concentrarsi su materiali innovativi per il mercato solid imaging." "Siamo lieti di questa collaborazione con un leader del settore come Dsm," ha dichiarato Abe Reichental, presidente e Ceo di 3D Systems. "Con l'aggiunta della linea di prodotti Dsm Somos al nostro portafoglio di soluzioni, saremo in grado di offrire ai clienti maggior flessibilita', una scelta di materiali piu' ampia e l'accesso all'intera gamma di soluzioni professionali del sistema Sla . Riteniamo che questa partnership ci consentira' di meglio soddisfare i nostri clienti grazie all'offerta di una gamma di materiali piu' completa e permettera' a Dsm di ampliare i propri canali di distribuzione contribuendo positivamente al nostro modello di business."  
   
   
DSM SOMOS ANNUNCIA ACCORDO GLOBALE NON ESCLUSIVO CON 3D SYSTEMS PER LA DISTRIBUZIONE DELLE RESINE STEREOLITOGRAFICHE SOMOS  
 
New Castle, Delaware, 30 giugno 2004 - Dsm Desotech Inc. E 3D Systems Corporation hanno annunciato la firma di un'accordo globale non esclusivo per la distribuzione di resina stereolitografica (Sl); in base al quale 3D Systems distribuira' le resine stereolitografiche Dsm Somos'. Dsm Somos intende continuare a produrre, commercializzare e distribuire i propri prodotti sia direttamente che attraverso la propria rete esistente di distributori autorizzati. 3D Systems si occupera' di promuovere, vendere e fornire supporto sulle resine Dsm Somos in tutto il mondo, continuando al contempo a produrre, commercializzare e distribuire le proprie resine Accura Sl. "Dsm e' lieta di poter dare maggiore impulso alla diffusione dei prodotti Somos grazie alla consolidata rete di distribuzione di 3D Systems", ha affermato Jim Reitz , Business Manager di Dsm Somos. "Riteniamo che questo sia il perfetto complemento per le nostre attuali attivita' di vendita diretta e per i nostri consueti canali di distribuzione. Una maggiore diffusione nel mercato deii prodotti Somos fornira' un'ulteriore sostegno al nostro lavoro nel campo di ricerca e sviluppo, consentendo a Somos di continuare a concentrarsi su materiali innovativi per il mercato solid imaging." "Siamo lieti di questa collaborazione con un leader del settore come Dsm," ha dichiarato Abe Reichental, presidente e Ceo di 3D Systems. "Con l'aggiunta della linea di prodotti Dsm Somos al nostro portafoglio di soluzioni, saremo in grado di offrire ai clienti maggior flessibilita', una scelta di materiali piu' ampia e l'accesso all'intera gamma di soluzioni professionali del sistema Sla . Riteniamo che questa partnership ci consentira' di meglio soddisfare i nostri clienti grazie all'offerta di una gamma di materiali piu' completa e permettera' a Dsm di ampliare i propri canali di distribuzione contribuendo positivamente al nostro modello di business."  
   
   
MILANO: 90-91: DAL PRIMO LUGLIO I LAVORI PER LA SEDE RISERVATA DELLA FILOVIA ALTRI 3 CHILOMETRI "PROTETTI" DA PIAZZALE DELLE MILIZIE A PIAZZALE ZAVATTARI  
 
Milano, 30 giugno 2004 - Si allunga la corsìa riservata della 90-91, dove il filobus può procedere speditamente senza l’intralcio dei mezzi privati. Giovedì primo luglio sulla circonvallazione esterna iniziano i lavori per la realizzazione di un nuovo tratto di sede protetta fra Piazzale delle Milizie e piazzale Zavattari: lavori che aiuteranno a velocizzare il transito della filovia su un percorso di 3 km, oggi caratterizzato da un traffico molto intenso, spesso congestionato, soprattutto nelle ore del giorno. Per limitare l’impatto sulla viabilità e la sosta sono state previste due fasi di lavoro, ciascuna con tre cantieri discontinui. La prima, attivata da dopodomani, prevede un primo cantiere da Piazzale delle Milizie a via Solari, un secondo da piazza Bolivar a via Sardegna e un terzo da via Trivulzio a piazzale Brescia. Viabilità garantita. I cantieri occuperanno, almeno nei primi mesi, solo lo spartitraffico centrale della carreggiata, fino ad oggi utilizzato come parcheggio, per cui non dovrebbero aversi particolari rallentamenti nel traffico lungo le carreggiate laterali. Eliminati dal parterre centrale, gli spazi auto sono stati tutti recuperati dal Settore Strade, Parcheggi e Segnaletica del Comune lungo le strade laterali della circonvallazione, come via Tortona, via Tolstoi, via Previati, via Garian, via Del Fusaro. Sosta riorganizzata sulle fasce laterali. L’intervento per la corsia riservata della 90-91 richiederà circa 3 anni di lavori mentre la spesa complessiva per l’intervento dovrebbe aggirarsi sui 12 milioni di euro. Oltre alla sistemazione del parterre centrale, il progetto prevede la piantumazione a verde a lato della carreggiata, la riorganizzazione delle aree di sosta sulle fasce laterali (con alla fine 1200 posti auto) e il coordinamento degli impianti semaforici lungo l’intero asse stradale. “Per la filovia 90-91- sottolinea l’assessore ai Trasporti, Giorgio Goggi - la sede protetta su altri 3 km comporterà un aumento del 20 per cento della velocità commerciale”. Informativa agli abitanti. Attraverso la Polizia Municipale della zona Magenta, l’Amministrazione comunale ha distribuito in questi giorni a portinerie, aziende e negozi un dépliant informativo per gli abitanti con notizie sui cantieri, le scadenze e la riorganizzazione della sosta. Filovia 90-91. Nata per sezioni, come Ce (Circolare Esterna) nel novembre del 1936 e completata nell’ottobre del 1951, la 90-91 è una delle tre linee filoviarie dell’Atm. Trasporta più di 100 mila passeggeri al giorno, il dato in assoluto più alto sulla rete di superficie a Milano. Nelle ore di punta su entrambe le direzioni di marcia funzionano 59 mezzi. Ognuno è in grado di trasportare 160 persone (lunghezza del filobus 18 metri). Il percorso della 90-91 è quella della circonvallazione esterna della città, lunga 21.1 km. Per 9,9 km corre in sede protetta; per il resto corre in mezzo al traffico privato che ne riduce notevolmente la velocità commerciale (oggi mediamente sui 16 km. All’ora). Di giorno, a conferma dell’intralcio del traffico privato, il filobus percorre i 21 km di circonvallazione in un tempo massimo di 112 minuti (un’ora e 52 minuti); di notte in un tempo minimo di 62 minuti (poco più di un’ora). La 90-91 fa servizio dalle 3.45 del mattino sino alle 2 di notte. Neppure due ore quindi di interruzione nel servizio giornaliero. Risale al settembre 1983 la conclusione del primo intervento del Comune, da via Tonale a piazzale Lugano, per realizzare un tratto di sede protetta della 90-91. Gli ultimi lavori, per prolungare la sede riservata da via Meda a via Tertulliano, sono terminati nel febbraio del 1998. Concluso l’intervento iniziato a luglio di quest’anno, per avere la sede protetta su tutta la circonvallazione esterna resteranno da completare i tratti da piazzale Zavattari a piazzale Lugano e da piazza Piola a viale Umbria, 8 km in tutto.  
   
   
MILANO: 90-91: DAL PRIMO LUGLIO I LAVORI PER LA SEDE RISERVATA DELLA FILOVIA ALTRI 3 CHILOMETRI "PROTETTI" DA PIAZZALE DELLE MILIZIE A PIAZZALE ZAVATTARI  
 
Milano, 30 giugno 2004 - Si allunga la corsìa riservata della 90-91, dove il filobus può procedere speditamente senza l’intralcio dei mezzi privati. Giovedì primo luglio sulla circonvallazione esterna iniziano i lavori per la realizzazione di un nuovo tratto di sede protetta fra Piazzale delle Milizie e piazzale Zavattari: lavori che aiuteranno a velocizzare il transito della filovia su un percorso di 3 km, oggi caratterizzato da un traffico molto intenso, spesso congestionato, soprattutto nelle ore del giorno. Per limitare l’impatto sulla viabilità e la sosta sono state previste due fasi di lavoro, ciascuna con tre cantieri discontinui. La prima, attivata da dopodomani, prevede un primo cantiere da Piazzale delle Milizie a via Solari, un secondo da piazza Bolivar a via Sardegna e un terzo da via Trivulzio a piazzale Brescia. Viabilità garantita. I cantieri occuperanno, almeno nei primi mesi, solo lo spartitraffico centrale della carreggiata, fino ad oggi utilizzato come parcheggio, per cui non dovrebbero aversi particolari rallentamenti nel traffico lungo le carreggiate laterali. Eliminati dal parterre centrale, gli spazi auto sono stati tutti recuperati dal Settore Strade, Parcheggi e Segnaletica del Comune lungo le strade laterali della circonvallazione, come via Tortona, via Tolstoi, via Previati, via Garian, via Del Fusaro. Sosta riorganizzata sulle fasce laterali. L’intervento per la corsia riservata della 90-91 richiederà circa 3 anni di lavori mentre la spesa complessiva per l’intervento dovrebbe aggirarsi sui 12 milioni di euro. Oltre alla sistemazione del parterre centrale, il progetto prevede la piantumazione a verde a lato della carreggiata, la riorganizzazione delle aree di sosta sulle fasce laterali (con alla fine 1200 posti auto) e il coordinamento degli impianti semaforici lungo l’intero asse stradale. “Per la filovia 90-91- sottolinea l’assessore ai Trasporti, Giorgio Goggi - la sede protetta su altri 3 km comporterà un aumento del 20 per cento della velocità commerciale”. Informativa agli abitanti. Attraverso la Polizia Municipale della zona Magenta, l’Amministrazione comunale ha distribuito in questi giorni a portinerie, aziende e negozi un dépliant informativo per gli abitanti con notizie sui cantieri, le scadenze e la riorganizzazione della sosta. Filovia 90-91. Nata per sezioni, come Ce (Circolare Esterna) nel novembre del 1936 e completata nell’ottobre del 1951, la 90-91 è una delle tre linee filoviarie dell’Atm. Trasporta più di 100 mila passeggeri al giorno, il dato in assoluto più alto sulla rete di superficie a Milano. Nelle ore di punta su entrambe le direzioni di marcia funzionano 59 mezzi. Ognuno è in grado di trasportare 160 persone (lunghezza del filobus 18 metri). Il percorso della 90-91 è quella della circonvallazione esterna della città, lunga 21.1 km. Per 9,9 km corre in sede protetta; per il resto corre in mezzo al traffico privato che ne riduce notevolmente la velocità commerciale (oggi mediamente sui 16 km. All’ora). Di giorno, a conferma dell’intralcio del traffico privato, il filobus percorre i 21 km di circonvallazione in un tempo massimo di 112 minuti (un’ora e 52 minuti); di notte in un tempo minimo di 62 minuti (poco più di un’ora). La 90-91 fa servizio dalle 3.45 del mattino sino alle 2 di notte. Neppure due ore quindi di interruzione nel servizio giornaliero. Risale al settembre 1983 la conclusione del primo intervento del Comune, da via Tonale a piazzale Lugano, per realizzare un tratto di sede protetta della 90-91. Gli ultimi lavori, per prolungare la sede riservata da via Meda a via Tertulliano, sono terminati nel febbraio del 1998. Concluso l’intervento iniziato a luglio di quest’anno, per avere la sede protetta su tutta la circonvallazione esterna resteranno da completare i tratti da piazzale Zavattari a piazzale Lugano e da piazza Piola a viale Umbria, 8 km in tutto.  
   
   
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Milano, 30 giugno 2004 - Si allunga la corsìa riservata della 90-91, dove il filobus può procedere speditamente senza l’intralcio dei mezzi privati. Giovedì primo luglio sulla circonvallazione esterna iniziano i lavori per la realizzazione di un nuovo tratto di sede protetta fra Piazzale delle Milizie e piazzale Zavattari: lavori che aiuteranno a velocizzare il transito della filovia su un percorso di 3 km, oggi caratterizzato da un traffico molto intenso, spesso congestionato, soprattutto nelle ore del giorno. Per limitare l’impatto sulla viabilità e la sosta sono state previste due fasi di lavoro, ciascuna con tre cantieri discontinui. La prima, attivata da dopodomani, prevede un primo cantiere da Piazzale delle Milizie a via Solari, un secondo da piazza Bolivar a via Sardegna e un terzo da via Trivulzio a piazzale Brescia. Viabilità garantita. I cantieri occuperanno, almeno nei primi mesi, solo lo spartitraffico centrale della carreggiata, fino ad oggi utilizzato come parcheggio, per cui non dovrebbero aversi particolari rallentamenti nel traffico lungo le carreggiate laterali. Eliminati dal parterre centrale, gli spazi auto sono stati tutti recuperati dal Settore Strade, Parcheggi e Segnaletica del Comune lungo le strade laterali della circonvallazione, come via Tortona, via Tolstoi, via Previati, via Garian, via Del Fusaro. Sosta riorganizzata sulle fasce laterali. L’intervento per la corsia riservata della 90-91 richiederà circa 3 anni di lavori mentre la spesa complessiva per l’intervento dovrebbe aggirarsi sui 12 milioni di euro. Oltre alla sistemazione del parterre centrale, il progetto prevede la piantumazione a verde a lato della carreggiata, la riorganizzazione delle aree di sosta sulle fasce laterali (con alla fine 1200 posti auto) e il coordinamento degli impianti semaforici lungo l’intero asse stradale. “Per la filovia 90-91- sottolinea l’assessore ai Trasporti, Giorgio Goggi - la sede protetta su altri 3 km comporterà un aumento del 20 per cento della velocità commerciale”. Informativa agli abitanti. Attraverso la Polizia Municipale della zona Magenta, l’Amministrazione comunale ha distribuito in questi giorni a portinerie, aziende e negozi un dépliant informativo per gli abitanti con notizie sui cantieri, le scadenze e la riorganizzazione della sosta. Filovia 90-91. Nata per sezioni, come Ce (Circolare Esterna) nel novembre del 1936 e completata nell’ottobre del 1951, la 90-91 è una delle tre linee filoviarie dell’Atm. Trasporta più di 100 mila passeggeri al giorno, il dato in assoluto più alto sulla rete di superficie a Milano. Nelle ore di punta su entrambe le direzioni di marcia funzionano 59 mezzi. Ognuno è in grado di trasportare 160 persone (lunghezza del filobus 18 metri). Il percorso della 90-91 è quella della circonvallazione esterna della città, lunga 21.1 km. Per 9,9 km corre in sede protetta; per il resto corre in mezzo al traffico privato che ne riduce notevolmente la velocità commerciale (oggi mediamente sui 16 km. All’ora). Di giorno, a conferma dell’intralcio del traffico privato, il filobus percorre i 21 km di circonvallazione in un tempo massimo di 112 minuti (un’ora e 52 minuti); di notte in un tempo minimo di 62 minuti (poco più di un’ora). La 90-91 fa servizio dalle 3.45 del mattino sino alle 2 di notte. Neppure due ore quindi di interruzione nel servizio giornaliero. Risale al settembre 1983 la conclusione del primo intervento del Comune, da via Tonale a piazzale Lugano, per realizzare un tratto di sede protetta della 90-91. Gli ultimi lavori, per prolungare la sede riservata da via Meda a via Tertulliano, sono terminati nel febbraio del 1998. Concluso l’intervento iniziato a luglio di quest’anno, per avere la sede protetta su tutta la circonvallazione esterna resteranno da completare i tratti da piazzale Zavattari a piazzale Lugano e da piazza Piola a viale Umbria, 8 km in tutto.  
   
   
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Milano, 30 giugno 2004 - Si allunga la corsìa riservata della 90-91, dove il filobus può procedere speditamente senza l’intralcio dei mezzi privati. Giovedì primo luglio sulla circonvallazione esterna iniziano i lavori per la realizzazione di un nuovo tratto di sede protetta fra Piazzale delle Milizie e piazzale Zavattari: lavori che aiuteranno a velocizzare il transito della filovia su un percorso di 3 km, oggi caratterizzato da un traffico molto intenso, spesso congestionato, soprattutto nelle ore del giorno. Per limitare l’impatto sulla viabilità e la sosta sono state previste due fasi di lavoro, ciascuna con tre cantieri discontinui. La prima, attivata da dopodomani, prevede un primo cantiere da Piazzale delle Milizie a via Solari, un secondo da piazza Bolivar a via Sardegna e un terzo da via Trivulzio a piazzale Brescia. Viabilità garantita. I cantieri occuperanno, almeno nei primi mesi, solo lo spartitraffico centrale della carreggiata, fino ad oggi utilizzato come parcheggio, per cui non dovrebbero aversi particolari rallentamenti nel traffico lungo le carreggiate laterali. Eliminati dal parterre centrale, gli spazi auto sono stati tutti recuperati dal Settore Strade, Parcheggi e Segnaletica del Comune lungo le strade laterali della circonvallazione, come via Tortona, via Tolstoi, via Previati, via Garian, via Del Fusaro. Sosta riorganizzata sulle fasce laterali. L’intervento per la corsia riservata della 90-91 richiederà circa 3 anni di lavori mentre la spesa complessiva per l’intervento dovrebbe aggirarsi sui 12 milioni di euro. Oltre alla sistemazione del parterre centrale, il progetto prevede la piantumazione a verde a lato della carreggiata, la riorganizzazione delle aree di sosta sulle fasce laterali (con alla fine 1200 posti auto) e il coordinamento degli impianti semaforici lungo l’intero asse stradale. “Per la filovia 90-91- sottolinea l’assessore ai Trasporti, Giorgio Goggi - la sede protetta su altri 3 km comporterà un aumento del 20 per cento della velocità commerciale”. Informativa agli abitanti. Attraverso la Polizia Municipale della zona Magenta, l’Amministrazione comunale ha distribuito in questi giorni a portinerie, aziende e negozi un dépliant informativo per gli abitanti con notizie sui cantieri, le scadenze e la riorganizzazione della sosta. Filovia 90-91. Nata per sezioni, come Ce (Circolare Esterna) nel novembre del 1936 e completata nell’ottobre del 1951, la 90-91 è una delle tre linee filoviarie dell’Atm. Trasporta più di 100 mila passeggeri al giorno, il dato in assoluto più alto sulla rete di superficie a Milano. Nelle ore di punta su entrambe le direzioni di marcia funzionano 59 mezzi. Ognuno è in grado di trasportare 160 persone (lunghezza del filobus 18 metri). Il percorso della 90-91 è quella della circonvallazione esterna della città, lunga 21.1 km. Per 9,9 km corre in sede protetta; per il resto corre in mezzo al traffico privato che ne riduce notevolmente la velocità commerciale (oggi mediamente sui 16 km. All’ora). Di giorno, a conferma dell’intralcio del traffico privato, il filobus percorre i 21 km di circonvallazione in un tempo massimo di 112 minuti (un’ora e 52 minuti); di notte in un tempo minimo di 62 minuti (poco più di un’ora). La 90-91 fa servizio dalle 3.45 del mattino sino alle 2 di notte. Neppure due ore quindi di interruzione nel servizio giornaliero. Risale al settembre 1983 la conclusione del primo intervento del Comune, da via Tonale a piazzale Lugano, per realizzare un tratto di sede protetta della 90-91. Gli ultimi lavori, per prolungare la sede riservata da via Meda a via Tertulliano, sono terminati nel febbraio del 1998. Concluso l’intervento iniziato a luglio di quest’anno, per avere la sede protetta su tutta la circonvallazione esterna resteranno da completare i tratti da piazzale Zavattari a piazzale Lugano e da piazza Piola a viale Umbria, 8 km in tutto.  
   
   
MILANO: 90-91: DAL PRIMO LUGLIO I LAVORI PER LA SEDE RISERVATA DELLA FILOVIA ALTRI 3 CHILOMETRI "PROTETTI" DA PIAZZALE DELLE MILIZIE A PIAZZALE ZAVATTARI  
 
Milano, 30 giugno 2004 - Si allunga la corsìa riservata della 90-91, dove il filobus può procedere speditamente senza l’intralcio dei mezzi privati. Giovedì primo luglio sulla circonvallazione esterna iniziano i lavori per la realizzazione di un nuovo tratto di sede protetta fra Piazzale delle Milizie e piazzale Zavattari: lavori che aiuteranno a velocizzare il transito della filovia su un percorso di 3 km, oggi caratterizzato da un traffico molto intenso, spesso congestionato, soprattutto nelle ore del giorno. Per limitare l’impatto sulla viabilità e la sosta sono state previste due fasi di lavoro, ciascuna con tre cantieri discontinui. La prima, attivata da dopodomani, prevede un primo cantiere da Piazzale delle Milizie a via Solari, un secondo da piazza Bolivar a via Sardegna e un terzo da via Trivulzio a piazzale Brescia. Viabilità garantita. I cantieri occuperanno, almeno nei primi mesi, solo lo spartitraffico centrale della carreggiata, fino ad oggi utilizzato come parcheggio, per cui non dovrebbero aversi particolari rallentamenti nel traffico lungo le carreggiate laterali. Eliminati dal parterre centrale, gli spazi auto sono stati tutti recuperati dal Settore Strade, Parcheggi e Segnaletica del Comune lungo le strade laterali della circonvallazione, come via Tortona, via Tolstoi, via Previati, via Garian, via Del Fusaro. Sosta riorganizzata sulle fasce laterali. L’intervento per la corsia riservata della 90-91 richiederà circa 3 anni di lavori mentre la spesa complessiva per l’intervento dovrebbe aggirarsi sui 12 milioni di euro. Oltre alla sistemazione del parterre centrale, il progetto prevede la piantumazione a verde a lato della carreggiata, la riorganizzazione delle aree di sosta sulle fasce laterali (con alla fine 1200 posti auto) e il coordinamento degli impianti semaforici lungo l’intero asse stradale. “Per la filovia 90-91- sottolinea l’assessore ai Trasporti, Giorgio Goggi - la sede protetta su altri 3 km comporterà un aumento del 20 per cento della velocità commerciale”. Informativa agli abitanti. Attraverso la Polizia Municipale della zona Magenta, l’Amministrazione comunale ha distribuito in questi giorni a portinerie, aziende e negozi un dépliant informativo per gli abitanti con notizie sui cantieri, le scadenze e la riorganizzazione della sosta. Filovia 90-91. Nata per sezioni, come Ce (Circolare Esterna) nel novembre del 1936 e completata nell’ottobre del 1951, la 90-91 è una delle tre linee filoviarie dell’Atm. Trasporta più di 100 mila passeggeri al giorno, il dato in assoluto più alto sulla rete di superficie a Milano. Nelle ore di punta su entrambe le direzioni di marcia funzionano 59 mezzi. Ognuno è in grado di trasportare 160 persone (lunghezza del filobus 18 metri). Il percorso della 90-91 è quella della circonvallazione esterna della città, lunga 21.1 km. Per 9,9 km corre in sede protetta; per il resto corre in mezzo al traffico privato che ne riduce notevolmente la velocità commerciale (oggi mediamente sui 16 km. All’ora). Di giorno, a conferma dell’intralcio del traffico privato, il filobus percorre i 21 km di circonvallazione in un tempo massimo di 112 minuti (un’ora e 52 minuti); di notte in un tempo minimo di 62 minuti (poco più di un’ora). La 90-91 fa servizio dalle 3.45 del mattino sino alle 2 di notte. Neppure due ore quindi di interruzione nel servizio giornaliero. Risale al settembre 1983 la conclusione del primo intervento del Comune, da via Tonale a piazzale Lugano, per realizzare un tratto di sede protetta della 90-91. Gli ultimi lavori, per prolungare la sede riservata da via Meda a via Tertulliano, sono terminati nel febbraio del 1998. Concluso l’intervento iniziato a luglio di quest’anno, per avere la sede protetta su tutta la circonvallazione esterna resteranno da completare i tratti da piazzale Zavattari a piazzale Lugano e da piazza Piola a viale Umbria, 8 km in tutto.  
   
   
MILANO: 90-91: DAL PRIMO LUGLIO I LAVORI PER LA SEDE RISERVATA DELLA FILOVIA ALTRI 3 CHILOMETRI "PROTETTI" DA PIAZZALE DELLE MILIZIE A PIAZZALE ZAVATTARI  
 
Milano, 30 giugno 2004 - Si allunga la corsìa riservata della 90-91, dove il filobus può procedere speditamente senza l’intralcio dei mezzi privati. Giovedì primo luglio sulla circonvallazione esterna iniziano i lavori per la realizzazione di un nuovo tratto di sede protetta fra Piazzale delle Milizie e piazzale Zavattari: lavori che aiuteranno a velocizzare il transito della filovia su un percorso di 3 km, oggi caratterizzato da un traffico molto intenso, spesso congestionato, soprattutto nelle ore del giorno. Per limitare l’impatto sulla viabilità e la sosta sono state previste due fasi di lavoro, ciascuna con tre cantieri discontinui. La prima, attivata da dopodomani, prevede un primo cantiere da Piazzale delle Milizie a via Solari, un secondo da piazza Bolivar a via Sardegna e un terzo da via Trivulzio a piazzale Brescia. Viabilità garantita. I cantieri occuperanno, almeno nei primi mesi, solo lo spartitraffico centrale della carreggiata, fino ad oggi utilizzato come parcheggio, per cui non dovrebbero aversi particolari rallentamenti nel traffico lungo le carreggiate laterali. Eliminati dal parterre centrale, gli spazi auto sono stati tutti recuperati dal Settore Strade, Parcheggi e Segnaletica del Comune lungo le strade laterali della circonvallazione, come via Tortona, via Tolstoi, via Previati, via Garian, via Del Fusaro. Sosta riorganizzata sulle fasce laterali. L’intervento per la corsia riservata della 90-91 richiederà circa 3 anni di lavori mentre la spesa complessiva per l’intervento dovrebbe aggirarsi sui 12 milioni di euro. Oltre alla sistemazione del parterre centrale, il progetto prevede la piantumazione a verde a lato della carreggiata, la riorganizzazione delle aree di sosta sulle fasce laterali (con alla fine 1200 posti auto) e il coordinamento degli impianti semaforici lungo l’intero asse stradale. “Per la filovia 90-91- sottolinea l’assessore ai Trasporti, Giorgio Goggi - la sede protetta su altri 3 km comporterà un aumento del 20 per cento della velocità commerciale”. Informativa agli abitanti. Attraverso la Polizia Municipale della zona Magenta, l’Amministrazione comunale ha distribuito in questi giorni a portinerie, aziende e negozi un dépliant informativo per gli abitanti con notizie sui cantieri, le scadenze e la riorganizzazione della sosta. Filovia 90-91. Nata per sezioni, come Ce (Circolare Esterna) nel novembre del 1936 e completata nell’ottobre del 1951, la 90-91 è una delle tre linee filoviarie dell’Atm. Trasporta più di 100 mila passeggeri al giorno, il dato in assoluto più alto sulla rete di superficie a Milano. Nelle ore di punta su entrambe le direzioni di marcia funzionano 59 mezzi. Ognuno è in grado di trasportare 160 persone (lunghezza del filobus 18 metri). Il percorso della 90-91 è quella della circonvallazione esterna della città, lunga 21.1 km. Per 9,9 km corre in sede protetta; per il resto corre in mezzo al traffico privato che ne riduce notevolmente la velocità commerciale (oggi mediamente sui 16 km. All’ora). Di giorno, a conferma dell’intralcio del traffico privato, il filobus percorre i 21 km di circonvallazione in un tempo massimo di 112 minuti (un’ora e 52 minuti); di notte in un tempo minimo di 62 minuti (poco più di un’ora). La 90-91 fa servizio dalle 3.45 del mattino sino alle 2 di notte. Neppure due ore quindi di interruzione nel servizio giornaliero. Risale al settembre 1983 la conclusione del primo intervento del Comune, da via Tonale a piazzale Lugano, per realizzare un tratto di sede protetta della 90-91. Gli ultimi lavori, per prolungare la sede riservata da via Meda a via Tertulliano, sono terminati nel febbraio del 1998. Concluso l’intervento iniziato a luglio di quest’anno, per avere la sede protetta su tutta la circonvallazione esterna resteranno da completare i tratti da piazzale Zavattari a piazzale Lugano e da piazza Piola a viale Umbria, 8 km in tutto.  
   
   
RIUNIONE DI PRESENTAZIONE DEI RISULTATI DELLO STUDIO PILOTA ECOEHIS  
 
Bruxelles, 30 giugno 2004 - Nel corso di una riunione del progetto Ecoehis finanziato dall'Ue, che si svolgerà a Bonn dal 7 al 9 luglio, verranno presentati i risultati di uno studio pilota per definire gl'indicatori di salute ambientale da usare nell'intera Ue. Il progetto Ecoehis (European Community Health and Environment Information System) è stato implementato dalla Oms (Organizzazione Mondiale della Sanità) come contributo al sistema di monitoraggio sanitario dell'Ue. Il progetto è stato sviluppato nel contesto di un più ampio progetto Oms/ue per creare un Ehis (Environmental Health Information System) europeo destinato a monitorare la salute pubblica e le politiche ambientali, appoggiare le analisi nazionali e multinazionali, agevolare il processo decisionale per quanto concerne i rischi di salute ambientale negli Stati membri. La riunione di Bonn, basata sulle esperienze nazionali dello studio e sui risultati del riesame delle pertinenti banche di dati internazionali e dei sistemi di report, raccomanderà una serie di indicatori 'fondamentali' che possono essere immediatamente inglobati nel sistema comunitario di monitoraggio della salute e nell'Echi (Ec Health Indicators core set). La riunione discuterà inoltre la struttura della relazione finale del progetto Ecoehis e deciderà le azioni di follow-up. Infolink: http://www.Who.dk/eprise/main/who/progs/ehi/methodology/20040602_1  
   
   
RIUNIONE DI PRESENTAZIONE DEI RISULTATI DELLO STUDIO PILOTA ECOEHIS  
 
Bruxelles, 30 giugno 2004 - Nel corso di una riunione del progetto Ecoehis finanziato dall'Ue, che si svolgerà a Bonn dal 7 al 9 luglio, verranno presentati i risultati di uno studio pilota per definire gl'indicatori di salute ambientale da usare nell'intera Ue. Il progetto Ecoehis (European Community Health and Environment Information System) è stato implementato dalla Oms (Organizzazione Mondiale della Sanità) come contributo al sistema di monitoraggio sanitario dell'Ue. Il progetto è stato sviluppato nel contesto di un più ampio progetto Oms/ue per creare un Ehis (Environmental Health Information System) europeo destinato a monitorare la salute pubblica e le politiche ambientali, appoggiare le analisi nazionali e multinazionali, agevolare il processo decisionale per quanto concerne i rischi di salute ambientale negli Stati membri. La riunione di Bonn, basata sulle esperienze nazionali dello studio e sui risultati del riesame delle pertinenti banche di dati internazionali e dei sistemi di report, raccomanderà una serie di indicatori 'fondamentali' che possono essere immediatamente inglobati nel sistema comunitario di monitoraggio della salute e nell'Echi (Ec Health Indicators core set). La riunione discuterà inoltre la struttura della relazione finale del progetto Ecoehis e deciderà le azioni di follow-up. Infolink: http://www.Who.dk/eprise/main/who/progs/ehi/methodology/20040602_1  
   
   
RIUNIONE DI PRESENTAZIONE DEI RISULTATI DELLO STUDIO PILOTA ECOEHIS  
 
Bruxelles, 30 giugno 2004 - Nel corso di una riunione del progetto Ecoehis finanziato dall'Ue, che si svolgerà a Bonn dal 7 al 9 luglio, verranno presentati i risultati di uno studio pilota per definire gl'indicatori di salute ambientale da usare nell'intera Ue. Il progetto Ecoehis (European Community Health and Environment Information System) è stato implementato dalla Oms (Organizzazione Mondiale della Sanità) come contributo al sistema di monitoraggio sanitario dell'Ue. Il progetto è stato sviluppato nel contesto di un più ampio progetto Oms/ue per creare un Ehis (Environmental Health Information System) europeo destinato a monitorare la salute pubblica e le politiche ambientali, appoggiare le analisi nazionali e multinazionali, agevolare il processo decisionale per quanto concerne i rischi di salute ambientale negli Stati membri. La riunione di Bonn, basata sulle esperienze nazionali dello studio e sui risultati del riesame delle pertinenti banche di dati internazionali e dei sistemi di report, raccomanderà una serie di indicatori 'fondamentali' che possono essere immediatamente inglobati nel sistema comunitario di monitoraggio della salute e nell'Echi (Ec Health Indicators core set). La riunione discuterà inoltre la struttura della relazione finale del progetto Ecoehis e deciderà le azioni di follow-up. Infolink: http://www.Who.dk/eprise/main/who/progs/ehi/methodology/20040602_1  
   
   
RIUNIONE DI PRESENTAZIONE DEI RISULTATI DELLO STUDIO PILOTA ECOEHIS  
 
Bruxelles, 30 giugno 2004 - Nel corso di una riunione del progetto Ecoehis finanziato dall'Ue, che si svolgerà a Bonn dal 7 al 9 luglio, verranno presentati i risultati di uno studio pilota per definire gl'indicatori di salute ambientale da usare nell'intera Ue. Il progetto Ecoehis (European Community Health and Environment Information System) è stato implementato dalla Oms (Organizzazione Mondiale della Sanità) come contributo al sistema di monitoraggio sanitario dell'Ue. Il progetto è stato sviluppato nel contesto di un più ampio progetto Oms/ue per creare un Ehis (Environmental Health Information System) europeo destinato a monitorare la salute pubblica e le politiche ambientali, appoggiare le analisi nazionali e multinazionali, agevolare il processo decisionale per quanto concerne i rischi di salute ambientale negli Stati membri. La riunione di Bonn, basata sulle esperienze nazionali dello studio e sui risultati del riesame delle pertinenti banche di dati internazionali e dei sistemi di report, raccomanderà una serie di indicatori 'fondamentali' che possono essere immediatamente inglobati nel sistema comunitario di monitoraggio della salute e nell'Echi (Ec Health Indicators core set). La riunione discuterà inoltre la struttura della relazione finale del progetto Ecoehis e deciderà le azioni di follow-up. Infolink: http://www.Who.dk/eprise/main/who/progs/ehi/methodology/20040602_1  
   
   
RIUNIONE DI PRESENTAZIONE DEI RISULTATI DELLO STUDIO PILOTA ECOEHIS  
 
Bruxelles, 30 giugno 2004 - Nel corso di una riunione del progetto Ecoehis finanziato dall'Ue, che si svolgerà a Bonn dal 7 al 9 luglio, verranno presentati i risultati di uno studio pilota per definire gl'indicatori di salute ambientale da usare nell'intera Ue. Il progetto Ecoehis (European Community Health and Environment Information System) è stato implementato dalla Oms (Organizzazione Mondiale della Sanità) come contributo al sistema di monitoraggio sanitario dell'Ue. Il progetto è stato sviluppato nel contesto di un più ampio progetto Oms/ue per creare un Ehis (Environmental Health Information System) europeo destinato a monitorare la salute pubblica e le politiche ambientali, appoggiare le analisi nazionali e multinazionali, agevolare il processo decisionale per quanto concerne i rischi di salute ambientale negli Stati membri. La riunione di Bonn, basata sulle esperienze nazionali dello studio e sui risultati del riesame delle pertinenti banche di dati internazionali e dei sistemi di report, raccomanderà una serie di indicatori 'fondamentali' che possono essere immediatamente inglobati nel sistema comunitario di monitoraggio della salute e nell'Echi (Ec Health Indicators core set). La riunione discuterà inoltre la struttura della relazione finale del progetto Ecoehis e deciderà le azioni di follow-up. Infolink: http://www.Who.dk/eprise/main/who/progs/ehi/methodology/20040602_1  
   
   
RIUNIONE DI PRESENTAZIONE DEI RISULTATI DELLO STUDIO PILOTA ECOEHIS  
 
Bruxelles, 30 giugno 2004 - Nel corso di una riunione del progetto Ecoehis finanziato dall'Ue, che si svolgerà a Bonn dal 7 al 9 luglio, verranno presentati i risultati di uno studio pilota per definire gl'indicatori di salute ambientale da usare nell'intera Ue. Il progetto Ecoehis (European Community Health and Environment Information System) è stato implementato dalla Oms (Organizzazione Mondiale della Sanità) come contributo al sistema di monitoraggio sanitario dell'Ue. Il progetto è stato sviluppato nel contesto di un più ampio progetto Oms/ue per creare un Ehis (Environmental Health Information System) europeo destinato a monitorare la salute pubblica e le politiche ambientali, appoggiare le analisi nazionali e multinazionali, agevolare il processo decisionale per quanto concerne i rischi di salute ambientale negli Stati membri. La riunione di Bonn, basata sulle esperienze nazionali dello studio e sui risultati del riesame delle pertinenti banche di dati internazionali e dei sistemi di report, raccomanderà una serie di indicatori 'fondamentali' che possono essere immediatamente inglobati nel sistema comunitario di monitoraggio della salute e nell'Echi (Ec Health Indicators core set). La riunione discuterà inoltre la struttura della relazione finale del progetto Ecoehis e deciderà le azioni di follow-up. Infolink: http://www.Who.dk/eprise/main/who/progs/ehi/methodology/20040602_1  
   
   
STOP ALLE “ECONOMIE FOSSILI” PER FRONTEGGIARE I CAMBIAMENTI CLIMATICI  
 
Milano, 30 giugno 2004 - Gli scienziati ci dicono che l'anidride carbonica (Co2); emessa in atmosfera con il consumo di petrolio, carbone e gas, aggraverà in modo incontrollabile e in tempi ravvicinati il cambiamento del clima sul pianeta, con effetti disastrosi per le comunità umane e per l'ambiente. Il problema è grave perché, oggi, la nostra economia e tutte le attività umane sono fondate su un crescente consumo di combustibili fossili mentre, per combattere il cambiamento climatico, occorrerebbe predisporre un sistema energetico alimentato da fonti rinnovabili e cominciare da subito ad usare l'energia con la maggiore efficienza possibile. Abbandonare "l'economia fossile" è indispensabile anche per ridurre l'inquinamento ambientale, per rendere più sicuri gli approvvigionamenti di energia e più stabili le nostre economie e per consentire ai paesi del terzo mondo di uscire più velocemente dalle condizioni di sottosviluppo e di povertà. Per questo il Tirannosauro Del Carbonio sta girando l'Europa ed è oggi in Italia per ricordare che occorre agire subito per uscire dall'era dei fossili. La peculiarità del progetto risiede negli strumenti di cui esso si avvale per veicolare il messaggio e nella capacità di coinvolgere, contemporaneamente, realtà diverse e distanti tra loro. Da maggio a settembre, tre rappresentanti di Foee attraverseranno 25 stati a bordo di un furgone e faranno tappa nelle principali città. Porteranno con sé un enorme tirannosauro gonfiabile in plastica. Attraverso il tirannosauro, simbolo di questa campagna, vogliamo dire “Stop alle economie fossili”, ormai obsolete e dannose per l’ambiente. Come si è estinto il tirannosauro, a seguito della sua incapacità di evolversi fronteggiando i cambiamenti intervenuti sul Pianeta, anche le industrie e i Paesi che basano la propria economia essenzialmente sui combustibili fossili sono destinati a fare la stessa fine. L’anidride carbonica generata dalla combustione di questi ultimi e rilasciata in atmosfera è infatti la principale responsabile del surriscaldamento del Pianeta e dei preoccupanti effetti che questo determina. Il Dino-tour ha toccato ieri Milano, unica tappa italiana, per ripartire domani alla volta della Grecia. All’interno del Parco Sempione a Milano si è tenuta una conferenza stampa che ha aperto questa giornata dedicata al tema dei cambiamenti climatici in atto e ai bambini. Sono intervenuti Camillo Piazza, direttore generale di Amici della Terra Italia e Giorgio Goggi, assessore ai Trasporti del Comune di Milano. Con l’aiuto di bravissimi animatori che hanno preparato giochi e intrattenimenti, abbiamo coinvolto più di 500 bambini di diversi centri estivi presenti a Milano in un’iniziativa all’aria aperta e a contatto con la natura. Qui hanno avuto occasione di esprimere liberamente con parole, immagini, suoni, gesti e tanto divertimento le proprie idee e opinioni sul clima e i cambiamenti in atto. Trattandosi di un’iniziativa a carattere internazionale, siamo convinti che il Dino-tour abbia rappresentato un’occasione imperdibile per la nostra città, che ha già ospitato la Cop9 nel mese di dicembre e che oggi ha nuovamente avuto modo di confrontarsi con altre realtà e mostrarsi attenta alle problematiche legate ai progressivi cambiamenti climatici.Infolink: http://www.Foeeurope.org/dinosaur  
   
   
STOP ALLE “ECONOMIE FOSSILI” PER FRONTEGGIARE I CAMBIAMENTI CLIMATICI  
 
Milano, 30 giugno 2004 - Gli scienziati ci dicono che l'anidride carbonica (Co2); emessa in atmosfera con il consumo di petrolio, carbone e gas, aggraverà in modo incontrollabile e in tempi ravvicinati il cambiamento del clima sul pianeta, con effetti disastrosi per le comunità umane e per l'ambiente. Il problema è grave perché, oggi, la nostra economia e tutte le attività umane sono fondate su un crescente consumo di combustibili fossili mentre, per combattere il cambiamento climatico, occorrerebbe predisporre un sistema energetico alimentato da fonti rinnovabili e cominciare da subito ad usare l'energia con la maggiore efficienza possibile. Abbandonare "l'economia fossile" è indispensabile anche per ridurre l'inquinamento ambientale, per rendere più sicuri gli approvvigionamenti di energia e più stabili le nostre economie e per consentire ai paesi del terzo mondo di uscire più velocemente dalle condizioni di sottosviluppo e di povertà. Per questo il Tirannosauro Del Carbonio sta girando l'Europa ed è oggi in Italia per ricordare che occorre agire subito per uscire dall'era dei fossili. La peculiarità del progetto risiede negli strumenti di cui esso si avvale per veicolare il messaggio e nella capacità di coinvolgere, contemporaneamente, realtà diverse e distanti tra loro. Da maggio a settembre, tre rappresentanti di Foee attraverseranno 25 stati a bordo di un furgone e faranno tappa nelle principali città. Porteranno con sé un enorme tirannosauro gonfiabile in plastica. Attraverso il tirannosauro, simbolo di questa campagna, vogliamo dire “Stop alle economie fossili”, ormai obsolete e dannose per l’ambiente. Come si è estinto il tirannosauro, a seguito della sua incapacità di evolversi fronteggiando i cambiamenti intervenuti sul Pianeta, anche le industrie e i Paesi che basano la propria economia essenzialmente sui combustibili fossili sono destinati a fare la stessa fine. L’anidride carbonica generata dalla combustione di questi ultimi e rilasciata in atmosfera è infatti la principale responsabile del surriscaldamento del Pianeta e dei preoccupanti effetti che questo determina. Il Dino-tour ha toccato ieri Milano, unica tappa italiana, per ripartire domani alla volta della Grecia. All’interno del Parco Sempione a Milano si è tenuta una conferenza stampa che ha aperto questa giornata dedicata al tema dei cambiamenti climatici in atto e ai bambini. Sono intervenuti Camillo Piazza, direttore generale di Amici della Terra Italia e Giorgio Goggi, assessore ai Trasporti del Comune di Milano. Con l’aiuto di bravissimi animatori che hanno preparato giochi e intrattenimenti, abbiamo coinvolto più di 500 bambini di diversi centri estivi presenti a Milano in un’iniziativa all’aria aperta e a contatto con la natura. Qui hanno avuto occasione di esprimere liberamente con parole, immagini, suoni, gesti e tanto divertimento le proprie idee e opinioni sul clima e i cambiamenti in atto. Trattandosi di un’iniziativa a carattere internazionale, siamo convinti che il Dino-tour abbia rappresentato un’occasione imperdibile per la nostra città, che ha già ospitato la Cop9 nel mese di dicembre e che oggi ha nuovamente avuto modo di confrontarsi con altre realtà e mostrarsi attenta alle problematiche legate ai progressivi cambiamenti climatici.Infolink: http://www.Foeeurope.org/dinosaur  
   
   
STOP ALLE “ECONOMIE FOSSILI” PER FRONTEGGIARE I CAMBIAMENTI CLIMATICI  
 
Milano, 30 giugno 2004 - Gli scienziati ci dicono che l'anidride carbonica (Co2); emessa in atmosfera con il consumo di petrolio, carbone e gas, aggraverà in modo incontrollabile e in tempi ravvicinati il cambiamento del clima sul pianeta, con effetti disastrosi per le comunità umane e per l'ambiente. Il problema è grave perché, oggi, la nostra economia e tutte le attività umane sono fondate su un crescente consumo di combustibili fossili mentre, per combattere il cambiamento climatico, occorrerebbe predisporre un sistema energetico alimentato da fonti rinnovabili e cominciare da subito ad usare l'energia con la maggiore efficienza possibile. Abbandonare "l'economia fossile" è indispensabile anche per ridurre l'inquinamento ambientale, per rendere più sicuri gli approvvigionamenti di energia e più stabili le nostre economie e per consentire ai paesi del terzo mondo di uscire più velocemente dalle condizioni di sottosviluppo e di povertà. Per questo il Tirannosauro Del Carbonio sta girando l'Europa ed è oggi in Italia per ricordare che occorre agire subito per uscire dall'era dei fossili. La peculiarità del progetto risiede negli strumenti di cui esso si avvale per veicolare il messaggio e nella capacità di coinvolgere, contemporaneamente, realtà diverse e distanti tra loro. Da maggio a settembre, tre rappresentanti di Foee attraverseranno 25 stati a bordo di un furgone e faranno tappa nelle principali città. Porteranno con sé un enorme tirannosauro gonfiabile in plastica. Attraverso il tirannosauro, simbolo di questa campagna, vogliamo dire “Stop alle economie fossili”, ormai obsolete e dannose per l’ambiente. Come si è estinto il tirannosauro, a seguito della sua incapacità di evolversi fronteggiando i cambiamenti intervenuti sul Pianeta, anche le industrie e i Paesi che basano la propria economia essenzialmente sui combustibili fossili sono destinati a fare la stessa fine. L’anidride carbonica generata dalla combustione di questi ultimi e rilasciata in atmosfera è infatti la principale responsabile del surriscaldamento del Pianeta e dei preoccupanti effetti che questo determina. Il Dino-tour ha toccato ieri Milano, unica tappa italiana, per ripartire domani alla volta della Grecia. All’interno del Parco Sempione a Milano si è tenuta una conferenza stampa che ha aperto questa giornata dedicata al tema dei cambiamenti climatici in atto e ai bambini. Sono intervenuti Camillo Piazza, direttore generale di Amici della Terra Italia e Giorgio Goggi, assessore ai Trasporti del Comune di Milano. Con l’aiuto di bravissimi animatori che hanno preparato giochi e intrattenimenti, abbiamo coinvolto più di 500 bambini di diversi centri estivi presenti a Milano in un’iniziativa all’aria aperta e a contatto con la natura. Qui hanno avuto occasione di esprimere liberamente con parole, immagini, suoni, gesti e tanto divertimento le proprie idee e opinioni sul clima e i cambiamenti in atto. Trattandosi di un’iniziativa a carattere internazionale, siamo convinti che il Dino-tour abbia rappresentato un’occasione imperdibile per la nostra città, che ha già ospitato la Cop9 nel mese di dicembre e che oggi ha nuovamente avuto modo di confrontarsi con altre realtà e mostrarsi attenta alle problematiche legate ai progressivi cambiamenti climatici.Infolink: http://www.Foeeurope.org/dinosaur  
   
   
STOP ALLE “ECONOMIE FOSSILI” PER FRONTEGGIARE I CAMBIAMENTI CLIMATICI  
 
Milano, 30 giugno 2004 - Gli scienziati ci dicono che l'anidride carbonica (Co2); emessa in atmosfera con il consumo di petrolio, carbone e gas, aggraverà in modo incontrollabile e in tempi ravvicinati il cambiamento del clima sul pianeta, con effetti disastrosi per le comunità umane e per l'ambiente. Il problema è grave perché, oggi, la nostra economia e tutte le attività umane sono fondate su un crescente consumo di combustibili fossili mentre, per combattere il cambiamento climatico, occorrerebbe predisporre un sistema energetico alimentato da fonti rinnovabili e cominciare da subito ad usare l'energia con la maggiore efficienza possibile. Abbandonare "l'economia fossile" è indispensabile anche per ridurre l'inquinamento ambientale, per rendere più sicuri gli approvvigionamenti di energia e più stabili le nostre economie e per consentire ai paesi del terzo mondo di uscire più velocemente dalle condizioni di sottosviluppo e di povertà. Per questo il Tirannosauro Del Carbonio sta girando l'Europa ed è oggi in Italia per ricordare che occorre agire subito per uscire dall'era dei fossili. La peculiarità del progetto risiede negli strumenti di cui esso si avvale per veicolare il messaggio e nella capacità di coinvolgere, contemporaneamente, realtà diverse e distanti tra loro. Da maggio a settembre, tre rappresentanti di Foee attraverseranno 25 stati a bordo di un furgone e faranno tappa nelle principali città. Porteranno con sé un enorme tirannosauro gonfiabile in plastica. Attraverso il tirannosauro, simbolo di questa campagna, vogliamo dire “Stop alle economie fossili”, ormai obsolete e dannose per l’ambiente. Come si è estinto il tirannosauro, a seguito della sua incapacità di evolversi fronteggiando i cambiamenti intervenuti sul Pianeta, anche le industrie e i Paesi che basano la propria economia essenzialmente sui combustibili fossili sono destinati a fare la stessa fine. L’anidride carbonica generata dalla combustione di questi ultimi e rilasciata in atmosfera è infatti la principale responsabile del surriscaldamento del Pianeta e dei preoccupanti effetti che questo determina. Il Dino-tour ha toccato ieri Milano, unica tappa italiana, per ripartire domani alla volta della Grecia. All’interno del Parco Sempione a Milano si è tenuta una conferenza stampa che ha aperto questa giornata dedicata al tema dei cambiamenti climatici in atto e ai bambini. Sono intervenuti Camillo Piazza, direttore generale di Amici della Terra Italia e Giorgio Goggi, assessore ai Trasporti del Comune di Milano. Con l’aiuto di bravissimi animatori che hanno preparato giochi e intrattenimenti, abbiamo coinvolto più di 500 bambini di diversi centri estivi presenti a Milano in un’iniziativa all’aria aperta e a contatto con la natura. Qui hanno avuto occasione di esprimere liberamente con parole, immagini, suoni, gesti e tanto divertimento le proprie idee e opinioni sul clima e i cambiamenti in atto. Trattandosi di un’iniziativa a carattere internazionale, siamo convinti che il Dino-tour abbia rappresentato un’occasione imperdibile per la nostra città, che ha già ospitato la Cop9 nel mese di dicembre e che oggi ha nuovamente avuto modo di confrontarsi con altre realtà e mostrarsi attenta alle problematiche legate ai progressivi cambiamenti climatici.Infolink: http://www.Foeeurope.org/dinosaur  
   
   
STOP ALLE “ECONOMIE FOSSILI” PER FRONTEGGIARE I CAMBIAMENTI CLIMATICI  
 
Milano, 30 giugno 2004 - Gli scienziati ci dicono che l'anidride carbonica (Co2); emessa in atmosfera con il consumo di petrolio, carbone e gas, aggraverà in modo incontrollabile e in tempi ravvicinati il cambiamento del clima sul pianeta, con effetti disastrosi per le comunità umane e per l'ambiente. Il problema è grave perché, oggi, la nostra economia e tutte le attività umane sono fondate su un crescente consumo di combustibili fossili mentre, per combattere il cambiamento climatico, occorrerebbe predisporre un sistema energetico alimentato da fonti rinnovabili e cominciare da subito ad usare l'energia con la maggiore efficienza possibile. Abbandonare "l'economia fossile" è indispensabile anche per ridurre l'inquinamento ambientale, per rendere più sicuri gli approvvigionamenti di energia e più stabili le nostre economie e per consentire ai paesi del terzo mondo di uscire più velocemente dalle condizioni di sottosviluppo e di povertà. Per questo il Tirannosauro Del Carbonio sta girando l'Europa ed è oggi in Italia per ricordare che occorre agire subito per uscire dall'era dei fossili. La peculiarità del progetto risiede negli strumenti di cui esso si avvale per veicolare il messaggio e nella capacità di coinvolgere, contemporaneamente, realtà diverse e distanti tra loro. Da maggio a settembre, tre rappresentanti di Foee attraverseranno 25 stati a bordo di un furgone e faranno tappa nelle principali città. Porteranno con sé un enorme tirannosauro gonfiabile in plastica. Attraverso il tirannosauro, simbolo di questa campagna, vogliamo dire “Stop alle economie fossili”, ormai obsolete e dannose per l’ambiente. Come si è estinto il tirannosauro, a seguito della sua incapacità di evolversi fronteggiando i cambiamenti intervenuti sul Pianeta, anche le industrie e i Paesi che basano la propria economia essenzialmente sui combustibili fossili sono destinati a fare la stessa fine. L’anidride carbonica generata dalla combustione di questi ultimi e rilasciata in atmosfera è infatti la principale responsabile del surriscaldamento del Pianeta e dei preoccupanti effetti che questo determina. Il Dino-tour ha toccato ieri Milano, unica tappa italiana, per ripartire domani alla volta della Grecia. All’interno del Parco Sempione a Milano si è tenuta una conferenza stampa che ha aperto questa giornata dedicata al tema dei cambiamenti climatici in atto e ai bambini. Sono intervenuti Camillo Piazza, direttore generale di Amici della Terra Italia e Giorgio Goggi, assessore ai Trasporti del Comune di Milano. Con l’aiuto di bravissimi animatori che hanno preparato giochi e intrattenimenti, abbiamo coinvolto più di 500 bambini di diversi centri estivi presenti a Milano in un’iniziativa all’aria aperta e a contatto con la natura. Qui hanno avuto occasione di esprimere liberamente con parole, immagini, suoni, gesti e tanto divertimento le proprie idee e opinioni sul clima e i cambiamenti in atto. Trattandosi di un’iniziativa a carattere internazionale, siamo convinti che il Dino-tour abbia rappresentato un’occasione imperdibile per la nostra città, che ha già ospitato la Cop9 nel mese di dicembre e che oggi ha nuovamente avuto modo di confrontarsi con altre realtà e mostrarsi attenta alle problematiche legate ai progressivi cambiamenti climatici.Infolink: http://www.Foeeurope.org/dinosaur  
   
   
STOP ALLE “ECONOMIE FOSSILI” PER FRONTEGGIARE I CAMBIAMENTI CLIMATICI  
 
Milano, 30 giugno 2004 - Gli scienziati ci dicono che l'anidride carbonica (Co2); emessa in atmosfera con il consumo di petrolio, carbone e gas, aggraverà in modo incontrollabile e in tempi ravvicinati il cambiamento del clima sul pianeta, con effetti disastrosi per le comunità umane e per l'ambiente. Il problema è grave perché, oggi, la nostra economia e tutte le attività umane sono fondate su un crescente consumo di combustibili fossili mentre, per combattere il cambiamento climatico, occorrerebbe predisporre un sistema energetico alimentato da fonti rinnovabili e cominciare da subito ad usare l'energia con la maggiore efficienza possibile. Abbandonare "l'economia fossile" è indispensabile anche per ridurre l'inquinamento ambientale, per rendere più sicuri gli approvvigionamenti di energia e più stabili le nostre economie e per consentire ai paesi del terzo mondo di uscire più velocemente dalle condizioni di sottosviluppo e di povertà. Per questo il Tirannosauro Del Carbonio sta girando l'Europa ed è oggi in Italia per ricordare che occorre agire subito per uscire dall'era dei fossili. La peculiarità del progetto risiede negli strumenti di cui esso si avvale per veicolare il messaggio e nella capacità di coinvolgere, contemporaneamente, realtà diverse e distanti tra loro. Da maggio a settembre, tre rappresentanti di Foee attraverseranno 25 stati a bordo di un furgone e faranno tappa nelle principali città. Porteranno con sé un enorme tirannosauro gonfiabile in plastica. Attraverso il tirannosauro, simbolo di questa campagna, vogliamo dire “Stop alle economie fossili”, ormai obsolete e dannose per l’ambiente. Come si è estinto il tirannosauro, a seguito della sua incapacità di evolversi fronteggiando i cambiamenti intervenuti sul Pianeta, anche le industrie e i Paesi che basano la propria economia essenzialmente sui combustibili fossili sono destinati a fare la stessa fine. L’anidride carbonica generata dalla combustione di questi ultimi e rilasciata in atmosfera è infatti la principale responsabile del surriscaldamento del Pianeta e dei preoccupanti effetti che questo determina. Il Dino-tour ha toccato ieri Milano, unica tappa italiana, per ripartire domani alla volta della Grecia. All’interno del Parco Sempione a Milano si è tenuta una conferenza stampa che ha aperto questa giornata dedicata al tema dei cambiamenti climatici in atto e ai bambini. Sono intervenuti Camillo Piazza, direttore generale di Amici della Terra Italia e Giorgio Goggi, assessore ai Trasporti del Comune di Milano. Con l’aiuto di bravissimi animatori che hanno preparato giochi e intrattenimenti, abbiamo coinvolto più di 500 bambini di diversi centri estivi presenti a Milano in un’iniziativa all’aria aperta e a contatto con la natura. Qui hanno avuto occasione di esprimere liberamente con parole, immagini, suoni, gesti e tanto divertimento le proprie idee e opinioni sul clima e i cambiamenti in atto. Trattandosi di un’iniziativa a carattere internazionale, siamo convinti che il Dino-tour abbia rappresentato un’occasione imperdibile per la nostra città, che ha già ospitato la Cop9 nel mese di dicembre e che oggi ha nuovamente avuto modo di confrontarsi con altre realtà e mostrarsi attenta alle problematiche legate ai progressivi cambiamenti climatici.Infolink: http://www.Foeeurope.org/dinosaur  
   
   
ITALIANI: L'AMBIENTE E' SEMPRE NEI LORO PENSIERI L'80% E' PREOCCUPATO PER LA DISTRUZIONE DELLA NATURA, CRESCONO TIMORI E RESPONSABILITA' SUI TEMI AMBIENTALI RUOLO CHIAVE DELLE IMPRESE PER SOLUZIONI SOSTENIBILI  
 
Milano, 30 giugno 2004 - L'81% degli italiani si dice preoccupato per l'inquinamento dell'aria, dell'acqua, della terra e degli alimenti, mentre l'80% ha a cuore la distruzione della natura, delle piante e degli animali, dei fiumi. Insomma, gli italiani vedono con ansia e timore per il futuro a medio e a lungo termine, cresciuto di 5-8 punti dal 2000 a oggi. Più sensibili sono le donne, i residenti nel centro-sud, i soggetti con classe inferiore alla media, gli opinion leader diffusi, con picchi tra i giovanissimi non meno che tra i 35-44enni. E' quanto emerge da una ricerca realizzata da Astra/demoskopea e commissionata dal Wwf sul rapporto tra gli italiani e l'ambiente. In questo quadro, il Wwf emerge come un leader stimato e autorevole, noto al 94% degli intervistati (le poche eccezioni riguardano i soggetti piu' anziani e meno scolarizzati) e il 78% sa che e' "un'organizzazione mondiale che opera in tanti paesi diversi". I risultati della ricerca realizzata sono stati presentati oggi ad istituzioni, aziende ed agenzie nel corso di un incontro a Milano (Mediateca di Santa Teresa); con il Presidente di Astra/demoskopea Enrico Finzi, il Segretario Generale del Wwf Michele Candotti, il prof. Marco Frey dell'Università Bocconi. Secondo il sondaggio "Gli italiani e l'ambiente", il 72% dei circa 1.000 intervistati (scelti da un campione rappresentativo della popolazione tra i 14 e i 79 anni, pari ad un universo di oltre 47 milioni di adulti) si dice molto preoccupato del futuro del Pianeta: il 56% (dieci punti in piu' rispetto a sei anni fa!) afferma con forza che "se andiamo avanti così l'umanità scomparira' dalla Terra a causa dell'inquinamento e della distruzione della natura". Importante sottolineare che le notizie allarmanti non arrivano solo dai media: e' anche la conoscenza diretta (la propria esperienza personale) a mettere sul chi vive la maggioranza degli italiani sull'ambiente. Rispetto alla fine degli anni '90, l'indagine mette in risalto un accresciuto senso di responsabilita' degli italiani nei confronti dei problemi ambientali, anche riguardo agli stili di vita: l'82% del campione sostiene che "se vogliamo lasciare ai giovani un mondo vivibile e migliore, dobbiamo imparare a consumare di meno e a vivere di più la natura". Un dato nuovo è quello che riguarda la tecnologia, con il tracollo dei "tecnòfobi": rispetto al 60% dell'inizio degli anni '90, ora non più del 41% sostiene che "il mondo sarà rovinato dalla tecnologia", mentre cresce il fronte opposto, secondo il quale "il mondo sarà salvato dalla tecnologia" (oltre 8 milioni di adulti, soprattutto colti e benestanti). "Il Wwf, come network internazionale e globale, è strategicamente allineato agli obiettivi di sviluppo per il millennio ma pone un'enfasi particolare nell'assicurare che il pilastro della sostenibilità ambientale sia paritetico ed integrato con gli altri due pilastri dello sviluppo sostenibile: la sostenibilità economica e sociale. Il mondo delle imprese offre una delle chiavi più significative per ricercare e trovare soluzioni sostenibili e praticabili alle attuali sfide ambientali planetarie e quindi la nostra missione non può essere compiuta con l'efficacia desiderata senza interloquire e collaborare con il mondo del business e senza creare le opportune e possibili sinergie tra l'influenza, la conoscenza e la competenza delle imprese e quelle del Wwf. Le risorse naturali mondiali sono utilizzate quotidianamente nei processi industriali, ma sono limitate e vi è crescente preoccupazione (e consapevolezza) sulle modalità di loro impiego; è dunque necessario incorporare i temi della conservazione delle risorse naturali come componenti - chiave delle strategie di business e di comunicazione, specialmente per i settori più impattanti e più direttamente dipendenti dall'impiego di risorse naturali." ha dichiarato Michele Candotti Segretario Generale Wwf Italia. La seconda parte della ricerca e' stata condotta sui soci, che sono piu' di 300.000 adulti, circa il 7 per mille della popolazione italiana e dall'alta "qualita' sociale" (nel 91% dei casi sono di classe medio-alta); eta' media 43 anni, presenti soprattutto al Nord (63%). Con un'aggiunta chiave: il Wwf ha iscritti trasversali a tutti gli orientamenti politici. La ricerca ha anche analizzato la percezione dell'immagine Wwf (oltre 37 milioni di italiani dichiarano di conoscere il logo dell'associazione). Il Wwf e' un "brand" fortissimo la cui notorieta' e' al livello delle marche leader, e' considerato come "leader" nel suo ambito, affidabile e soprattutto "super partes". Il rapporto tra apprezzamenti spontanei e critiche spontanee e' di 7 a 1. Questa affidabilita' e fiducia nel marchio si riflette nei rapporti con le aziende: tre casi studio sono stati presentati nel corso dell'incontro: quelli di Lafarge (leader mondiale nella produzione di materiali da costruzione, Conservation Partner del Wwf Internazionale); Novaterra (industria della panificazione che ha avviato una linea di prodotti biologici dopo l'accordo con il Wwf) ed il gruppo Electrolux (partner del Wwf Italia, leader nella produzione di elettrodomestici, con attenzione al risparmio energetico e ad impatto zero sul buco dell'ozono). Tre aziende che in modo diverso hanno legato i loro prodotti al logo del panda, cambiando anche il loro modello di produzione. Tra i grandi sostenitori dei progetti Wwf ricordiamo inoltre: Banca Americard, Canon, De Agostini, Dodo, Esselunga, Fondazione Cariplo, Gabel, La Carterie-panini, Nokia, Perfetti, Pritt, Reale Mutua Assicurazioni, E' disponibile il testo completo della ricerca. Infolink: www.Wwf.it  
   
   
ITALIANI: L'AMBIENTE E' SEMPRE NEI LORO PENSIERI L'80% E' PREOCCUPATO PER LA DISTRUZIONE DELLA NATURA, CRESCONO TIMORI E RESPONSABILITA' SUI TEMI AMBIENTALI RUOLO CHIAVE DELLE IMPRESE PER SOLUZIONI SOSTENIBILI  
 
Milano, 30 giugno 2004 - L'81% degli italiani si dice preoccupato per l'inquinamento dell'aria, dell'acqua, della terra e degli alimenti, mentre l'80% ha a cuore la distruzione della natura, delle piante e degli animali, dei fiumi. Insomma, gli italiani vedono con ansia e timore per il futuro a medio e a lungo termine, cresciuto di 5-8 punti dal 2000 a oggi. Più sensibili sono le donne, i residenti nel centro-sud, i soggetti con classe inferiore alla media, gli opinion leader diffusi, con picchi tra i giovanissimi non meno che tra i 35-44enni. E' quanto emerge da una ricerca realizzata da Astra/demoskopea e commissionata dal Wwf sul rapporto tra gli italiani e l'ambiente. In questo quadro, il Wwf emerge come un leader stimato e autorevole, noto al 94% degli intervistati (le poche eccezioni riguardano i soggetti piu' anziani e meno scolarizzati) e il 78% sa che e' "un'organizzazione mondiale che opera in tanti paesi diversi". I risultati della ricerca realizzata sono stati presentati oggi ad istituzioni, aziende ed agenzie nel corso di un incontro a Milano (Mediateca di Santa Teresa); con il Presidente di Astra/demoskopea Enrico Finzi, il Segretario Generale del Wwf Michele Candotti, il prof. Marco Frey dell'Università Bocconi. Secondo il sondaggio "Gli italiani e l'ambiente", il 72% dei circa 1.000 intervistati (scelti da un campione rappresentativo della popolazione tra i 14 e i 79 anni, pari ad un universo di oltre 47 milioni di adulti) si dice molto preoccupato del futuro del Pianeta: il 56% (dieci punti in piu' rispetto a sei anni fa!) afferma con forza che "se andiamo avanti così l'umanità scomparira' dalla Terra a causa dell'inquinamento e della distruzione della natura". Importante sottolineare che le notizie allarmanti non arrivano solo dai media: e' anche la conoscenza diretta (la propria esperienza personale) a mettere sul chi vive la maggioranza degli italiani sull'ambiente. Rispetto alla fine degli anni '90, l'indagine mette in risalto un accresciuto senso di responsabilita' degli italiani nei confronti dei problemi ambientali, anche riguardo agli stili di vita: l'82% del campione sostiene che "se vogliamo lasciare ai giovani un mondo vivibile e migliore, dobbiamo imparare a consumare di meno e a vivere di più la natura". Un dato nuovo è quello che riguarda la tecnologia, con il tracollo dei "tecnòfobi": rispetto al 60% dell'inizio degli anni '90, ora non più del 41% sostiene che "il mondo sarà rovinato dalla tecnologia", mentre cresce il fronte opposto, secondo il quale "il mondo sarà salvato dalla tecnologia" (oltre 8 milioni di adulti, soprattutto colti e benestanti). "Il Wwf, come network internazionale e globale, è strategicamente allineato agli obiettivi di sviluppo per il millennio ma pone un'enfasi particolare nell'assicurare che il pilastro della sostenibilità ambientale sia paritetico ed integrato con gli altri due pilastri dello sviluppo sostenibile: la sostenibilità economica e sociale. Il mondo delle imprese offre una delle chiavi più significative per ricercare e trovare soluzioni sostenibili e praticabili alle attuali sfide ambientali planetarie e quindi la nostra missione non può essere compiuta con l'efficacia desiderata senza interloquire e collaborare con il mondo del business e senza creare le opportune e possibili sinergie tra l'influenza, la conoscenza e la competenza delle imprese e quelle del Wwf. Le risorse naturali mondiali sono utilizzate quotidianamente nei processi industriali, ma sono limitate e vi è crescente preoccupazione (e consapevolezza) sulle modalità di loro impiego; è dunque necessario incorporare i temi della conservazione delle risorse naturali come componenti - chiave delle strategie di business e di comunicazione, specialmente per i settori più impattanti e più direttamente dipendenti dall'impiego di risorse naturali." ha dichiarato Michele Candotti Segretario Generale Wwf Italia. La seconda parte della ricerca e' stata condotta sui soci, che sono piu' di 300.000 adulti, circa il 7 per mille della popolazione italiana e dall'alta "qualita' sociale" (nel 91% dei casi sono di classe medio-alta); eta' media 43 anni, presenti soprattutto al Nord (63%). Con un'aggiunta chiave: il Wwf ha iscritti trasversali a tutti gli orientamenti politici. La ricerca ha anche analizzato la percezione dell'immagine Wwf (oltre 37 milioni di italiani dichiarano di conoscere il logo dell'associazione). Il Wwf e' un "brand" fortissimo la cui notorieta' e' al livello delle marche leader, e' considerato come "leader" nel suo ambito, affidabile e soprattutto "super partes". Il rapporto tra apprezzamenti spontanei e critiche spontanee e' di 7 a 1. Questa affidabilita' e fiducia nel marchio si riflette nei rapporti con le aziende: tre casi studio sono stati presentati nel corso dell'incontro: quelli di Lafarge (leader mondiale nella produzione di materiali da costruzione, Conservation Partner del Wwf Internazionale); Novaterra (industria della panificazione che ha avviato una linea di prodotti biologici dopo l'accordo con il Wwf) ed il gruppo Electrolux (partner del Wwf Italia, leader nella produzione di elettrodomestici, con attenzione al risparmio energetico e ad impatto zero sul buco dell'ozono). Tre aziende che in modo diverso hanno legato i loro prodotti al logo del panda, cambiando anche il loro modello di produzione. Tra i grandi sostenitori dei progetti Wwf ricordiamo inoltre: Banca Americard, Canon, De Agostini, Dodo, Esselunga, Fondazione Cariplo, Gabel, La Carterie-panini, Nokia, Perfetti, Pritt, Reale Mutua Assicurazioni, E' disponibile il testo completo della ricerca. Infolink: www.Wwf.it  
   
   
ITALIANI: L'AMBIENTE E' SEMPRE NEI LORO PENSIERI L'80% E' PREOCCUPATO PER LA DISTRUZIONE DELLA NATURA, CRESCONO TIMORI E RESPONSABILITA' SUI TEMI AMBIENTALI RUOLO CHIAVE DELLE IMPRESE PER SOLUZIONI SOSTENIBILI  
 
Milano, 30 giugno 2004 - L'81% degli italiani si dice preoccupato per l'inquinamento dell'aria, dell'acqua, della terra e degli alimenti, mentre l'80% ha a cuore la distruzione della natura, delle piante e degli animali, dei fiumi. Insomma, gli italiani vedono con ansia e timore per il futuro a medio e a lungo termine, cresciuto di 5-8 punti dal 2000 a oggi. Più sensibili sono le donne, i residenti nel centro-sud, i soggetti con classe inferiore alla media, gli opinion leader diffusi, con picchi tra i giovanissimi non meno che tra i 35-44enni. E' quanto emerge da una ricerca realizzata da Astra/demoskopea e commissionata dal Wwf sul rapporto tra gli italiani e l'ambiente. In questo quadro, il Wwf emerge come un leader stimato e autorevole, noto al 94% degli intervistati (le poche eccezioni riguardano i soggetti piu' anziani e meno scolarizzati) e il 78% sa che e' "un'organizzazione mondiale che opera in tanti paesi diversi". I risultati della ricerca realizzata sono stati presentati oggi ad istituzioni, aziende ed agenzie nel corso di un incontro a Milano (Mediateca di Santa Teresa); con il Presidente di Astra/demoskopea Enrico Finzi, il Segretario Generale del Wwf Michele Candotti, il prof. Marco Frey dell'Università Bocconi. Secondo il sondaggio "Gli italiani e l'ambiente", il 72% dei circa 1.000 intervistati (scelti da un campione rappresentativo della popolazione tra i 14 e i 79 anni, pari ad un universo di oltre 47 milioni di adulti) si dice molto preoccupato del futuro del Pianeta: il 56% (dieci punti in piu' rispetto a sei anni fa!) afferma con forza che "se andiamo avanti così l'umanità scomparira' dalla Terra a causa dell'inquinamento e della distruzione della natura". Importante sottolineare che le notizie allarmanti non arrivano solo dai media: e' anche la conoscenza diretta (la propria esperienza personale) a mettere sul chi vive la maggioranza degli italiani sull'ambiente. Rispetto alla fine degli anni '90, l'indagine mette in risalto un accresciuto senso di responsabilita' degli italiani nei confronti dei problemi ambientali, anche riguardo agli stili di vita: l'82% del campione sostiene che "se vogliamo lasciare ai giovani un mondo vivibile e migliore, dobbiamo imparare a consumare di meno e a vivere di più la natura". Un dato nuovo è quello che riguarda la tecnologia, con il tracollo dei "tecnòfobi": rispetto al 60% dell'inizio degli anni '90, ora non più del 41% sostiene che "il mondo sarà rovinato dalla tecnologia", mentre cresce il fronte opposto, secondo il quale "il mondo sarà salvato dalla tecnologia" (oltre 8 milioni di adulti, soprattutto colti e benestanti). "Il Wwf, come network internazionale e globale, è strategicamente allineato agli obiettivi di sviluppo per il millennio ma pone un'enfasi particolare nell'assicurare che il pilastro della sostenibilità ambientale sia paritetico ed integrato con gli altri due pilastri dello sviluppo sostenibile: la sostenibilità economica e sociale. Il mondo delle imprese offre una delle chiavi più significative per ricercare e trovare soluzioni sostenibili e praticabili alle attuali sfide ambientali planetarie e quindi la nostra missione non può essere compiuta con l'efficacia desiderata senza interloquire e collaborare con il mondo del business e senza creare le opportune e possibili sinergie tra l'influenza, la conoscenza e la competenza delle imprese e quelle del Wwf. Le risorse naturali mondiali sono utilizzate quotidianamente nei processi industriali, ma sono limitate e vi è crescente preoccupazione (e consapevolezza) sulle modalità di loro impiego; è dunque necessario incorporare i temi della conservazione delle risorse naturali come componenti - chiave delle strategie di business e di comunicazione, specialmente per i settori più impattanti e più direttamente dipendenti dall'impiego di risorse naturali." ha dichiarato Michele Candotti Segretario Generale Wwf Italia. La seconda parte della ricerca e' stata condotta sui soci, che sono piu' di 300.000 adulti, circa il 7 per mille della popolazione italiana e dall'alta "qualita' sociale" (nel 91% dei casi sono di classe medio-alta); eta' media 43 anni, presenti soprattutto al Nord (63%). Con un'aggiunta chiave: il Wwf ha iscritti trasversali a tutti gli orientamenti politici. La ricerca ha anche analizzato la percezione dell'immagine Wwf (oltre 37 milioni di italiani dichiarano di conoscere il logo dell'associazione). Il Wwf e' un "brand" fortissimo la cui notorieta' e' al livello delle marche leader, e' considerato come "leader" nel suo ambito, affidabile e soprattutto "super partes". Il rapporto tra apprezzamenti spontanei e critiche spontanee e' di 7 a 1. Questa affidabilita' e fiducia nel marchio si riflette nei rapporti con le aziende: tre casi studio sono stati presentati nel corso dell'incontro: quelli di Lafarge (leader mondiale nella produzione di materiali da costruzione, Conservation Partner del Wwf Internazionale); Novaterra (industria della panificazione che ha avviato una linea di prodotti biologici dopo l'accordo con il Wwf) ed il gruppo Electrolux (partner del Wwf Italia, leader nella produzione di elettrodomestici, con attenzione al risparmio energetico e ad impatto zero sul buco dell'ozono). Tre aziende che in modo diverso hanno legato i loro prodotti al logo del panda, cambiando anche il loro modello di produzione. Tra i grandi sostenitori dei progetti Wwf ricordiamo inoltre: Banca Americard, Canon, De Agostini, Dodo, Esselunga, Fondazione Cariplo, Gabel, La Carterie-panini, Nokia, Perfetti, Pritt, Reale Mutua Assicurazioni, E' disponibile il testo completo della ricerca. Infolink: www.Wwf.it  
   
   
ITALIANI: L'AMBIENTE E' SEMPRE NEI LORO PENSIERI L'80% E' PREOCCUPATO PER LA DISTRUZIONE DELLA NATURA, CRESCONO TIMORI E RESPONSABILITA' SUI TEMI AMBIENTALI RUOLO CHIAVE DELLE IMPRESE PER SOLUZIONI SOSTENIBILI  
 
Milano, 30 giugno 2004 - L'81% degli italiani si dice preoccupato per l'inquinamento dell'aria, dell'acqua, della terra e degli alimenti, mentre l'80% ha a cuore la distruzione della natura, delle piante e degli animali, dei fiumi. Insomma, gli italiani vedono con ansia e timore per il futuro a medio e a lungo termine, cresciuto di 5-8 punti dal 2000 a oggi. Più sensibili sono le donne, i residenti nel centro-sud, i soggetti con classe inferiore alla media, gli opinion leader diffusi, con picchi tra i giovanissimi non meno che tra i 35-44enni. E' quanto emerge da una ricerca realizzata da Astra/demoskopea e commissionata dal Wwf sul rapporto tra gli italiani e l'ambiente. In questo quadro, il Wwf emerge come un leader stimato e autorevole, noto al 94% degli intervistati (le poche eccezioni riguardano i soggetti piu' anziani e meno scolarizzati) e il 78% sa che e' "un'organizzazione mondiale che opera in tanti paesi diversi". I risultati della ricerca realizzata sono stati presentati oggi ad istituzioni, aziende ed agenzie nel corso di un incontro a Milano (Mediateca di Santa Teresa); con il Presidente di Astra/demoskopea Enrico Finzi, il Segretario Generale del Wwf Michele Candotti, il prof. Marco Frey dell'Università Bocconi. Secondo il sondaggio "Gli italiani e l'ambiente", il 72% dei circa 1.000 intervistati (scelti da un campione rappresentativo della popolazione tra i 14 e i 79 anni, pari ad un universo di oltre 47 milioni di adulti) si dice molto preoccupato del futuro del Pianeta: il 56% (dieci punti in piu' rispetto a sei anni fa!) afferma con forza che "se andiamo avanti così l'umanità scomparira' dalla Terra a causa dell'inquinamento e della distruzione della natura". Importante sottolineare che le notizie allarmanti non arrivano solo dai media: e' anche la conoscenza diretta (la propria esperienza personale) a mettere sul chi vive la maggioranza degli italiani sull'ambiente. Rispetto alla fine degli anni '90, l'indagine mette in risalto un accresciuto senso di responsabilita' degli italiani nei confronti dei problemi ambientali, anche riguardo agli stili di vita: l'82% del campione sostiene che "se vogliamo lasciare ai giovani un mondo vivibile e migliore, dobbiamo imparare a consumare di meno e a vivere di più la natura". Un dato nuovo è quello che riguarda la tecnologia, con il tracollo dei "tecnòfobi": rispetto al 60% dell'inizio degli anni '90, ora non più del 41% sostiene che "il mondo sarà rovinato dalla tecnologia", mentre cresce il fronte opposto, secondo il quale "il mondo sarà salvato dalla tecnologia" (oltre 8 milioni di adulti, soprattutto colti e benestanti). "Il Wwf, come network internazionale e globale, è strategicamente allineato agli obiettivi di sviluppo per il millennio ma pone un'enfasi particolare nell'assicurare che il pilastro della sostenibilità ambientale sia paritetico ed integrato con gli altri due pilastri dello sviluppo sostenibile: la sostenibilità economica e sociale. Il mondo delle imprese offre una delle chiavi più significative per ricercare e trovare soluzioni sostenibili e praticabili alle attuali sfide ambientali planetarie e quindi la nostra missione non può essere compiuta con l'efficacia desiderata senza interloquire e collaborare con il mondo del business e senza creare le opportune e possibili sinergie tra l'influenza, la conoscenza e la competenza delle imprese e quelle del Wwf. Le risorse naturali mondiali sono utilizzate quotidianamente nei processi industriali, ma sono limitate e vi è crescente preoccupazione (e consapevolezza) sulle modalità di loro impiego; è dunque necessario incorporare i temi della conservazione delle risorse naturali come componenti - chiave delle strategie di business e di comunicazione, specialmente per i settori più impattanti e più direttamente dipendenti dall'impiego di risorse naturali." ha dichiarato Michele Candotti Segretario Generale Wwf Italia. La seconda parte della ricerca e' stata condotta sui soci, che sono piu' di 300.000 adulti, circa il 7 per mille della popolazione italiana e dall'alta "qualita' sociale" (nel 91% dei casi sono di classe medio-alta); eta' media 43 anni, presenti soprattutto al Nord (63%). Con un'aggiunta chiave: il Wwf ha iscritti trasversali a tutti gli orientamenti politici. La ricerca ha anche analizzato la percezione dell'immagine Wwf (oltre 37 milioni di italiani dichiarano di conoscere il logo dell'associazione). Il Wwf e' un "brand" fortissimo la cui notorieta' e' al livello delle marche leader, e' considerato come "leader" nel suo ambito, affidabile e soprattutto "super partes". Il rapporto tra apprezzamenti spontanei e critiche spontanee e' di 7 a 1. Questa affidabilita' e fiducia nel marchio si riflette nei rapporti con le aziende: tre casi studio sono stati presentati nel corso dell'incontro: quelli di Lafarge (leader mondiale nella produzione di materiali da costruzione, Conservation Partner del Wwf Internazionale); Novaterra (industria della panificazione che ha avviato una linea di prodotti biologici dopo l'accordo con il Wwf) ed il gruppo Electrolux (partner del Wwf Italia, leader nella produzione di elettrodomestici, con attenzione al risparmio energetico e ad impatto zero sul buco dell'ozono). Tre aziende che in modo diverso hanno legato i loro prodotti al logo del panda, cambiando anche il loro modello di produzione. Tra i grandi sostenitori dei progetti Wwf ricordiamo inoltre: Banca Americard, Canon, De Agostini, Dodo, Esselunga, Fondazione Cariplo, Gabel, La Carterie-panini, Nokia, Perfetti, Pritt, Reale Mutua Assicurazioni, E' disponibile il testo completo della ricerca. Infolink: www.Wwf.it  
   
   
ITALIANI: L'AMBIENTE E' SEMPRE NEI LORO PENSIERI L'80% E' PREOCCUPATO PER LA DISTRUZIONE DELLA NATURA, CRESCONO TIMORI E RESPONSABILITA' SUI TEMI AMBIENTALI RUOLO CHIAVE DELLE IMPRESE PER SOLUZIONI SOSTENIBILI  
 
Milano, 30 giugno 2004 - L'81% degli italiani si dice preoccupato per l'inquinamento dell'aria, dell'acqua, della terra e degli alimenti, mentre l'80% ha a cuore la distruzione della natura, delle piante e degli animali, dei fiumi. Insomma, gli italiani vedono con ansia e timore per il futuro a medio e a lungo termine, cresciuto di 5-8 punti dal 2000 a oggi. Più sensibili sono le donne, i residenti nel centro-sud, i soggetti con classe inferiore alla media, gli opinion leader diffusi, con picchi tra i giovanissimi non meno che tra i 35-44enni. E' quanto emerge da una ricerca realizzata da Astra/demoskopea e commissionata dal Wwf sul rapporto tra gli italiani e l'ambiente. In questo quadro, il Wwf emerge come un leader stimato e autorevole, noto al 94% degli intervistati (le poche eccezioni riguardano i soggetti piu' anziani e meno scolarizzati) e il 78% sa che e' "un'organizzazione mondiale che opera in tanti paesi diversi". I risultati della ricerca realizzata sono stati presentati oggi ad istituzioni, aziende ed agenzie nel corso di un incontro a Milano (Mediateca di Santa Teresa); con il Presidente di Astra/demoskopea Enrico Finzi, il Segretario Generale del Wwf Michele Candotti, il prof. Marco Frey dell'Università Bocconi. Secondo il sondaggio "Gli italiani e l'ambiente", il 72% dei circa 1.000 intervistati (scelti da un campione rappresentativo della popolazione tra i 14 e i 79 anni, pari ad un universo di oltre 47 milioni di adulti) si dice molto preoccupato del futuro del Pianeta: il 56% (dieci punti in piu' rispetto a sei anni fa!) afferma con forza che "se andiamo avanti così l'umanità scomparira' dalla Terra a causa dell'inquinamento e della distruzione della natura". Importante sottolineare che le notizie allarmanti non arrivano solo dai media: e' anche la conoscenza diretta (la propria esperienza personale) a mettere sul chi vive la maggioranza degli italiani sull'ambiente. Rispetto alla fine degli anni '90, l'indagine mette in risalto un accresciuto senso di responsabilita' degli italiani nei confronti dei problemi ambientali, anche riguardo agli stili di vita: l'82% del campione sostiene che "se vogliamo lasciare ai giovani un mondo vivibile e migliore, dobbiamo imparare a consumare di meno e a vivere di più la natura". Un dato nuovo è quello che riguarda la tecnologia, con il tracollo dei "tecnòfobi": rispetto al 60% dell'inizio degli anni '90, ora non più del 41% sostiene che "il mondo sarà rovinato dalla tecnologia", mentre cresce il fronte opposto, secondo il quale "il mondo sarà salvato dalla tecnologia" (oltre 8 milioni di adulti, soprattutto colti e benestanti). "Il Wwf, come network internazionale e globale, è strategicamente allineato agli obiettivi di sviluppo per il millennio ma pone un'enfasi particolare nell'assicurare che il pilastro della sostenibilità ambientale sia paritetico ed integrato con gli altri due pilastri dello sviluppo sostenibile: la sostenibilità economica e sociale. Il mondo delle imprese offre una delle chiavi più significative per ricercare e trovare soluzioni sostenibili e praticabili alle attuali sfide ambientali planetarie e quindi la nostra missione non può essere compiuta con l'efficacia desiderata senza interloquire e collaborare con il mondo del business e senza creare le opportune e possibili sinergie tra l'influenza, la conoscenza e la competenza delle imprese e quelle del Wwf. Le risorse naturali mondiali sono utilizzate quotidianamente nei processi industriali, ma sono limitate e vi è crescente preoccupazione (e consapevolezza) sulle modalità di loro impiego; è dunque necessario incorporare i temi della conservazione delle risorse naturali come componenti - chiave delle strategie di business e di comunicazione, specialmente per i settori più impattanti e più direttamente dipendenti dall'impiego di risorse naturali." ha dichiarato Michele Candotti Segretario Generale Wwf Italia. La seconda parte della ricerca e' stata condotta sui soci, che sono piu' di 300.000 adulti, circa il 7 per mille della popolazione italiana e dall'alta "qualita' sociale" (nel 91% dei casi sono di classe medio-alta); eta' media 43 anni, presenti soprattutto al Nord (63%). Con un'aggiunta chiave: il Wwf ha iscritti trasversali a tutti gli orientamenti politici. La ricerca ha anche analizzato la percezione dell'immagine Wwf (oltre 37 milioni di italiani dichiarano di conoscere il logo dell'associazione). Il Wwf e' un "brand" fortissimo la cui notorieta' e' al livello delle marche leader, e' considerato come "leader" nel suo ambito, affidabile e soprattutto "super partes". Il rapporto tra apprezzamenti spontanei e critiche spontanee e' di 7 a 1. Questa affidabilita' e fiducia nel marchio si riflette nei rapporti con le aziende: tre casi studio sono stati presentati nel corso dell'incontro: quelli di Lafarge (leader mondiale nella produzione di materiali da costruzione, Conservation Partner del Wwf Internazionale); Novaterra (industria della panificazione che ha avviato una linea di prodotti biologici dopo l'accordo con il Wwf) ed il gruppo Electrolux (partner del Wwf Italia, leader nella produzione di elettrodomestici, con attenzione al risparmio energetico e ad impatto zero sul buco dell'ozono). Tre aziende che in modo diverso hanno legato i loro prodotti al logo del panda, cambiando anche il loro modello di produzione. Tra i grandi sostenitori dei progetti Wwf ricordiamo inoltre: Banca Americard, Canon, De Agostini, Dodo, Esselunga, Fondazione Cariplo, Gabel, La Carterie-panini, Nokia, Perfetti, Pritt, Reale Mutua Assicurazioni, E' disponibile il testo completo della ricerca. Infolink: www.Wwf.it  
   
   
ITALIANI: L'AMBIENTE E' SEMPRE NEI LORO PENSIERI L'80% E' PREOCCUPATO PER LA DISTRUZIONE DELLA NATURA, CRESCONO TIMORI E RESPONSABILITA' SUI TEMI AMBIENTALI RUOLO CHIAVE DELLE IMPRESE PER SOLUZIONI SOSTENIBILI  
 
Milano, 30 giugno 2004 - L'81% degli italiani si dice preoccupato per l'inquinamento dell'aria, dell'acqua, della terra e degli alimenti, mentre l'80% ha a cuore la distruzione della natura, delle piante e degli animali, dei fiumi. Insomma, gli italiani vedono con ansia e timore per il futuro a medio e a lungo termine, cresciuto di 5-8 punti dal 2000 a oggi. Più sensibili sono le donne, i residenti nel centro-sud, i soggetti con classe inferiore alla media, gli opinion leader diffusi, con picchi tra i giovanissimi non meno che tra i 35-44enni. E' quanto emerge da una ricerca realizzata da Astra/demoskopea e commissionata dal Wwf sul rapporto tra gli italiani e l'ambiente. In questo quadro, il Wwf emerge come un leader stimato e autorevole, noto al 94% degli intervistati (le poche eccezioni riguardano i soggetti piu' anziani e meno scolarizzati) e il 78% sa che e' "un'organizzazione mondiale che opera in tanti paesi diversi". I risultati della ricerca realizzata sono stati presentati oggi ad istituzioni, aziende ed agenzie nel corso di un incontro a Milano (Mediateca di Santa Teresa); con il Presidente di Astra/demoskopea Enrico Finzi, il Segretario Generale del Wwf Michele Candotti, il prof. Marco Frey dell'Università Bocconi. Secondo il sondaggio "Gli italiani e l'ambiente", il 72% dei circa 1.000 intervistati (scelti da un campione rappresentativo della popolazione tra i 14 e i 79 anni, pari ad un universo di oltre 47 milioni di adulti) si dice molto preoccupato del futuro del Pianeta: il 56% (dieci punti in piu' rispetto a sei anni fa!) afferma con forza che "se andiamo avanti così l'umanità scomparira' dalla Terra a causa dell'inquinamento e della distruzione della natura". Importante sottolineare che le notizie allarmanti non arrivano solo dai media: e' anche la conoscenza diretta (la propria esperienza personale) a mettere sul chi vive la maggioranza degli italiani sull'ambiente. Rispetto alla fine degli anni '90, l'indagine mette in risalto un accresciuto senso di responsabilita' degli italiani nei confronti dei problemi ambientali, anche riguardo agli stili di vita: l'82% del campione sostiene che "se vogliamo lasciare ai giovani un mondo vivibile e migliore, dobbiamo imparare a consumare di meno e a vivere di più la natura". Un dato nuovo è quello che riguarda la tecnologia, con il tracollo dei "tecnòfobi": rispetto al 60% dell'inizio degli anni '90, ora non più del 41% sostiene che "il mondo sarà rovinato dalla tecnologia", mentre cresce il fronte opposto, secondo il quale "il mondo sarà salvato dalla tecnologia" (oltre 8 milioni di adulti, soprattutto colti e benestanti). "Il Wwf, come network internazionale e globale, è strategicamente allineato agli obiettivi di sviluppo per il millennio ma pone un'enfasi particolare nell'assicurare che il pilastro della sostenibilità ambientale sia paritetico ed integrato con gli altri due pilastri dello sviluppo sostenibile: la sostenibilità economica e sociale. Il mondo delle imprese offre una delle chiavi più significative per ricercare e trovare soluzioni sostenibili e praticabili alle attuali sfide ambientali planetarie e quindi la nostra missione non può essere compiuta con l'efficacia desiderata senza interloquire e collaborare con il mondo del business e senza creare le opportune e possibili sinergie tra l'influenza, la conoscenza e la competenza delle imprese e quelle del Wwf. Le risorse naturali mondiali sono utilizzate quotidianamente nei processi industriali, ma sono limitate e vi è crescente preoccupazione (e consapevolezza) sulle modalità di loro impiego; è dunque necessario incorporare i temi della conservazione delle risorse naturali come componenti - chiave delle strategie di business e di comunicazione, specialmente per i settori più impattanti e più direttamente dipendenti dall'impiego di risorse naturali." ha dichiarato Michele Candotti Segretario Generale Wwf Italia. La seconda parte della ricerca e' stata condotta sui soci, che sono piu' di 300.000 adulti, circa il 7 per mille della popolazione italiana e dall'alta "qualita' sociale" (nel 91% dei casi sono di classe medio-alta); eta' media 43 anni, presenti soprattutto al Nord (63%). Con un'aggiunta chiave: il Wwf ha iscritti trasversali a tutti gli orientamenti politici. La ricerca ha anche analizzato la percezione dell'immagine Wwf (oltre 37 milioni di italiani dichiarano di conoscere il logo dell'associazione). Il Wwf e' un "brand" fortissimo la cui notorieta' e' al livello delle marche leader, e' considerato come "leader" nel suo ambito, affidabile e soprattutto "super partes". Il rapporto tra apprezzamenti spontanei e critiche spontanee e' di 7 a 1. Questa affidabilita' e fiducia nel marchio si riflette nei rapporti con le aziende: tre casi studio sono stati presentati nel corso dell'incontro: quelli di Lafarge (leader mondiale nella produzione di materiali da costruzione, Conservation Partner del Wwf Internazionale); Novaterra (industria della panificazione che ha avviato una linea di prodotti biologici dopo l'accordo con il Wwf) ed il gruppo Electrolux (partner del Wwf Italia, leader nella produzione di elettrodomestici, con attenzione al risparmio energetico e ad impatto zero sul buco dell'ozono). Tre aziende che in modo diverso hanno legato i loro prodotti al logo del panda, cambiando anche il loro modello di produzione. Tra i grandi sostenitori dei progetti Wwf ricordiamo inoltre: Banca Americard, Canon, De Agostini, Dodo, Esselunga, Fondazione Cariplo, Gabel, La Carterie-panini, Nokia, Perfetti, Pritt, Reale Mutua Assicurazioni, E' disponibile il testo completo della ricerca. Infolink: www.Wwf.it  
   
   
LE SCUOLE NON PREPARANO GLI STUDENTI ALLE CARRIERE SCIENTIFICHE, METTE IN GUARDIA L'ACCADEMIA INGLESE  
 
Bruxelles, 30 giugno 2004 - Nel Regno Unito, gli esami scolastici di scienza non riescono a preparare i giovani alle future carriere e studi, avverte la Royal Society, l'accademia nazionale inglese per le scienze. La messa in guardia segue la pubblicazione di un rapporto del King's College di Londra sulla valutazione delle conoscenze di scienze dei giovani tra i 14 e i 19 anni. Il rapporto afferma che la scienza delle scuole secondarie e dei college non fornisce un'ampia gamma di conoscenze specifiche, ma si concentra invece sulla preparazione degli studenti agli esami e sull'esecuzione di esperimenti classici e prevedibili. Le conoscenze specifiche richieste dai datori di lavoro e dalle università vengono quindi ignorate. 'Insegnare agli allievi a svolgere esperimenti scientifici pratici di estrema semplicità, che non falliscono mai, non permette loro di percepire il dinamismo della vera ricerca scientifica', afferma il professor Mick Brown, capo del gruppo direttivo della Royal Society per la valutazione delle scienze nelle scuole. 'Abbiamo bisogno di un sistema di valutazione che accenda l'entusiasmo dell'allievo per la materia, schiudendogli un eccitante mondo di problemi da risolvere, scoperte e innovazioni e favorendo al tempo stesso le sue conoscenze fattuali'. Nel breve termine, la Royal Society raccomanda dunque che l'organismo governativo preposto al controllo degli esami e gli organismi che li organizzano incoraggino la valutazione di una più ampia gamma di conoscenze specifiche nei corsi di scienza delle scuole secondarie. L'accademia ritiene che si può ottenere tale risultato ridimensionando gli esami a favore di valutazioni evolutive. 'Conoscenze professionali [dei docenti] e tempo potrebbero essere meglio utilizzati per insegnare e valutare la scienza in un modo che aiuti gli allievi non solo a superare gli esami, ma anche ad avere successo nelle carriere scientifiche e come membri informati della società', ha detto Brown. 'In pratica, questo significa incoraggiare le conoscenze analitiche e l'uso degli esami come strumento per aiutare gli allievi a imparare e a entusiasmarsi, piuttosto che come semplice mezzo per superare le prove'. Nelle sue raccomandazioni, la Royal Society ha l'appoggio della comunità d'insegnanti di materie scientifiche: 'L'insegnamento delle scienze dovrebbe da un lato permettere agli allievi di capire l'argomento trattato, in modo da potersi intelligentemente impegnare in temi difficili quali il riscaldamento globale, la ricerca sulle cellule staminali e gli alimenti Gm (geneticamente modificati); e dall'altro lato stimolare quelli che hanno attitudine per le scienze a persistere negli studi e nella carriera', ha detto Michael Terry, un insegnante di scienze londinese. Lo studio sulla valutazione nelle materie scientifiche è stato condotto in un contesto in cui si assiste al crollo del numero di giovani che scelgono la carriera scientifica. 'In un momento in cui un numero pericolosamente ristretto di giovani di 16 anni scelgono di continuare i propri studi in aree scientifiche, e in cui le strutture hanno sempre più difficoltà ad assumere e conservare gli insegnanti di materie scientifiche, il ruolo della valutazione nell'insegnamento delle scienze non può essere ignorato, e meno ancora si può permettere che continui ad essere assurdamente distorta da numerose differenti priorità pubbliche e politiche che la condizionano', avverte la Royal Society. Per consultare la dichiarazione della Royal Society sulla valutazione nell'insegnamento delle scienze: http://www.Royalsoc.ac.uk/education/assessment/  
   
   
LE SCUOLE NON PREPARANO GLI STUDENTI ALLE CARRIERE SCIENTIFICHE, METTE IN GUARDIA L'ACCADEMIA INGLESE  
 
Bruxelles, 30 giugno 2004 - Nel Regno Unito, gli esami scolastici di scienza non riescono a preparare i giovani alle future carriere e studi, avverte la Royal Society, l'accademia nazionale inglese per le scienze. La messa in guardia segue la pubblicazione di un rapporto del King's College di Londra sulla valutazione delle conoscenze di scienze dei giovani tra i 14 e i 19 anni. Il rapporto afferma che la scienza delle scuole secondarie e dei college non fornisce un'ampia gamma di conoscenze specifiche, ma si concentra invece sulla preparazione degli studenti agli esami e sull'esecuzione di esperimenti classici e prevedibili. Le conoscenze specifiche richieste dai datori di lavoro e dalle università vengono quindi ignorate. 'Insegnare agli allievi a svolgere esperimenti scientifici pratici di estrema semplicità, che non falliscono mai, non permette loro di percepire il dinamismo della vera ricerca scientifica', afferma il professor Mick Brown, capo del gruppo direttivo della Royal Society per la valutazione delle scienze nelle scuole. 'Abbiamo bisogno di un sistema di valutazione che accenda l'entusiasmo dell'allievo per la materia, schiudendogli un eccitante mondo di problemi da risolvere, scoperte e innovazioni e favorendo al tempo stesso le sue conoscenze fattuali'. Nel breve termine, la Royal Society raccomanda dunque che l'organismo governativo preposto al controllo degli esami e gli organismi che li organizzano incoraggino la valutazione di una più ampia gamma di conoscenze specifiche nei corsi di scienza delle scuole secondarie. L'accademia ritiene che si può ottenere tale risultato ridimensionando gli esami a favore di valutazioni evolutive. 'Conoscenze professionali [dei docenti] e tempo potrebbero essere meglio utilizzati per insegnare e valutare la scienza in un modo che aiuti gli allievi non solo a superare gli esami, ma anche ad avere successo nelle carriere scientifiche e come membri informati della società', ha detto Brown. 'In pratica, questo significa incoraggiare le conoscenze analitiche e l'uso degli esami come strumento per aiutare gli allievi a imparare e a entusiasmarsi, piuttosto che come semplice mezzo per superare le prove'. Nelle sue raccomandazioni, la Royal Society ha l'appoggio della comunità d'insegnanti di materie scientifiche: 'L'insegnamento delle scienze dovrebbe da un lato permettere agli allievi di capire l'argomento trattato, in modo da potersi intelligentemente impegnare in temi difficili quali il riscaldamento globale, la ricerca sulle cellule staminali e gli alimenti Gm (geneticamente modificati); e dall'altro lato stimolare quelli che hanno attitudine per le scienze a persistere negli studi e nella carriera', ha detto Michael Terry, un insegnante di scienze londinese. Lo studio sulla valutazione nelle materie scientifiche è stato condotto in un contesto in cui si assiste al crollo del numero di giovani che scelgono la carriera scientifica. 'In un momento in cui un numero pericolosamente ristretto di giovani di 16 anni scelgono di continuare i propri studi in aree scientifiche, e in cui le strutture hanno sempre più difficoltà ad assumere e conservare gli insegnanti di materie scientifiche, il ruolo della valutazione nell'insegnamento delle scienze non può essere ignorato, e meno ancora si può permettere che continui ad essere assurdamente distorta da numerose differenti priorità pubbliche e politiche che la condizionano', avverte la Royal Society. Per consultare la dichiarazione della Royal Society sulla valutazione nell'insegnamento delle scienze: http://www.Royalsoc.ac.uk/education/assessment/  
   
   
LE SCUOLE NON PREPARANO GLI STUDENTI ALLE CARRIERE SCIENTIFICHE, METTE IN GUARDIA L'ACCADEMIA INGLESE  
 
Bruxelles, 30 giugno 2004 - Nel Regno Unito, gli esami scolastici di scienza non riescono a preparare i giovani alle future carriere e studi, avverte la Royal Society, l'accademia nazionale inglese per le scienze. La messa in guardia segue la pubblicazione di un rapporto del King's College di Londra sulla valutazione delle conoscenze di scienze dei giovani tra i 14 e i 19 anni. Il rapporto afferma che la scienza delle scuole secondarie e dei college non fornisce un'ampia gamma di conoscenze specifiche, ma si concentra invece sulla preparazione degli studenti agli esami e sull'esecuzione di esperimenti classici e prevedibili. Le conoscenze specifiche richieste dai datori di lavoro e dalle università vengono quindi ignorate. 'Insegnare agli allievi a svolgere esperimenti scientifici pratici di estrema semplicità, che non falliscono mai, non permette loro di percepire il dinamismo della vera ricerca scientifica', afferma il professor Mick Brown, capo del gruppo direttivo della Royal Society per la valutazione delle scienze nelle scuole. 'Abbiamo bisogno di un sistema di valutazione che accenda l'entusiasmo dell'allievo per la materia, schiudendogli un eccitante mondo di problemi da risolvere, scoperte e innovazioni e favorendo al tempo stesso le sue conoscenze fattuali'. Nel breve termine, la Royal Society raccomanda dunque che l'organismo governativo preposto al controllo degli esami e gli organismi che li organizzano incoraggino la valutazione di una più ampia gamma di conoscenze specifiche nei corsi di scienza delle scuole secondarie. L'accademia ritiene che si può ottenere tale risultato ridimensionando gli esami a favore di valutazioni evolutive. 'Conoscenze professionali [dei docenti] e tempo potrebbero essere meglio utilizzati per insegnare e valutare la scienza in un modo che aiuti gli allievi non solo a superare gli esami, ma anche ad avere successo nelle carriere scientifiche e come membri informati della società', ha detto Brown. 'In pratica, questo significa incoraggiare le conoscenze analitiche e l'uso degli esami come strumento per aiutare gli allievi a imparare e a entusiasmarsi, piuttosto che come semplice mezzo per superare le prove'. Nelle sue raccomandazioni, la Royal Society ha l'appoggio della comunità d'insegnanti di materie scientifiche: 'L'insegnamento delle scienze dovrebbe da un lato permettere agli allievi di capire l'argomento trattato, in modo da potersi intelligentemente impegnare in temi difficili quali il riscaldamento globale, la ricerca sulle cellule staminali e gli alimenti Gm (geneticamente modificati); e dall'altro lato stimolare quelli che hanno attitudine per le scienze a persistere negli studi e nella carriera', ha detto Michael Terry, un insegnante di scienze londinese. Lo studio sulla valutazione nelle materie scientifiche è stato condotto in un contesto in cui si assiste al crollo del numero di giovani che scelgono la carriera scientifica. 'In un momento in cui un numero pericolosamente ristretto di giovani di 16 anni scelgono di continuare i propri studi in aree scientifiche, e in cui le strutture hanno sempre più difficoltà ad assumere e conservare gli insegnanti di materie scientifiche, il ruolo della valutazione nell'insegnamento delle scienze non può essere ignorato, e meno ancora si può permettere che continui ad essere assurdamente distorta da numerose differenti priorità pubbliche e politiche che la condizionano', avverte la Royal Society. Per consultare la dichiarazione della Royal Society sulla valutazione nell'insegnamento delle scienze: http://www.Royalsoc.ac.uk/education/assessment/  
   
   
LE SCUOLE NON PREPARANO GLI STUDENTI ALLE CARRIERE SCIENTIFICHE, METTE IN GUARDIA L'ACCADEMIA INGLESE  
 
Bruxelles, 30 giugno 2004 - Nel Regno Unito, gli esami scolastici di scienza non riescono a preparare i giovani alle future carriere e studi, avverte la Royal Society, l'accademia nazionale inglese per le scienze. La messa in guardia segue la pubblicazione di un rapporto del King's College di Londra sulla valutazione delle conoscenze di scienze dei giovani tra i 14 e i 19 anni. Il rapporto afferma che la scienza delle scuole secondarie e dei college non fornisce un'ampia gamma di conoscenze specifiche, ma si concentra invece sulla preparazione degli studenti agli esami e sull'esecuzione di esperimenti classici e prevedibili. Le conoscenze specifiche richieste dai datori di lavoro e dalle università vengono quindi ignorate. 'Insegnare agli allievi a svolgere esperimenti scientifici pratici di estrema semplicità, che non falliscono mai, non permette loro di percepire il dinamismo della vera ricerca scientifica', afferma il professor Mick Brown, capo del gruppo direttivo della Royal Society per la valutazione delle scienze nelle scuole. 'Abbiamo bisogno di un sistema di valutazione che accenda l'entusiasmo dell'allievo per la materia, schiudendogli un eccitante mondo di problemi da risolvere, scoperte e innovazioni e favorendo al tempo stesso le sue conoscenze fattuali'. Nel breve termine, la Royal Society raccomanda dunque che l'organismo governativo preposto al controllo degli esami e gli organismi che li organizzano incoraggino la valutazione di una più ampia gamma di conoscenze specifiche nei corsi di scienza delle scuole secondarie. L'accademia ritiene che si può ottenere tale risultato ridimensionando gli esami a favore di valutazioni evolutive. 'Conoscenze professionali [dei docenti] e tempo potrebbero essere meglio utilizzati per insegnare e valutare la scienza in un modo che aiuti gli allievi non solo a superare gli esami, ma anche ad avere successo nelle carriere scientifiche e come membri informati della società', ha detto Brown. 'In pratica, questo significa incoraggiare le conoscenze analitiche e l'uso degli esami come strumento per aiutare gli allievi a imparare e a entusiasmarsi, piuttosto che come semplice mezzo per superare le prove'. Nelle sue raccomandazioni, la Royal Society ha l'appoggio della comunità d'insegnanti di materie scientifiche: 'L'insegnamento delle scienze dovrebbe da un lato permettere agli allievi di capire l'argomento trattato, in modo da potersi intelligentemente impegnare in temi difficili quali il riscaldamento globale, la ricerca sulle cellule staminali e gli alimenti Gm (geneticamente modificati); e dall'altro lato stimolare quelli che hanno attitudine per le scienze a persistere negli studi e nella carriera', ha detto Michael Terry, un insegnante di scienze londinese. Lo studio sulla valutazione nelle materie scientifiche è stato condotto in un contesto in cui si assiste al crollo del numero di giovani che scelgono la carriera scientifica. 'In un momento in cui un numero pericolosamente ristretto di giovani di 16 anni scelgono di continuare i propri studi in aree scientifiche, e in cui le strutture hanno sempre più difficoltà ad assumere e conservare gli insegnanti di materie scientifiche, il ruolo della valutazione nell'insegnamento delle scienze non può essere ignorato, e meno ancora si può permettere che continui ad essere assurdamente distorta da numerose differenti priorità pubbliche e politiche che la condizionano', avverte la Royal Society. Per consultare la dichiarazione della Royal Society sulla valutazione nell'insegnamento delle scienze: http://www.Royalsoc.ac.uk/education/assessment/  
   
   
LE SCUOLE NON PREPARANO GLI STUDENTI ALLE CARRIERE SCIENTIFICHE, METTE IN GUARDIA L'ACCADEMIA INGLESE  
 
Bruxelles, 30 giugno 2004 - Nel Regno Unito, gli esami scolastici di scienza non riescono a preparare i giovani alle future carriere e studi, avverte la Royal Society, l'accademia nazionale inglese per le scienze. La messa in guardia segue la pubblicazione di un rapporto del King's College di Londra sulla valutazione delle conoscenze di scienze dei giovani tra i 14 e i 19 anni. Il rapporto afferma che la scienza delle scuole secondarie e dei college non fornisce un'ampia gamma di conoscenze specifiche, ma si concentra invece sulla preparazione degli studenti agli esami e sull'esecuzione di esperimenti classici e prevedibili. Le conoscenze specifiche richieste dai datori di lavoro e dalle università vengono quindi ignorate. 'Insegnare agli allievi a svolgere esperimenti scientifici pratici di estrema semplicità, che non falliscono mai, non permette loro di percepire il dinamismo della vera ricerca scientifica', afferma il professor Mick Brown, capo del gruppo direttivo della Royal Society per la valutazione delle scienze nelle scuole. 'Abbiamo bisogno di un sistema di valutazione che accenda l'entusiasmo dell'allievo per la materia, schiudendogli un eccitante mondo di problemi da risolvere, scoperte e innovazioni e favorendo al tempo stesso le sue conoscenze fattuali'. Nel breve termine, la Royal Society raccomanda dunque che l'organismo governativo preposto al controllo degli esami e gli organismi che li organizzano incoraggino la valutazione di una più ampia gamma di conoscenze specifiche nei corsi di scienza delle scuole secondarie. L'accademia ritiene che si può ottenere tale risultato ridimensionando gli esami a favore di valutazioni evolutive. 'Conoscenze professionali [dei docenti] e tempo potrebbero essere meglio utilizzati per insegnare e valutare la scienza in un modo che aiuti gli allievi non solo a superare gli esami, ma anche ad avere successo nelle carriere scientifiche e come membri informati della società', ha detto Brown. 'In pratica, questo significa incoraggiare le conoscenze analitiche e l'uso degli esami come strumento per aiutare gli allievi a imparare e a entusiasmarsi, piuttosto che come semplice mezzo per superare le prove'. Nelle sue raccomandazioni, la Royal Society ha l'appoggio della comunità d'insegnanti di materie scientifiche: 'L'insegnamento delle scienze dovrebbe da un lato permettere agli allievi di capire l'argomento trattato, in modo da potersi intelligentemente impegnare in temi difficili quali il riscaldamento globale, la ricerca sulle cellule staminali e gli alimenti Gm (geneticamente modificati); e dall'altro lato stimolare quelli che hanno attitudine per le scienze a persistere negli studi e nella carriera', ha detto Michael Terry, un insegnante di scienze londinese. Lo studio sulla valutazione nelle materie scientifiche è stato condotto in un contesto in cui si assiste al crollo del numero di giovani che scelgono la carriera scientifica. 'In un momento in cui un numero pericolosamente ristretto di giovani di 16 anni scelgono di continuare i propri studi in aree scientifiche, e in cui le strutture hanno sempre più difficoltà ad assumere e conservare gli insegnanti di materie scientifiche, il ruolo della valutazione nell'insegnamento delle scienze non può essere ignorato, e meno ancora si può permettere che continui ad essere assurdamente distorta da numerose differenti priorità pubbliche e politiche che la condizionano', avverte la Royal Society. Per consultare la dichiarazione della Royal Society sulla valutazione nell'insegnamento delle scienze: http://www.Royalsoc.ac.uk/education/assessment/  
   
   
LE SCUOLE NON PREPARANO GLI STUDENTI ALLE CARRIERE SCIENTIFICHE, METTE IN GUARDIA L'ACCADEMIA INGLESE  
 
Bruxelles, 30 giugno 2004 - Nel Regno Unito, gli esami scolastici di scienza non riescono a preparare i giovani alle future carriere e studi, avverte la Royal Society, l'accademia nazionale inglese per le scienze. La messa in guardia segue la pubblicazione di un rapporto del King's College di Londra sulla valutazione delle conoscenze di scienze dei giovani tra i 14 e i 19 anni. Il rapporto afferma che la scienza delle scuole secondarie e dei college non fornisce un'ampia gamma di conoscenze specifiche, ma si concentra invece sulla preparazione degli studenti agli esami e sull'esecuzione di esperimenti classici e prevedibili. Le conoscenze specifiche richieste dai datori di lavoro e dalle università vengono quindi ignorate. 'Insegnare agli allievi a svolgere esperimenti scientifici pratici di estrema semplicità, che non falliscono mai, non permette loro di percepire il dinamismo della vera ricerca scientifica', afferma il professor Mick Brown, capo del gruppo direttivo della Royal Society per la valutazione delle scienze nelle scuole. 'Abbiamo bisogno di un sistema di valutazione che accenda l'entusiasmo dell'allievo per la materia, schiudendogli un eccitante mondo di problemi da risolvere, scoperte e innovazioni e favorendo al tempo stesso le sue conoscenze fattuali'. Nel breve termine, la Royal Society raccomanda dunque che l'organismo governativo preposto al controllo degli esami e gli organismi che li organizzano incoraggino la valutazione di una più ampia gamma di conoscenze specifiche nei corsi di scienza delle scuole secondarie. L'accademia ritiene che si può ottenere tale risultato ridimensionando gli esami a favore di valutazioni evolutive. 'Conoscenze professionali [dei docenti] e tempo potrebbero essere meglio utilizzati per insegnare e valutare la scienza in un modo che aiuti gli allievi non solo a superare gli esami, ma anche ad avere successo nelle carriere scientifiche e come membri informati della società', ha detto Brown. 'In pratica, questo significa incoraggiare le conoscenze analitiche e l'uso degli esami come strumento per aiutare gli allievi a imparare e a entusiasmarsi, piuttosto che come semplice mezzo per superare le prove'. Nelle sue raccomandazioni, la Royal Society ha l'appoggio della comunità d'insegnanti di materie scientifiche: 'L'insegnamento delle scienze dovrebbe da un lato permettere agli allievi di capire l'argomento trattato, in modo da potersi intelligentemente impegnare in temi difficili quali il riscaldamento globale, la ricerca sulle cellule staminali e gli alimenti Gm (geneticamente modificati); e dall'altro lato stimolare quelli che hanno attitudine per le scienze a persistere negli studi e nella carriera', ha detto Michael Terry, un insegnante di scienze londinese. Lo studio sulla valutazione nelle materie scientifiche è stato condotto in un contesto in cui si assiste al crollo del numero di giovani che scelgono la carriera scientifica. 'In un momento in cui un numero pericolosamente ristretto di giovani di 16 anni scelgono di continuare i propri studi in aree scientifiche, e in cui le strutture hanno sempre più difficoltà ad assumere e conservare gli insegnanti di materie scientifiche, il ruolo della valutazione nell'insegnamento delle scienze non può essere ignorato, e meno ancora si può permettere che continui ad essere assurdamente distorta da numerose differenti priorità pubbliche e politiche che la condizionano', avverte la Royal Society. Per consultare la dichiarazione della Royal Society sulla valutazione nell'insegnamento delle scienze: http://www.Royalsoc.ac.uk/education/assessment/  
   
   
L’ANTARTIDE A TRIESTE ANTEPRIMA FINO AL 4 LUGLIO, PERMANENTE DA SETTEMBRE  
 
Trieste 30 giugno 2004 – E’ stato inaugurata il 29 giugno 2004 la sezione espositiva di Trieste del Museo Nazionale dell’Antartide, dedicata alla storia dell’esplorazione – in particolare italiana. Il Museo triestino, aperto al grande pubblico, è una struttura espositiva voluta dal Governo italiano che si aggiunge alle altre sedi di Genova, già operativa e indirizzata alla biologia antartica, e di Siena, con compiti orientati allo studio delle rocce antartiche. La sezione di Trieste, che si sviluppa su una superficie di 800 metri quadrati, rimarrà aperta ogni giorno fino al 4 luglio per una interessantissima anteprima. Il Museo di Trieste poi riaprirà il 10 settembre definitivamente, andando a incrementare la proposta di turismo scientifico del capoluogo del Friuli Venezia Giulia. La sede triestina, diretta dal prof. Antonio Brambati, si suddivide in tre settori principali. Il primo è dedicato alla storiografia dell’Antartide e presenta alcune preziosissime carte storiche originali del passato. Il secondo settore narra la storia dell’esplorazione dell’Antartide, con particolare riferimento ai tre pionieri di quella che fu una delle più aspre e difficili conquiste terrestri dell’uomo: Scott, Shackleton e Amundsen. L’ultimo settore si occupa delle spedizioni italiane, a partire dagli inizi del ‘900 fino alle ultime spedizioni organizzate dal Progetto Nazionale delle Ricerche in Antartide. Il Museo, di cui allestimento e gestione sono curati da Globo divulgazione scientifica, è aperto per questa anteprima dal 30 giugno al 4 luglio dalle 10 alle 13 e dalle 16 alle 20. Per informazioni e visite guidate: tel.: 0403755565.  
   
   
L’ANTARTIDE A TRIESTE ANTEPRIMA FINO AL 4 LUGLIO, PERMANENTE DA SETTEMBRE  
 
Trieste 30 giugno 2004 – E’ stato inaugurata il 29 giugno 2004 la sezione espositiva di Trieste del Museo Nazionale dell’Antartide, dedicata alla storia dell’esplorazione – in particolare italiana. Il Museo triestino, aperto al grande pubblico, è una struttura espositiva voluta dal Governo italiano che si aggiunge alle altre sedi di Genova, già operativa e indirizzata alla biologia antartica, e di Siena, con compiti orientati allo studio delle rocce antartiche. La sezione di Trieste, che si sviluppa su una superficie di 800 metri quadrati, rimarrà aperta ogni giorno fino al 4 luglio per una interessantissima anteprima. Il Museo di Trieste poi riaprirà il 10 settembre definitivamente, andando a incrementare la proposta di turismo scientifico del capoluogo del Friuli Venezia Giulia. La sede triestina, diretta dal prof. Antonio Brambati, si suddivide in tre settori principali. Il primo è dedicato alla storiografia dell’Antartide e presenta alcune preziosissime carte storiche originali del passato. Il secondo settore narra la storia dell’esplorazione dell’Antartide, con particolare riferimento ai tre pionieri di quella che fu una delle più aspre e difficili conquiste terrestri dell’uomo: Scott, Shackleton e Amundsen. L’ultimo settore si occupa delle spedizioni italiane, a partire dagli inizi del ‘900 fino alle ultime spedizioni organizzate dal Progetto Nazionale delle Ricerche in Antartide. Il Museo, di cui allestimento e gestione sono curati da Globo divulgazione scientifica, è aperto per questa anteprima dal 30 giugno al 4 luglio dalle 10 alle 13 e dalle 16 alle 20. Per informazioni e visite guidate: tel.: 0403755565.  
   
   
L’ANTARTIDE A TRIESTE ANTEPRIMA FINO AL 4 LUGLIO, PERMANENTE DA SETTEMBRE  
 
Trieste 30 giugno 2004 – E’ stato inaugurata il 29 giugno 2004 la sezione espositiva di Trieste del Museo Nazionale dell’Antartide, dedicata alla storia dell’esplorazione – in particolare italiana. Il Museo triestino, aperto al grande pubblico, è una struttura espositiva voluta dal Governo italiano che si aggiunge alle altre sedi di Genova, già operativa e indirizzata alla biologia antartica, e di Siena, con compiti orientati allo studio delle rocce antartiche. La sezione di Trieste, che si sviluppa su una superficie di 800 metri quadrati, rimarrà aperta ogni giorno fino al 4 luglio per una interessantissima anteprima. Il Museo di Trieste poi riaprirà il 10 settembre definitivamente, andando a incrementare la proposta di turismo scientifico del capoluogo del Friuli Venezia Giulia. La sede triestina, diretta dal prof. Antonio Brambati, si suddivide in tre settori principali. Il primo è dedicato alla storiografia dell’Antartide e presenta alcune preziosissime carte storiche originali del passato. Il secondo settore narra la storia dell’esplorazione dell’Antartide, con particolare riferimento ai tre pionieri di quella che fu una delle più aspre e difficili conquiste terrestri dell’uomo: Scott, Shackleton e Amundsen. L’ultimo settore si occupa delle spedizioni italiane, a partire dagli inizi del ‘900 fino alle ultime spedizioni organizzate dal Progetto Nazionale delle Ricerche in Antartide. Il Museo, di cui allestimento e gestione sono curati da Globo divulgazione scientifica, è aperto per questa anteprima dal 30 giugno al 4 luglio dalle 10 alle 13 e dalle 16 alle 20. Per informazioni e visite guidate: tel.: 0403755565.  
   
   
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Trieste 30 giugno 2004 – E’ stato inaugurata il 29 giugno 2004 la sezione espositiva di Trieste del Museo Nazionale dell’Antartide, dedicata alla storia dell’esplorazione – in particolare italiana. Il Museo triestino, aperto al grande pubblico, è una struttura espositiva voluta dal Governo italiano che si aggiunge alle altre sedi di Genova, già operativa e indirizzata alla biologia antartica, e di Siena, con compiti orientati allo studio delle rocce antartiche. La sezione di Trieste, che si sviluppa su una superficie di 800 metri quadrati, rimarrà aperta ogni giorno fino al 4 luglio per una interessantissima anteprima. Il Museo di Trieste poi riaprirà il 10 settembre definitivamente, andando a incrementare la proposta di turismo scientifico del capoluogo del Friuli Venezia Giulia. La sede triestina, diretta dal prof. Antonio Brambati, si suddivide in tre settori principali. Il primo è dedicato alla storiografia dell’Antartide e presenta alcune preziosissime carte storiche originali del passato. Il secondo settore narra la storia dell’esplorazione dell’Antartide, con particolare riferimento ai tre pionieri di quella che fu una delle più aspre e difficili conquiste terrestri dell’uomo: Scott, Shackleton e Amundsen. L’ultimo settore si occupa delle spedizioni italiane, a partire dagli inizi del ‘900 fino alle ultime spedizioni organizzate dal Progetto Nazionale delle Ricerche in Antartide. Il Museo, di cui allestimento e gestione sono curati da Globo divulgazione scientifica, è aperto per questa anteprima dal 30 giugno al 4 luglio dalle 10 alle 13 e dalle 16 alle 20. Per informazioni e visite guidate: tel.: 0403755565.  
   
   
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Trieste 30 giugno 2004 – E’ stato inaugurata il 29 giugno 2004 la sezione espositiva di Trieste del Museo Nazionale dell’Antartide, dedicata alla storia dell’esplorazione – in particolare italiana. Il Museo triestino, aperto al grande pubblico, è una struttura espositiva voluta dal Governo italiano che si aggiunge alle altre sedi di Genova, già operativa e indirizzata alla biologia antartica, e di Siena, con compiti orientati allo studio delle rocce antartiche. La sezione di Trieste, che si sviluppa su una superficie di 800 metri quadrati, rimarrà aperta ogni giorno fino al 4 luglio per una interessantissima anteprima. Il Museo di Trieste poi riaprirà il 10 settembre definitivamente, andando a incrementare la proposta di turismo scientifico del capoluogo del Friuli Venezia Giulia. La sede triestina, diretta dal prof. Antonio Brambati, si suddivide in tre settori principali. Il primo è dedicato alla storiografia dell’Antartide e presenta alcune preziosissime carte storiche originali del passato. Il secondo settore narra la storia dell’esplorazione dell’Antartide, con particolare riferimento ai tre pionieri di quella che fu una delle più aspre e difficili conquiste terrestri dell’uomo: Scott, Shackleton e Amundsen. L’ultimo settore si occupa delle spedizioni italiane, a partire dagli inizi del ‘900 fino alle ultime spedizioni organizzate dal Progetto Nazionale delle Ricerche in Antartide. Il Museo, di cui allestimento e gestione sono curati da Globo divulgazione scientifica, è aperto per questa anteprima dal 30 giugno al 4 luglio dalle 10 alle 13 e dalle 16 alle 20. Per informazioni e visite guidate: tel.: 0403755565.  
   
   
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Trieste 30 giugno 2004 – E’ stato inaugurata il 29 giugno 2004 la sezione espositiva di Trieste del Museo Nazionale dell’Antartide, dedicata alla storia dell’esplorazione – in particolare italiana. Il Museo triestino, aperto al grande pubblico, è una struttura espositiva voluta dal Governo italiano che si aggiunge alle altre sedi di Genova, già operativa e indirizzata alla biologia antartica, e di Siena, con compiti orientati allo studio delle rocce antartiche. La sezione di Trieste, che si sviluppa su una superficie di 800 metri quadrati, rimarrà aperta ogni giorno fino al 4 luglio per una interessantissima anteprima. Il Museo di Trieste poi riaprirà il 10 settembre definitivamente, andando a incrementare la proposta di turismo scientifico del capoluogo del Friuli Venezia Giulia. La sede triestina, diretta dal prof. Antonio Brambati, si suddivide in tre settori principali. Il primo è dedicato alla storiografia dell’Antartide e presenta alcune preziosissime carte storiche originali del passato. Il secondo settore narra la storia dell’esplorazione dell’Antartide, con particolare riferimento ai tre pionieri di quella che fu una delle più aspre e difficili conquiste terrestri dell’uomo: Scott, Shackleton e Amundsen. L’ultimo settore si occupa delle spedizioni italiane, a partire dagli inizi del ‘900 fino alle ultime spedizioni organizzate dal Progetto Nazionale delle Ricerche in Antartide. Il Museo, di cui allestimento e gestione sono curati da Globo divulgazione scientifica, è aperto per questa anteprima dal 30 giugno al 4 luglio dalle 10 alle 13 e dalle 16 alle 20. Per informazioni e visite guidate: tel.: 0403755565.